samedi 25 janvier 2014

Le comique classique et la danse...



Bien, ci-après vous entendrez et verrez un collage amusant. J'aime à la fois ces mixages et ces images d'avant guerre (1937).

Toutes les époques possèdent leurs stars, leurs personnalités publiques tout autant. Ces jours-ci, dans notre coin de pays, beaucoup proviennent des cercles humoristiques et bien entendu des autres sphères. Retournons un moment près de 80 ans en image et près de 50 ans en musique.

Les gens de ma génération reconnaitront assurément la chanson Out of time (1967) des Rolling Stones. Avec Stan et Oliver, c'est tellement bon enfant.



Voici le même film, l'original, un classique illustrant de belle façon plusieurs étoiles des années 30. Dans ce film, Way out west, nous retrouvons tout ça. Oui, Laurel et Hardy mais aussi un iodleur américain Chill Wills.



mardi 21 janvier 2014

La famille Pquiste et FTQuiste !



Va-t-on une fois pour toute émonder la haie qui dissimule derrière, une forêt d'hypocrisie pour ne pas dire une omerta scandaleuse ? 

Si vous écoutez et regardez ce petit clip explosif, vous jugerez du bien fondé de la Commission d'Enquête.  On peut toujours dire que ces lignes dites ne veulent rien dire.  À ceux qui diront cela, combien vont nous coûter votre inaction crasse.  Un deal est un deal et sur notre dos, un scandale.

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Chronologie du chapitre Pq/FTQ :

En octobre 2008, la chef de l'opposition officielle Pauline Marois rencontre Michel Arseneault au resto 357C.

Début 2009, BLF dont l'époux de Madame Pauline Marois, Monsieur Claude Blanchet détient un peu plus de 12% des actions, reçoit un prêt de 3 millions du Fond de Solidarité de la FTQ.

En février 2009, Michel Arseneault est épié dans le cadre d'une enquête. Lors de cette enquête, une seconde rencontre avec Madame Marois a lieu, toujours au 357C.

L'entrevue saisit sur le clip est révélateur et peut-être en lien avec la BLF, car le dialogue entre les deux ex-présidents se déroule en 2009, en avril 2009.

Le 6 avril 2009, avant que tout le monde en parle comme qui dirait, une dame de l'ADQ et je nomme la député Sylvie Roy, qui, contre toute attente, demande au gouvernement Charest une enquête publique sur la construction, l'octroi des contrats du MQT, etc...

Les partis majoritaires de la 39ème législature se montrent perplexes sans commenter.

Le 23 février 2010, la Ministre des Transport mandate Jacques Duchesneau afin d'enquêter sur le ministère des transport.

Le 18 février 2011, l'UPAC voit le jour.

Le 19 octobre 2011, le Premier Ministre met sur pied la Commission d'enquête sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction.   

*Tandis que le Pq souhaite une enquête mais plus limité en lien avec les contrats d'asphaltage.

à suivre...

Aujourd'hui, on apprenais que la collusion exigeait de la coopération.  Même une ministre Pquiste actuelle.

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J'ai tracé une ligne juste ici en haut :  

Voilà, j'aimerais suspendre la machine Pquiste FTQuiste ici.  J'aimerais expliquer que les Libéraux provinciaux ne sont pas sortis du bois non plus.  Là, on a assisté à la Commission Charbonneau aux trucs francos (Arsenault-Blanchet).  Bientôt se présentera les trucs Italos libéros.   Je crois que les Libéraux sont plus près de la mafia italienne que ne l'est le Pq.  Pourquoi ?  

Lorsque la SQ piste Eddy Brandone en mars 2009, la filature cesse lors d'un congrès quand Brandone chuchote à l'oreille du Premier Ministre Charest.   Tout ça au lendemain de l'émission Enquête, dévoilant les factures de Dupuis.

















Deux femmes d'opinions ; une pour et une contre...

La Charte PQuiste génère en particulier des enjeux importants.  Deux femmes élues et brillantes, donc, s'opposent à leurs partis puis en sont chassées.  En y regardant de plus près, certains éléments pour justifier ces châtiments sont troublants.

Les deux chefs possèdent en bout de ligne de bons motifs, selon eux.  



Dans le cas du Bloc, les quatre députés ne sont plus que trois, c'est dire.  Paillé n'a pas tardé à réagir convaincu par Québec.  La lettre de son renvoi ici n'explique pas tout.  Les membres du Bloc ne jouissent pas d'une grande liberté car ils se soumettent au PQ, c'est tout dire.  Avec certitude, l'ordre vient de là mais la missive en fait abstraction. 

Dans le cas des Libéraux, le sérieux des engagements à l'égard des minorités est sérieux.  La tourmente chez les Libéraux ne s'arrêtera pas là, puisque les sondages s'ajustent à leurs hésitations floues et dépassées.   L'excommunication de la député apparaisse à tous, aussi incompréhensible que déraisonnable.     



Houda-Pépin, la député chassée, appui les objectifs de la loi 60, car elle craint l'intégrisme islamique. L'interprétation des croyants, même chez les musulmans ne forment pas un bloc monolithique.  Regardez chez les cathos, dont je suis ; certains communient sur la langue, d'autres tendent les mains.  Voilà, la Député dévoilée ne juge pas essentiel le port du voile.  Elle y voit même un geste politique. 

Tant qu'à Mourani, la député chassée, n'appuie pas les objectifs de la loi 60.  Pour elle, cette loi enlève des libertés fondamentales.  Ces libertés sont incluses dans les chartes Canadiennes à l'article 2 et la Québécoise au chapitre 1.1.10.  Les PQuistes auront donc décidé d'une dérive en prétendant l'égalité homme femme en excluant ces droits fondamentaux.  

La Charte de la laïcité des PQuistes soumise par le projet de loi 60 divise la Belle pour l'instant.  La 60 plaît aux régionaux et déplaît aux montréalais.  En visant presqu'exclusivement le religion musulmane, Drainville en fait une question de principe.  Alors, pourquoi omettre la barbe chez les musulmans comme étant ostentatoire ?  Pourtant, la barbe du visage chez les hommes fait parti des préceptes religieux masculins.  

L'intégrisme musulmane fait peur avec raison.  Bordel de merde, ce n'est pas la religieuse qui nous menace ici au Canada mais les dogmatiques de la laïcité.  Car les crises d'ici sont tout autre. On aura beau nous distraire d'une saine gouvernance, ce temps d'égarement nous rattrapera. 

dimanche 19 janvier 2014

L'Église d'ici, la communauté ?



Autrefois, le citoyen ou la citoyenne s'identifiait énormément à son milieu et sa paroisse. Ceci conduisait à des exagérations, parfois des esprits de clocher regrettables et anecdotiques.  Cependant, nous pourrions avec un peu de bonne volonté, laisser derrière ce chauvinisme bénin, et énumérer entre autre le nombre d'organismes communautaires qui sont nés de cette proximité.  

En s'interdisant notre attachement à un milieu, la disparition lente de la communauté est assurée pour se fondre dans l'individualisme et avec, une méconnaissance totale du sens de cette communauté.  Perso, j'appartiens à une communauté catho, celle du Bassin de Chicoutimi.  Je suis membre de la Saint-Vincent de Paul paroissiale de Notre-Dame-de-Grâce.  J'ai aussi de l'attachement pour la coop que j'habite depuis plus de trente ans.  J'ai mon lieu de travail, mon syndicat, un parti politique, supporteur de mon équipe de hockey, etc... 

Ces implications me semblent raisonnables.  Dans chacune d'elles, j'apporte ma couleur et ma tonalité.  Comme vous, ma couleur peut s'affaiblir et mon ton se transformer.  Ma proximité avec le catholicisme me conduit aux nuances pour mieux poursuivre la besogne.  

Regardez, quand je célèbre la Noël, je n'oublie pas l'aspect chrétien de ce jour.  Bien que j'apprécie la fête familiale, je n'oublie pas l'aspect divin.  Pour tout dire, les jours fériés ramènent au traditionnel  et un rappel au sens de la communauté, car toutes les activités stoppent afin de la parfaire.


  

Le Québec en général, en excluant l'aspect religieux, en s'en désintéressant, s'interdit une part importante de l'existence, le sens de la vie.  Oui, le religieux catho n'a pas que du positif, bien sûr.  Je rétorque souvent à ceux qui veulent bien l'entendre qu'on a cessé depuis belle lurette d'en vouloir aux allemands.  Il ne peut en être autrement.  On doit tourner la page sur le pire et voir en l'Allemagne, une société libre, consciente de ses forces et de son passé.

Le clip d'en haut, par la voix d'un Seymour, me rassure car il nous prévient tous de l'importance de l'identité et de nos attachements.  Pendant ce temps, le Québec dogmatique s'entête sur une perception fausse, l'odieuse religion, un ennemi à abattre.  Monseigneur Lépine dans un mémoire passé nous conseillait, comme le fait Monsieur Seymour aujourd'hui.  L'état devrait se garder d'intervenir dans les chambres à coucher et dans les garde-robes.

NB : la laïcité ouverte conduit vers l'ouverture non à la crainte de l'autre...   




La Prière et le sacré ; + que des us et coutumes...



Jeudi matin, la Cour Suprême Canadienne acceptait la cause MLQ vs Ville Saguenay visant la prière et les symboles religieux dans les salles de conseil des municipalités Canadiennes.

Je vais élaborer en premier lieu sur les accessoires comme les icônes, les crucifix, les statues ou statuettes etc...

Historiquement, la statue visée (Sacré-Coeur-de-Jésus) par la poursuite est un cadeau que les pompiers avaient donné à ville Chicoutimi en rapport avec un incendie mémorable.  Ceci dit, l'histoire du Québec et de ses municipalités, pourvu qu'on s'y attarde, détermine le bien fondé du sacré dans nos institutions.

Historiquement, le Sacré-Coeur a sa raison d'être mais possède aussi toute sa portée théologique.  De plus, le sacré, qu'on le veuille ou non, favorise un décorum aux délibérations.  Je et tous nous savons  que le sacré n'empêche nullement les divergences relatives aux débats.   

À ce sujet, les évêques révélaient dernièrement que le crucifix du Salon Bleu (sacré) représente plus qu'un patrimoine historique.  Il exprime et symbolise toute une philosophie favorisant entre autres choses la recherche d'une bonne entente.  Si l'ensemble des membres d'une assemblée n'y voient qu'un objet patrimonial, rien de surprenant qu'ils ou qu'elles n'en perçoivent pas la présence théologique.

Deuxièmement ; dans les salles des délibérations d'un conseil de ville, en admettant que les membres du conseil soient en accord, je ne voie pas d'empêchement à la lecture d'un texte, religieux ou non.  Pourvu bien sûr, que le conseil en décide ainsi.  La seule condition que j'émettrais serait que le temps de lecture fasse parti de l'Ordre du Jour de l'Assemblée.  Ainsi, le public et ou les personnes intéressées, en consultant l'Ordre du Jour, n'ignoreraient pas la préséance des membres du conseil. 

Ce qu'il faut comprendre, ça, même un athée de bonne foi peut le saisir ; la prière évoqué par les membres du conseil est collective et pour un croyant, elle n'est pas anodine.  La récitation d'un texte à haute voix rencontre les buts de la prière, ou l'invocation unanime.  Pour un croyant, la lecture prend à ce moment là tout son sens.

Le conseil, en optant pour une minute de silence, exclut la puissance du groupe et l'intention précise du groupe en lien avec le contenu du texte, religieux ou non.  Les assemblées délibérantes méritent que les participants coordonnent une première intention, l'objectif du texte lu.

Pour finir, des personnes qui se réunissent en assemblée sans objectif commun ou sans intentions communes risquent la confrontation.  Pourquoi ne pas s'entendre dès le départ sur des souhaits ?



   

dimanche 12 janvier 2014

Peuple, ethnie et religion ...

Depuis toujours je dirais, le terme juif renferme trois définitions distinctes ; le peuple, l'ethnie et la religion.  Est-ce unique ?  Je le crois.  Voyez, l'actualité à travers les âges nous le rappelle.  Depuis la proclamation d'Israël (1948), l'état prend forme et occupe un territoire en expansion perpétuelle.  On dira donc la terre des juifs, aussi Eretz Israël, bien qu'historiquement, ce sera la Palestine.

La Bible souligne à de multiples reprises que les juifs sont le peuple Élu.  Les juifs ont aussi une langue et une culture reconnu, malgré toute la diaspora.  De même, la pratique religieuse s'harmonise en dépit des distances et du nombre.  Wo ! Et les incroyants ? Je sais, ils ont leurs athées de toutes sortes, bien.  De cela je n'en doute pas, mais la traditionnelle pratique, ils la connaissent.

Ceci dit, lorsqu'on discute politique, société et histoire, Israël éveille tous les vocables la justifiant.  Effectivement, les israélites savent ça, tous.  L'un de ces acteurs, aujourd'hui même, a rendu l'âme officiellement.  C'est que voyez-vs, ce militaire politique sommeillait dans un coma depuis de nombreuses années(8).

                    


Ariel Sharon, pour le nommer, que Dieu est son âme, a commis les pires atrocités.  Les plus grands chefs et dictateurs de l'histoire humaines n'ont rien à lui envier.  Son chef-d'oeuvre ; le massacre de  Sabra et Chatila qui se colle à lui comme l'empreinte du sionisme hégémonique.  Car voyez-vous, nous assistons à l'extermination lente d'un peuple, celui de Palestine.

L'histoire évoquera pour toujours, dans l'oubli malheureusement, les atrocités démesurées comme :

Joseph Staline 1929-1953 43 000 000 
Mao Zedong 1923-1976 38 000 00010 
Adolf Hitler 1933-1945 21 000 000 
Tchang Kaï-chek 1927-1949 10 000 000 
Hideki Tojo 1941-1945 4 000 000 
Pol Pot 1975-1979 2 000 000


Peu m'importe la quantité et la méthode, un mort est un mort.


NB : Ici, je ne veux pas mettre de côté les meurtres et atrocités commis contre des innocents, les habitants de toute la Palestine.

vendredi 10 janvier 2014

Pourquoi une quenelle ?


La quenelle, ce geste impétueux et fougueux, prend toute un sens en France.  Ici, je veux dire en Nouvelle-France Amérique, la quenelle se confondrait avec un doigt d'honneur.   On pourrait le croire mais ça n'a rien à voir avec le majeur de la main réflex.  Peut-être, lorsque le geste est belliqueux mais lors d'une manif, la quenelle devient raciste et plus, antisémite.  

Anti... de que c'est ?  Chercher sur le net bordel.

Non, élaborons.  Certains personnages publics, du footballeur aux humoristes insouciants, se commettront en public.  D'autres, diront de la quenelle, que c'est hypocritement ça mais inversé. Ça ? Voilà l'antisémite de l'affaire.  

Maintenant que l'affaire Dieudonné M'bala M'bala tonne tout partout à la une de tous les médias, et que sa quenelle se transforme en salut, en adieu, s'en est trop.  Le Ministre Valls et les décideurs politiques, presque tous, s'indignent et plaident l'interdiction de ce genre dit humoristique. Comment en sont-ils arrivé là ?  Juste pour la quenelle, non. 

Dieudo, avec son humour d'un talent magistral, révèle son texte incisif et cinglant là où il peut.  Désormais, il lui devient difficile de performer.  J'écoute les observateurs, ceux et celles qui se disaient  des proches arguer la dérape de Dieudo.  Son dernier sketch, le Mur, réserve quelques lignes à ses ex-copains, dont Semoun.  Ici, le producteur québécois de l'humour s'en éloigne radicalement.

Ceci dit, Dieudo surmonte la critique et la censure bon gré malgré.  Il dira continuer le combat avec ses partisans et ils sont nombreux.  Perso, j'écoute ses sketches depuis de nombreuses années par internet.  Je n'ai pas eu l'occasion du live comme dirait cette France franglaise, pi ?  Non, avant même le spectacle avec Faurisson, Dieudo m'amusait et m'intéresse toujours.

Depuis son engagement antisioniste, plus qu'antireligieux (car le religieux fait parti de ses inspirations initiales), l'humoriste se braque.  Voilà la controverse et la polémique qui déteint sur la France culture agitée par fond de crise socio-économique et le cynisme d'une population impatiente.  Antérieurement, les lobbys l'haranguaient et pourquoi pas le sionisme.  Normal non ? 

Voici.  Dieudo n'est pas le seul à s'évertuer sur le sionisme.  Des juifs même en font leur sujet.   Sur ces clips, Shlomo l'explique avec l'histoire et Finkelstein s'en indigne comme le faisait Hessel.  


    

mercredi 8 janvier 2014

Des Bleus nouveaux...

Ouais, des Bleus nouveaux mais en juin...

Marc Fortier, en tête, a bougé durant la période festive des échanges 2013-2014 ; 7 fois.  En tête oui mais, avec l’appui de son clan hockey et des gestionnaires.   À leurs habitudes, les Bleus auront travaillés jusqu’à l’heure limite des transactions.   Tout ça, stimulé par les droits de la Coupe Mémoriale 2015 à venir.

L’alignement des Bleus étaient celle-ci ;

Gardiens ; Graham (19) et Billia (17)

Défenseurs ; Archambault (20), d’Astou-Moreau (17), Lepage (19), Roussy (19), Liamkin (17), Tremblay (18), Carrier (17) et Allard (16). 

Attaquants ; Hudon (19), Sylvestre (20), Puhakka (18), Tremblay (19), Lépine (18), Gignac (17), Bouchard (16), Dauphin (18), Carignan (18), Roy (16), Boutet (18), Provencher (20), Gobeil (19), Beaupré (19).  



Au tour de Bosch, en attendant juin, d’assembler la nouvelle réalité et de conduire le destin de ce groupe de jeunes.   J’ouvre les parenthèses en soulignant que ce dernier conjugue avec une nouvelle culture, un style et un vocabulaire nouveau.  Dernièrement, le coach des Sags disait, grosso modo, que ce n’est pas d’échanger des jeunes le plus complexe mais d’associer des personnes différentes  pour faire équipe et qui surtout, regarde dans la même direction…

Alors, voilà qu’Hudon, Sylvestre et Gobeil sont échangés pour des joueurs connus, le défenseur Lepage (19) et un 20 ans, Beauchemin.  En juin, s’ajoutera soit des choix ou des joueurs établis.  

Les trois départs cumulaient une production importante ; 40 buts (30% du club) et 61 passes.  On reçoit en échange, 17 buts et 17 passes.   Certains partisans déplorent cette vente, pour l’instant, désastreuse.  Mais regardons à court-moyen terme.  

Pour l’heure, Bosch retrouve des jeunes avec moins d’expérience sur la grande patinoire.  Je ne connais pas Beauchemin, peut-être s’intègrera-t-il aisément dans la nouvelle culture des Bleus ?   La responsabilisation qu’inculque Bosch cette saison se poursuit en y incluant le mot patience.  Il en a, en espérant l’indulgence des partisans.

Perso, je suis optimiste.  Ce groupe de jeunes pourraient bien surprendre.   

lundi 6 janvier 2014

FTQuisme usurpateur ?

Ce syndicat m'inquiète énormément.  Je veux bien qu'un bilan se fasse mais de là à faire de l'évitement, c'est écoeurant.  Je note aussi, ce qui m'insulte d'autant, l'omerta des autres centrales syndicales.   Mais pour le moment, ce sera la FTQ

Après avoir tiré une conclusion, et je cite :    '' Bilan 2013 :

L’année 2013 aura été marquée par les travaux de la Commission Charbonneau. La FTQ et ses représentants ont offert leur entière coopération à la Commission et continueront de le faire. 

Mais d’ores et déjà, il faut reconnaître que dès 2008-2009, d’importantes modifications ont été apportées à la gouvernance du Fonds de solidarité et la FTQ s’est dotée d’un code d’éthique des plus rigoureux. La nouvelle direction promet d’être vigilante et agira en conséquence, afin de préserver l’intégrité de la FTQ et de son Fonds de solidarité. '' 

C'est bien peu et quoi de mieux que de créer diversion.  Bref, le duo a manifesté son nouveau champ de bataille, le Fédéral.  Effectivement, le gouvernement conservateur s'apprête à légiférer dans certaines affaires syndicales.  Les deux représentants s'insurgent à ce que des politiciens exigent la divulgation des états financiers et mais aussi, imposeraient certaines modifications à la formule Rand.

Oui, on peut s'interroger.  Mais dans les faits, la FTQ a développé une sorte de culture nécessitant des intrusions d'un tiers.  Par le passé, les dirigeants de la FTQ ont péché (Commission Charbonneau).  Certaines pratiques auront donc ont contribué à saboter tous les fondements de la démocratie syndicale.  Rien de moins.

    
Pour revenir à la transparence des états financiers des centrales, je ne suis pas contre certaines mesures.  Une sorte de protecteur du citoyen accomplirait ce travail que j'acquiescerais...

mercredi 1 janvier 2014

Les fêtes après 1600 km !


De un, je souhaitais la voir, c'est fait.  Ma Maman fête aujourd'hui son 88ème anniversaire de naissance.  Oui, le premier de l'An, c'est sa fête.  Bon ben, bonne fête !  Eh ben oui, je l'ai vu.  Je l'ai même raccompagné à sa résidence du vieux Longueuil.

Un instant, je récapitule ce voyage éclair.  On est parti le 24 chez Fred à Saint-Gabriel via le terminus de Sainte-Foy, récupéré mon plus Jeune et son ami Ben.   On est parti de suite réveillonné chez Fred.  Vers 21 heure trente, on est parti à Beaupré, Auberge de la Sainte-Anne (131).  Le matin du 25, on est parti à messe de neuf heure trente chez la Sainte-Anne.  Après, on est parti bruncher chez Fred et, par la même occasion, reprendre le plus jeune de mes fils, Yannick avec son ami, Ben.  Toujours le 25, à 14 heure, nous sommes partis pour Montréal célébrer la Noël chez ma nièce, Sophie de Saint-Lambert.  Dès mon entrée chez-elle, ma Mère a basculé avec sa chaise par en arrière.  Panique !  Panique !  Oui, j'ai craint le pire ; elle était quitte pour une douleur derrière la tête, à la main droite et au genou.

Vers 21 heures, on est parti se coucher sur la rue Martineau,  chez Norman ;

Le lendemain, dès la onzième heure, on est parti pour Chicoutimi ; arrivé à 18 heure.  Le 28, on est reparti pour Québec assister à un match de Petit-Fils au Pepsi, juste avant la parti Rimouski/Québec.  Dès le lendemain, le 29, oui c'est ça, le 29 à 7 heure, on est parti pour Chicoutimi.   Depuis ce moment, c'est le calme avec le blanc et le frette du froid de l'hiver.  Bien emmitouflé dans mes habits de janvier, je bouge dehors avec la pelle, la gratte, ou vice-versa.

Bonne et heureuse année à Tous !

PS : tous autant que vous êtes !