jeudi 24 septembre 2009

Richesse des travailleurs.

J'aimerais parler de ce sujet qui me tient à coeur.

Vous savez, que l'on soit sur l'Île Métropolitaine, dans la Capitale ou en Région, le boulot c'est le boulot. Je, tu, il, nous, vous et ils travaillent tous pour leurs croutes, en famille parfois, et autres victuailles essentielles.

Montréal est dans l'Axe, je reconnais cette Axe et j'espère que vous aussi la reconnaîtrez. De tout son long, la croissance présente ne va pas en aval. Pour l'instant, le vent d'amont transporte nuées grises et lourdes. L'ère actuel des gains n'est pas aux richesses naturelles mais à la main d'oeuvre de la bureaucratie. Ce n'est pas saguebleu qui le dit mais les études sur le chômage. Les grandes agglomérations s'en tirent mieux.

Au passage, saviez-vous que nous étions des partenaires ? Vous me voyez venir avec mon carton, je sais, mais laissez moi terminer. Sans les richesses naturelles, notre Belle n'est rien. Cependant, je comprends très bien la désaffection pour les villages, économie j'entends. Je le crie plus haut. Je le sais, car notre population s'inflige une décroissance depuis belle lurette.

L'hommerie d'ici cherche le ou les coupables car les victimes sont trop nombreuses. Bien que vous soyez loin des coupables, tentons ensemble de trouver des solutions et non, je ne dirai pas viables comme nos hommes politiques, afin de résorber la guigne des uns comme des autres.

Les Régionnaux auront tendance à blâmer l'exilé car il a fuit. La fuite ne vient pas tant d'eux, que de nous tous, qu'ils soient en aval comme en amont. Cessons d'avaler tout ce qui nous est raconté et rassemblons ce qui reste de nous, la bonne volonté

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