samedi 14 juillet 2012

Twittes, twittons, twittez...

Quelqu'un que vous connaissez sûrement disait l'autre jour qu'il valait mieux parler que de ne rien dire. Cette phrase, je la dédie aux élites sans-le-sous. Elle vaut tout autant pour un personnage public, dont on ne parle jamais, que pour un candidat politique sans le sou.

Exemple. Prenons un chanteur pop, auteur-compositeur, que l'on entend partout. Tiens, un Vincent Vallières. S'il n'avait pas fabriqué cette chanson toute simple, sa notoriété n'en serait pas là voyons donc.



Un candidat comme François Legault n'ignore pas, qu'à chaque jour que le Créateur amène, on doit parler du chef de la CAQ. Parlez-en en bien, ou en mal, mais parlez-en ! Oui, les faiseurs d'image proposent ce type de visibilité, c'est gratuit.

J'ai encore en écho son échange de caractères d'iphone ou tablette quelconque avec la leader au carton rouge, Madame Desjardins. Normal, les mots ont été répété des milliers de fois. De plus, la télé, la radio et les journaux ont entonné comme un hymne presque mélodieux, le nom du chef de la CAQ.

Ceux qui s'opposeraient au style, comme l'échange avec Monsieur Marissal, avec raison selon moi, on une bien piètre connaissance des influences médiatiques. Ceci dit, François Legault dénichera, non sans peine, un autre style afin de rétablir les petits clichés twittés, ici et là, encore gratuite.


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