jeudi 29 décembre 2011

RIO TINTO


Autrefois Alcan, Rio Tinto Alcan traverse une lutte épique. Nul ne saurait négliger que la réalité RTA Alcan doit aussi inclure la minière internationale, Rio Tinto. L'analyse d'affaire tend à faire croire que pour Rio Tinto, Alma, c'est quoi ? C'est où ?

Les travailleurs d'Alma représentent l'autre partie du duel. Eux, suggère mon analyse, s'entendent pour une chose ; « il n'est pas question de laisser RTA Alcan soumettre l'usine d'Alma à la sous-traitance. » Après en avoir discuter avec eux, les syndiqués d'Arvida ne comprennent pas cette approche d'Alma, pour eux, quasi suicidaire.

Mon avis, suite au dernier vote (95% contre les offres), m'oblige à croire qu'ils ont de bons motifs. Ce vote secret explique comment l'appui au comité de négo est forte. Ce combat difficile, il faut bien le mesurer, n'est pas livré par un seul homme.

J'aimerais rappeler ici que le plancher d'emplois est légitime. Ailleurs négocié, il n'est pas question que la gang du Lac laisse la compagnie fissurée le bloc syndical d'Alma, en en diluant le pouvoir.

Pour finir, il n'est pas de lutte sans douleur.

dimanche 25 décembre 2011

L'Emmanuel et Noël, ça rime ....

Hier soir, je me suis rendu à l'église du Bassin, celle de mon ancêtre maternel, Edward Édouard Harvey-Bouchard. Je vous le dis au cas où, il était forgeron. Fermons cette parenthèse historique.

À la messe de Noël, on devait être 300. La plupart habillé en propre, cérémonieux et avec un, "un-je-ne-sais-quoi ?" au visage.

Pour ma part, j'étais vêtu en semaine comme on dit. À la fois tristounet et joyeux. Triste de ne pas être avec toute ma petite famille, un peu affligé par le départ du fils de mes voisins Denise et Normand, Rémi le Bon. Joyeux d'être de la fête, celle de l'Enfant mais aussi d'avoir près de moi, mon plus jeune fils Yannick et bien sûr mon épouse, Lyn.

Dire qu'un nouveau né, un bébé, nous réunit encore aujourd'hui. Bien sûr qu'autour de moi, il y avait des enfants, des ados et des adultes, tous différents mais rassemblés autour de l'Avènement. Un évènement simple, avec un rituel habituel, pourtant plein de mystère encore pour moi. On a pris le temps ensemble de réfléchir sur les mots amour et réconfort.

Dire aussi qu'à travers la planète, le même enfant, l'Emmanuel se présente, plein de vie, porteur d'espoir.


La crèche que j'affiche est celle de l'église où j'étais. Je lui ressemble. Elle m'apparaît pleine de candeur, fragile et franche.

dimanche 18 décembre 2011

un ti-peu de Glorieux ?


La nouvelle de samedi martin du 17 décembre 2011 aura monopolisé toutes les antennes et microphones. Pierre Gauthier aura accompli le plus difficile
«tant personnellement que professionnellement», dit-il ; soit le congédiement de son employé principale, Jacques Martin (JM).

Conséquemment, le DG du Ch n'a d'autre alternative que d'attribuer le poste d'instructeur à un adjoint de JM, Randy Cunneyworth. La candidature accordée, par intérim, dit-on, poussera cependant les insurgés de la Belle à s'insurger.

Montréal occupe actuellement toute la sphère linguistique. On décrypte de toutes les manières, en chiffre surtout, plusieurs études et compte-rendu indiquant les reculs du fait français, ici.

De plus, certaines nominations d'états conduisent à corroborer ce phénomène trop récurrent. Par cette nomination, celle d'un unilingue, la famille Molson aura atteint une cible délicate et non avoué, l'anglicisation tranquille de la métropole.

J'espère que les décideurs du club en viendront à conclure, le plus tôt possible, et procéder à l'engagement d'un francophone.

À vos ordres !


Une époque pas si lointaine permettait un procès, celui de Nuremberg. La ville devenait le lieu d'un des plus grand tribunal dont les nations se soient dotées. Les jugements, de 1945-46, pour complot, de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de crime contre la paix recouvraient toutes leurs légitimités.

Les actes commises en temps de guerre sont balisés par des pactes concluent par les nations. La Convention de Genève obligent les nations en conflit. Les simples soldats sont eux aussi soumis à ces règles.

Un procès se tient actuellement contre le soldat Bradley Manning. Lui, n'aura pas commis de gestes de barbaries mais plutôt, est accusé d'en avoir divulguer à l'organe WikiLeaks. L'une d'elle, la mitraille montrée par ce bout de film.



Le gouvernement des États-Unis d'Amérique a commis depuis des décennies, l'irréparable. Ce que l'on sait des motivations aux conflits, d'Irak et d'Afghanistan, permettraient la mise sur pied d'un procès. Les motifs évoqués aux yeux du monde par le gouvernement étasunien, contre ces deux états, n'ont pas permis d'attaque armée.

L'OTAN aura en conclusion accordé sa complicité. Tour à tour, les armées OTANiennes se sont livrés eux aussi à l'irréparable.

Qu'attend-on pour traduire le Général Colin Powell pour complot. Georges W. Bush et ses acolytes pour crime contre l'humanité.

samedi 17 décembre 2011

Les Bleus de la Q.


Le maire et l'exécutif de Saguenay soumettent en "Appel d'Offre" la gestion de son équipe de la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec. Cette équipe, l'une des doyennes de cette ligue de hockey, obéit aux groupes actuels depuis plus de 10 ans. Les cinq hommes d'affaire ont revalorisé durant toutes ces années l'aspect financier et l'image du club.

La stabilité apportée à l'organisation jointe à l'appel d'offre des élus provoque une certaine frustration dans le groupe des cinq. D'autant que l'équipe actuel ambitionne tous les succès à court terme. On s'interroge de la date de cette appel ? Plusieurs y voient des visés politiques ?

Possible ?

Perso, je ne m'offusque pas de la procédure des élus. Il est bien légitime de regarder l'offre qui en découlera. Tant qu'aux dangers pour le futur de l'équipe dû à la grogne du groupe des cinq, je n'y crois pas. Ces personnages d'affaire ont travaillé fort individuellement et je n'imagine pas un sabordage de l'avenir du club.


Ce groupe des cinq répondront assurément à cette appel, après tout, les succès auront été au cours de toutes ces années bien plus nettes que les ratés.



mardi 13 décembre 2011

Les emplois ?




Le travail, en définitive, permet à des individus de produire un bien à consommer. Les individus peuvent alors consommer le bien fabriqué,usiné, conçu. Soit, il pourra le modifier, le bonifier, le parfaire, le vendre et l'utiliser à d'autres fins. À plusieurs, c'est comme ça qu'on fait des communautés sociales viables.

Prenez un producteur de lait déployant son arsenal à téter les pis aux vaches. Il faudra, préalablement, qu'il procure à son cheptel l'espace à brouter.

Quoi ? Une terre à brouter, merde. Sans ça, sans le gazon nutritif booster, sans cette bouffe, près de sa vache autant que faire se peut, qu'il fasse autres choses.

Tant de détour pour définir la situation inacceptable dans lequel on se retrouve ici au Saguenay-Lac-St-Jean, ou pour les plus susceptible, au Lac-St-Jean-Saguenay.

En tout et partout, le producteur aura besoin d'énergie, la sienne ou celle d'un tiers. Appliquons ce procédé aux alumineries, aux papetières, aux scieries, etc...

Tout ça me fait penser à une phrase clef de Legault (CAQ) ; " conduisons-nous en propriétaire." J'améliore cette évocation bien légitime par copropriétaire. Nous tous, exigeons des redevances en devenant actionnaire des compagnies. Le "Plan Nord" apporte une occasion de valoriser notre territoire. Oui les premières nations ont leur dû. Le nôtre se trouve dans la seconde et troisième transformation.

Le plancher d'emplois exigé par les syndiqués d'Alma est légitime. En tenant compte de la réalité des proprios de nos "forêts", celle des québécois en quelque sorte, on ne peut que s'indigner du traitement réservé aux travailleurs. Oui, les proprios de CAF et autres matières premières se conduisent en avaricieux irresponsables.

Comment ne pas s'insurger à l'égard de ces machines à rouler du papier privé d'amélioration, d'une modernisation ?

Pourquoi le faire lorsque l'énergie pour leurs fonctionnements est utilisé à d'autres fins, bien plus lucratives ?

L'irresponsabilité sociale dont ils sont passés maîtres, nous obligent à devenir plus exigeant envers ces rois passéistes.

samedi 10 décembre 2011

réchauffement et fossoyeur de la terre ?

La conférence de Durban offre aux environnementeux dit politique "de tout acabit" la négoce.

« Que faire pour limiter les conséquences de nos empreintes écologiques ? »

Bien que la classe scientifique ne forme pas un bloc unanime à l'égard du réchauffement climatique. Le débat est clos depuis 1997. Cette année-là, le protocole de Kyoto précisait divers décisions affectant du même coup, la culture économique des pays engagés.

Les climato-alarmistes, dont les Groupe d'experts intergouvernemental "GIEC", forment un bloc +++ ou - solide. Néanmoins, une vaste propagande des GIEC façonne ainsi un public favorable large et, avec eux, certains médias peu enclin à fouiller les controverses.

L'économie de ces organismes environnementaux, comme celle des ONGs dans le tiersmondisme, subsistent grâce aux dollars du public en grande partie.

Ici, il est question d'implication financière et industrielle long terme de chacun des signataires dont le Canada. Par son comportement, le gouvernement canadien renie les promesses des décideurs précédents. Il s'alliera plutôt aux états récalcitrants comme les USA, la Chine et l'Inde pour ne nommer que ceux-là.

Au finale, le Canada recevra le prix de fossoyeur par excellence du "Protocole de Kyoto".


G. Bloom s'attaque à l'arnaque du réchauffement... par kevinz1985

Reynald Duberger "sismologue" propose un débat afin de revoir ce qu'est le réchauffement climatique réel. Des données scientifiques récentes parlent de cycles climatiques. Voilà, il cible plutôt un front commun des pays développés afin d'assurer une eau potable à tous les humains du globe. Pour lui, ça, c'est prioritaire.



jeudi 8 décembre 2011

varia...

chouic ! chouic !

le fromage boivin se refait ailleurs que dans le rang st-joseph. Eh ben ! st-fidèle et st-prime contribueront à fournir les étagères.

une crèche pour tous.

ici, j'entends chez-moi, je serai crèche. oui, avec le ptit JÉSUS, ben oui, tiens donc.

intimide-moi donc...

jeune, j'ai été témoin d'amis qui faisait l'objet de sarcasmes gênants. moi, je me suis battu une fois. un certain jules me cherchait, je lui ai réglé son affaire avec un coup de pied, pas au cul, mais devant. je m'en veux encore.

foglia

vous le aviez non ? pour moi foglia c'est LE. lisez son dernier papier sur le curcuma.


the queen ?

les membres vivants du groupe illustre en remettent. le casting prend fin avec la nomination de celui qui incarnera Freddy Mercury (FM). disons au départ que 3 kébékois ont passés le test devant le jury. marc martel a été retenu pour le FM. son frère David, le jeunot, n'a pas été retenu pour évoluer à la base.

PM

pauline en remet. la pauvre, incapable de discernement. elle enGage tout le parti dans un programme, le cul-de-sac du nouvel an.

un choc

ceux qui me connaissent, qui résident proche, proche de chez-moi, savent que la peine de mes voisins m'affecte énormément.

speak white !

c'est comme ça le bilinguisme. c'est une sorte d'utilité-couleur-blanche. aussitôt qu'un anglo avoisine les lieux, que les francos se souviennent, c'est en anglais que tous communique "across the universe".






samedi 3 décembre 2011

Les rePères ?


Dans mon existence, j'ai toujours fini par rePérer un endroit de réconfort. Qu'il soit temporel ou non, je n'en n'aurai très rarement été égaré longTemps.

Mes moments d'amertume n'auront, somme toute, duré moins d'une ou deux saisons. Oui, c'est long, j'le sais bien.

Perdre le goût de vivre. Plus d'appétit. Ne plus éprouver de désir, d'envie de quoi que ce soit.

Rien ! Sans soif du lendemain ; c'est en soit affolant, déroutant.

À quoi bon vivre si je n'ai plus de joies, de moments heureux ?

Comme le disait un ami ; « donne donc au Temps, du Temps, ta vie vaut bien ça. »

Pourtant, tant de mes amis se seront égarés pour de bon de leurs rePères. En avaient-ils ?

La corde bien tendue, la lame effilée, la recette chimique et la flotte glaciale auront tour à tour, dans l'ordre ou le désordre, servi à l'un ou l'autre. Possédés par leurs désespoirs solitaires, souffrants, ou alors blasés, nul d'eux ne sût repérer l'antidote, la planche. Non, leur seule issue, radicale, la mort.

Grâce à mes rePères, toute douleur devient transitoire ou symptomatique. J'ai juste à la traverser, à me rendre au-delà, que le Temps fasse son job. Le Temps applique du baume, un pansement, le Temps d'une saison ou deux.

Restera bien une cicatrice. Qui n'en a pas ? N'est-ce pas là l'acquisition de la connaissance ?

Je me dois de laisser à ceux qui me succèdent mes rePères. Ceux du Maître du Temps.