lundi 29 octobre 2012

Sandy

À cause de Sandy, le Saguenay accueille un navire.


Les cinq milles passagers appréciaient la virée dans le fjord.

J'ai pris bp de clichés, dès son arrivée. Certaines vont être corbeillées dès leurs apparitions. J'en ai pris de presque partout. J'ai clipé l'accostage. Ça a donné trois petits courts mouvements. Un jour je prendrai des leçons mais voici ce diapo.

Pour le retour, j'ai emprunté le vieux chemin Saint-Martin. L'éclairage affichait tout, sous un jour nouveau. Les monts couleur automne au loin. J'ai aussi pris en image des chevaux.

J'ai regardé l'autre intrus, de plus de milles kilomètres. La côte est américaine n'aura jamais vu d'aussi grosse. Pour l'occasion, l'adoption de Frankhestorm est on ne peut plus clair.

Soyez prudents au sud. Plus au nord, pas avant mardi et la queue, mercredi.

samedi 27 octobre 2012

Planter.

Planter

Un jour se lèvera sur trois branches de lilas
Qu’un enfant regardera comme un livre d’images
Le monde autour de lui sera vide, et c’est ainsi
Qu’il inventera la vie à sa première page.

Planter,

C’est prendre dans sa main
Une toute petite graine…presque rien…
La regarder attentivement, l’aimer …
Et croire qu’elle contient, tout caché, un arbre magnifique …

Planter un arbre
C’est tenir dans sa main
Une frêle petite plante, une jeune pousse très fragile.,
S’en séparer …
Et la laisser puiser elle-même sur la terre,
Le soleil et l’air, ses énergies de croissance …

Planter,

C’est se révéler patient, doux,
Promoteur de vie, de beauté, de fraîcheur …

Planter,

C’est répéter ce que bien d’autres ont fait,
Mais poser un geste que personne ne fait.
Parce que je le fais …

Planter,

C’est cesser de dire, il ne pousse rien de bon par ici!

Planter,
C’est piocher la terre,
C’est être disponible,

Planter,

C’est recommencer sans cesse …
Si tu plantes un arbre,
Tu acceptes d’en être responsable,
Tu lui fais confiance …
" Tu es responsable pour toujours de ce que tu apprivoises … "
Tu fais confiance aussi aux hommes,
Au temps qui le mûrit lentement,
Sans brûler les étapes …
" C’est le temps que tu perds pour ta rose
Qui fait ta rose si importante "

Quand tu plantes,
Tu sais bien que cela ne t’appartiendra jamais à toi seul …
Ce qui compte d’abord …
C’est de permettre à l’autre de s’épanouir dans la joie
Et dans le goût de vivre …

C’est vrai que tu plantes si tu essaies d’éduquer …
Incalculable est le nombre de petites choses que tu plantes
Dans le jardin qu’est l’enfant …

Tu plantes chaque fois que tu fais un geste pour aider le jeune

À devenir travailleur...
À respecter les autres …
À aider un compagnon …
À mieux vivre en groupe …
À savoir sourire …
À s’accepter soi-même …

Chaque fois que tu fais un geste,
Que tu dis une parole dans cette ligne
Chaque fois tu plantes ….

L’enfant est un jardin …
Il est déjà un arbuste en croissance …
Ses racines s’étendent au foyer, à l’école et dans ses environnements
Il a besoin de soleil … de fraicheur … de protection …

Comme l’arbre
Il ne peut croître que d’une façon invisible …
Il faut beaucoup de patience …
Il a besoin qu’on croie en sa capacité de créer …

Bien plus que l’arbre ou la fleur,
Le jeune a besoin de chaleur, de support, de confiance,
D’affection, d’espoir, de foi dans sa croissance invisible …

Ce qui reste difficile, ce n’est pas de planter,
C’est de croire aux graines,
C’est d’y voir un germe,
C’est d’espérer une grande chose …
Ce qui est difficile,
C’est d’avoir foi en l’environnement pour la croissance …

Planter.

C’est aimer assez pour accepter que les fruits tardent,
C’est parfois reconnaïtre un autre moissonneur,
C’est ëtre certain qu’un fruit viendra
Peut-être pas celui qu’on veut

Mais celui que le Père veut, quand il le veut …

Ce qui demeure un peu plus dur
C’est de ne pas se reposer tout de suite
A l’ombre de l’arbre que l’on vient de planter

C’est de se rappeler que les planteurs ne sont pas tous heureux
Mais que les heureux sont toujours des planteurs …
" Comme un soleil, comme une éclaircie,
Comme une feuille que l’on cueille entre les orties,
Il doit venir comme vient le beau temps,
Il doit venir comme vient le printemps … "


mercredi 24 octobre 2012

Au cimetière le bleublanc !

Voilà, c'est fait, après douze ans de loyaux services.

Ce matin, le mastodonte aura fait avec moi son ultime roulade, épuisé d'un demi million de km et érodé par le temps.

Quand même, petit pincement de coeur de le voir ainsi, dénudé de sa voile bleue.

Maintenant, place à celui qui devient mon partenaire de route, sapé d'une voile bleublanc, aluminium, donc plus léger, fier d'allure et récent.







NB : lors de la prise de possession, mon jeune nouveau a éprouvé son premier relâchement. (à suivre)

samedi 20 octobre 2012

Commission Charbonneau et ces stars...


En peu de temps, la Belle exhibe ses détours secrets par la Commission Charbonneau. Par des sentiers lucratifs connus dans le giron du 514 et le 450, depuis longtemps à part de ça, tous devaient les fréquenter avec une complaisance certaine.

Prenez TPS. La coutume voulait qu'à chacune des réponses gonflées à ses appels d'offres, on lui accordait un montant liquide. Ce pactole complétait la boucle de la corruption. À quatre-vingt-dix reprises, le fonctionnaire de la métropole se soumettait à l'exercice sale.

Lorsqu'on a exhibé le sac zippé plein de fric à la Commission, ça m'a gêné.

Voulait-on minimiser par cette mise en scène le corruptible ?

Voilà, qui de nous n'a pas de relation qui touche du comptant sous la table ?

"Avec facture ou pas ?"

Lors d'un souper bénéfice du Parti Libéral, Jean Charest n'aurait-il pas dit à son Ministre de la Justice de ne pas porter attention aux enveloppes brunes ?

À mon avis, nous sommes tous complices de cette corruption. Même qu'on s'y complait. On l'accepte pour ne pas se montrer trop vertueux ou pour ne pas avoir d'histoire. Pourtant, lorsqu'elle devient grosse et puissante, elle est inacceptable.

Peu importe ce billet, la Commission suivra son cours détruisant un système.

Ensuite, attendrons-nous aveuglément l'autre système qui fera son apparition grâce à ces mafiosos ? Ces malfrats qui ne souhaitent qu'une chose ; la puissance ou le pouvoir.

mardi 16 octobre 2012

Automnale


St germain Sure thing par tictacworld

Avec le départ du soldat, j'éprouve un sentiment mitigé, ambigu. J'estime son envol comme celui d'un volontaire accompli.

Pour plusieurs de mes concitoyens, c'est son job.

C'est bien vrai.

Alors mon introspection se poursuit, c'est comme ça. Ça toujours été.

Le soldat a toujours été généreux. Que voulez-vous, il est gentil et compréhensif. Même que le cadet a de ses élans d'altruisme. Pas parce que ce sont mes gars, ils sont comme ça.

Ah oui, l'automne ?

Je dis souvent que les gênes n'oublient pas. Dans ce cas-ci, il n'est pas question de me comparer aux gars que j'aime. Bien sûr que non.

Non, mais à l'atelier, je suis délégué syndicale. Mon jeune frère aussi l'est, en Ontario. Notre grand-papa, "Pit" a été l'un des secrétaires du syndicat d'Alcan vers la fin des années 40. Malgré la maladie, il aura par la suite besoin de pousser plus loin. Son action socio-politique se confirmera en proposant des grands changements qualifiés d'utopiques. Sa fille, ma mère a cette sorte d'entêtement d'idéos.

Si je remonte au souvenir de ceux qui ont connu "Pit" réellement, il ne vivait pas que pour lui. Pas par grandeur d'âme seulement. Besoin d'être admirer par ses actions ? Possible. D'être conséquent suite à ses longues réflexions ? Aussi, j'imagine.

Certains affirment ou m'ont affirmé par le passé, que j'étais un pelleteux de nuage. Parfois, je le crois aussi. Vous savez, personne ne veux du job à l'atelier. Mon frèrot dit souvent ; "je démissionne et ils reviennent me chercher comme interlocuteur."




lundi 15 octobre 2012

Mes fils s'envolent à tour de rôle.


Au passage, mes deux gars voyagent bien plus que moi. D'ailleurs, mes rejetons reflètent concrètement une tendance forte moderne, l'avion. Au plus loin, je me serai rendu, dans une autre vie, à Sept-Îles. Leur mère se sera, tant qu'à elle, déplacé avec ses amies vers le sud ; Acapulco, Miami, etc...

Le plus jeune des deux se promène outre-mer et en Amérique.

À son tour, l'un des miens s'est envolé loin des siens, hier. Mission oblige. Ce départ est le premier d'une suite afin de compléter le remplacement de ceux qui sont déjà dans l'état d'Asie centrale.

Alors, c'est comme ça. J'admets que c'est avec beaucoup de tristesse que je le vois s'expatrier. Je lui disais à l'oreille " il n'y a pas si longtemps, je te dictais l'endroit où aller, et tu acquiesçais ".

Les lecteurs de ce blog savent bien mon opinion touchant les guerres étasuniennes. Écoutez, je ne me souviens pas de guerres qu'ils aient terminés en solo. Que le Canada soit impliqué dans cet état m'horripile, mais bon, c'est ainsi.

Je félicite son courage et sa détermination. Elles sont sans faille. Je ne saurais oublier le courage de sa conjointe et elle a toute mon admiration.

Pour terminer, j'entrevois le portrait au jour le jour...


samedi 13 octobre 2012

Matricule 728 et autres insanités ?


Ici, je ne défends pas la constable Trudeau. Son métier mérite toute notre attention. Voici pourquoi ce matin, j'ai cru bon vous en parler.

Le rejet catégorique de tous, en passant par les médias, est catégorique. On se comprend bien. Qu'un policier ou une policière soit accepté comme tel, aussi longtemps, malgré les gestes trop souvent disproportionnés, soit toléré par ses pairs, c'est inconcevable.

Ceci dit, imaginons à l'opposé. J'entends souvent les gens parler de la police avec des termes inacceptables. Écoutez, on a tous entendu le terme "chien".
Les citoyens ne devraient pas non plus tolérer ce langage ordurier.

Un policier intervient, après que des gestes répréhensibles, qu'il est qualifié "d'estie de chien" et d'autres expressions inqualifiables. Personne ne rétorquera, ou rarement, en plaidant que l'agent avait raison de se manifester.

Lors du printemps érable, j'en ai vu des vertes et des pas murs. Du côté des manifestants, croyez-vous qu'on a pas eu d'exagération ? Alors, je nous invite à rejeter les gestes commis, d'où qu'ils viennent.

samedi 6 octobre 2012

Stéphane de la rive sud...


Cette nuit, vers 3 heures quarante-cinq, j'entends de ma radio une voix presque familière. Cette voix d'un Stéphane de la rive sud est interrompue par l'animatrice de nuit à Cogeco, Isabelle Ménard.

L'homme a une voix presqu'éteinte, écrasant l'oreiller de sa lourde tête. Stéphane, abattu, relate une émission récente d'Isabelle Ménard. Bien que la femme de nuit situait ce moment direct radio, les mots décrivant sa situation manquait de précision selon Stéphane. Cette instant live d'Isabelle évoquait un désarroi total et sans espoir.

Stéphane de la rive-sud, déjà somnolant, réussit à dire dans une courte phrase que lui aussi en était là. Qu'il ne voyait pas de lendemain. Malgré tout, Isabelle l'encourageait. Tout en l'abordant avec précaution, elle dit qu'elle n'avait aucune formation pour l'aider. Elle déniche un numéro, le 514-723-4000.

"As-tu un crayon Stéphane ?

"Peux-tu écrire ça ?"

Hésitation...

"Ah ok"

"Écris et téléphones dès que tu auras raccroché."

"Heee, ouais..."

"Stéphane, tu peux pas te tromper, tu n'a plus rien à perdre..."

Puis plus rien. A-t-il composé le numéro qu'Isabelle lui a tendu. L'histoire ne le dit pas.





mardi 2 octobre 2012

Maire au Québec...


Le pouvoir sur une ville relève en tout premier lieu de la démocratie. Prenez Gérald Tremblay ; c'est un maire élu. Avec les élections clé en main, tout se peut. Si on a suivi le témoin de la Charbonneau, c'est une probabilité forte pour l'élection 2009 de la métropole Québécoise.

Ce témoin allègue des systèmes avec la permission des membres de la Commission. Les procureurs présents ne conduisent pas l'interrogatoire sans une preuve béton. Je ne sais pas ce qu'on a promis à Zambito, pour qu'il explique tout ça. C'est ce qui me suggérerait, à la gouverne de la cité dont le témoin parle, de démissionner.

Dans l'état actuel des allégations, nous ne sommes plus en démocratie. Le maire élu de l'île métropolitaine, en plaidant la patience, protège un système verreux. Sur l'île, tous reconnaissent la complicité d'officiers de la ville. Abdullah, Surprenant "tps" et Leclerc aromatisent l'os du monstre allégué. Ça commence à faire une sorte de bon gigot.

Moi, à la place de l'élu, je ne jouerais plus le chef-cuisinier d'un grand resto reniflant l'odeur d'un gigot juteux, qui nie ne pas voir le gigot. Non, j'irais plutôt invoqué que mes feux de poêle sont éteints, le temps de prendre le morceau dégoulinant dans la gueule.

L'avortement ou l' IVG.

Je suis un homme. Je vous choquerai peut-être d'en parler. Je reviendrai à cette hors-d'ordre plus loin. Pour l'heure, je me permets d'en parler, c'est mon droit fondamental.

Récemment, la Chambre des Communes a soulevé le statut du foetus. "Et oui, encore un homme qui soulève la question". Affirmer ça, c'est d'omettre volontairement que plusieurs femmes soulèvent aussi le sujet. Mais, de toute manière, ce n'est pas permis diront certains, de soulever la question. Non, on préfère la complaisance d'un droit qui ne saurait subir la moindre contrainte, voire l'obscurantisme ?

À un autre moment, on s'est insurgé qu'on élimine les foetus féminins. Pour les gars c'est moins grave ? Pourquoi donc ? C'est de toute manière, une partie négligeable de l'enfantement, une péripétie sans reconnaissance légale.




Il n'est pas question ici d'accuser qui que ce soit. L'avortement est un droit, comme celui de se défendre pour son intégrité, de travailler afin de subvenir à ses besoins ou de respirer dans un lieu clos sans menacer sa santé. Voilà, c'est un droit, convenons-en.

Pourtant, si un jour on devait se rendre compte qu'un droit contrevient à un ou d'autres, on pourrait en discuter. À la lumière, s'il le faut, l'encadrer, le baliser. Mais, de ce sujet, non. Aurions-nous l'audace de plaider l'ignorance volontaire ? Certainement pas.

Ce serait un erreur d'avaliser un agissement des années 60. Voici, la science exacte nous impose de bons comportements. Pour exemple, on ne peut conduire un véhicule en état d'ébriété comme à une certaine époque. On a donc fixé un barème, une mesure. L'interdiction variera selon. Récemment, on l'a étendue aux prises de drogues, même à la fatigue. Tout ça dans le but ultime de protéger l'intégrité des usagers mais aussi de la personne aux facultés réduites.

Oui, il s'en trouvera encore pour prétendre que deux ou trois consommations ne conduisent pas à la démesure. Tant pis pour eux. On a appris, science aidant, que ce n'est pas tant la quantité ingurgitée que la conjugaison de plusieurs facteurs réducteurs de nos facultés. L'intolérance à l'égard des récidivistes est compréhensible.

Comment saurait-on ignorer l'acide désoxyribonucléique (ADN) sur une scène de crime ? C'est impensable et ce serait de la négligence. On ne doit pas se priver de ses avancés scientifiques. De même, les outils modernes aidant aux différentes enquêtes pouvant conduire à l'illustration d'une preuve. L'exactitude de ces procédés scientifiques ne font aucun doute.

Récemment, la science avance que lors d'une grossesse, les cellules d'ADN des mères et celles de leur foetus passent d'un corps à l'autre par le placenta. Ce processus, appelé le microchimérisme, demeure en l'un et l'autre et ce, parfois la vie durant. Le foetus n'est pas uniquement un récepteur mais un émetteur de renseignement. Nous devrions donc considérer cette aspect dans l'analyse de la procréation.

D'autres études ne font pas l'affaire des fanas pro-choix. Il semble que le foetus subit des douleurs. Non, cette avancée culpabilisante n'a pas de valeur et même le futur scientifique ne saurait altérer un droit exclusif. On peux dire ça comme ça.

Plus simplement, l'historique de la ressemblance entre le foetus et ses géniteurs doit être pris en compte. Dès le départ, la ressemblance est un fait et ne fera par la suite, que s'achever. Cela me semble objectif et conséquent pour la suite des choses. On conviendra que ce n'est pas une cellule en croissance définitive, car l'un et l'autre pourraient cesser d'évoluer.

Ici, au Canada, la cessation de grossesse se résume à peu de chose. Les fanatiques Pro-vie aimeraient bien en débattre. Mais d'autres fanas ne le souhaitent pas.

Ceci dit, ailleurs dans le monde, un cadre valide le droit à l'avortement suite à un minimum de débat. Pourtant, ailleurs, en France, en Allemagne, en Norvège etc... le chiffre 12 semaines ressort comme étant une limite acceptable. L'extension d'un droit à l'avortement passé ce chiffre passe par l'examen d'un tiers. C'est ce qu'on appelle un cadre restrictif à un droit. Ici, au Québec pour le nommer, aucune règle.

Les organismes comme la Fédération des femmes du Québec blâme la Ministre
Madame Ambrose de s'être prononcé sur le statut foetal. Que veut dire ce tollé de protestation tant qu'à sa prise de position ? Sommes-nous dans un pays totalitaire ?








Investissement apprécié.


De tout ce territoire, certains endroits sont investis de part en part par des travaux. Celui, celle, ceux et celles qui ingénient, qui dessinent, qui planifient, qui évaluent, qui creusent, qui remplacent, qui enterrent, qui terminent, qui acceptent au final, sont responsables de chacune des étapes. Tous détiennent un titre de pros ou de journaliers.

À entendre le témoin actuel de la Charbonneau, tous, à leurs niveaux, sont corruptibles. Un petit pourcentage et hop-là !

Dire qu'on fait, à coup de milliards de nos dollars, des pieds et des mains ailleurs dans le monde contre la corruption. Là où on se permet de qualifier de fantoche leurs gouvernants.

Pour terminer, la Commission Charbonneau ne se comporte pas comme une entreprise désireuse d'en finir avec...

De l'espace pour les pubs ou merde ?

P-S : au Canada, y en a pour plus 200 milliards.