mercredi 31 mars 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite…

Tout décideur, lorsqu’il pénètre dans un lieu de décisions, désire être reconnu. En admettant qu’on l’ignore, il devra au plus tôt se faire connaître et s’imposer habilement. Sans cela, les décisions de la Q ne refléteront pas ses désirs ou pire pourraient lui nuire. En tout état de cause, la sentence devra lui être la plus favorable que possible.

S’il bénéficie d’une réputation crédible ou vient d’une organisation prestigieuse, les décisions ne devraient pas trop l’affecter. Ceci est facile à comprendre. Chacune des organisations alimentent l’organisation centrale ; l’une d’elle investira 3% et l’autre 15% des budgets du QG*. Assis à la table, je ferais en sorte de subir un traitement équitable.

Une rumeur circule et je la cite en exemple. Un des officiers actuels de la Q était à l’emploi de l’une des équipes. Son ex-patron lui octroyait un salaire bien évidemment. Insatisfait de ses services, mutuellement, ils conviennent de ce transfert ; officier au bureau de la Q. Désormais, il accomplit une fonction de surveillance. L’histoire ne dit pas qui le paie, mais bon, son contrat est respecté.

Je sais c’est une rumeur, mais elle est utile. En admettant qu’elle soit fausse, dans la réalité de tous les jours, le type est à l’emploi de la Q, dans un rôle d’officier depuis qu’il a été remercié de l’organisation prestigieuse. Les dirigeants de la ligue junior du Québec ont le droit me semble d’avantager les collègues. Je m’interroge aussi, et c’est mon droit, de quel côté iront les interventions du monsieur.

En contre partie, une équipe qui bénéficie d’un avantage, d’un acquis. En exemple, une équipe bénéficie d’allocation de la ligue pour le voyagement. Elle contribue au QG autour de 3% ; à sa place je me ferais tout petit. Détrompez-vous, ils crient sur la place publique et s’objectent aux différentes ordonnances des officiers. Attendez l’ambiance en huis-clos !

En quelque sorte, tous ont des avantages et des inconvénients. Comme le dit l’adage ; vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade. Non, plutôt, vaut mieux être riche et malade que pauvre et en santé ou vaut mieux être pauvre et en santé que riche et malade, voilà, je l’ai. La suite de ce billet tiendra compte de la réalité, comme qu’on dit ; rien ne vaut le plancher des vaches.

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Monsieur Le Maire ?

"Monsieur Le Maire, je vous en prie, soyez compréhensif, je vous implore..." Ben allons donc, nous ne sommes pas en terre de despotisme.

"Le maire exerce le droit de surveillance, d'investigation et de contrôle sur tous les départements et les fonctionnaires ou employés de la municipalité, et vois spécialement à ce que les revenus de la municipalité soient perçus et dépensés suivant la loi, et à ce que les règlements et les ordonnances du conseil soient fidèlement et impartialement mis à exécution. Il soumet au conseil tout projet qu'il croit nécessaire ou utile, et lui communique toutes informations et suggestions relatives à l'amélioration des finances, de la police, de la santé, de la sûreté, de la propreté, au bien-être et au progrès de la municipalité".

Le maire possède également un pouvoir de suspension des employés et des fonctionnaires municipaux, pouvoir qui est toutefois soumis à certaines conditions (art 52 al.2 LCV). Le Code municipal du Québec (L.R.Q., c. C-27.1) prescrit lui aussi à peu près les mêmes pouvoirs (art. 142 CM). wikipedia

La démocratie permet autant de pouvoir. Un être qui possède la majorité et une quasi unanimité, aura tendance à l'exploiter au maximum. Au quatre ans, nous aurons le loisir, nous citoyens, d'agir en conséquence.

Les conseillers ont aussi des devoirs envers leurs commettants. Ces élus voient aux bonnes affaires de la municipalité, dont leur district. Eux aussi, seront soumis à l'électorat à tous les quatre ans.

Durant le déroulement d'un mandat, les citoyens doivent rester vigilants. Ils peuvent s'opposer seule ou en groupe, autres signes de démocratie. Ils peuvent rencontrer les élus et les sensibiliser à un problème de gestion de leur ville.

mardi 30 mars 2010

Lui, y connait les négos...

Depuis le début des négos du Front Commun, Monsieur Arseneault en devient le personnage central. Tellement, Madame Carbonneau grimace d'être tassée et Dominique Verreault se fait coï. Veut-on rétablir des éléments publics en d'autres occasions intimidantes et ou démontrer de bonnes intentions aux citoyens ?

Le Syndicat des Infirmières retournera-t-il à la table ? Le trio que voici

semble historiquement impressionné, bien plus que Régine Laurent l'a été.

Un autre Maddof, mais verre fumée en sus ?

Le premier vendeur de ce spécialiste fût Guy Gendron de Radio-Canada. Rapaille impressionne tellement que l'émission fût rediffusé.

La première impression joue souvent des tours mais pas tant que ça. Néanmoins, il aura choqué un être curieux, probablement frustré par ses verres fumées. Puis, la fouine scrute et trouve un tas de mensonge gros comme le Big Apple. Tout était sur le web. Est-ce une part du cerveau reptilien ?

samedi 27 mars 2010

The old Cohen !

J'ai une pensée pour les Palestiniens, d'où qu'ils soient...

When they poured across the border, I was cautioned to surrender. This i could not do; I took my gun and vanished.

I have changed my name so often, I've lost my wife and children But i have many friends, And some of them are with me.

An old woman gave us shelter, Kept us hidden in the garret, Then the soldiers came; She died without a whisper.

There were three of us this morning I'm the only one this evening But i must go on; The frontiers are my prison.

Oh, the wind, the wind is blowing, Through the graves the wind is blowing, Freedom soon will come; Then we'll come from the shadows.

Les allemands étaient chez moi, Ils me disent, résigne-toi, Mais je n'ai pas peur; J'ai repris mon arme.

J'ai changé cent fois de nom, J'ai perdu femme et enfants. Mais j'ai tant d'amis; J'ai la France entière.

Un vieil homme dans un grenier, Pour la nuit nous a caché, Les allemands l'ont pris; Il est mort sans surprise.

Oh, the wind, the wind is blowing, Through the graves the wind is blowing, Freedom soon will come; Then we'll come from the shadows.

Mes adresses.

Comme les temps changent.

J'ai toujours eu un adresse civique. La majorité des gens itou, en ont une. J'ai dû avec les années en cumulés une quarantaine. 1051, 170, 327, 626, 752, 585, 44 sont les chiffres qui me reviennent, vite vite. Murdock, Beaujelais, Joliette, Rachel, 3 Racine, 2 Arthur Buies, Hunt, Blough, Sydenham, Bishop, Bernard, Broadway, Bécard, Boulevard Saguenay, Hospitallières sont des noms de rue qui me viennent à l'esprit.

De même, depuis l'essor du web, j'ai eu une quinzaine d'adresses. En simultanée, une pour les choses sérieuses, une pour le social et une pour les choses disons, utiles.

Mon adhésion à Facebook, j'avoue ce profil, m'amène dans un tout autre univers. Celui de la chose publique, oui, ma vie publique ou le webastre. Contrairement à toutes mes autres résidences, cette page publie aussi ma photo, la même depuis mon adhésion.

Là, y a du vrai et beaucoup de faux. Normal, puisque l'individu réagit avec ses perceptions, sa première impression. J'affiche une image, la mienne, ponctuelle. Qu'en déduisent les "AMIS" ? Mon aveu se situe-là. Les premières impressions sont souvent fausses et dans la vie de tous les jours, c'est comme ça.

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

Suite…

J’oubliais. Celui qui détient des records comme hockeyeur pro, Monsieur Roy, cumule ses succès dans un amphithéâtre de 15 milles sièges. Il pari gros mais gagne gros. Même qu’une année, en compensation, Expo-Cité lui accorde un rabais à la location ; 1$ pour le Colisée Pepsi. Le hasard, faisant bien les choses, cette année là, marque l’entrée de l’onéreuse entente avec Angelo Esposito. Y a pas que ça ; les succès aux guichets progressent d’année en année. Abonnements record. Assistance totale, depuis 2003, une moyenne de +13% par année. Le savoir faire de cette organisation ne se dément plus.

En gros, deux exemples avec des succès indéniables. Un secret ? Le savoir faire. D’autres villes réalisent aussi des succès. Néanmoins, le tiers des équipes de la Q livre un combat difficile. Oui, les succès sur la glace sont mitigés, et oui, les organisations éprouvent une difficulté sérieuse de gouvernance, même récurrente. Le gouverneur de chacune des équipes sait ça. Tous autour de la table, les gouverneurs se rencontrent et représentent une réalité, la leur en premier.

En 2010, plusieurs formations (6) prétendent à un printemps long et lucratif. S’ils en sont, c’est qu’ils auront connu souvent une saison faste. Le succès attire le succès. Une organisation participante aux séries d’après saison, ajoute des revenus importants. Depuis toujours, c’est là que la vente des abonnements se matérialise le mieux. Tout le reste, la restauration, boutiques souvenirs et autres objets promotionnels moussent les bénéfices. Manœuvrer dans le carré d’as, ajoute 8 parties, au minimum, ou additionner des revenus extraordinaires.

Exhibons l’intégrale ou la parfaite ; la participation aux matchs d’après saison allonge le calendrier. Une huitième de finale assure un minimum de deux parties, la quart de finale, deux autres, une demie, deux autres et une grande finale, 2 autres parties. Ce scénario est rare, alors ajoutez une couple de série en 6, les revenus explosent. Pour une petite machine c’est une manne qui épongera des pertes ici et là ou alors, facilitera un programme de stabilisation et de recrutement ; 20, 25 % des revenus annuels ce n’est pas.

Lors des réunions des gouverneurs de la Q, les finalistes du carré d’as sont plus respectés qu’ils ne l’étaient. Je ne dis pas qu’ils étaient des parties négligeables par le passé. J’affirme cependant qu’ils ont gagné des points. Tellement, que le seul aspect stabilité renforcit les prises de décisions. La régie interne de la Q, que ce soit par le commissaire ou ses officiers, s’en trouve influencer. Qu’elle soit d’un petit marché ou d’un moyen, elle n’aura cependant jamais le même poids qu’un grand.

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Les voiles et les fichus...

Un intervenant dit que le Québec se dénationalise de sa tradition, de son histoire et de tout ce qu'Il est pour accommoder. Je clame aujourd'hui, de mon clavier, que nous banalisons ce que nous sommes en négligeant la conséquence directe, l'identité.

Je m'explique. Pâques est tout aussi chrétien, que l'Action de Grâce, que Noël, que la Saint-Jean l'est. Les Hommes auront la capacité de triturer le sens des mots mais d'égarer l'histoire, jamais.

En ce sens, certains prétendront à des fêtes païennes déguisées de religiosité, détrompez-vous. Derrière chaque fête, la nature reprend un tout autre sens, une déification, loin du hasard et des pronostiques déviants. Nous aussi, le dimanche exigeait un couvre-tête ou un petit fichu sur la tête des femmes.

vendredi 26 mars 2010

Douleur de catho.

Je le dis sans ambages, je n'ai pas mal à l'âme. Ma douleur est ailleurs. Vous pourrez toujours m'interroger, ça ne changera rien au déroulement de cette infamie qui ne cesse de finir. Vous avez probablement deviner à quoi je fais référence.

Je reviens à ma douleur et à celle des gens sensés, le péché ou l'impuissance. Les perversions appliquent une douleur indescriptible à une victime. Ce mal dure longtemps et laisse des cicatrices. Rarement s'évanouit-il ?

L'être de perversion se souvient possiblement d'avoir été victime. Cette douleur le conduit à reproduire ce mal. Sinon, il y a bien eu une première fois. Un peu comme un cauchemar s'installe dans la nuit, une première fois.

L'adage qui dit ; là où est l'Homme, tôt ou tard, jaillit son humanité. Et bien, Il est venu sur terre pour nos imperfections et nous racheter. Juste pour ça.

Le vêtement que porte le monstre importe peu. Un climat de confiance prévaut, une attention tendre puis, la malveillance et c'est le calvaire. Mon Église n'y échappe pas. Les acteurs silencieux et complices doivent être jugé. Ils subiront un châtiment, il adviendra tôt ou tard.

Je m'oppose à la généralisation facile. Lorsque l'observateur dit les prêtres pédophiles, il fait fausse route. Le juge accusera l'Individu jamais la robe.

samedi 20 mars 2010

Le Québec grenouille...

Que se passe-t-il donc dans la Belle Province ? Tout ce sait dit l'adage. Icitte, c'est tout est magouille. Les noirs se disent traqués suffisamment pour ameuter la Communauté de couleur. Les italiens crient aux insinuations perfides et cyniques, dans les sketches et tout partout. Les gars de la construction se plaignent d'intimidation. Les québécois de souche, pas mieux, couchent avec des louches, italiens ou noirs, peu leurs importent, pourvu que regorgent nos poches de ce fric si dure à toucher, à conserver. Pendant ce temps, la classe politique joue dans le rouge sang des hôpitaux, le rouge des parties politiques et les négos qui s'amorcent injustement.

mercredi 17 mars 2010

kébec et monrial ou vice-

Tous les acteurs y sont, il suffit de les payer et de faire à kroire, c'est simple. Tout est planifié pour que le tout soit rentable. Est-ce que ça le sera ?

Identité comique Anglaise.

Faisant suite à mon topo sur l'Identité, j'ai cru bon placer un clip d'humour anglais qui suscite un intérêt ailleurs qu'en Angleterre. Le rapport à l'identité est par démonstration, une sorte de zoom sur la différence de point de vue, occidental disons. J'avoue qu'il est mince mais un peu de nuance bordel.

mardi 16 mars 2010

Mon Identité a aussi du Catho.

"C'est la mémoire qui fait votre identité ; si vous avez perdu la mémoire, comment serez-vous le même homme ?" Voltaire.

Je ne suis pas seulement un nom ni une signature, une empreinte, une carte, un dossier ni même une photo accoler à un passeport, je suis plus que ça. Je suis donc mémoire avec un passé, mon histoire. Cette histoire, on aura beau la parfaire, elle sera toujours imparfaite.

En emménageant ailleurs, à l'étranger ou même ici, dans un quartier qui m'est inconnu, il ne me resterait que des images et des mots. Il me faudrait refaire des repères, des liens de reconnaissance. Si je n'en dénichais pas, il me faudrait en fabriquer, pour me situer dans l'espace, presque ignoré.

Comme citoyen, je préfère être reconnu dans mon milieu. Me faire sourire, un signe de tête ou un regard enjoué, tout ça facilitera mon intégration quotidienne. Je préfère les marches tranquilles à la foule en me rendant au boulot. J'évite pas la cohue bien que j'opte pour l'ordre civique.

Face à l'étranger, je sais qu'il est différent. Pourtant, j'assume sa présence comme étant un bienfait pour moi, un plus. Un geste d'humanité réciproque permettra d'aller plus loin, une voie à découvrir.

Toutefois, je conserve ce que je suis, garder l'essentiel, ma conscience acquise et, de soit, tout l'inconscient. La part d'innée est aussi derrière, en héritage, sans nom ni mot, latente. Parfois, cette part ressurgira sans explication tel un rêve, un cauchemar. En évitant l'amertume ou l'émoi, je me devrai de l'accepter, encore l'assumer.

Jusqu'où irais-je ici pour accepter l'étranger et abandonner la part de ce que je suis ?

Ici, je ne crois pas qu'il faille abandonner quoi que ce soit. Vous savez, c'est comme ça. L'étranger ne pourra que mieux se guider et s'orienter face à moi. En tergiversant, l'étranger n'en sera qu'à une vague impression de vide.

lundi 15 mars 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

Suite…

Le niveau junior, c’est l’instabilité relative. Une question de cycle. À chacune des saisons, soit le directeur hockey vend, achète ou essaye le statuquo, pour défier la conquête. Ce directeur n’est pas seul à décider. Les gestionnaires de l’équipe entérinent ou exigent une volteface. Atour de la table, ils sont tous là ; les pours, les contres et les ambivalents. Le plus crédible de l’organisation émettra son veto et vlan. Soyez-en persuadés, l’organisation en a toujours un

Bon ! S’ils vendent ou achètent, le groupe devra gérer selon. Lorsque l’assistance dans l’aréna est en baisse, les patrons gèrent la décroissance. En hausse, ils gèrent l’abondance. Dans le premier cas, comment atteindre les objectifs budgétaires, un dilemme. C’est possible et simple, si la confiance des amateurs est positive. S’il y a méfiance, un tour de force s’impose. Plus vite, on aura une équipe représentative sur la glace, plus vite le contentement.

Cette course au triomphe dépend de peu de chose. Prenons une équipe comme Chicoutimi, une des plus anciennes de la ligue. Un cycle d’errance et de défaitisme a conduit à ce qui arrive toujours. Déficit et pire, toute une suite, quasi le désastre. Une rumeur de déménagement circule. Les élus municipaux s’imposent et de nouveaux acquéreurs s’installent. J’évite tous les menus détails. Bref, une troupe bénéficiant du poids populaire se jette dans l’aventure.

Sur la glace, un escadron patine mais ne performe pas au goût des nouveaux patrons. Les chefs du second étage bouge vite et engage un coach local d’une équipe adverse. Le gars s’amène et transforme cette équipe perdante en équipe gagnante. Tant, qu’ils bataillent loin jusqu’au carré d’as. Le succès permettra d’élaborer un plan d’abonnement, du jamais vu. Un cycle de six ans se poursuivra comblant les gestionnaires totalement.

En 2003, dans la même ligue, un chef de file ouvre ses valises et il se nomme Patrick Roy. C’est un propriétaire, un directeur-gérant et pour terminer, il prend les rênes à l’arrière du banc. Son équipe joue alors dans une petite aréna. En peu de temps, son club junior devient la plus prestigieuse organisation de la ligue canadienne de hockey. Ses succès de joueur pro d’une réputation mondiale, métamorphose l’organisation tout entière. Il gagne tout.

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dimanche 14 mars 2010

Une sorte de sionisme poétisée.


Herbert Pagani:(qu'est ce que le sionisme)
envoyé par yahadoute. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Décédé à 44 ans, Herbert Pagani, passait par le Grand Échiquier. L'artiste qu'il était, ne reconnaîtrait plus Israël, tellement Gaza est devenu Palestine. Le vice-président étasunien ne sait comment agir, gêné et abasourdi. Qu'à cela ne tienne, le premier de Tel-Aviv n'aura qu'à s'excuser des colonies et promettre.

samedi 13 mars 2010

Jean Ferrat, merci pour avoir...

Perso, Ferrat c'est un interprète à voix. C'est aussi un chanteur Français placé avec les Reggiani, Bécaud, Aznavour, etc...

Brel a marqué une époque et Ferré l'a immortalisé. Ces deux grands étaient plus sombres mais comment révélateurs d'une désobéissance face à des dogmes, pour moi, toujours interpellants et signifiants.

Tous ont une chaleur inestimable.

"Régionalisse ? Oui !"

Régionalisse ?

Oui, j'en suis un et je l'avoue sans retenu. Ce matin s'ajoute à ma conviction, de le demeurer avec cette nouvelle à propos du boulot de Fabconcept.

(...

Saviez-vous que je suis livreur ? Bien oui. Je transporte du verre en feuille. Des verres de tous genre, donc du miroir et du décor. Aussi de la matière de fabrication, plastique en feuille, métal en feuille, des tubes et des angles, bref, du matériel à usiner.

C'est quoi le rapport ? Un instant, on relaxe.

Voilà, j'effectuais une livraison à cette ancienne petite école, genre école de rang. Un lieu cerné de mystère, désaffecté presque. Imaginez, avec panneau dans les fenêtres et tous les secrets qui vont avec l'image.

Avant tout, il fallait montrer patte blanche, par intercom et rester-là, avec le moteur de mon diésel tonitruant. Puis, on venait à ma rencontre. Par la porte entrouverte, une tête en sortait qui me scrutait illico. En disant le volume de mon colis, le mec n'avait d'autres choix que d'agrandir l'entrée. Sans entrer, je passais mes feuilles de 2 mètres par 3, à deux gars convoqués pour la cause. Ma feuille plastique n'était pas tout à fait entré qu'on signait mon bon de livraison et :

"Merci !"

...).

Maintenant, passons au moment de conviction, pour moi, assez réjouissant. Les nouvelles veulent que cette endroit sans voisinage ait créé de toute pièce un véhicule amphibie à chenille. Ce marché promet puisqu'il est conçu pour des lieux peu fréquentables ; les marais et autres lieux peu communs pour l'urbain que je suis. La prospection minière dit-on réaliserait des économies extraordinaires.

Autres news d'impact ; le nouveau klondyke serait ici, dans la vieille région vaste, qu'on appelait la 02. Les compagnies minières investiraient jusqu'à 1 milliard de creusage. Petit hic. Notre gouvernement devra se montrer à la hauteur de leurs visions vertes et nous, les citoyens, conserver le volant.

vendredi 12 mars 2010

promotion et oseille...

Je n'ai pas la prétention d'être un spécialiste des syndicats. Ce qui se déroule comme histoire rocambolesque n'est que la pointe de la cime d'un iceberg. Croyez-moi, la situation que tente d'illustrer les médias n'est pas réservée à une région. Elle est incrusté sur à peu près tous les mégas chantiers.

Les centrales syndicales ont besoin de fonds récurrents. Les permanents, désireux de le rester, s'imposent par des moyens intimidants sur tous les chantiers. La commission de la construction et tous leurs enquêteurs ne protègent pas tous les travailleurs. Ces agents ne répondent qu'aux plaintes à l'égard des travailleurs, sans cartes de compétence.

L'Opération Marteau ne pourra mettre à l'abri des bandits aux visages inoffensifs à cravates, témoins et militants. Toutes les professions qui touchent la construction et même ailleurs, sont complices tellement la complexité est manifeste. Une commission d'enquête seule peut accorder un minimum de protection à ceux qui voient et qui entendent. Les systèmes frauduleux infligés en ce domaine se multiplient dépendant de la situation.

mercredi 10 mars 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

Suite…

Ramenons deux choses : la Q priorise d’abord les bénéfices et ensuite le spectacle présenté à l’aréna. Toutes les décisions s’effectuent en ce sens ou dans cet ordre. Bien qu’on est vu différentes initiatives dans le passé qui ne visent pas directement ces objectifs, en y réfléchissant, on comprendra vite que c’est pour mieux répondre à une opposition croissante et à une concurrence qui se dessine.

Voici une ou deux annonces qui vont dans ce sens. Les bagarres sont de plus en plus rares. Même les joueurs qui avaient développé cette spécialité sont laissés de côté. Toute la réglementation à cet égard le confirme, généralement. N’en déplaisent à une certaine clientèle, les résultats sont là. Il y a bien ici et là un ou deux matamores, mais la tendance tend vers la disparition des boxeurs sur patins.

Un autre investissement, remontant à plusieurs années déjà, donne l’impression d’un déboursé altruiste. Oui, il l’est, mais à moitié. Les décideurs savent bien qu’un concurrent pourrait voir le jour à tout moment. La scolarité des joueurs devient donc une priorité face aux collèges américains. Le nombre de matchs au calendrier va aussi dans ce sens.

N’ignorez pas que les responsables des clubs gèrent de bonnes affaires, mais en regardant au-dessus de leurs épaules. C’est compréhensible, car pour la plupart des organisations, ce ne sont pas de riches personnalités. Ces propriétaires ont leurs boulots quotidiens et les responsabilités qui vont avec. Certes vous identifierez de richissimes propriétaires, bien qu’ils soient minoritaires.

Je ne déclare rien de nouveau ici, mais les plus en vus sont les plus riches et les plus influents. Ils ne remportent pas de trophées sauf que l’effet d’attraction est indéniable. L’exemple le plus probant est certes la venue des deux St-John des maritimes ; les Fog Devils St-John’s et les Sea Dogs de Saint-Jean. Sans le montant mirobolant versé pour les 2 concessions, ils n’auraient pu entrer dans la Q.

L’une d’elles, les Fog Devils aura coûté très chère au propriétaire. Après l’acquisition à 3 millions de dollars pour la franchise, Monsieur Dobbin avait payé toutes les allées et venues sur l’île pendant les deux années. Cet engagement devenait lourd de conséquence, trop. Les autres organisations rejetaient la demande de l’organisation terre-neuvienne de défrayer une partie des voyages aériens. Ce refus ne laissait d’autre choix que la vente de la franchise au groupe de Verdun au Québec.

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Culture et nature !

Le débat fragile que fait naître la jeune dame voilée aux yeux attrayants, ne risque pas d'améliorer les perceptions. De même, le ministre de la famille du Québec français, Tony Tomassin, en avalisant les largesses culturelles dans les garderies subventionnées du Québec, risque fort d'attiser les férus de la laïcité. Je ne peux pas dire que la polémique y est, mais les deux Bouchard doivent se faire violence pour ne pas polémiquer davantage sur le multi.

dimanche 7 mars 2010

Coeur de Pirate.

bien que son adolescence est été tumultueuse, la vie de Coeur de Pirate l'aura préféré à tout ce brouhaha. je connais d'autres jeunes qui se sont manifestés sans succès. la bonne étoile va pour les uns tandis que pour les autres, les astres se sont conjugués pour une fin abrupte. cette fin côtoie d'autres avenues comme celles des souvenirs.

mercredi 3 mars 2010

Pierre-Luc .

Le premier mars, je plaçais sur ce blog un anniversaire, soit la deux centième anniversaire de naissance de Frédéric Chopin. Je vous laissais aussi pour vos oreilles, un concerto en mi mineur. Ce matin-là, un jeune homme mettait fin à ses jours, sans que personne d'autres ne le sachent, à part lui. Je crois sincèrement que ce concerto aurait pu l'accompagner et alléger sa douleur ...

mardi 2 mars 2010

dans 100 dodos y aura quoi ?

Et bien oui, le mondial du foot ou du soccer ou du ballon-pied.

J'y serai...

J'ouvre un tite parenthèse comme ça. (Un fait cocasse est survenu à l'égard de la principale inquiétude des médias ; la liaison Internet et la retransmission. Pour prouver l'urgence d'une connexion moderne, les organisateurs ont envoyé par mail électronique un message à 90 km. Il aurait mis 6 heures à se rendre. En parallèle, ils ont placé à une patte de pigeon une clef USB contenant 4 gig. En 1 heure et 10, elle pénétrait dans l'aire visé. Les autorités ont aussitôt placé 17 milles km de fils sous la mer). Avez-vs remarquez, j'ai refermé la parenthèse.

lundi 1 mars 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite...

Ce chapître s’intéresse à la dernière division, Telus Est. Des 4 divisions, s’est-elle qui est la plus prolifique aux guichets. En ayant dans son giron, l’arène la plus visitée au Canada, on comprend mieux ce constat. C’est aussi le lieu des rencontres les plus médiatisés. Un fait curieux mérite d’être signaler ici, l’implication de la Famille Tanguay dans 2 organisations aspirantes.

Le Drakkar de Baie Comeau termine une 13ème saison. Propriété de la ville, la franchise semble être en menace constante. En évoluant dans une enceinte de moins de 3500 sièges, il devient difficile de maintenir le navire à flot. Ville industrielle, avec 25 milles habitants, la restauration du Centre Henry Léonard est plus que souhaitable. À leur début, le Drakkar remplissait la place, depuis deux ou trois saisons, conséquemment, les décideurs hockeys changent à un rythme effarant.

Les Saguenéens de Chicoutimi poursuivent une 37ème saison. Le clan Carbonneau fait son entrée en 2001 et engage en 2003, un instructeur local Richard Martel. Depuis ce temps, le CGV est transformé ; l’engouement et la rénovation aura apporté à cette franchise, la stabilité. Le CGV, même vieilli ou limité, reçoit 3 milles spectateurs en moyenne et à des matchs importants, 4500. L’appui de la ville est garanti, et du monde des affaires, significatif. La direction hockey doit cependant ramener une équipe plus que compétitive.

L’équipe de la capitale, en impliquant Patrick Roy, retrouve son prestige. L’équipe respectable du temps des Diables Rouges refait surface. Aux guichets du Colisée Pepsi, la direction est partie de 800 abonnés de saisons pour la hisser à 9 milles. À l’échelle du hockey junior canadien, c’est le summum avec une ou deux autres franchises. La raison sociale Tanguay procure à la ville de Québec, un marché colossal, des revenus gigantesques. La synergie des affaires et de l’élite sportive favorisent les succès jusque sur la glace.

Le cousin des Remparts, l’Océanique de Rimouski aura généré dans sa courte histoire, une fiche hockey extraordinaire. Déménagé en 1995, la franchise évolue au Colisée de Rimouski épaulé par sa population régionale. Cette amphithéâtre, moulée pour le junior avec ses 5 milles sièges tous neufs, affiche un taux d’occupation attrayant. Le groupe hockey de l’organisation exécute des changements complets. Tantôt dans la cave du classement pour mieux dominer la Q, deux ans après, pendant 2 ans, parfois un an. Malgré cela, le tourniquet des guichets ne ralentissent pas ou si peu.

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200 ans !

que dire de plus...

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite

Regardons la troisième division, Telus Ouest. Depuis l’arrivée du junior majeur dans la métropole, les décideurs de la Q viennent d’accroître leur visibilité. Longtemps, tous auront manœuvré en ce sens et ainsi justifier l’emplacement des bureaux de la Ligue Junior majeur du Québec. Cette section de 4 équipes exige des déplacements onéreux et majorent de manière importante leurs budgets. Certaines ont dès leurs entrées reçues des compensations de la Q. Dans quelle mesure le sont-elles encore, seule les parties en cause sauraient nous le dire.

Vieille de 36 ans, la franchise de Gatineau réalise des prouesses extraordinaires. Enfin la ville consent à améliorer le Centre Robert Guertin de milles sièges supplémentaires et d’une quarantaine de loges corporatives. Cette ville de plus de 250 milles habitants épaulent ainsi tous les efforts déployés par l’organisation des Olympiques. On attribue leurs succès à la proximité de l’un des plus grands bassin de joueurs en Amérique et à Charles Henry, un doyen visionaire.

Depuis le calendrier 2009, le Junior de Montréal évolue à Verdun. Jusqu’à maintenant, les objectifs semblent atteints, mieux, satisfaits les métropolitains. Le pourcentage d’occupation s’élève à 75%, admirable non ? Le propriétaire majoritaire, Farrel Miller, en achetant la concession de Terre-Neuve, s’est vu garantir toute un territoire. Mon étonnement a été suprême lorsque, lors d’une conférence de presse, il révélait être confiant et que sa franchise ne nuirait pas aux canadiens. En jouant à l’Auditorium de Verdun, les administrateurs hockeys visent des sommets courts termes.

Approchons-nous des Huskies de Rouyn-Noranda. Arrivée en 96, cette organisation s’impose une gestion stricte et avec l’appui de la municipalité, réussit à rivaliser. L’Aréna Dave Keon offre beaucoup d’ambiance bien qu’une structure du junior majeur nécessite des installations minimales. Ici, ce n’est pas le cas. La bonne santé de l’équipe passe par une structure hockey efficace. Cette ville de 38 milles personnes devra améliorer sa bâtisse bâtit en 1951. On annonce un projet d’une dizaine de millions.

Plus près de Rouyn, les Foreurs de Val d’Or sont, depuis 93, une équipe impressionnante sur glace. Au fait, beaucoup d’ex-Foreurs patinent sur les glaces de la LNH. Le Centre Air Creebec donne avec un peu moins de 4000 accès aux guichets par parties des résultats mitigés. Notons que l’organisation de Val d’Or est soutenue fortement par le milieu des affaires et la ville de 35 milles âmes. L’amphithéâtre nécessite tout de même d’autres investissements.

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