mercredi 30 septembre 2009

Coderre ? Un genou à terre...

Le politicien à vie, Denis Coderre vient à mon avis, de se priver des ministrables du futur gouvernement minoritaire libéral, si. Rien ne dit qu'ils seront élus, pourtant, leur chef avait provoqué chez-moi comme un vieux déjà-vu, prometteur pour le moins.

J'avais perçu en lui, une sorte d'allure PETiste. Les vrais observateurs, l'électorat sondé, non rien vu et force est de le constater maintenant.

Je reviens à l'acteur principal, plus à gauche. Il n'a pas évoqué son scénario devant une salle pleine banalement. Non, sa scène assomme les fédéraux mal intentionnés envers lui et tout le peuple kébékois avec lui.

dimanche 27 septembre 2009

Elle se fume...

Je reviens sur l'un des objets précédents. Juste pour vous dire, à ceux qui fument en priorité, que je compatis avec vous. Que je me montrerai tolérant avec vous.

Pourquoi ?

Et bien, je sais, que l'objet et tout le rituel, entre vous et elle, est sublimement important et fascinant.

Je ne vous l'ai pas dit, mais j'ai arrêté de humer cette chose, en 2000. J'en étais à ma 37ème année d'exercice. J'admets avoir passé de bons moments avec elle. J'en étais rendu à compléter une tâche avec promesse de l'aspirer.

Oui, je crois l'avoir confondu avec, inconsciemment bien sûr, avec un être cher.

Elle avait ses défauts, je sais, mais qui n'en a pas.

Oui, elle coutait chère, c'est sûr.

Elle sentait et me laissait une odeur de mégot depuis longtemps éteint.

Jusqu'à maintenant, j'ai tu ce qui suit ; tous mes instants ludiques avec elle.

"Après le diner du soir, je préparais mon arsenal parfumé. J'étalais sur la table, parfois embourbée, le blond tabac, et les tubes vides. Ma rouleuse d'impatience ne cessait de s'empiffrer de feuilles déchiquetées, puis de tube à combler. Tout ceci dans un ordre établi. Il le fallait bien, l'ordre."

Ces minutes, vous savez celui où on l'empoigne des doigts empressés, qu'on la tourne dans tous les sens, qu'on la frappe fermement pour augmenter son poids et la combler. Dac, elle fait perdre du temps. Qui se plaindrait de prendre du temps pour elle, celle qu'on préfère.

Vient le moment où la souvoureuse se laisse consumer pour mieux se laisser admirer.

Parfois je lui marmonnais mes états d'âmes. Non pas à elle, mais à la droite fumée, puis au rouge du feu. Je lui avouais mes ptites douleurs qui ne se lassaient pas. À sa vue, j'avais l'impression d'une contemplation silencieuse. Tout compte fait, d'une parenthèse relaxe et bienfaisante.

Alors, pourquoi avoir cesser conard ?

C'est simple. Je voulais me libérer de cette emprise. Ces emprises plutôt, malsaines parce qu'éphémères. J'en redemandais comme si, ce qu'elle m'offrait, n'était pas vrai.

N.B. J'arrive tout juste d'une promenade sous la pluie, près des feuilles mortes épars parmi mégotgommes. Je n'ignore pas qu'elles ne sont pas écrasés.

samedi 26 septembre 2009

Mégots et gommes aplaties...

Avez-vs remarqué ; le sol à la sortie des espaces publics, qu'ils soient vert ou béton, il n'y a que mégots et gommes aplaties. Serait-ce un réflex, une tendance obligée ?

Oublions l'odeur, car trop subjectif. Restons neutre.

Pierre Falardeau.

Le gueulard n'est plus. Certains en seront soulagés bien qu'il laisse des tristes. Des tristes qui le préféraient à de nombreux, tellement silencieux. Je n'étais pas d'accord avec lui toutletemps, qui pourrait l'être ?

Ce babyboom impitoyable en devenait trop distorsion, tellement, le propos s'épivardait. Ce colérique "barbutabac" visait juste mais trop large. Son cinéma caricatural ne pouvait laisser personne indifférent, je riais jaune, pas vous ?

EXEMPLAIRE

Alors voilà, il est disparu pour maladie et une autre encore plus jolie s'en est allée, la veille d'un jour, accablée et angoissée. D'un autre genre.

Adieu

Toulouse ?

Mon fils deviendra pour un temps X, Toulousain. J'ai donc taper comme automatiquement sur le YOU et me suis laissé enchanter par la générosité d'un Toulousain, Nougarou. Je le laisse trainer-là et entendez-le, ce disparu à voix.

jeudi 24 septembre 2009

Richesse des travailleurs.

J'aimerais parler de ce sujet qui me tient à coeur.

Vous savez, que l'on soit sur l'Île Métropolitaine, dans la Capitale ou en Région, le boulot c'est le boulot. Je, tu, il, nous, vous et ils travaillent tous pour leurs croutes, en famille parfois, et autres victuailles essentielles.

Montréal est dans l'Axe, je reconnais cette Axe et j'espère que vous aussi la reconnaîtrez. De tout son long, la croissance présente ne va pas en aval. Pour l'instant, le vent d'amont transporte nuées grises et lourdes. L'ère actuel des gains n'est pas aux richesses naturelles mais à la main d'oeuvre de la bureaucratie. Ce n'est pas saguebleu qui le dit mais les études sur le chômage. Les grandes agglomérations s'en tirent mieux.

Au passage, saviez-vous que nous étions des partenaires ? Vous me voyez venir avec mon carton, je sais, mais laissez moi terminer. Sans les richesses naturelles, notre Belle n'est rien. Cependant, je comprends très bien la désaffection pour les villages, économie j'entends. Je le crie plus haut. Je le sais, car notre population s'inflige une décroissance depuis belle lurette.

L'hommerie d'ici cherche le ou les coupables car les victimes sont trop nombreuses. Bien que vous soyez loin des coupables, tentons ensemble de trouver des solutions et non, je ne dirai pas viables comme nos hommes politiques, afin de résorber la guigne des uns comme des autres.

Les Régionnaux auront tendance à blâmer l'exilé car il a fuit. La fuite ne vient pas tant d'eux, que de nous tous, qu'ils soient en aval comme en amont. Cessons d'avaler tout ce qui nous est raconté et rassemblons ce qui reste de nous, la bonne volonté

mardi 22 septembre 2009

Joyeux maraudage syndical.

C'est avec beaucoup de scepticisme que j'aborde ces jours-ci différentes allégeances syndicales. Certains me diront "et bien quelle mouche te pique!"

C'est que j'ai des liens avec la FTQ. Des liens plutôt obtus. En quoi me direz-vous ? Pour faire une histoire courte, lorsque tu voies un de tes leaders cités avec des mafieux, le climat de confiance est sabordé. Au surplus, lorsque tu demandes avec insistances les états financiers, pi que ça reste lettre morte, tu te leurre pas sur l'affranchissement de l'enveloppe.

Je souhaite donc une sorte de CECO, pas tant la chasse à la viande avariée qu'aux cotisations avariés. Avariés, pas par nous, mais bien par ceux qui en bénéficient ; les mafieux.

Encourager par ma rencontre en ce mardi automnal, j'ai trouvé allégeance avec une union, et pis non, je vous dévoile pas mon intimité...

lundi 21 septembre 2009

Où est la police Américaine.

Les États-Unis de BhO resteront en Afghanistan afin de rétablir une démocratie durable à l'encontre des Talibans. Au passage, les Talibans sont des être ignobles qui tuent leurs femmes et la traitent comme une bête sans cervelles. Souvent, ils tueront leurs femmes pour défendre l'Honneur, disent-ils.

Tout cela vaut bien une guerre et ses sacrifices comme le dirait Madame la Gouverneure, Michaelle Jean.

À ce compte-là, pourquoi ne pas entrer en guerre avec les pays qui tolèrent ces crimes d'honneur. L’ONU précise que des crimes d’honneur ont été répertoriés en Egypte, en Iran, en Jordanie, en Syrie, au Liban, au Maroc, au Pakistan, en Turquie, au Yémen, ainsi que dans d’autres pays méditerranéens et du Golfe. Selon les enquêtes d'ONG, il s'en commet aussi en France, en Allemagne etc...

L'unilinguisme coûte chère !

L'État Kébékois est francophone, on le sait tous. Sauf que, dans la pratique, les lieux ne sont pas si tranchant. La loi 101 avait comme cible, la protection pour cause de menace. Grand Dieu, de quel danger parle-t-on ici ; soit "de perdre l'utilité linguistique de la majorité du Kébek."

Montréal et d'autres lieux insoumis de la Belle Province, permettent des écarts à la loi. Ils sont, banalement, de toute acabit ; des institutions à tous le reste. Saviez-vous que même au Centre Bell, sur la glace lors des parties de la Ligue Nationale de Hockey où the N H L law prévaut, il est interdit de parler la seule langue du travail du Kébek, le français.

La minorité franco de l'Amérique du Nord devra tôt ou tard démontrer plus de suite dans ses idées. Madame Harel candidate à la mairie fait face à un grand dilemne idéologique. Comment convaincre les unilingues anglos de voter pour elle si elle-même don't speak white majority on the island. Grande question hein ? Jusqu'où va le colonialisme servile.

dimanche 20 septembre 2009

L’anti-Duplessisme.

L’attitude historique de Duplessis aura eu comme conséquence de susciter minimalement, un éveil révolutionnaire. Les 15 années de pouvoir de cette homme politique n’aura pas que créer du négatif, on s’entend. Pour preuve, les 4 mandats successifs approuvés par la population en élisant avec attachement, même un horrible dictateur. Quelle incompréhension. L’expression qu’emploi souvent les vieux rancuniers qui refusent un réel regard historique avec les yeux d’alors, interpelle une grande noirceur.

De même, la proximité avec l’Église aura eu pour effet de consolider les assises politiques de Duplessis, de un, mais aussi de prolonger son règne. En cela, l’Église aura permis une conformité unanime, nécessaire à l’autonomie et à la survie francophone. Sans elle, le Québec d’aujourd’hui, même en reniant le passé clérical, ne posséderait pas tant d’assise. Les systèmes, d’éducation et hospitalier entre autre, s’échafaudent lentement grâce au clérical. Sans les communautés religieuses, l’élaboration de ces actifs auraient été bien plus lente. Depuis la mise au pilori de cette main d’œuvre dévoué, regardez les résultats. J’admets que les communautés cachaient des injustices scandaleuses. Tous les ensembles humains dissimulent les leurs malheureusement.

J’ai écouté une série historique à l’antenne de Radio-Canada. Je l’ai trouvé intéressante. Plusieurs témoins s’y sont joints par un témoignage succinct et pertinent. Là où je ne suis pas en accord, ce sera les interventions biaisés de Michel Lacombe. J’entends sa hargne qui vire à l’obsession lorsqu’il cible Duplessis et l’Église Catholique, un tandem obligé à mon humble point de vue.

samedi 19 septembre 2009

119+4 ! (for frenchies)

Ano m’a signifié un écrit souhaité. J’ai lu l’extrait de cet ultra-men qu’est Noam Chomsky. J’admets qu’il a le pif de la neutralité, la contre-verse, non, no, niet, nada. « ceux qui tiennent la matraque exigent l’amnésie historique ». Voilà l’individu qui se refuse à la prise de position, ne serait-ce que nuancé.

J’ai ici, une approche civilisée d’un cinéaste qui ne prend pas position, mais qui soulève minimalement l’interrogation. Je me pose la question, qui des deux s’impliquent sans consentement d’une autorité, même anonyme ?

mercredi 16 septembre 2009

super varia...

Quartier Dix30

Après s'être rendu au centre du CH de Brossard, nous avons visité ce BCBG du magasinage. J'ai apprécié ce site à hauteur d'Homme (new-urban). Je rappelais à mon neveuguide que j'avais déjà fabriqué un quartier à échelle. Il y avait des petites rues, des petites autos et des petit(e)s édifices, c'était mignon. J'y vais mis tellement de temps, que je ne voulais pas que mes enfants jouent dessus.

Marathonier

Dimanche matin, à bonne heure et empressé, nous nous sommes rendus ma douce et moi sur l'île de Montréal. Elle et moi, n'avons rien des marathoniens, surtout elle. Moi, ce serait plutôt l'épine de Lenoir qui m'empêche de performer longtemps. Tout ceci pour raconter succinctement, que nous avons éprouvé de nombreuses difficultés à suivre notre fils qui courrait le demi. On l'a vu au dixième ensuite de l'asphalte et du béton. Il a bien complété en 2 heure 2, mais sans nous. On a terminé le nôtre à la recherche d'un métro.

Saint-Lambert.

Nous dégustions ce samedi, le lendemain du onze, le potage pâte et pommes chez mon neveu Ano et sa douce. Jolie ville paisible, Saint-Lambert, avec tumulte en présence de leurs deux jeunes. Petite famille moderne modèle sans faille ou presque.

Gaby oh! Gaby

Petite Nièce, elle arrive de Calgary. J'espère que Gaby ne partira pas pour ces Rocheuses. Elle y est allée cette été pour apprendre l'Anglais. Elle a sûrement atteint ce but, elle est brillante et tout. Je n'ai pas vérifié son niveau d'Anglais pour le savoir car je ne suis pas bilingue et mon anglais est b.zik

lundi 14 septembre 2009

Aéroport Pierre Trudeau ou PET.

Pour la première fois, je me suis rendu à l’aéroport internationale de Dorval. Aujourd’hui, la PET. En passant, tout de même ironique après l’historique de Mirabel mais bon. Je m’y suis donc rendu insouciant avec la petite famille le 911-2009. C’est international l’affaire.

Et oui, mon jeune fils est parti pour le vieux continent. Depuis une couple d'années, je fabule sur la venue de mes ancêtres, avec compte-rendu ma chère. Et bien là, l’un de leurs fils exécute le trajet à l’envers ; en avion c’est vrai. Eux, c’étaient en vaisseau à voile 40 passagers collés, avec le froid et la houle comme aire ambiant, mon rejeton et les centaines avec lui, l’air climatisé et les courants de vent favorable. Sans compter les 4 mois versus les 7 heures et demi de vol.

Je le mentionnais plus haut, elle est vraiment international la PET. On dit même qu’elle prend du galon. Alors le vol, 901, pas 911, ouf, bénéficiait d’un tarif incitatif, allez donc savoir pourquoi. Un Boeing 400, c’est imposant comme machine volante. La file d’attente en ce jour d’envolée, interminable. Je me suis dit, tout ce monde là dans un même vaisseau. En tous cas, mon gars sera pas seul à traverser.

Il, mon fils, m’a téléphoné le lendemain en me disant que son vol avait été un charme et bien mieux que la traversé de l’île Montréalaise, pour se rendre, par Pie IX à PET.

Pour terminer, je me procurerai un GPS, au conseil de mon neveu. Ceci n'est pas un allusion à un joke platte. Après m'être livré à un marathon hors marathon, j'y reviendrai chu pressé.

Cent trentième formé pour ça.

J'ai regardé ce matin la nouvelle. Pour la première fois dans un texte rapportant le décès d'un soldat canayen on ne fait nullement mention de bombe artisanale (bA) ou improvisée. Mes connaissances militaires sont assez limites, possible que ce soit de vrais explosifs et que toutes les autres fois, c'étaient des machins artisanaux (bA).

jeudi 10 septembre 2009

"Menteur !"

Je ne le savais pas. On dit que de crier ce qualifiant "lier" pendant un discours au congrès US, ça ne se fait pas. On peut le penser, le dire à son voisin, mais le crier haut et fort, non. C'est pas beau. MacBush lui a donc dit de s'amender publiquement. À qui ? Au représentant du district numéro deux de Caroline du Sud, Joe Wilson, un Républicain.

Ici, soit à la Chambre des Communes ou à l'Assemblée Nationale, c'est la même chose. Mais on l'entend à chacune des sessions parlementaires. J'ai regardé plusieurs compte-rendu de ce discours, je vous laisse sur l'inquiétude de l'électorat Of United States.

samedi 5 septembre 2009

Moulin à vent.

Le petit Kébek d’aujourd’hui se torture par en-dedans. Et oui, des intellos veulent commémorer la petite histoire. Titré "Moulin à Paroles", l’évènement, qui se déroulera samedi le 12 et le lendemain, le 13 septembre 2009, nous évoquera la défaite et autres cocasseries, avec un grand C et grand D. Pas celle des Nordiques, ni celles des Canadiens, plutôt celle de nos compatriotes, contemporains et autres. Décor, les Plaines d’Abraham et un contenu ; des textes prélevés ici et là au cours de notre histoire à nous, les Canayens français. J’entends les politiciens au pouvoir d’ici signaler leurs absences. Hamad du Québec dit non, car trop de souvenir d’assassinats dit-il. Madame Verner, oui, l’Honorabe Ministre de la Francophonie itou, s’en abstient. Principale objection, les liens avec le FLQ et la violence, en fond de scène. Par la suite, le maire de Québec s’en écarte, fini la 401ème et la polémique. Peu après, Gillet retire sa participation car ce moment tourne à la partisannerie ; trop péquisse peut-être. Un seul Honorable, au courage historique, insiste et signe, Benoit Bouchard viendra. Lui, il y est déjà et ne comprend pas les désistements malheureux comme il dit. Perso, je ne pourrai y être. Je me rendrai au départ de mon plus jeune fils vers la France ; il traverse porter notre nature française. Dimanche, pas endimanché du tout, j’irai voir mon plus âgé des gars au marathon de Montréal. Lui, il affrontera tel un moulin à vent, Éole. Finalement, je ne crois pas que cette occasion attirera bien du monde. Vous savez l’histoire au Québec, c’est d’une banalité déconcertante.

vendredi 4 septembre 2009

Démocrate jusqu'au bout des... (choisissez le qualifiant)

Une semaine politique sur la scène fédérale et municipale. On aura beau dire, les médias se chicanent pour la news éclatante. Prenez Montréal, c'est le parvis des placoteux par excellence. Sauf que pour le reste de la Belle Province, c'est négligeable. Bien que celle-là m'intéresse. Ici je parle de moi, et je suis une quantité négligeabe... Je retiendrai deux noms Harel et Tremblay. On dit qu'elle a sorti le balais (ménage automnal) lors de cette soirée pop, "je lance la première boule". C'est de bonne guerre. Tremblay fait appel à ceci : "le passé ? c'est du passé, regardons vers l'avenir !" J'en oublie, non ? Au Fédé, j'ai le tableau de tous les synonymes qui existent sauf en Anglais. Je pense au mot, participation négligeabe. Ignatief ? l'Iranien en vacance qui a cru bon ne rien dire depuis des lunes, et vlan ; vlà qu'il s'annonce avec sa troupe en direct de Sudburry en divulgant sa stratégie du déjà-vu. Le Pm lui, sur de ses moyens et de ses appuis à l'autre bout d'ici, se dit prêt. Pourrait-il en être autrement ? Et le canayen dans tous ça ? Des breloques comme dans le temps, une sorte de 5, 10, 15 mythique.