mardi 30 décembre 2008

2008

Je retiendrai un mot pour les douze derniers mois, économie ! Je ne surprends personne mais tout autre thème ne saurait être retenu. Oups ! j’en donne un autre, finance. Les étatsuniens demeurent la superpuissance responsable de l’état des choses. L’élite financière résidait en Amérique avant la crise, un aveu de non-culpabilité pour toute cette crise, une ineptie. Les retombées auraient pu être différentes n’eût été des guerres Bushistes. Effectivement, le gouffre militariste répété freine d’autant un sursaut envisageable. Les billions de dollars offerts à toute l’économie américaine ne suffisent plus, du moins on la croirait sans plafond. Pire, une certaine élite craint une aggravation semblable à un tsunami pour tout ce qui reste. Le secteur manufacturier de l’automobile américain, en voie d’extinction, subit une chirurgie reconstructrice. Faites ce que je dis, disaient-ils ? Laissons-là le capitalisme désœuvré puis regardons ailleurs et pourquoi pas de ce côté-ci. La ville de Québec apportera à cette année un petit baume, le 400ème. Son maire aura, depuis son arrivée, su insuffler une autre façon de faire. Est-ce terminer ou bien assisterons-nous à un essor important du petit Québec d’antan. S’il n’en tient qu’aux promesses laissées par les spectacles de notre Céline internationale et de l’un des Fabulous Four, Paul McCartney, ce coin de pays subira de profonde transformation. À suivre…

lundi 29 décembre 2008

Dieudonné déconne…

Depuis quelques jours, je zieute le web de ses images drôles et sérieusement drôle. Via les français, j’enrichis mon humeur de bien des façons ; Foresti, Devos, Palmade et bien entendu, Dieudonné le plus controversé du lot. Je me suis aperçu très rapidement de ses filons humoristiques liés aux Religions. Ces sketchs provoquent tantôt les cathos, les musulmans et mal lui en pris, les Juifs. En un mot, pour lui, le religieux défie la paix. Ce dernier spectacle qui lui aura valu l’étiquette d’anti-juif, le conduit vers un chef-d’œuvre, intitulé 1905. Son dernier numéro est plutôt récent. Le 26 au soir, le dernier vendredi de l’année, il invitera l’historien négationniste, Robert Faurisson dans le cadre d’un sketch, la remise du prix de "l'infréquentabilité et de l'insolence". C’est que, le comique a l’habitude dans un numéro, d’introduire un ou des mini-sketchs. On le réalise dans ce numéro de 1905, dès le début. C’est ce qu’il fera avec Faurisson. Je connaissais pas ce type. Maintenant, c’est fait, du moins pour l’essentiel. Depuis, ne vous en étonne, j’ai lu certains docu dont celui-ci. Puis, j’ai zieuté et ouï l’exposé, le sien ; diapo et tout. Je suis (j’hésite avant de continuer, centrer mes idées, peser mes mots) étonné que l’on est pas, de ce côté-ci, illustrer le personnage. Là, je voie la nouvelle, à Radio-Can, toute fraiche ou rafraîchi de ce matin. Pour mes lecteurs, s’il en est, permettez-moi un silence de circonstance et à plus.

dimanche 28 décembre 2008

Martineau montréalise.

Les gens du nombril Québécois croient que tout se fond dans le 450 et le 514. Je lisais un billet de ce chroniqueur que je place ici. Pavé de bonnes intentions, le Martineau prône la laïcité et pour le reste, restez donc chez vous. Par la même occasion, il voudrait bien enterrer toutes ces croix, tout en renversant ce qui traine dans les paroisses de clochers et de parvis. Le Québec moderne n’a nul besoin de cette identité passéiste et encore moins de ces religions discriminantes, selon ses dires. Monsieur Martineau, le monde moderne ne peut se passer de croyance car nous sommes, sans fondement, de ignares aveugles. Nous pataugeons dans des eaux troubles au quotidien et l’humanité ordinaire recherche des remparts qui donnent du sens. La foi véhicule des fondements sensés tout aussi valable que le savoir scientifiques. Les gens de votre niveau, je le conçois, sont agacés par tant de petitesses. Soyez gentils, laissez à ces citoyens le loisir de juger des rencontres et pourquoi pas, si tous les villageois en conviennent, dans les salles de nos institutions payez de nos taxes. Le dictat laïque repose sur la connaissance des sciences jusqu’à sa dernière trouvaille ou de l'humeur des Martineau de notre monde. La prochaine découverte ce sera quoi ?

mardi 23 décembre 2008

Catho etc...

En surfant sur le web, j’ai déniché un site riche en nuance. En tout premier lieu, l’Abbé Pages resitue Dieu rationnellement à travers le clip, Dieu existe-t-il ? Pour les érudits, cet extrait ne sera que du déjà-vu. Peu importe, l’orateur évoque brillamment par le verbe, le choix des mots, l’existence de Dieu. Suite à ce topo, j’ai entendu d’autres clips suggérés par le même auteur abordant différents thèmes, dont l’Islam. Il propose via les écritures coraniques et bibliques, un réel examen. Les sujets abordés visent les religieux et les fidèles, mais aussi les lecteurs de l’un des bouquins les plus lus sur la planète. Ensuite, j’ai scruté le site web de l’orateur plus qu’intéressant. J’apprécie ce côté pédagogique des grandes spiritualités. Mais bon, les intervenants abordent tous les sujets dogmatiques monothéistes. De plus, ils expliquent aussi à travers bon nombre de documents vidéo, la pratique chrétienne. Enfin, il s’en trouvera pour contredire le propos principal. Les croyants musulmans trouveront bien des raisons pour intervenir. Même que plusieurs interviendront juste ici. Le débat est ouvert et risque fort de perdurer, tant qu’il garde un respect mutuel, ça me va. À nous tous d’en retrancher l’essentiel pour le mieux être de notre humanité.

lundi 22 décembre 2008

L'histoire est vrai.

J'aurais pu, comme tout le monde à ce qu'il paraît, gober l'info du 11 septembre 2001 selon la version tardive du American Governement. Ce jour-là, je me suis dit, comment ces terroristes ont-ils pu suivre des cours de pilotage en Floride, déjouer la sécurité des aéroports, détourner tous ces avions, attaquer leurs cibles sans intervention de la défense aérienne de la plus puissante machine de l'air. S'ils sont si finassier, pourquoi donc ne pas avoir réussi leur quatrième objectif ? Ce jour-là, le président se trouvait dans une école, sans aucune protection, ni plan d'évacuation. Puis, innocemment, tient un bouquin et sans réflexe auto-protecteur place toute une école primaire en danger d'une attaque potentielle. Certains huluberlus, veulent me faire avaler que la tour 7, s'est effondré, on ne sait par quel procédure, après sept heures d'un feu mitigé. Pourtant, il fallait bien pour qu'il s'écroule, un minimum de préparation car des édifices sous un feu nourri, ça s'est déjà vu, sans qu'il s'écrase pour autant. Les deux guerres qui ont succédés, à l'encontre de l'axe du mal, ont trouvé leurs motifs dans un premier temps, lors de ces détournements de septembre et ensuite, par un autre subterfuge, les ADM supposés par les services secrets of USA. De cette dernière, tous ne peuvent en ignorer la gravité. Comment peuvent-ils, ces millions d'Americans, rester cois et passifs si ce n'est par cupidité abyssale. Je sais que la vérité se situe du côté des opinions en présence, mais que vaut l'histoire des guerres. Ces guerres qui opposent encore aujourd'hui, des populations usurpés, ensanglantés, dépossédés de leurs droits souverains, par un envahisseur en chasse aux fantômes. Cette superpuissance avide de tous ces dollars, détroussée de l'intérieur par les mafieux financiers, l'autre mal, bénit des forces d'un bien consommés.

samedi 13 décembre 2008

Non-coupable.

Les jurés du procès de Stéphane Dufour, accusé d’avoir aidé son oncle à mettre fin à ses jours, ont innocenté l’accusé. Dès lors, j’ai entendu plusieurs journalistes et différents acteurs de l’information arguer une victoire pour l’aide aux suicides assistés. Je ne suis pas d’accord du tout avec cette interprétation suite à ce jugement. Regardons ces deux éléments menant au verdict de non culpabilité. Le témoignage d’un psychologue aidait à la compréhension des jurés et je cite : l'accusé n'avait pas le jugement nécessaire pour résister aux pressions de son oncle qui lui demandait sans cesse de l'aider à se suicider, car il avait le quotient intellectuel d'un enfant. Ce, même s’il avait les capacités intellectuelles de saisir les conséquences de son geste, selon un psychiatre appeler comme témoin. Mardi, le juge a donc demandé au jury de répondre à trois questions. Est-ce que l'accusé savait que son oncle voulait se suicider ? Est-ce que Stéphan Dufour a réellement posé un geste pour aider Chantal Maltais à s'enlever la vie ? Et est-ce que Stéphan Dufour avait vraiment l'intention d'aider son oncle à se donner la mort? Si un moindre doute raisonnable subsiste, vous devrez répondre non. Les circonstances atténuantes entourant cette affaire sont évidentes et ne peuvent donc pas concerner le sujet du suicide assisté. Pourtant, il n’en fallait pas plus pour interpeler la classe politique. Les animateurs de lignes ouvertes ont enflammé les antennes de leurs savantes analyses en appui aux aides de mise à mort. Le droit ne doit pas avaliser ce phénomène en encouragement et en facilitant le procédé. Notre société devrait plutôt accorder aux individus en détresse des aides aux réconforts et à l’accompagnement.

mardi 9 décembre 2008

L'égo princière.

Les êtres populaires modernes ne sont plus ce qu’ils étaient. Voilà que les médias se chargent de modeler ces êtres dénaturés, ces êtres venus d’ailleurs, épiés et espionnés. Tellement, ces êtres s’obligent à s’exhiber sous un seul jour. Pas n’importe lequel ; un jour officiel, sans fausse couette, sans rides ni ridules, ni pattes d’oie, bien vêtu et avec élégance mais sans artifice, plus nature que déguisé, super contrôlé quoi. Tout ce temps, l’électorat juge de son droit dépendant de son intérêt. Parisella, un des proches du PM Québécois, ne souhaitait pas d’appel aux urnes et avec prudence lui annonçait ses motifs ; l’automne couvert d’un blanc froid, l’approche des ivresses des messes de minuit, les 5 à 7 quoi, l’effervescence de la folie du American Dreamer of Obama, le déjà-vu d’Harper coast-to-coast et tout en relief, une crise dont on ne connaît ni l’ampleur ni même l’agenda, d’une main étrangère. Jean Charrest, toujours sous un jour officiel, bien frisé et dodu quoi, décide, de son propre chef, de rabrouer sa classe politique. À grand coût, Jean Charrest utilise le fruit de nos labeurs quotidiens, pour démontrer que la nomination de la présidence de l’Assemblée Nationale, tradition bien contrôlée, lui revient. Le volant de la gouvernance Québécoise lui appartient maintenant, à lui de l’empoigner sans en perdre de contrôle.

adage "emprunté à l'humour"

"L’amour rend aveugle et le mariage rend la vue"

lundi 8 décembre 2008

Politiciens lents.

La politique aura ceci de particulier ; les trainards provoquent des effets collatéraux irréparables. Je m’explique. La dernière élection fédérale, en nous présentant Dion, permettait aux Conservateurs de crier à moitié victoire. N’eût été de la maladresse du Premier Ministre Harper, sa majorité aurait été déclarée. Depuis, le Parti Libéral du Canada, en renvoyant la transition à la chefferie, paralyse la politique Canadienne. Pendant ce temps, Harper choque l’ensemble de l’opposition parlementaire en énonçant des principes excessifs. Ils sont si outrageux et provocateurs pour générer la panique chez de pauvres rivaux. Les partis, avec la contrainte du 8 décembre, franchissent une étape digne des scénarios les plus farfelus ; une coalition sauve-qui-peut. Sans le sous, l’opposition évite, croient-ils, des élections générales en prétendant à un pouvoir pour le moins grossier. Ce dimanche, les Libéraux semblables à des aïs gras et dodus, se décident enfin à couronner Ignatieff, un aspirant pourtant rejeté hier. Cette procédure aurait pu être appliquée dès la défaite dionnaire d’octobre dernier. Non, bien mieux, attendons le printemps de la côte ouest, disaient-ils… Un renversement viendra dès l’entrée à la fin janvier, ce qui laisse un peu de temps aux rouges de percevoir des sous, hum ! Écoutez, ils doivent tous leurs chemises. L’ouest et l’est canayen semblent plus diviser que jamais. L’élection prochaine annonce plus la confrontation, que la mobilisation des forces face à une crise manufacturière. La scène reflète bien la complexité de l’ensemble canayen. Un leadership nouveau pourrait faire appel à une fédération revue et corrigée. Les efforts promis s’appuieront sur de nouvelle base, la décentralisation des voies. En premier lieu, allouer aux régions ressources un potentiel réel, de leur dynamisme. Harper organise une rencontre à la mi-janvier des premiers du Canada. Verront-ils là un moment privilégiés d’une symbiose pan-canayenne ? Nous le verrons bien assez tôt.

mercredi 3 décembre 2008

Le premier défenseur du Québec...

Le seul élu au Québec, et ce dès le début des dernières élections fédérales, a s'être opposés à une affirmation du premier ministre Canadien, Monsieur Harper a été Charrest, Premier Ministre du Québec. L'affirmation d'Harper concernait la péréquation Canadienne. Elle disait à peu près ceci ; "nous avons réglé le déséquilibre fiscal", fin de la citation. Le seul élu de ce côté-ci à dire à toute la population que ce n'était pas vrai a été, Charrest. Ce pavé dans la marre d'Harper a certes nui à son début de campagne. Moins sensationnel, les conseillers de la campagne du parti Libéral, considérant que la seule province en élection au Canada est au Québec, ne tombent pas facilement dans le panneau des émotions comme la madame somptueuse. Charrest n'aura pas voulu dégainer sur quoi que ce soit de ce meli-melo coast-to-coast à partir d'un énoncé irréfléchi. Son choix d'équipe lui rapporte plus à mon avis que le contraire. Seule la suite le précisera.

mardi 2 décembre 2008

Resuite...

Les diverses stratégies employées par les partis politiques deviennent nuisibles à l’usure. Les manœuvres à la Harper, annoncées par The Honourable James M. Flaherty, Minister of Finance, qu’on l’appelle énoncé, résumé, mise à jour, peu importe, l’inconséquence de ce qu’est la mauvaise foi est flagrant. Un autre ministre, celui de ma région, réitérait lui aussi que certaines phrases de cette courte déclaration, visaient l’opposition de plein fouet. Ce faisant, le Gouvernement Harper omet les règles démocratiques des pouvoirs minoritaires. Il impose aussi, dans cette déclaration, la suspension du droit de grève jusqu’en 2011. Je précise que les employés de la fonction publique viennent d’entériner les différentes conventions collectives valables jusqu’en 2011. Est-ce de la diversion pour amuser les lecteurs ? Gilles Duceppe invité par le premier ministre suite à l’élection, suggérait à sa demande des propositions face à la crise. Nul besoin de vous dire qu’Harper n’a retenu aucune des priorités Bloquistes. Le PM aurait dû tenir compte de ces revendications, du moins d’y faire allusion et démontrer que l’électorat Québécois méritait un minimum de son attention. Et bien non, revanchard, il vidangera tout son chargeur contre le messager.

lundi 1 décembre 2008

suite...

Coup d’état, putsch, arrêtons tout de suite ces inexactitudes. Harper devra consulter ses collègues mais peut-être est-il trop tard. S’il était renversé par cette coalition, pour le moins loufoque, ce gouvernement prendrait une tournure s’approchant de la proportionnelle. Tout ce scénario serait dans les faits constitutionnellement acceptables. Harper peut toutefois négocier un statu quo jusqu’à un budget concerté. Il pourra agir ainsi en faisant la preuve auprès de ses concitoyens que l’appel à l’électorat précipité, ne dépend pas de lui. Il peut d’ici là, faire amende honorable, effectuer un recul et s’attaquer aux vrais problèmes. Il a déjà retiré son désir de couper les vivres aux différents partis, ce qui démontre un mea culpa. Pour le reste, il n’en faudrait pas beaucoup pour améliorer la perception des gens. Les canayens ne sont pas intéressés à subir les affres d’un autre appel aux urnes. Parallèlement, toute cette crise fédérale, lié à un calendrier suspect. L’imbroglio porte un coup non négligeable avec pas n’importe quoi ; l’élection d’un gouvernement provinciale au Québec. C’est ce qui me désole au plus haut point de l’autre Canada. La gouvernance de nos différences reliée à la bonne ou à la mauvaise foi des leaders supposés.

dimanche 30 novembre 2008

The President of Canada, Stephen Harper.

Le personnage principal et le Parti Conservateur (PC), compromettent le gouvernement actuel de la Fédération Canadienne. Peut-être est-il habité par un vieux songe ? La forme électorale américaine, peut-être ? Les gens qui ont suivi étroitement l’élection étasunienne et nous étions nombreux, se sont vite rendu compte que l’argent partisan demeure un critère indispensable. Plus précisément, les primaires Républicaines et Démocrates auront permis de récolter auprès de l’électorat, plus d’un milliard et demi de dollars US. Grosso-modo, ce bilan représente environ 5$ par tête. En passant, Obama (635 millions) a amassé près du double que son adversaire Républicain, McCain. Ceci n’inclut pas les sommes personnelles comme celle de Mitt Romney, un Républicain. Ce républicain multimillionnaire se retirait début février après avoir dépensé 35$ millions de sa fortune personnelle. Pour mieux mettre en relief le portrait Canadien, la chefferie conservatrice, en 2004, coûtait plus de 5 millions auprès de son électorat ; Harper, dépensait un peu plus de 2$ millions. Ce qui amène la contribution per capita Canadienne à environ, 6 sous. Je sais que la comparaison est boiteuse mais les cultures électorales sont à ce point incompatible. Le tollé que sa proposition partisane, dans l’ombrage des remèdes financiers, provoque, c’est du jamais vu. Comment déclencher tant de colères ? L’Honorable Harper et ses lieutenants devraient en évaluer les conséquences pitoyables, si ce n’est déjà fait. S'ils attendaient une majorité à venir. Laissons le 8 décembre désamorcer cette grenade coast-to-coast. Pourvu bien sûr, que les partis d’opposition enterrent la hache de guerre.

samedi 29 novembre 2008

adage.

Un coucher de soleil oranger ou un lever, à l’aube, rien de plus prometteur. Pour le reste, même l’orage la plus sombre, porte l’espoir.

mardi 25 novembre 2008

SV pour simplicité volontaire.

La crise bien assise offre en perspective, larmes et désolations, dit-on. Hier, après ma journée de travail, je lisais Jean Garon synthétiser la campagne provinciale actuelle. En un mot, l’économie à venir, du jamais vu. Il ne prononcera pas le mot panique, mais l’exhibe autrement. De un, le cycle présent répète comme toujours le mouvement ; ce qui monte, redescend. Second ; plus on monte dans le firmament azuré, plus la chute est grave et l’atterrissage, infâme. Trois ; le crédit institutionnel abrite des usuriers à gros revenus, je les nommerais, des arrivistes parvenus. Quatre ; l’entreprise qu’est le prêt, gonflait une méga bulle qui un jour devait crever, peu importe, regonflons-en une autre. En vrai, ce sarcasme abandonnera tout un genre humain dans la tourmente. Remettre le compteur à zéro, exemple, l’industrie de l’automobile, assigne toute une main d’œuvre dans l’inconnu et leurs familles, l’insécurité. Tout ce qui alimente ce pan de l’économie développée, lui-aussi devra subir la même torpeur. De ce côté-ci, le cycle forestier subit le pire des épisodes, la chute. Cependant, cette main d’œuvre, plus saisonnière, démontre comme toujours, une souplesse récurrente. Depuis quelques jours, j’entends des personnages de la Belle Province clamer que nous autres, on évitera le pire. En admettant que ce soit vrai, préparons-nous pour la descente, qui adviendra. Limitons-nous aux strictes nécessaires, l’essentiel et ainsi, nos transactions avec les arrivistes parvenus seront réduites à leurs plus simples expressions, le net trente jours. La campagne provinciale actuelle, faut bien y revenir, démontre encore une fois que le moins pire des pires ressemblent aux autres. Qu’à peu de chose près, la seule chose qui le différencie, c’est la gouverne tranquille, sans grand bouleversement.

samedi 15 novembre 2008

Les mesquins s’économisent…

Nous les citoyens du monde volontaire, avouons ne pas être ignorants de tout ce tralalalalère. Les 20 s’entendent pour une croissance par une régulation historique mon cul bordel de merde car les économies de bouts de chandelles sont et puent la cire à plein nez. Comme les fanfares jouent des airs militaires, les gens riches et célèbres célèbrent un renouveau passéiste. Une élite parle avec raison de peuples si différents qu’ils faillent un certain temps d’adaptation afin d’amadouer la gaffe des sub-primes payants. Partant de là, est-ce raisonnable d’attendre 2009, avril. Je vous déclare en ce moment même, que les 20 conjuguent tous leurs atouts et leurs attraits pour mieux jouir des taux à venir. Les amis, ou tous ceux qui ne sont pas candides et naïves, pourrions-nous être un temps soit peu ignares, pour admettre tant d’incongruité, d’invraisemblances. Je conviens que, comme vous tous, je paierai avec grâce et convenance de mon labeur volontaire. Vite avril, non pas le premier jour de ce mois, mais dès le 31 mars 2009, que nos stratèges financiers formulent des recommandations afin d’harmoniser les normes comptables pour les rémunérations reliés aux risques. Ainsi-soit-il …

L’économie mondiale.

Je regardais la nomenclature des pays rassemblés à Washington sous l’égide du G-20. Mon premier interrogation ; le grand absent, l’ONU, pourtant soutenu à grand frais. Cette organe de démocratisation se voit encore une fois ignorée des pays dit développée et en émergence. Ceux qui suivent le rendez-vous auront aperçu aussi, le Roi Abdallah ben quelque chose, d’Arabie Saoudite. Les pays de l’Amérique du sud sont représentés par l’Argentine et le Brésil. Le continent Africain avec son milliard de population est représenté par l’Afrique du Sud. Les Américains, hôte et fauteur de troubles, reçoivent tout ce beau monde ainsi qu’une délégation des plus grands financiers. J’ajouterai au passage que tout ce beau monde, déguisé en sauveur, sont les premiers acteurs du triste bordel de la crise financière. L’héritage bushiste nous entraine dans un cataclysme sans nul pareil. Qui croyez-vous relèvera les marchés, détenteurs de l’avenir des gens riches et célèbres, ces pourfendeurs de lois et règles humanitaires ? En tout premier lieu, les citoyens ordinaires paieront la note. Tout ce beau monde, à qui nous confions nos volontés, en planifieront la suite logistique. Le seul remède et cela ne devrait surprendre personne, sera le crédit bancaire. L’institution aura été la source de nos déboires planétaires et le véhicule des solutions. En attendant, les pays sous-développés, en attentes de promesses, tomberont dans l’oubli et le désarroi répété. Ma solution à cette faillite serait la même que pour toute entreprise sans le sous pour ses créanciers ; la repentance, une autorité valable et la remise à 0, en effaçant tout simplement.

mardi 11 novembre 2008

La montréalisation.

Le Québec est immense, près de trois fois la France. Sa population se retrouve dans l’axe de la capitale provinciale à l’île métropolitaine, Montréal. Deux heures de route ne gâchent pas toutes les différences entre les deux sociétés. La métropole exhibe un multiculturalisme qui l’enrichit positivement, dit-on. En s’en éloignant, soit par la 40 ou la 20, le portrait social devient plus homogène. Les gouvernements ont tendance à avaler l’ensemble dans un tout insidieux que j’appelle la montréalisation. Le bilinguisme qu’on tente d’inculquer à l’ensemble du territoire québécois, me semble, oui, insidieux. Jean Charrest estime important que les étudiants, dès le départ, doivent assimiler certaines connaissances linguistiques autres que la première. Je comprends très bien PM, de souhaiter que ses enfants s’initient à l’anglais, mais de l’étendre à la grandeur du Québec, là, nous nous acheminons vers l’assimilation et à plus long terme, l’unilinguisme anglais. Je le sais par expérience, Montréal, là où une bonne portion de Québécois cohabite, s’anglicise. Ma crainte, c’est que ce phénomène pernicieux suivent le courant et se rendent en aval, absorber des milieux fragiles. Conjointement, la langue d’affichage se transforme et affiche déjà une assimilation progressive. De mon Québec semi-profond, je me rends à mon centre d’achat et constate que je mange du Subway, que même si je boycotte Wall Mart, ça ne paraît pas trop, que mon petit-fils porte des habits de chez The Children’s Place, que je rase trop souvent les murs de Future Shop. Même que, Rio Tinto donne des meetings en anglais à son staff cadre.

dimanche 9 novembre 2008

La famille selon Marois.

Je veux bien que Madame investisse dans les garderies. Elle pourrait tout aussi bien accorder des sommes significatives en milieu familial traditionnel. Un couple désireux de garder leurs enfants à la maison ne mérite pas son appui, non, juste les travailleurs obligés et les carriéristes. Des centaines de millions en service de garde, puis aucune planification pour les couples désireux de garder leurs enfants eux-mêmes à la maison.
Plan Marois : Les familles bénéficieraient d'une allocation de soutien à la rentrée scolaire et d'une place en service de garde pour chaque enfant, selon la plateforme électorale. Le document ne mentionne pas de plafond pour les frais de services de garde.
Un enfant en bas âge, généralement, se trouve bien mieux auprès de l’un de ses parents, la maman le plus souvent. Il n’est pas question ici de priver les femmes de leurs autonomies, mais bien d’en faciliter le choix ; le travail ou la famille.

samedi 8 novembre 2008

Pénurie de main-d’œuvre.

Le Québec accroît sa dépendance à l’immigration depuis quelques années. La cause, une démographie en crise. Certaines mesures d’incitation, aux travailleurs retraités, apportent certains résultats diminuant ainsi les besoins réels. Les exemptions d’impôt remises aux étudiants de retour vers leurs lieux d’origine devraient aider, pourvu que la mesure soit reconduite. Les programmes fédéraux pour les emplois temporaires font appel à plus de 90 milles travailleurs étrangers, en agriculture surtout. Mon propos vise surtout une main-d’œuvre spécialisée. Je regarde les chiffres d’octobre chez nos voisins du sud. Je m’attends donc à une arrivée, même en région, de travailleurs des Etats-Unis d’Amérique, du nord en particulier. Préparons-nous en ce sens et initions les démarches, pour simplifier leurs intégrations. De nouveaux employeurs feront aussi leurs entrées, comme Rio Tinto. Il ne faudrait pas, par la même occasion, perdre de vue nos priorités linguistiques. Saviez-vous que certaines rencontres patronale-ouvrières, ici au Saguenay, s’effectuaient en anglais ? Je comprends leurs apports à l’économie mais aussi, j’apprécierais qu’ils agissent en tout respect de nos lois. Les gens influents doivent aussi se soumettre à la langue dans les états comme la Chine, de même chez-nous. La pénurie est sérieuse et s’accroîtra si nos décideurs, ce à tous les niveaux, ne planifient pas bien ce tournant. Je veux juste que cela s’accomplisse sans ambiguïtés, le moins possible.

mercredi 5 novembre 2008

Un président charismatique…

Enfin élu ! Vraiment, nous ne pouvions, l’humanité entière, mieux souhaité. ML King, avant nous, l’avait rêvé dans son fameux discours dans la capitale Américaine. BO se retrouvera à la tête de la nation avec des attentes immenses. Dans le discours de McCain, suite à la victoire de BO, il ne veut laisser planer aucun doute sur le sérieux de la suite, en l’assurant de tout son appuie. Si vous écoutez le discours laisser en lien, l’orateur propose des changements s’adressant, à l’époque, à l’establishment Américain. Aujourd’hui, il s’adresse aux décideurs de l’humanité tout entière, en appui à tous ceux qui subissent les atrocités de la guerre et de l’occupation étrangère. Les brutalités qui sévissent dans le monde ne régressent pas. L’ONU, à travers ses commissions, tentent des négociations avec les différentes factions armées. Que ce soit en Afrique, au Moyen-Orient ou en Asie et ailleurs dans le monde, l’humanité doit négocier un nouveau pacte de partage et d’équité. BO symbolise pour le moment le changement espéré. Mon premier souhait est pour le futur assermenté ; Barack Obama devra permettre à l’ONU d’effectuer son travail afin de soumettre l’OTAN, non pas aux militaires étasuniens, mais aux missions onusiennes décrétées. La crise financière soulève des problèmes structurels important. Seul, l’ensemble des décideurs pourra résoudre les énigmes héritées par des exploiteurs érudits et mafieux. Les problèmes de l’économie soulevés par la débandade devrait être résorber qu’en tenant compte de notre environnement et de l’équité. Le charisme que génère BO est porteur d'espoir. Souhaitons que le travail du nouveau président affiche autant de grandeur.

dimanche 2 novembre 2008

Un Catho.

Je le suis. Comme la majorité des québécois, j’ai reçu le baptême catholique. Dans mon cas et ceux de ma génération, nous le recevions dès le lendemain de notre naissance. Ensuite, j’ai grandi et, tout le long, traversé des périodes de questionnements. J’avoue que même encore aujourd’hui, certaines interrogations nourrissent des instants plus ou moins brefs. J’aime qu’il en soit ainsi car les circonstances, les belles et moins belles, l’exigent. Cette identité, la catho, ne m’empêche nullement d’apprécier la vie, à mon sens elle l’enrichit. Vous saurez que j’ai une raison de plus qu’un agnostique de goûter à la vie, Dieu. Tout ceci ne fait pas de moi un être supérieur. Je suis comme tout le monde ; je deviens irriter dans le brouhaha et le tumulte de la vie, je n’aime pas souffrir, être humilier, je fantasme sur ce qu’il y a de plus joli, même marier et je me découvre encore aujourd’hui entrain de détester un adversaire. Vous voyez, mais je le constate et m’en repends presque facilement. Les célébrations du dimanche et à d’autres moments, mes prières dans la solitude contribuent à mon amélioration, même lente. Un ami me disait un jour, que "je pratique non parce que je suis bon, mais pour devenir bon". Vous me direz de un, que je suis minoritaire, ce que je ne peux contester. Dernièrement, j’entends les gens maugréer contre les cathos mais aussi contre les vieux et souvent de manière virulente contre les religieux, sans aucunes distinctions. Tout ces propos inconsidérés et généralisant m’attristent. Soyons bon joueur, cessons-là nos remarques injustifiées à l’égard de toutes les personnes lorsqu’une, en est responsable.

samedi 1 novembre 2008

MacBush rejeté!

Qu’on tous les canadiens à craindre tant McCain ? Est-ce parce qu’il est un Républicain comme Bush ? Si tel était le cas, la nation d’ici reproche quoi à l’administration Bush ? Est-ce la guerre et la course onéreuse à l’axe du mal ? Est-ce la politique intérieur via la situation financière ? Harper favorise le Républicain et Charrest aussi admet qu’avec Obama, le Canada serait dans l’embarras. Les Canadiens ne sont-ils pas de mèche avec les politiques de Bush en sacrifiant ses soldats en Afghanistan ? Je comprends que McCain soit de droite et que les femmes, québécoises surtout, ne veuillent d’un type rétrograde et vieillissant. Les médias accordent un tel attachement à Obama, que s’en est gênant. Une étude récente, partout sur le globe, accorde une affection indéfectible au candidat Démocrate. Obama parle de changement. En guise de changement, est-il souhaitable qu’il accorde si peu d’importance aux mondes Musulmans ? Un analyste révélait dernièrement que le candidat noir contenait très peu de contenu lié au "CHANGING". Changer quoi et jusqu’où ?

Lise Thibault.

Tout le monde en parle et loin de vouloir en remettre sur le cadavre roulant. La fonction d’abord. Comment se peut-il que le Canada adhère aveuglément à cette institution, qu’est la Monarchie constitutionnelle ? Plusieurs fois, les décideurs politiques auraient souhaité s’en défaire, sans pour autant concrétiser le nécessaire. C’est que voyez-vous, les provinces anglophones acceptent de bon gré l’allégeance royale et ne souhaite nullement s’en défaire. Chez les francophones, la grande majorité ne saisit pas l’importance de cet attachement, à mon avis, plus que symbolique. La récurrence des frais liés à cet emblème crédite le budget Canadien de combien de millions de dollars ? Personne n’est au courant vraiment. L’effigie sur la monnaie devrait représenter un joli pactole, bien plus que celui alloué à Madame Thibault, Clackson et Jean ensemble.

dimanche 26 octobre 2008

Les Euros au hockey junior Canadien.

Plus de 90 hockeyeurs en provenance d’Europe évoluent dans les 3 ligues canadiennes. Seulement deux équipes au Canada n’ont pas cru bon investir dans ce potentiel. Trente-quatre organisations ont acquités les montants pour deux, et rarement deux Russes. Les motifs réels sont obscurs car on ne connaît pas les budgets attribués à ce chapitre. Les 13 pays représentés dans cet éventail de joueurs proviennent, pour la plus large part, des anciens pays du bloc de l’est. Il serait intéressant de pousser plus loin l’étude puisqu’un, en 2009, un cycle me semble déterminant, à ce jour. Les élus de cette année sont pour plus de 40%, Tcheks. J’aimerais qu’on m’explique tant d’égard pour ces jeunes sportifs. Ce pays a dix millions de population, c’est bp de monde, mais ils font quoi pour atteindre un tel niveau de jeu. En Slovaquie, pour 10 millions, on nous en envoie 10 et en Slovénie, 4 (LWH) avec 2 millions de population. Treize joueurs Russes viennent ici nous démontrer leurs talents mais avec une population de près de 150 millions, y a un manque à gagner. Un développement récent de ligues Russes intéressent les jeunes stars de cet état et le marché les paient suffisamment pour qu’ils y demeurent. Pourtant quelques équipes réussissent à les intéresser. J’attire votre attention sur ce rapport de donnée ; West 32 euros pour 22 équipes (-Brandon), l’Ontario en a 30 avec 20 équipes (-Barrie) et le Québec, dans la même proportion avec 18 clubs, 29 hockeyeurs.

Vox pop…

Vendredi en allant faire le plein, j’ai été interviewé pas un journaliste de la télé locale. Il voulait connaître mon opinion sur les pétrolières. Je le lui ai donné et voici en quel terme : « ils en mettent bp dans leurs poches mais que voulez-vous qu’on y fasse ? C’est comme ça. Si nous étions à leurs places nous ferions pareil. Toi, même avec ton micro, tu ferais pareil ». Le média n’a passé que la première section et vlan, j’avais qu’à la fermer. En même temps, les pétrolières agissent dans le cadre de la légalité. Les marchés, qui vous le savez ont aujourd’hui toutes les raisons, se foutent de la légitimité. « Allez, par ici la monnaie ! »

samedi 25 octobre 2008

Un retrait couteux, plus qu'un entêtement.

Stéphane Dion, en plus de retarder sa décision, renvoie sa sortie à un autre moment. Il dit vouloir assurer l’opposition Libérale en ce temps de crise financière. Plusieurs questions restent entières étant reliés à ce comportement, celui de l’obstiné. Laissons-là la psycho et l’introspection pour l’acteur principal. Cependant, que lui apporte son statue présent financièrement ? Je dirais de un, son premier revenu, celui de député, qui lui revient à 155 milles. De deux, celui de chef de l’opposition 75 milles et en trois, son allocation comme chef des Libéraux (75,000) et autres allocations. Pourquoi éviter le sujet ou plutôt, pourquoi ne pas en tenir compte ?

Minuit, l'heure du crime...

Je ne suis pas un spécialiste de la boxe et bordel de merde, à quoi me servirait-il de le prétendre ? La farce honteuse de cette nuit inflige à ce sport, une culbute à venir. Je ne comprends pas les décideurs d’avoir permis une telle bouffonnerie. Imaginez, pendant des années ont tente de reconstruire une crédibilité athlétique et du coup, presque plus rien.

dimanche 19 octobre 2008

Un plombier, une dame et 17 jours.

Les élections américaines se poursuivent dans un ultime sprint. En preuve, le dernier débat appartient au passé. Ce sera maintenant au tour des pubs et des sorties publiques, du travail de terrain. Dans l’une de ses promenades, Obama rencontrera-t-il d’autres plombiers de droite ? Cet homme de métier, l’image du rêve américain, deviendra soit un allié ou un ennemi. Les Démocrates ne devront pas se battre eux-mêmes, car le changement proposé pourrait être reporté. Le côté imperturbable du duo Obama-Biden bénéficiera d’un appui certaine à la condition de ne pas verser dans l’extrême. En exemple, une phrase d’Obama qui compare la Républicaine à, un cochon au rouge à lèvres, il en restera toujours un cochon. Cette joke de mauvais goût déplait à l’électorat féminin, qui appréciera les petits achats ordinaires au passage chez un Wall Mart. C’est bien ce qu’aurait fait Palin, ce mercredi. Elle s’est payé un bain de foule en arrêtant le bus de la campagne pour effectuer son achat, une boîte de couche. Les observateurs soulèvent maintenant un gain Démocrate et seul un tsunami renverserait les résultats. Les 8 swing states reflètent encore la fragilité des tendances, une volatilité comme la situation boursière. Ceci sans compter la solitude dans l’urne et le racisme de l’Amérique profonde. Je termine ce billet, en vous rappelant l’élection de Bush (2000) et l’état de la Floride. Intéressante non ?

samedi 18 octobre 2008

Varia retard...

Chefferie.
Suite à l’élection de mardi, que je baptiserai "la quatre trente-sous pour une piasse", je devine que Monsieur Dion lancera une nouvelle campagne au Parti Libéral du Canada. Les fans de ce parti en viendront encore aux grands déchirements. À mon humble avis, ce qui afflige ce parti, c’est la province de Québec ou/or the Québec option.
PM.
Monsieur Harper devra très vite analyser la question Afghane, dont personne ne parle. Puisque de plus en plus d’hauts-gradés souhaitent une augmentation substantielle d’effectifs (30,000) sans toutefois et je cite "croire à la victoire". Ces mêmes conseillers en rajoutent et proposent la négociation avec les Talibans. Son analyse devra porter surtout sur la position d’Obama tant qu’à la présence étasunienne en Irak et même en Afghanistan.
Etc…
Pour ce qui est de la gouvernance Canadienne et autres gestes politiques, les Cons auront tout le temps. Un sursis de deux et demi à trois ans me semblent envisageable sans qu’il n’y ait d’appel aux urnes.
Finance.
Les hommes politiques du globe recherchent des solutions. Comme à l’époque de la prospection, des gisements d’idées se formuleront en autant que chacun des travailleurs y contribuera comme jamais dans le passé. Le terme prolétaire retrouve tout son sens. L’American Dream nous aura entraînés dans ce vide de sens. Ce cul de sac ne ressemble-t-il pas à l’axe du mal ? Depuis septembre 2001, le monde s’enlise avec elle, jour après jour.
Adage.
J’admets qu’il y a le savoir mais aussi qu’il y a tout le reste…

lundi 13 octobre 2008

L’eugénisme légalisé.

En lisant ce texte, j’avise les lecteurs, d’un humanisme inapproprié, d’avouer leur eugénisme inapproprié. Dans l’histoire humaine, les civilisations ont opté à maintes reprises pour l’élimination des sujets dit handicapants ou encombrants. Déjà, chez plusieurs espèces animales, la mise à mort dès la naissance d’un rejeton faiblard, ne scandalise personne sauf les âmes sensibles. Laissons-là le monde animal et tournons-nous vers notre monde riche et structuré. En tout premier lieu, j’admets qu’il est préférable de voir un nouveau né, dès la conception, avec tous ses membres. L’anxiété naturel précédent l’accouchement, fait parti de ce projet désiré par la future maman et le futur papa. Ce, bien entendu, dans un monde idéal. Partant de là, toutes les manipulations de nos sociétés évoluées et opulentes ne doivent pas tomber dans la facilité eugénique ou l’élimination des sujets handicapants. La conception d’un être humain, désiré ou non, devra tôt ou tard être encadré par une loi qui ne laisse aucun doute. Je veux dire, assujetti d’une identité accordée dès la conception, peu importe les motifs. Il l’est déjà dans le cas des bébés désirés. Nos sociétés ne doivent plus banaliser la vie de l’être mais bien l’accompagner. Les effectifs médicaux actuels peuvent allouer à l’individu un suivi précis et adapté à toutes les circonstances ou presque. De même, nos organismes modernes s’appliqueront à bien évaluer le portrait parental et d’y apporter toute l’attention pour le mieux être de notre devenir. Les investissements accordés bénéficieront à toutes nos sociétés enrichies de ses nombreux sujets distincts et imparfaits, ne l’oublions jamais.

samedi 11 octobre 2008

Prodiges

Les prodiges se multiplient finalement. Certains nous surprennent d’autres nous laissent froids. Le premier que je vous présente ici démontre l’aisance et l’agilité. J’entendais Alain Lefebvre, le pianiste, illustrer la démesure Chinoise. Il nous dit entre autre avoir assister à un concours de virtuose classique en Asie. Trois milliers de jeunes gars et filles, aussi excellents les uns que les autres. À mon avis, celui-ci, même en moins sérieux, n’en est pas moins étonnant. J’ai été impressionné aussi du nombre de langues parlées par l’un de mes amis, 5. Sur ce sujet, j’ai regardé certaines références et il y a aussi des prodiges ; 62 langues, imaginez. Bonne ...

samedi 4 octobre 2008

C482

Les médias n'ont pas fait échos à ce projet. Pourtant, celui-ci revêt une grande importance au KébeK. Voilà pourquoi, je vous laisse un lien ici nous rappelant l'urgence d'agir. Au Saguenay, je voie de nombreux établissements commerciales anglicisant. Il y a bien dans la restauration des exemples insidieux, que j'encourage même à l'occasion, Subway. Des commerces comme Future Shop qui sont aussi de grande achalandage au KébeK J'évite cependant les commerces qui ont une appellation anglaise. J'espère que, et le plus tôt sera le mieux, voir les députés féféraux du KébeK, de toute allégeance serait l'idéal, refaire le débat de la C482.

lundi 29 septembre 2008

Varia

Escale. Pour la première fois, un des mastodontes d’Holland America Line, le MS Eurodam, s’amarre au port d’escale de Ville Saguenay. Je souhaitais le voir rentrer dans la baie ce matin, mais ce sera pour un autre tantôt ; 86000 tonnes, en plus des 2100 passagers, ce n’est pas rien. Le quai ne revêt pas encore tous ses atours Coup d’œil… Un sondage de ce matin, place le député-ministre Blackburn en mauvaise posture dans le comté Jonquière-Alma. Une jeune fille que vous apercevrez ici, dit revenir dans sa région. Question ? Elle devrait bénéficier du programme de remboursement d’impôt accordé à ceux qui retournent dans leurs patelins d’origine. À la condition qu’elle s’installe soit à Jonquière ou Alma… Duffy. J’ai découvert une jeune dame par ce clip. Sa voix délicate et chaude rend bien la mélancolie, la complainte. D’apparence jolie, elle bouge candidement et aussi elle reflète la fragilité de l’être. Un errant. Lapierre analyse un peu comme un météorologue scrute les nuages. Lorsque les nuages persistent et s’entassent, l’évidence se révèle d’une onde passagère ou torrentielle. Lappy sème à tout vent des données superficielles et approximatives. Génération d’idées. Les Y tentent par la démonstration que tout est possible. Je me suis dirigé vers ce lien du web. J’avais déjà suggéré par voie de courriel à Jean-Luc Mongrain mais aussi à Anne-Marie Dussault un format d’émission ; un partage d’idées inter-actifs. Alors, je me joins à cette entreprise, une sorte de travail collectif et comme quoi ce modèle élaboré, étend la démocratie au-delà des urnes et du modèle partisan vétuste ou la ligne de censure.

samedi 27 septembre 2008

Jean Tremblay.

L’AIMF se réunira cette année à Québec. L’un des conférenciers sera le maire de Saguenay. Je le connais personnellement. Vrai qu’il est, comme qui dirait… Euh ! Voilà ce que me disait un ami, l’autre jour, sur le parvis de la Cathédrale de Chicoutimi : « Monsieur le Maire, quand il se lève le matin, après ses prières, dit au Bon Dieu, « vous pouvez aller vous recoucher. » Il y a un peu de vrai dans ce bout de phrase, mais rendons à César ce qui est à César. Il n’a pas que des défauts.

L’utilité du Bloc.

Pour moi, un vide politique persiste au Québec. Ce phénomène tarde à s’éteindre bien que je le croyais à bout de souffle et même accablant. Le Bloc ; il semble que son utilité rejaillisse grâce à l’adversaire. Lapierre et Brassard discouraient en duo cette semaine ici, à revoir. Un cynisme pertinent ? Mon député, Robert Bouchard, démontrait sa pertinence et celle de ses collègues. Il prétend que la ligne de partie ne sert pas bien l’électorat. Ne dit-on pas que le pouvoir corrompt ? Tous nous le savons, la censure de partie soumet la députation à des restrictions. Le Bloc, en soulevant la reconnaissance constitutionnelle de la nation Québécoise, a permis à Monsieur Harper de réitérer que c’est lui qui a reconnu le premier la nation Québécoise. Souvenons-nous que l’idée Nation Québécoise avait été soulevée par Ignatieff lors du congrès à la chefferie Libérale en 2006. L’audace de ce dernier aura permis de se distancer de la ligne de parti, mal lui en pris. Il aura tout de même insufler cette reconnaissance, non ? Revenons à nos moutons, Dion a la plus grande part de ce vide ou bien, ce sera la pauvreté du leadership nationaliste politique régional, celle du Québec.

L’élection d’ici et d’à côté.

J’ai prédit courageusement un gouvernement majoritaire Cons. Le PM élabore par contre un tas de stratégies pour rester minoritaire. Un, les jeunes contrevenants, deuzio, les coupes dans le domaine des arts, aussi l’environnement et, plus insidieusement, les doubles discours, que ce soit en Français, l’English ou dépendant de la situation géographique. Je n’ai pas apprécié les remarques publicitaires caravanesques comme quoi, les votes pour le Blocs auraient coûté 350 millions de dollars, et ce inutilement. Un député, peu importe l’allégeance, a un prix. Je ne sais quel importance cela aura, mais Jean Charrest révélait à qui voulait bien l'entendre que le déséquilibre fiscal n'était pas résolu. De même, Madame Verner fait l'objet de critique du Cabinet des Ministre du Québec. Tout ce temps, les étatsuniens fourbissent des armes à crédits afin de résoudre un labyrinthe financier insolvable. Plusieurs économistes craignent pour l’avenir, car la complexité de ce gouffre demeure une énigme. McCain, du Republican Devil Party, repousse une cédule routinière en plaidant l’urgence nationale. Sa performance, depuis la nomination de Madame Palin, le ramène à des lieux de son adversaire Démocrate. Le débat de vendredi 26 changera-t-il la donne actuelle pour le moins crucial ? Le fameux débat, que j’ai pu suivre en différé ici, laisse seul, deux hommes, qui n’ont rien de l’élite financière américaine, dénicher la solution. À quoi bon l’élite ? N’a-t-elle pas permis ce bourbier ? L’intrusion monétaire qu’on s’apprête à effectuer, avalisé par le Congrès Américain, ressemble à des étatisations communistes rejetées autrefois par cet état hors de tout soupçon.

mercredi 17 septembre 2008

Michal Hlinka

Ce jeune homme est Michal Hlinka. Il est né le 19 mars 1991. Taille six pieds trois et pèse 180 livres. Hlinka jouait avec Vitkovice Steel l’hiver dernier. J’ai comparé sa fiche de l’an passé avec celle de Nestrasil, le numéro 11 des Tigres. Il jouait l’an passé avec un club de Prague, le Slavia Praha. Les deux jouaient dans une ligue des -20 ans. .......GP….B….P…..T….. +/-…Pun 07/08……11….3… 7…. 10…. +3…..8 07/08……40…12…16… 28… +16…58 Il serait plus judicieux de comparer le rang de sélection globale en précisant que plusieurs russes ont déjà été sélectionnés ; Nestrasil le 8ème choix et Hlinka le 32ème. Maintenant allons-y avec la République Tchek. Les joueurs sélectionnés furent Nestrasil (, ensuite Soudek (12), Sedlak (13), Kundratek (15), Rachunek (19), Stransky (23), Novotny (24), Svoboda (2 et pour terminer avec le 10ème choix Tchek, Hlinka. Perso, j’ai vu Nestrasil évoluer une fois et il a tout pour réussir dans la Q. Les autres sélectionnés, je ne les ai pas vus, mais mis à part Novotny, tous sont rendus avec leurs clubs juniors canayens. Dans l’ouest, au sud au nord, tous ont signé. Question ? Monsieur ? Oui Monsieur ? Monsieur moi, j’en ai une ; ils coûtent combien ? Ils ont tous des parents ouverts et ces flots, eux, bizarrement ne s’ennuient jamais. Peut-on se le payer ? Bonne question. Une chose demeure, Hlinka coûte moi cher qu’un Russe. Deuzio, 9 tcheks devant lui doivent conséquemment, coûter plus cher ou, il, dès le départ, coutait trop cher, et voilà pourquoi les adversaires l’ont évité à la sélection. Avec ironie, certains fans parlent de 6 chiffres exorbitant, habituellement concédés aux Russes. Là on parle d’un Tchek. Plotnikov, l'autre sélection des Sags, a de la misère avec ses papiers, son visa de travail, sa malle de voyage est trop petite, il a le vertige et le mal de mer, pi merde y veut pas venir. Comme partisan, je suis un peu tanné de ses potins qui frôlent les aléas administratifs improvisés.

lundi 8 septembre 2008

Le 11 septembre 2001.

Une commémoration devrait être adressée encore cette année aux victimes des attentats de ce triste jour. Plus de 3000 décès laissés là, aux quatre lieux ciblés par des crashs d’objets volants. Laissons l’histoire s’écrire et éclabousser les citoyens américains ; eux surtout. Pourquoi eux ? Et bien, c’est qu’ils ont permis la mise à mort, les tirs aveugles, les incarcérations sans procès et l’invasion de ces pays déjà meurtris d’une violence apparente. Depuis bientôt 7 ans, les morts de soldats américains ou de pays autres, de civils d’Afghans ne se comptent même plus, car ils ne sont plus qu’un fait divers. Maintenant, ce sont les soldats Canadiens qui triment, avec des Français et d’autres, le Royaume-Uni je crois, qui triment et qui osent expliquer la mort violente. Pourtant, d’autres armées s’y seront risquées bien avant, sans gain réel, sauf, des prétextes sombres et obscurs.

samedi 6 septembre 2008

L’électorat fédéraliste.

Oui, nous voici en élection. Comme nos voisins américains, nos options démocratiques se concrétiseront avant ; autour de la mi-octobre. Demain matin, en se rendant chez la gouverneure, notre PM s’y rendra en gagnant. Oui, les sondages indiquent un plafonnement dans les intentions. L’élément qui selon moi bouleverse les résultats, c’est la province de Québec. Dion peine à dénicher des courageux comme candidats Montréalais, c’est incroyable. Le Bloc s’essouffle mais résistera encore, possible. La période électorale sera dure et je prévois un gouvernement Harper majoritaire. Au Lac-Saint-Jean et au Saguenay, il serait étonnant qu’un bouleversement survienne. La présence de Blackburn jouera un rôle en faveur des Conservateurs, mais de là à briser l’accoutumance, je ne crois pas.

lundi 1 septembre 2008

Allez, je vous raconte…

J’étais convoqué pour une réunion syndicale dans un hôtel de Saguenay. Bien campé dans mon fauteuil d’un hall chaleureux, il est six heures du matin. Face à moi, je voie l’arrivée d’un bus au couleur électoral, rouge. Voilà que des gens en descendent puis pénètrent dans mon hall tout chaud. Une vingtaine d’individus deviennent ainsi mes voisins. L’un de ceux-là, attire tout particulièrement mon attention. Coiffé d’un chapeau beige et froissé, le gars bedonnant et quelque peu grassouillet me sourit et me salue en confirmant de la tête. Je reconnais le mec. C’est Jean, oui, c’est bien lui, Jean Charrest. Je lui souris moi itou, sympa quoi. Au bout de deux ou trois minutes, je lui lance : « Monsieur Charrest, j’aurais une question pour vous, simple curiosité, je peux? » Aussitôt, il approuve de la tête. « Ah ! C’est gentil. Ce matin vous sentez-vous plus Jean Charrest ou Premier Ministre du Québec ? » Il rétorque aussitôt : « mes vacances achèvent, disons plus Charrest ». Sa réponse me satisfaisait et je réplique : « dites-moi, si vous étiez citoyens américains, voteriez-vous pour Obama ou McCain ? » Il sourit toujours amuser et me lance, « BO ». J’en étais sûr », lui dis-je. Je poursuis mon interrogatoire en lui rappelant qu’il avait pourtant révélé sa faveur pour McCain. Il me dit alors, en enlevant sa coiffe, « Vous ais-je déjà vu ? » Cette question correspondait au moment de la sonnerie de mon réveil. C’est que voyez-vous, ce gars avait une mémoire peu ordinaire. Imaginez, je l’avais rencontré aux partielles de 2002, dans un restaurant à Alma. Il m’avait serré la pince et je lui avais dit alors qu’il avait peu d’amis dans le coin. Il avait cessé de sourire en continuant de me serré la pince. Il avait perdu les partielles mais était devenu Premier Ministre, en 2003.

Enfin une réponse.

Les lecteurs de ce blog ont aperçu ici et là des bribes, scusez-moi pardon, des paragraphes supposant diverses allégations sur le dos de nos bushistes voisins. La base de mon argumentaire remontait au 11 septembre 2001. Effectivement la chute de l’édifice numéro 7 à 17 heures trente ce jour-là me servait de preuve tant qu’à sa chute pour le moins magistral. Et bien, je dois refaire mes leçons car un rapport vient d’être publié le 21 août 2008. Et bien oui, ce rapport du NIST rassurera la majorité des électeurs et électrices tant qu’aux différentes guerres déclenchées à l’encontre de l’axe du mal. Dormez en paix et votez pour qui vous voudrez, à la seule condition d’être sous la protection de ceux-là qui recevront tant d’égard. Pour ceux qui dorment de ce côté-ci, et bien, soyez bon princes, faites-en autant.

Ramadan.

Le saviez-vous qu’il débutait le premier septembre, ce mois de jeûne et de privation. Désolé, mais il est déjà commencé pour plusieurs, c’était hier. Pour d’autres, ce régime de jour s’entamera demain, mardi. Je vous précise que cette fête ne représente qu’un des cinq piliers de l’Islam. La profession de foi, la prière, l’aumône et le Pèlerinage complètent le dogme des rituels musulmans. Pourquoi septembre ? Je vous le soumets humblement. Il marque le début des messages révélés à Mahomet. Alors, en principe ce moment de grande privation, n’inflige qu’au croyant, qu’il s’exécute qu’au levé du soleil à son coucher. Autrement, il pourra combler ces instincts temporels. Qu’ils s’agissent de nourriture, de besoins sexuels ou de tout ce qui peut nuire à sa progression spirituel comme la mortification, chez les cathos comme moi. Si cela vous échappe, vous pourriez mettre fin au jeûne et ensuite le récupérer en accomplissant différentes actions. Bon ou joyeux Ramadan.

dimanche 31 août 2008

Republican’s karma.

Ce titre se veut réducteur et je le conçois. Il est là pour cibler l’axe du mal étatsunien. Si la convention Républicaine se trouve perturber par Gustav ce n’est pas anodin. Écoutez, entendez et zieutez car le monde ne se porte pas si bien que ça. Oui, la tendance chez les Démocrates est à la hausse, puisque toutes les brises de l’univers convergent vers. Alors, vous n’avez qu’à constater les tendances médiatiques. De ce côté-ci, le karma Conservateur inflige à toutes ces bactéries, un remède, la dionpathie, pire qu’une simple salmonellose ou listériose. Rêvez tous afin que ce Monsieur, fils de professeur émérite, se retire et laisse l’histoire parachuter d’autres spécimens.

Élection.

Les USA voteront bientôt pour un président suivit d’un(e) vice. Le joli de l’affaire est qu’un président en ressortira pour 4 ans et son colistier(e). Pour le candidat défait, il deviendra une sorte d’archive vétuste. Ici, nous les Canayens, en allant en élection fédérale, Harper en ressortira. Ça, tout le monde le sait. Le moins joli, c’est que Stéphane Dion, même défait résistera envers et contre tous. Je me dis, ça se peux-tu ? J’imagine qu’une chefferie chez les Libéraux viendrait démontrer l’urgence de la situation. Je le dis sincèrement, même si j’opte pour la séparation de mon coin de Kanayen. N’oublions pas que nous sommes en guerre depuis 4 ans. Que le PM actuel s’enligne à chacune des politiques étrangères étatsuniennes. Que sa vision de la culture nie toute inégalité quantitative. J’ai bien comme représentant un député du Bloc qui s’oppose à la gouvernance actuelle, mais comme plan d’avenir, je sonne l’alarme.

dimanche 24 août 2008

Analyses de la XXIXème olympiades.

Les XXIXème viennent tout juste de se terminer. En fermeture de rideau, une spectaculaire prestation Chinoise imitant l’excellence du méga-spectacle de l’ouverture. Soyons plus perspicaces. Je ne plairai pas à tout le monde par ce billet, mais je crois qu’il vient à point. Mon propos concerne le classement par médailles, à mon humble avis, inconvenant. J’oublierai les pays absents au classement des 18 premiers, au 13ème jour. Je constatai rapidement que ce classement ne reflète pas vraiment la réalité. Dès les premiers jours de ces jeux, les critiques s’amoncelaient progressivement. Oui, le rendement de nos athlètes peut paraître en-deçà des attentes. Pour mieux en juger, regardons de plus près les chiffres et comparons, en nous limitant aux jeux de Beijing 2008. Précisons, que les peuples du monde participent de plus en plus aux olympiades. Cette année plus de 200 pays étaient inscrits. Pour être juste, l’olympisme au Canada s’intègre bien à la culture en général et en fait partie. Il est donc normal que nos attentes soient grandes tout en étant cohérent dans les faits. Je vous informe que certaines épreuves caractérisent certaines populations, exemple, la Jamaïque et la vitesse brute. Les podiums Jamaïquains proviennent tous des sprints ; 100, 200 et 400. Dans le passé, nous avons connu, le Canada, des résultats intéressants. Il me vient à l’idée, un certain Donovan Bailey ; c’était au fait, un Jamaïquain. La Chine établit en 2008 des résultats étonnants. Les épreuves dans le Cube d’O, en plongeon particulièrement, sont dominées par les Chinois. Petit os ; leurs adversaires les trouvaient toute menue, les plongeuses. À deux plongeuses, un peu plus de 50 kg, rare non ? En gymnastique, nos hôtes rehaussent le niveau de compétition considérablement. Il y a bien ici et là des protestations tant qu’à l’âge des Chinoises, mais bon. Revenons au général ; l’Australie affiche des résultats enviable et en comparaison avec nos athlètes, une supériorité difficile à saisir. La démonstration est simple ; 46 médailles contre 18. Pour les Pays-Bas et la Slovaquie, encore là, une petite gêne serait de mise, car ils établissent des prouesses. Nous pourrions toujours nous consoler en se disant que nous terminons 4ème en 10 occasions et que sur 59 épreuves nous terminons dans les 8 plus grandes nations. Je crois après avoir entendu certains commentaires, que nous faisons beaucoup avec peu de moyens. Nos gouvernants et l’entreprise privée pourraient avec un peu d’imagination faire progresser nos athlètes en leur procurant les meilleurs éducateurs à chacune des disciplines. L’un ne va pas sans l’autre. Je dirai pour terminer, bravo à tous nos athlètes.

Population
1 Chine 1,322,851,000
2 USA 302,074,000
3 Russie 142,400,000
4 Japon 127,463,611
5 Allemagne 82,314,906
6 France 64,473,140
7 Italie 60,108,000
8 Angleterre 50,753,000
9 Corée 49,024,737
10 Ukraine 46,710,816
11 Espagne 45,116,894
12 Pologne 38,125,479
13 Canada 33,223,840
14 Roumanie 22,350,000
15 Australie 20,310,319
16 Pays-Bas 16,570,613
17 Slovaquie 5,414,937
18 Jamaique 2,598,000
Le total des médailles et le total en or par nations:
Médailles Or
1 Jamaique 236,182 1 Jamaique 433,000
2 Australie 441,529 2 Australie 1,450,737
3 Pays-Bas 1,035,663 3 Slovaquie 1,804,979
4 Angleterre 1,079,851 4 Pays-Bas 2,367,230
5 Slovaquie 1,353,734 5 Angleterre 2,671,211
6 Corée S 1,581,443 6 Corée S 3,771,134
7 France 1,611,829 7 Allemagne 5,144,682
8 Ukraine 1,730,030 8 Roumanie 5,587,500
9 Canada 1,845,769 9 Russie 6,191,304
10 Russie 1,977,778 10 Ukraine 6,672,974
11 Allemagne 2,007,681 11 Italie 7,513,500
12 Italie 2,146,714 12 USA 8,390,944
13 Espagne 2,506,494 13 Espagne 9,023,379
14 USA 2,746,127 14 France 9,210,449
15 Roumanie 2,793,750 15 Canada 11,074,613
16 Pologne 4,765,685 16 Pologne 12,708,493
17 Japon 5,098,544 17 Japon 14,162,623
18 Chine 13,228,510 18 Chine 25,938,255

samedi 23 août 2008

Varia.

Pas lettrée mais docteur.

Les intellos auront beau dire, mais en exceptant les bancs d’une école, l’école de la vie me semble aussi valable. Faut-il être reçu docteur ? Madame Dion en discoure même brièvement.

Vice-présidence.

Obama opte pour le sénateur du Delaware, Joseph Robinette Biden Jr. Il est grand, longiligne comme Barack et respecté de tous.

Les Chinoises.

Elles sont tellement petites, qu’elle entre dans l’eau, même du 10 m, sans ploutch. Une athlète canadienne aurait dit qu’elles souffrent d’anorexie. D’autres intervenants, étatsuniens entre autre, parlent de l’âge des petites gymnastes. Selon un quotidien Pékinois, elles auraient 14 ans.

Bolt, le stupéfiant !

Une multitude d’observateurs n’en reviennent toujours pas, de ses records. Même qu’une minorité babille ici et là, que la petite île des Antilles loge des apothicaires importants. Il mesure six pieds et cinq pouces et vole à près de 40 km heure. Ah ! Ces jaloux…

mardi 19 août 2008

Un podium !

Lopes-Schliep courent le cent mètres haies, le saviez-vous ? Pas sur cette séquence, c’est du 60 mètres en salle. Revenons à mardi, oui voilà à Pékin. Moi, tout le long, je regardais d’un œil, les noirs et les favoris. Hier, j’ai vu en demi-finale la petite canadienne, étonné d’avoir passé en finale. Incroyable tout de même. Dans une autre bâtisse, à côté, un gars dont on parle sans arrêt. Normal, il est l’un des meilleurs plongeurs au monde. Du moins, il l’était. En début d’année, à Pékin, dans une compétition, il termine cinq et se blesse au dos et se fracture le pied. Ce plongeur c’est Despatie. Il s’amène au XXIXème, avec une pression énorme. Le concours débute le second lundi. Au qualif, le Québécois s’exécute et fini au 9ème échelon. Au demi, il se hisse au 3ème rang. Ensuite, la finale qui se dresse comme un mur à côtoyer deux Chinois, les deux champions du monde. Retournons dans l’eau. Cette fois dans le bassin de canoe-kayak. Elles sont huit à ramer ici, dont, Andréanne Morin de Montréal, avec des attentes immenses. Elles sont championnes du monde, c’est plus que prometteur. Elles se présentent en finale ; ram-e-ram-e-rame-e donc, comme le dit la chanson. Elles ont beaux trimées, elles finissent quatre. Une tragédie démesurée vous me direz, et bien non. Elles souffrent d’un mal inconnu par la plupart des êtres humains, une défaite inexplicable. Priscilla Lopes-Schliep, elle, gagne le bronze tandis que le meilleur plongeur canadien emporte l’argent.

Bravo à tous et toutes !!!

lundi 18 août 2008

Coi...

Je ne le peux plus, alors voici. Depuis un temps x (2 ans), ma référence météo pour mon quotidien, erre comme un vent fou. Au fait, les pros du ciel prédisent peu de choses exactes. Imaginez pour une période ou deux, en heure, en jour, aux choix. Voici un video, à 4 minutes 30 secondes de ce document, par un beau soleil, avec des vents quasi nul, vroom, une mini tornade. C’est que, nos voisins imaginent, fantasmes et élaborent toutes sortes de congruités comme ceci. Je l’admets, mes fabulations grasses prennent le dessus surtout lorsque nos voisins du sud y concoctent des recettes pour notre mieux être universel. J’écris ce billet car il n’a rien de viral mais bien d’un genre viscéral.

Pervez Musharraf

Le président Pakistanais avoue pas sa démission tous ses péchés inavoués. Ses nombreuses bourdes s’affichent tel un acte d’accusation. Vous n’aurez qu’à prendre connaissance de sa destitution. Son propre gouvernement le laisse pourtant fuir le pays, chez les Saoudiens. Certains avouent leurs inquiétudes pour la suite corruptible. Deux prétendants auraient déjà été reconnus de corruption, puis absouts. Effectivement, Ali Zardari et Nawaz Sharif s’amènent afin de guider ce peuple aux prises avec des difficultés économiques et sociales irrésolus jusqu’à ce jour. Son discours de démission, entendu ce matin, n’apporte aucune lumière sur les faits tant qu’à sa destitution. L’enquête suite à la mort de Bhutto ne nous aura appris que peu de chose. Le décès du chauffeur, de la première dame, assassinée le mois dernier, tend à penser que le secret restera occulter.

samedi 16 août 2008

Chick lit ou Arlequin…

Ce type de roman, de nos jours, attirent les lectrices. Les films aussi, style Sexe and the City, occupent des heures de détente bien mérité. Au fait, rien n’interdit de rêver. Vous avez aussi ces jours-ci, le tapis rouge du centre Bell, le soir juste avant le show de Céline ; que d’émotions. A mon époque, les romans de la collection Arlequin garnissaient les étagères. La culture évolue et me donne l’occasion d’évoquer l’olympisme moderne, cet autre évènement plus que culturel, la créature d’une aristocratie hautement politique. Mais bon, il faut ce qu’il faut…

En attendant, CD saura charmer la terre entière même si je n’en suis pas. Les romans ne sont pas ma tasse de thé, c’est ainsi. J’aurai lu John Irving, une fiction légendaire, et après. Je regarde tous les jours les prouesses athlétiques. Sans tout saisir, force est d’admettre que certains ont la forme et d’autres la conservent. Saviez-vous qu’une cinquantaine d’employés de Radio-Canada se retrouvaient à l’ombre de ce pays aux milles infamies ?

Pendant tout ce temps, la Géorgie poursuit la Russie taché de sang. Les guerres étatsuniennes s’éternisent sans faire de vainqueur sauf dans la piscine chinoise et sur les pistes rougeâtres. L’environnement du globe se meurt sous les promesses longlong terme des chefs du monde ; cinquante an, imaginez. Je ne peux laisser filer la crise alimentaire, qui n’en est qu’au premier éclatement. Les Palestiniens et autres spécimens de l’humanité sous la férule de dominations étrangères et raciales. Alors excusez-moi, je dois cesser ce billet, car le pré-camp d’entraînement de mon équipe favorite débute.

vendredi 15 août 2008

Autres formes d’invasions.

Tout près, les derniers évènements ramènent notre société en d’autres temps. Les policiers de la métropole Montréalaise reçoivent des messages anonymes suite au décès du jeune de Montréal-Nord. Certains criminels occupés à transiger seront maintenant légitimés de tuer par vengeance. Voilà où nous en sommes. J’ai entendu des propos voulant que les policiers de MN avaient agi pour se venger. C’est que, dans un passé récent, un policier avait été atteint à la jambe par un tir. Le tireur aurait été acquitté. Ce procès aurait déclenché un mécontentement chez les agents de la paix. Tant et si bien, qu’un climat de terreur s’instaure dans ce coin de la Belle Province. Un homme politique qualifiait ce coin de pays d’un havre de paix.

lundi 11 août 2008

D’autres invasions.

Ce qui se passe en Géorgie n’augure pas très bien. Les Russes ne s’arrêteront pas malgré la demande insistante du président Saakachvili. L’autorité américaine réagit fortement. À mon humble avis, Bush en n’accordant peu d’attention à l’opinion internationale en envahissant deux pays, n’est pas très crédible. Son intervention ne pourra qu’activer l’invasion Russe. J’entrevoie une escalade.

varias...

Rand.

Les jeunes libéraux du Québec, en dévalorisant la formule Rand, priorisent la désyndicalisation. Oublient-ils que les acquis du prolétariat se concrétisaient grâce au pouvoir que leurs procuraient cette législation.

Les vacances de la construction.

Malgré les resserrements légaux tant au niveau de l’application que dans la prévention, il s’est tué plus de personnes au Québec sur nos routes. La négligence, la vitesse et l’alcool demeurent les causes principales. Les multiples interdictions doivent être appuyées par une application stricte. Les autorités policières auront distribués des infractions aux codes comme jamais ; pensons à celles reliées aux appareils de communications. En parlant avec une policière dernièrement, j’ai constaté les faiblesses systémiques qui nous minent. Elle avoue tolérer, peu importe l’endroit, 20 km au-delà de la vitesse permise.

Les olympiques à Pékin.

Je ne suis pas surpris de l’envergure qu’auront prise les jeux dès l’ouverture même que les mots ne suffisent plus. Je suis déçu cependant de la couverture des épreuves qui m’est offerte. Samedi, jour de pluie, j’aurais préféré regarder plusieurs prouesses. Et bien non, j’ai eu droit, le jour durant, à un match Chine/Canada, nul au finish. Je m’en voudrais d’omettre la présence d’un Michel Villeneuve, au centre des discussions concernant nos athlètes. Divers balbutiements de nos sportifs connaisseurs s’élaborent pour nous aider à reconnaître l’effort louable de nos performers. Sympa non ?

Charlevoix.

Ce dimanche d’août, un arrêt au temple de Sainte-Anne de Beaupré, puis retour au Saguenay par Sagard. Les perles sont nombreuses en longeant le fleuve St-Laurent par la 138. J’effectuais mon premier arrêt à Ptite Rivière St-François, pour ma plus grande satisfaction. Aussi, j’ai fixé dans mes souvenirs les différents villages ancestraux.