dimanche 31 août 2014

Potvin-Potvin...

Bon, la photo ici remonte au début du siècle dernier.


Jusqu'à présent, j'avais effectué des fouilles qu'avec les Gagné-Bouchard.

Ce soir, me voici scruter le patronymique des Potvin dit Laviolette.  Papa préférait le dit Laviolette, quasiment autant que le Potvin.  Je vous en reparlerai.  Pour l'instant, je m'attarderai au plus simple, oui, aux pères de ma Grand-Mère, Isola Potvin.

Ma Grand-Mère Isola (30-08-1890) a épousé Alfred Potvin (8-08-1886) à Saint-Alexis de Grande-Baie le jeudi, 19 août 1909.

Ensemble, ils ont eu 14 enfants.  J'ai revu Isola sur la rue Eady à Verdun en 72 ou 73.  Puis, je ne l'ai plus jamais revu.  Je dois vous dire que je me sentais plus près d'elle que d'Alfred.

Isola était la fille d'Adèle Lavoie et d'Émile Potvin, qui se sont mariés en août 1876.
Émile était le fils d'Euloge et d'Adélaide-Anastasie Saint-Pierre, mariés à Baie-Saint-Paul en juin 1832 .
Euloge était le fils de Scholastique Thibeault et de Louis Potvin .  Leur union remonte en 1799, eux aussi à Baie-Saint-Paul.
Louis était le fils de Rose Gagnon et de Joseph mariés à Baie-Saint-Paul en 1774.
Joseph était le fils de Françoise Tremblay et de Michel de la Petite-Rivière qui s'épousèrent en 1735.
Michel était le fils de  Françoise Rozotty-Otis et Jean marié à Beauport à 1696.
Jean était le fils de Madeleine Guillaudeau et de Jean Potvin dit Laviolette d'une union à Québec en 1669.
Ce Jean était le fils de Marie Gibault et Laurent Potvin dit Laviolette dont le mariage remonte en France à Dompierre-sur-Boutonne ,Xaintes, en Saintonge.  L'année n'est pas relevé.

à suivre...


Place aux jeunesses ...





J'écoute arcade fire avec bp d'attention depuis leur début ou presque.  J'apprécie ce qu'ils font. Justement, hier soir, ils donnaient un show sur l'île de mon Père métropolitaine. Les spectateurs présents, en tenue de soirée svp, respecteront la convention de la grand messe Evenko ; donc, les gars en complet avec ou sans et les filles en crinoline, avec ou sans

Ceci dit, place aux jeunes, leurs énergies, leurs émotions, leurs réalités.  Je crois bien humblement, que ce groupe amérikano-kébékois, ou vice-versa, reflète autant la jeunesse qu'il s'en inspire.  En chantant leur révolution tranquille, arcade fire situe sa génération au rythme du numérique système. 

Justement, on leurs a légué une histoire mais aussi des gênes qui vont avec ou sans, les nôtres.  On s'entend, cette génétique trotte à des années lumières du présent presque sans fondement.  Ce sabordage accompli par nous, les baby-boomers, laisse toute une génération sans issue eschatologique.  Voilà, un niais néant dont les humanistes presbytiques s'en raffolent en se demandant, pourquoi ?  De que c'est ?



Autrement, ce bagage génétique justement contribuerait à un mieux-être.  Et bien non !  De conflits en heurts, nous ne pouvons, comme ma génération anti-conformiste, éveiller l'âme qui les habite. L'âme envoûtée par un matérialisme sous-vide, éphémère et sans saveur.

     


dimanche 24 août 2014

Le Parti Amérique Française !



Cette courte dénomination vient d'un type peu connu.  Le type ? Michel Brûlé.

Moi, je ne le connaissais pas, jusqu'à ce vendredi.  Je peux dire dès le départ que le guss a de nombreuses idées pour démarrer un parti.  Parfois original, le monsieur souhaite vouloir chambarder beaucoup de choses.

L'informateur du vendredi le 22/08/2014 et amenez le curseur à 2 heures 15 minutes.

Le voici avec sa lettre de présentation.  De suite, une lettre presque sans faille jusqu'à sa lecture.  Sa carte admettez-le inspire une certaine formation avec le logo fleur-de-lysée couronné d'une plume bien en évidence.   Vous constaterez bien assez tôt que la plume est, selon lui, emblématique à lui seul.

Grosso modo, celui qui fait l'objet de ce topo, trouve la Belle sans caractère et lent comme un escargot, pire, une limace.  D'accord, il ne le dit pas comme ça, néanmoins il décrit aisément sa vision de nos passivités.

À son avantage, il serait hyperpolyglotte + 2 ; le français, l'anglais, l'allemand, né d'une mère allemande, parle aussi le russe,  etc...   Éditeur, il a publié moult biographies d'hommes politiques. 

Pour ma part, j'estime que les idées nouvelles manquent ; en provenance des pquistes, d'une rareté presque crasse.  Pourquoi les pquistes ?  Parce que justement, il briguerait la chefferie de ce parti. Son premier geste d'éclat suite à sa victoire, changer le nom du parti-québécois pour Parti Amérique Française.

Ensuite, je n'oublie pas qu'il modifierait l'article 1.  Sa priorité avant toutes choses, modernisé le Québec tant qu'à sa structurite maladive, qu'elles sont sources d'immobilisations.  Multipliez à ce phénomènes, les paperasses multiformes.  En un mot, pour lui, la bureaucratie cimente de toutes les manières une tonne de développeurs.

Une de ses trouvailles ; le président à l'Assemblée Nationale devrait être un représentant des 1ère nations en costume d'époque.   Juste ça...

mardi 19 août 2014

État policier, quand tu nous tiens par...



Auparavant, je veux dire, avant la venue du projet de loi 3, on arguait ici et là, les dangers d'un état policier.  Souvenons-nous des grèves étudiantes, durement balisées. Maintenant, on est en plein dedans, je veux dire l'état policier.

Tout en étant conséquent, peut-on vraiment légitimer toutes les manifs ?  Ben non !

Ma dernière phrase démontre le ridicule de l'histoire.  Car, en accordant la syndicalisation aux travailleurs de ce secteur, nous leurs accordons ce qui va avec, le droit de grève et de négociation.  

Coup donc, les pompiers, en temps de négos, qui éteindra le feu, l'armée ?

Pour l'instant, la démonstration du ridicule s'accomplit tous les jours depuis la venue du projet de loi 3.  

Alors, on peut prétendre que ce projet de loi provoque tous les désordres.  Mais que dit ce projet maudite marde ?  


Soyons sérieux une minute ou deux.  La venue du Gouvernement Couillard et des négos à venir avec les employés du secteur public se cachent derrière toutes ces manifs.  Oui, les policiers initiaient le débat, mais tout ce beau monde dépend de nous, les payeurs de taxes et impôts.

Hier soir, la marmite explosait quand les employés municipaux ont envahi et saccagé l'Hôtel de Ville de Montréal. Ajoutez à cela, le regard complice des policiers déguisés en syndicaleux verreux, usurpant tous les pouvoirs de notre démocratie en restant spectateurs oisifs.    

Les élus, les femmes et hommes politiques actuels nous représentent.  Conséquemment, ce sont les patrons de leurs secteurs d'activité ; municipal, provincial.  Les syndiqués du secteur public visent leur intérêt, on ne peut s'en étonner.  Néanmoins, nous ne pouvons pas accorder aux policiers tous les pouvoirs, en échafaudant un état policier.  

Maintenant, il est plus que temps d'un discours à la nation. 

NB :  le monde politique, élu ou non, doit lui aussi s'inclure dans la rectitude suggérée.  
      

dimanche 3 août 2014

Nos loyautés ...

J'ai perdu mes repaires d'une certaine façon.  Ma famille, autrefois on disait les miens, sont tous partis pour se refaire une vie plus décente.  C'est ainsi.  Pas par  manque de loyauté.

  

Mon entêtement, qui ne date pas d'hier, a voulu que je reste ici, là où mes racines appartiennent à un certain passé ; Blanche-Alice, Pierre, les Bouchard.  Les émotions ressenties nous retiennent souvent en des lieux, des lieux signifiants avec des liens forts.

Pourtant, mes aïeux viennent d'un univers que j'ignore, géographiquement j'entends.  Plus proche, ce sera la Petite-Rivière, la Saint-François, qui m'émeut particulièrement.  De là aussi, mes arrières ont quittés pour d'autres cieux plus prometteurs.

Loyauté !

Claude Bouchard et Louis Gagné lorsqu'ils ont quittés la France, via La Rochelle , était-ce un manque de loyauté, un manque d'appartenance ?  On dit qu'à l'époque en France, l'avenir était, pour toutes sortes de raisons valables ou pas, bloqué.  Ils quittèrent donc pour d'autres terres porteuses d'avenir.

En 1654, l'aïeul quitte la mère patrie vers la Seigneurie de Beauport, puis Côte de Beaupré, puis Cap Tourmente, ensuite Cap de Saint-Joachim, puis, Cap à Maillard de la Petite-Rivière-Saint-François.  Il y mourût en 1699.  En revoyant l'itinéraire du Petit Claude, ex-tailleur d'habits, on comprendra que la seule loyauté, est la sécurité avec promesse de lendemains tout aussi rempli de promesse.

Lorsque ma Grand-Mère maternelle subit l'exil des siens, tous, elle subira un choc, c'est sûr.  Elle leurs en aura voulu à chacun.  Comme je l'ai connu, dans un silence meurtri.

Mon intérêt pour des retrouvailles en 2015 n'est certes pas étrangères à cette mouvance, je dirais cette mouvance autorisée.  Ma Maman demeure à Longueuil à proximité de ma Soeurette et de mon Frère, ainsi qu''un bon nombre de nièces et de neveux, de leurs enfants.  C'est pas simple et c'est comme ça.

Mes deux gars ont aussi quitté pour d'autres loyautés, la leur...