samedi 26 septembre 2009

Pierre Falardeau.

Le gueulard n'est plus. Certains en seront soulagés bien qu'il laisse des tristes. Des tristes qui le préféraient à de nombreux, tellement silencieux. Je n'étais pas d'accord avec lui toutletemps, qui pourrait l'être ?

Ce babyboom impitoyable en devenait trop distorsion, tellement, le propos s'épivardait. Ce colérique "barbutabac" visait juste mais trop large. Son cinéma caricatural ne pouvait laisser personne indifférent, je riais jaune, pas vous ?

EXEMPLAIRE

Alors voilà, il est disparu pour maladie et une autre encore plus jolie s'en est allée, la veille d'un jour, accablée et angoissée. D'un autre genre.

Adieu

1 commentaire:

  1. Un drôle de pistolet. Je n'étais pas toujours d'accord avec le contenant mais Falardeau était avant tout un gars de contenu. On l'aime ou on le déteste mais on ne pourra pas dire qu'il se cachait ou qu'il ne défendait pas ses positions. Tous seront d'accord là dessus.

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