samedi 26 mai 2012

Place Gamelin


Je parle d'une place, celle de la Gamelin.

Émilie Gamelin, née Émilie Tavernier, une nonne, fonde en 1844, les Soeurs de la Providence. Ces soeurs prendront soin des femmes seules.

Les Montréalais occupés par leurs casseroles revendicatrices savent-ils réellement Gamelin, d'où part leurs manifs ?

Démocratie


Hier, j'ai zieuté avec attention RDI :



Pour ceux qui ne l'ont pas vu, il y avait François Lépine, l'omniprésente Anne-Marie Dussault, les porte-paroles étudiants et l'oeil du dernier sondage CROP. Tous ensemble, ils ont tenté de faire la démonstration, la leur.  Sauf, la ministre Courchêsne toute chétive sous les regards ironiques d'Adolf (Dubois-Nadeau).



                                                                 Comment peut-on être totalement être de ce
                    

                                                                                                              ou totalement

Je le dis aujourd'hui, je suis d'abord un peace and love, un non-violent ( identifier ici au plus grand des carrés) le carré blanc.  Celui qui est transparent virtuellement.



On propose une sortie de crise.  Après trop de jours, la scène suggérera le


Tout ça, à la veille d'un nouveau pouvoir. Ce pouvoir qu'il faudra tôt ou tard, baliser autrement qu'un X au quatre ans.

Pourrions-nous dénicher une procédure, un peu comme le doc, d'autrefois, appliquais la saignée sur le champs ?  Traitement efficace parfois.

La proportionnelle n'est pas parfaite et les réseaux sociaux, pas mieux.  Oui, elle permet à chacun de s'exprimer, et ...

L'électorat se butera à une réalité ; un gouvernement.  Sera-t-il minoritaire, nul ne le sait ?

Les casseroles glinglinent pour l'instant.  Il est vrai que Madame la Juge annonce son couperet.  Sera-t-il incisif, correspondant aux attentes, j'en doute.  Aussi, le peuple devra cesser d'attendre au rebond, une démocratie, qui n'a rien d'instantanée.





 















vendredi 25 mai 2012

États généraux des tours d'ivoire ?



Ce document me semble suffisamment intéressant pour m'interroger.

En ce siècle du savoir, du savoir des communications, du savoir de l'instantanée, pourrions-nous comme société savoir la portion du réel et ou du rêve, en ce qui touche l'éducation des hautes études ?

Je me suis laissé dire que la hausse promulguée de 85%, au Québec, sur 7 années, représentait une juste équation. Que la hausse équivalait à l'équité.

Moi, le citoyen, je prends position sur des données que je reçois. Maintenant, si la société, par et au-travers tout son savoir, s'exclut du débat fondamental, le vrai, en s'éloignant du rêve, proposons alors des gens prêts à en débattre.

Aussi, lorsque les partis en cause, qui nous privent de cette paix social, sont aussi distanciés, c'est incompréhensible et innommable. Écoutez, entre une participation estudiantine de 17% ou de 0%, il ya une marge.

Un jour, saurons-nous où se situe l'équité ?

Vite une étude approfondie de la créature universitaire !

Maintenant, qui dit vrai ? qui propose quoi ?

Pour le savoir et mesurer l'ensemble, comme le suggère certains, montrons ce débat au public, à heure de grande écoute, afin que le juge, le seul en fin de compte, tranche !


Festival de la casserole !

La brunante exhibe un ras-le-bol concerté. Pour le démontrer, une part importante du peuple frustré tape sur leurs casseroles.

Sans interdit ou presque, les gens des cités disent, par ce tintamarre populaire, non, à des élus : "non, tu ne m'empêcheras pas d'exprimer mon écoeurement". Du plus âgés aux plus jeunes amusés, même les perrons d'église se prêtent à la rue, pour dire au maire de Montréal, " non ! nous on ne pliera plus l'échine sous vos dictats ".

De même, la place Gamelin regroupe ce soir, comme à tous les soirs depuis plus de 100 jours, des gens, par une température qui appelle à la joie. Oui, cartons rouges, mais aussi, un ensemble divers qui porte le bruit que crée l'impatience. Aussi, une certaine résistance à un pouvoir usé à la corde.

Par dessus tout, la désobéissance croissante surprend tout le monde. Les casseurs se sont tus et légués au Festival de la casserole une certaine démocratie.


Cependant, nos casseroles n'ont rien à voir avec celles des nations opprimés. N'oublions pas camarades, nos élections approchent. Camarades, persévérons en respectant notre démocratie et ses institutions. On aura beau s'élever contre la loi 78, nous ne sommes pas des gens écrasés, sans droits. Le peuple peut toujours s'exprimer.

Maintenant, aidons le pouvoir à s'éteindre dans la sérénité. Pour la fête, tous les Festivals s'en viennent, plus lucratifs qu'une grogne émotive, surtout Montréalaise.





mardi 22 mai 2012

Commission Charbonneau.


Le Commission Charbonneau recevra ses témoins et son public au 500.

Vous remarquerez à droite, l'édifice du Board of Trade, en 1968. Dans une autre vie, j'y ai travaillé. Moi et quelques amis, décrocheurs de l'école secondaire de notre profond Saguenay, nous avons émigrés dans la métropole. Montréal à cette époque était Canayenne. Fonction occupée ; boss boy ou débarrasseur. Je gagnais à l'époque 16$ la semaine. Je pouvais doubler en faisant du montage en aprem. Je déambulais Beaver-Hall tous les jours, demi gelé, dans une sorte d'effervescence, libre.

J'y demeurerais encore, que j'assisterais aux séances de cette commission. Aujourd'hui, oui, mais dans le temps je m'intéressait à la musique pop et l'à-côté, plus balade de l'île en ville. Maintenant, devenu ce que je suis, j'irais conscient. Vous pouvez interpréter ce moment judiciaire comme un virage. Je ne dis pas candidement qu'elle renversera tout, mais la gang à Charbonneau tracera une ligne historique.

Portons attention Citoyen/Citoyenne à cet instant, qui durera le temps qu'il LE faut !

Kébek aux carrés... "suite"


Hier, ou avant, j'illustrais les carrés tendances des slogans politico-sociaux. Je réalise que pour un daltonien, le ton du dialogue lui sera plus signifiant ; bien tant mieux. Pour le dessin en lien, j'avais oublié bien involontairement la carré jaune.

Je le situe pour les daltoniens, à droite, non, en plein centre idéologiquement mais à l'extrême droite du dessin.

Ceci dit, l'aspect progressif jaunissant, en fondu décroissant du haut vers le centre, symbolise que le débat devra atterrir-là. Au centre. Ajoutons à cette complexité bien terre-à-terre, que les arguments en négo doivent être bien en évidence.

Richard Martineau donc, que je ne lis pas souvent, disait dans une de ses chroniques le 1er avril dernier sa symbolique du carré jaune :

« Je suis pour une hausse, mais modérée. »

Actualisée, disons hier près de Place Gamelin, le carré jaune prend tout un sens. Les partis se durcissent, au lieu de dialoguer, afin de reposer nos forces policières métropolitaines dans un contexte social quasi chaotique.

Mr. Martineau suggère une hausse minimale. Au clair, le financement des hautes études sont financés par quatre sources ; nos impôts, 50%, le privé, 30%, les étudiants 12% et 8% d'autres sources. Le gouvernement demande ça.

À entendre les tenants du carré rouge, l'approche négo privilégiée n'est pas complexe ; l'offre = 0 $. Non, comprenez-moi bien, pas le gel des frais, la gratuité. Dans les circonstances, ce serait intéressant que le premier ministre, du haut de son trône vienne discourir à la nation. Peu de gens, à ma connaissance, sont au parfum de l'objectif rouge.

Dans l'histoire des hautes études nord-américaines parlerons-nous d'audace ou d'un manque de lucidité. Ajoutons à ces éculubrations élucubrations cette donnée.

lundi 21 mai 2012

Kébek aux carrés.


Pour une majorité de citoyens, j'ignore, des carrés, lequel retiendrait la palme ?

Le premier du lot symbolise l'opposition de la hausse des frais de scolarité imposée par le gouvernement lors du dernier budget. Un phrase de la plaidoirie des tenants du carré rouge attire mon attention :

« le gouvernement ne nous écoute pas ! »

Le second carré du lot, le vert, symbolise l'acceptation de la hausse des frais de scolarité. Une phrase retient mon attention dans tout ce qui s'est dit :

« Nous avons le droit de suivre nos cours ! »

Le carré presque invisible, mais bien blanc, symbolise une trêve ou un moratoire. Des phrases, l'une a attiré mon attention et c'est celle que je défendais ici.

« pour un retour à la paix sociale »

Le carré sombre, le quatrième, laisse entendre que le gouvernement de Jean Charest tombe dans l'exclusion des droits fondamentaux.

« le Québec en deuil de ses Libertés ! "Yves Claudé". »

Le carré gris, avec un 78, exprime deux idées.

La première, un Québec triste de ces manifs.

Le chiffre 78 élabore la seconde idée. Voici, j'ai bien peur que mon gouvernement, un gouvernement élu bien malgré moi, interpelle l'autre gouvernement. Le fédéral du pm Harper. Puisque la loi 78 n'entraine pas le respect et l'ordre, l'état Québécois n'a d'autre choix que de faire intervenir une force capable de restreindre la colère montréalaise.

dimanche 20 mai 2012

Manifs centralisés.




Bon, au lieu de manifester tout partout dangereusement en travers les véhicules de toutes sortes, les nids de poule, les restaurateurs exaspérés, les ampoules aux pieds, sans compter les casseurs nocturnes, pourquoi ne pas inclure dans la 78, le seul lieu de manifestations, le Stade Olympique de Montréal ?

Les citoyens du centre ville de Montréal pourraient vaquer à leurs petites routines quotidiennes. On verrait lentement les touristes revenir, soit pour swinguer sur des airs de jazz, danser toutes les tounes africaines ou pop. On pourrait tout autant se complaire de poésie avec ou sans grévistes, avec carrés blancrougevert, on s'en fout.

Mieux, rire un bon coup avec les humoristes sans carrés.

Le seul handicap à franchir, négocier l'heure des manifs avec le calendrier de nos sports d'élite en espadrille...

Bon dimanche !

samedi 19 mai 2012

Manifs ?


Montréal a le don de recevoir l'élite rebelle, peut-être masquée. Que ce soit sur les grands boulevards, les grandes rues à sens unique ou les avenues, tous sont les bienvenues.

Non seulement l'élite du Canadien de Montréal, de l'Impact, des Grands Ballets Canadiens, du Cirque du Soleil, non, celle des manifs nocturnes. Oui, on aura beau chercher à l'ignorer, l'élite des casseurs y est.

Question ?

Nous savons tous que les manifs nocturnes finiront en vitrines cassées. La menace intimidante envers les bonnes gens, la désertion du commerce environnant. On s'entend que ça dérange le touriste ordinaire, l'économie quoi.

L'intérêt des pacifistes d'être dans le trafic de ces manifs ? Une cause valeureuse ? Bien sûr que non.

En conclusion, ces pacifistes, soir après soir, c'est du bluff, scusez-le, lancent une ligne avec au bout, une vaine supercherie. Les porte-paroles étudiants répondront mielleusement, à l'unisson :

"Nous condamnons la violence bla bla bla." Ils ne me tromperont pas.

Pour finir. Les opposants au régime Libéral actuel, je suis un Anticharest est-ce le peuple, une majorité ordinaire ?

Non, il n'y a rien de plus faux. Le peuple est pour l'instant non-violent et avec ce gouvernement antipathique mais détenteur du droit. Le peuple patientera jusqu'aux élections.

Non, réalisons plutôt que les manifs couche-tards font parti du grand complot électorialiste, du grand tumulte d'occasion, voire un conglomérat d'opposants, dit du carton rouge. Nommons-les ; les PQuistes, les grandes centrales modernisés (CSN, FTQ, CSQ, SSQ etc...), les artistes francos en fixation perpétuelle sur la nation à tout prix et du populiste de l'est montréalais, des bums, oui des casseurs anonymes.

Montréal est un aire de rebelles en colère. Vous n'en trouverez presque pas ailleurs.

Les pacifistes, offrez-vous donc une pause d'émeutiers, par intégrité ! Ne vous abonnez pas au fascisme, patientez.

Appel-d'offres de mes Sags ?


Bon, avec ce que je viens d'entendre, la ville remet les pendules à l'heure sur le sujet. La grande aiguille et la petite sur argen$. Déplacez la flèche du lien à 2 cm de la gauche.

http://www.lefm98.com/podcasts/sep/2012.05.18-07.00.00-D.mp3

Au finish, selon les propos du maire de Saguenay, Jean Tremblay, l'appel-d'offres lancé retiendra du lot, l'invité le plus offrant.

En un mot, les connaissances hockeys ne seront pas retenues comme critère. Les offres faites par les intéressés seront évalués selon les sommes d'argent promis au terme du calendrier.

Depuis que le groupe actuel gère les Saguenéens de Chicoutimi, les ventes aux guichets n'auront jamais été aussi stables. J'en avais parlé ici. Je me répète, mais de déficit accumulé, les Saguenéens sont devenus une entreprise profitable et plus important, un groupe au niveau sportif et formateur, crédible.

La sélection de joueurs réfractaires à Saguenay est en décroissance. En preuve, la venue du jeune Grégoire.

Oublions tout ça actuellement.

Alors, les amateurs ne s'intéresseraient qu'au montant que ville Saguenay recevra ? J'admets que pour les officiers de la ville, le montant le plus élevé suffit. De même, pour les sept prochaines années, l'amateur a besoin d'être bien servi sur glace sinon les gestionnaires seront déficitaires.

J'irai de ma propre mise. Je sais que je suis sans le sous, mais pour les fins de ce billet, j'y vais.

Je me dois de considérer au départ les cycles du hockey junior. L'échelle 1 à 3. Une première année de reconstruction, une seconde pour consolider et la trois pour prétendre au carré d'as. L'échelle un quatre m'obligera à plus de réserve et ainsi refaire la mise.

J'inclue dans ma mise les autres obligations qui me seront imposés. Premier jet, entre 175000$ et 200000$ pour la location du club les Saguenéens de Chicoutimi. Je coupe la poire en deux : 186000$ par année.

Qui dit mieux ?





varia citoyen point final


souverain

je conçois que le peuple détient la vraie souveraineté. ceux qui la manifestent sont une part du pouvoir, non pas tous le pouvoir. contrairement au gouvernement élu démocratiquement.

la 78

je la place ici. je suis en accord avec cette loi. voici, je ne peux circuler en ville si tous les feux de circulation sont au vert.

français écrit

la 78 a été amendée et adoptée. personne comme Madame myriam ségal n'osera critiquer sa formulation. personne à ma connaissance ne s'est attelé à la tâche. elle pourrait dire : «ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément.» Nicolas Boileau-Despréaux*.


Source : Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent - Dico citations - citation

montréalisation

la majorité des méfaits lors de manifs se produisent dans la métropole kébékoise. oui, une grande concentration d'étudiants s'y retrouve et justifie selon moi des balises exclusives, strictes et sévères.

boycott

je ne le dirai plus, afin de me justifier ; les associations étudiantes non rien de syndicales car ces individus ne reçoivent aucun salaire. oui, ils travaillent fort mais pas dans le cadre d'une relation patron employé.

grève étudiantes

les grèves, les lock-outs, les scabs "briseurs de grève", tout ceci reste un emprunt de termes afin de légitimer des actes illégaux et parfois d'agressions. ainsi, un noyau d'étudiants a usurpé son rôle pour conduire une révolte.

gel et gratuité

il est impossible de parler fiscalité avec un autre s'il n'admet pas au minimum ses responsabilités financières.

gouvernement

jusqu'à maintenant, les élections provinciales auront permis une gouvernance d'un mandat régulier (4 à 5 ans). ici, on voudrait s'en défaire et les renvoyer comme de vieilles chaussettes. ce réflexe "antidémocratique", bien que compréhensible, est irrécevable.

jean charest

le pm se refuse à rencontrer les porte-paroles étudiants. lorsqu'on entend la description de certaines assemblées étudiantes, on ne peut pas parler de représentativité légitime.

porte-parole

oui, certains portent la parole, tandis que d'autres, l'imposent... comme lorsque l'un d'eux prétend s'exprimer au nom de la jeunesse entière.

média

j'exhorte les intervenants de nos médias à questionner le vocabulaire syndical utilisé par les acteurs du débat actuel qui nous conduit à la démagogie.

*

c'est valable pour moi itou sur ce blog.

vendredi 18 mai 2012

Les carrés rouges s'enchevêtrent...


J'assiste actuellement à un débat en commission plénière à la chambre bleu du Québec. La polarisation au Kébek s'anime autour de la loi 78 et c'est de cela qu'on discute en cette chambre que celle du Kébek.

Auparavant, la polarisation l'était tout autant sauf que là, de petites nuances amènent les partis à en débattre. Effectivement, certains articles du projet ou bien des termes offusquent certains acteurs ciblés par la 78.

En exemple, Lisée qui s'en prend à l'article 29 et au terme omission. Juste ça.

Bon. D'un autre côté, je constate que les syndicalistes Arseneault, Parent, Roy s'objectent à la loi 78. Avec quel support ? Celui des travailleurs floués par l'abus dont font preuve ces trois présidents sans préavis s'arrogent un pouvoir qui ne leurs appartiennent pas.

Aussi, les porte-paroles de chacune des quatre associations étudiantes sont contres. J'ai appris avec le temps que ce groupe ne souhaite qu'une chose, la gratuité. Cette vision des choses ne peut être un objectif en soi. Je crois fermement qu'une part des revenus des universités proviendront de ceux qui en bénéficient.

J'en oublie ?

Ah, oui, dsl, les Pquistes au ti-carré, comme par hasard, sûrement pas par omission, sont aussi rouge. Regardez, ils décorent même leur ti-carré pour l'orner d'un subterfuge plus ou moins cristallin. Je poserai ici une question. Son carré rouge aura-t-il la même portée que celui du retrait de Duceppe ?

J'oublie sciemment Khadir de Mercier, carré rouge/blanc, prêt à tout pour séduire un électorat démagogique mini-minoritaire.

PS : on dit :

On dit qu'un député doit refléter l'opinion de ses citoyens. Mon député représente le carré rouge et je ne suis pas certain qu'il soit représentatif de ses concitoyens.

lundi 14 mai 2012

Une loi spéciale ?


Bon, je crois que nous en sommes-là.

La loi devrait contenir des cibles importantes ; l'urgence du retour en classe, des sanctions pour les porte-paroles qui encourageraient la désobéissance, allant jusqu'à l'emprisonnement, de même pour ceux qui créent des piquetages aux entrées des institutions d'enseignement. Aussi, les professionnels de l'éducation qui feraient embûche au processus d'éducation en cours se verraient sur le coup d'une mesure disciplinaire.

En même temps, le gouvernement met sur pied une commission d'enquête immédiate afin d'étudier un règlement de ce conflit et un moratoire jusqu'en 2013 des hausses des frais de scolarité.

J'ai le 14 avril dernier proposer une solution que je mets ici. Je ne suis qu'un citoyen. Je ne peux que constater l'étroitesse politique du gouvernement Charest. Aura-t-il gagné des appuis électoraux ? Poser la question c'est d'y répondre.

Pour finir, que les autorités agissent en gens responsables afin de respecter son engagement en éducation. Une majorité d'étudiants ont droit à ce pourquoi ils ont payé, assister et recevoir leurs cours. Ils ne peuvent pas parce que des gens sans scrupule qui se croient tout permis leurs font obstacle.

samedi 12 mai 2012

12% !


Facebook n'est ni + ni - qu'une loto, une machine avec des sous.

Lorsque Facebook publie un extrait, un mémo, un titre, une ligne sur l'actualité de l'un de ses membres, c'est pas plus de 12% des amiliens qui la voient.

Vous le saviez, moi pas...

J'y songe, 40 personnes, c'est énorme.

McDonough ?

Who is him ?


Ce jeune homme est un bijou avec un X, majuscule, oui.

Ryan, comme si, porte le chandail numéro 27.

Gauthierainay l'a échangé pour Gomez, des Rangers ou des Yankees, c'est pareil...

C'est pas Lafleur ou un Bourque, comme défenseur c'est un Guy Lapointe (Pointu), un, je cherche, un Laperrière avec des +++++, tout partout et une première passe, AAA. Entre vous et moi, Ryan est né en 89.

Patience !


Trois carrés ben ordinaires, vous trouvez pas ?

Vive la démocratie !

Le rouge versent dans un autre univers qui n'appartient pas à la majorité. Les PQuistes exhibent celui de gauche, comme des sympathisants. Ils n'auraient pas dû. Dorénavant, ils appartiennent à la minorité, une minorité sans nuance.

Les verts ne l'exhibent pas tous par crainte de représailles.

Les blancs viennent de paraître dans la sphère en alléguant une trêve. Je m'interroge encore sur leur position, le statu quo à propos de la hausse.

Voilà à peu près où nous en sommes. L'élection provinciale arrivera tôt ou tard. Je la nommerais PATIENCE.

Les partis ouvriront leur livre de suggestions ; du rouge, du vert et du blanc.

Allez ! On se soulève ...





Allez on se soulève !

1973 : À une époque, je découvrais un franco, comme moi ; taciturne, innocence et mélancolique.

Je tournais dans ma Renault X, gelé comme une bean. Léo Ferré m'indiquais une voie tumultueuse et variable. Je ne saisissais pas tout de son texte explosif et coercitif.

J'allais au gré des vents, impulsif et conscient d'une chose, du jamais vu.

La Solitude de Ferré(71), en mini cassette d'époque, se projetait dans mon histoire du verbe et surtout, du rock. D'abord sa voix. Une tonalité flamboyante exhibant les mots comme un drapeau flottant et son tremolo, une brise éclairée.

Certains diront avec raison, que j'atterrissais sur la terre, nombril vert, infaillible, dans ma tête du moins.

vendredi 11 mai 2012

La cellule cul-de-sac...

Dans la CLASSE, nous avons-là plusieurs comités. Bon, je me reprends.

Dans la CLASSE, nous avons-là plusieurs cellules. Celles-ci sont indépendantes et autonomes.

Exemple : Adolf Nadeau-Dubois et son alter-ego féminin n'est pas le responsable de ce mouvement. Adolf est l'un des responsables car tous ne font qu'un. Sa fonction, à part séduire mielleusement son auditoire, il porte la parole.

Autre exemple. La cellule CUL-DE-SAC existe pour nuire à la cité et son économie. Cette cellule ne veut pas faire sauter la cité. Non, ce groupuscule agit en n'ignorant pas sa modeste contribution. Somme toute, la cellule CUL-DE-SAC ose faire payer à la cité ce qu'Elle est, une cage à troupeau.

Les effets collatéraux sont bien entendu multiples, mais surtout économique. La cellule CUL-DE-SAC n'oublie pas aussi la contribution bien involontaire du citoyen(ne).


Suite à ce geste révolutionnaire, le citoyen(ne) ordinaire a vu une autre cellule de la CLASSE. La cellule MANIF a surgi de nul part en plein centre ville encore pour étourdir la cité. Des jeunes étudiantes cartonnées du rouge circulent en trottinant, parfois en courant dans la cité pour écoeurer le citoyen(ne) affairé(e).

C'est ainsi une révolution. Un tas de petites actions dictés. Gare à la montée des actions terrorisantes...



lundi 7 mai 2012

Un ti-peu de carton.


Lorsque je zieutais les manifs de notre printemps hâtif, j'ai perçu des méthodes d'une autre époque.

Effectivement, le syndicalisme, que j'ai appris, s'exprimait férocement sur les lignes de piquetage. On nous suggérait de déranger, de faire éclater, de choquer et même de provoquer.

« Si on dérange personne, on va rester chacun che-nous, clisss ! »

Ce soir, on met en scène deux partis, pour la première fois ; les verts et les rouges. Voilà l'expression réelle de la démocratie me direz-vous ? Oui, nous pourrions le penser. Mais dans le cadre actuel, je n'aime pas. Certains émeutiers avec carré rouge "svp", qui, au nom d'un engagement politique valeureux, conduisent le tumulte et la provoque ; ça, ce n'est plus de la démocratie mais de l'intimidation.

Les nouveaux profs de nos contestataires, en l'occurence Roy (CSN)et Arseneault (FTQ) stimulent depuis le début la grogne minoritaire des élèves en science po et science so. Là, ils découvrent que s'en est assez et leurs demandent d'entrer dans le rang des ptits cons d'enfants riches.

Moi, ça m'écoeurent, car ils subtilisent nos cotisations à des fins irrégulières.



La chose publique ou mieux, La République !


La France est à la une de tous les fils médias. Oui, les Français viennent d'élire François Hollande comme Président, un socialiste, avec moins de 52% des voix. Du coup, le peuple de la 5ème République française a viré Sarko, usé par tout le bling bling et une insatisfaction tranchante.

Parenthèse ; j'apprends que le globe regroupe 193 pays. Vous le saviez ? Moi pas. J'apprends presque de facto que la majorité des états sont des Républiques.

Ici, on est pas en république. Non, c'est une fédération. Peu de peuple s'enorgueillissent d'être une part d'un tout, seulement 9. Le Québec, en plus d'être une part du tout canayen, reste une minorité culturel, linguistique et qu'on le veuille ou pas, ce qu'il reste de catho. Voilà pourquoi, les québécois francophones s'identifient moins au Canada.

Revenons au sujet quand même, Hollande. Les gens, dit de gauche en France, voient en Hollande un réveil historique de la nation. Dans l'Europe moderne, les mesures restrictives se multiplient. On a beau procéder à des mariages de raison géographiques, rien ne dit que des incompatibilités surviendront tôt ou tard.

Défenseur du pauvre et de l'orphelin ? N'exagérons pas. Hollande suite à sa nomination dira ceci : "Je suis sûr que dans bien des pays européens ça a été un soulagement, un espoir, l'idée qu'enfin l'austérité ne pouvait plus être une fatalité. Et c'est la mission qui désormais est la mienne (...) et c'est ce que je dirai le plus tôt possible à nos partenaires européens et d'abord à l'Allemagne. Ma victoire doit être un nouveau départ pour l'Europe".

Je me souviens. Obama avait lui aussi de bonnes intentions. Soyez citoyens attentifs et .....patients.

Tout ce vent de fraicheur modifiera peut-être l'expression ; " maudit français !"



Warren Buffet


Le troisième richard de la planète (Forbes) a le cancer de la prostate. Le monsieur ne s'en fait pas pour ça. La peur de la mort le rend anxieux lorsqu'il pense aux conjoints jaloux. Sa prostate ? Bénin.

Les actionnaires de Berkshire Hathaway voulait être rassuré. À 122000$ l'action, les détenteurs veulent se rassurer.

"Pendant que les pauvres et les classes moyennes combattent pour nous en Afghanistan, et pendant que de nombreux Américains luttent pour joindre les deux bouts, nous, les méga-riches, continuons à bénéficier d'exemptions fiscales extraordinaires", révèlait-il dans Libération.

Qu'attend-on pour inciter les plus riches à cotiser un peu plus. Un ti-peu plus de contribution pour un système qui leurs permet d'accumuler autant de dollars. Les sommes viendraient aplanir bien des difficultés et effacer du rouge en effigie.

dimanche 6 mai 2012

Pour ma nièce !

Univers du savoir............

Je ne suis pas un universitaire. Je suis un travailleur ordinaire, un chauffeur de camion.

Du haut de mes études secondaires, j'affirme que les belligérants n'ont rien à négocier. Écoutez, ils ne parlent pas de la même chose.

Vous avez d'un côté, une vision politique gouvernementale. En preuve, ce gouvernement élu, je le rappelle à ceux qui en doute, a pris comme résolution de hausser les frais de scolarité universitaire, ce, sans appel. À l'usure, cette augmentation s'étale jusqu'en 2019. Tout ça en vu de financer l'enseignement dans nos universités. Les étudiants colmateront une brèche de 17% du financement universitaire.

De l'autre côté, des élus d'associations étudiantes mal défini. Un bloc majoritaire refusent d'emprunter la voie du boycott. L'autre groupe, environ le tiers des étudiants universitaires, se fondent en 4 associations. On allègue de ce côté des points de désaccord avec le gouvernement sur le fond et la forme. Laissons-là les frais et empruntons l'aspect politique. On voudrait modifier l'ensemble du régime non pas l'universitaire seulement, mais de la société kébékoise.

Eh ! Oh !

Présentez-vs aux élections, bordel de merde, ou militez dans Bloc Solidaire.

La contestation violente et masquée brûle tous les cartons rouges. Au bout du compte, votre niveau de savoir ne vous conduit nul part. Votre science ne vous est d'aucune utilité. Les porte-paroles plaident l'innocence face aux tumultes et aux effets collatéraux. Double langage ou un jargon irresponsable.


Ceux qui disculpent une manière de faire qui équivaudrait au néo-libéralisme sauvage, le peuple vous ignore totalement.

Comme eux, je souhaite au lendemain des émeutes, des états généraux sur l'éducation.














samedi 5 mai 2012

Une blaque torture à Guantanamo !

J'entends la suprême Joyce Napier bavasser avec complaisance, facilité oblige, sur le procès militaire de Guantanamo.


J'en montre un ici.

L'invitez à un diner ?

À la soupe populaire, on invite pas, on reçoit.

Le gusse à la photo aurait déjoué les services secrets américains surtout du monde. On s'entend qu'une ignominie comme celle-là, moi je le dis à tout le monde. Mais, c'est juste moi.

Pis je me dis ; à qui paie le crime ?

Si vous me torturez, je vous le dirai. Même que je me calomnierai.

En attendant, la chef de bureau à Washington ne sera jamais torturé car elle est si bien...










ye ye ye



Le son AfricAin est unique en son genre. Je dirAis que le son est du dedAns, dAns la région de l'Âme du ventre. Ce chAnt, cAr pour moi, c'est un chAnt, je l'Ai entendu cette Aprem. "Exile" dAte début quAtre-vingt-dix.

Celui de Geoffey OryemA s'AmAlgAme À tout ce qu'il y A d'AfricAin, du moins, de ce que j'en connAis.

Allez, je vous le lAisse en écoute.








vendredi 4 mai 2012

Marco DI VAIO



Marco DI VAIO trottera chez l'Impact betôt.

Le romain n'a rien d'un jeunot mais avec un contrat d'un an, Viao ne sera pas une nuisance.

Ce joueur possède de grande qualité ; vitesse d'abord, des tirs de gauche ou de droite, impressionnants.

J'ai bien hâte de regarder ces prouesses.



jeudi 3 mai 2012

varia amusant ?

amir et nado-robindesBois ?

vite une web cam, qu'on les regarde entrain de faire la démonstration gratuite onéreuse de ce qué la CLASSE qui bloque tout, en défiant les injonctions et la liberté de suivre un cours dû.

pauvre lucien

le Québec lucide ; les kébékois travaillent pas assez fort, l'utilisateur payeur, la loi c'est la loi, et la souveraineté sans oublier les gaz, pas ceux des lucides non, de shale. manque plus que le ptit carré rouge vert.

recteurs et gestionnaires

restez peinards les hauts gradés, derrière vos tours de verres.

Ben

on dit que sa mort remonte à un an. ah, ça me vient ! La photo de son appart, au Pakistan. la télécommande de son video avec fil, l'ilot militarisé, l'escouade spécial XYZ, la photo de l'exécutif américain



pauline la pofine...

allez, toi et ton clan aux ptits carrés hors la loi. pas foutu de rester en haut, et elle redescend.

molson ?

eux autres, les shows sans contestations, c'est méga. que des admirateurs.

joseph facal

le blogueur-chroniqueur-enseignant-lucide arrive tout juste de Jérusalem en Israël. vous vous doutez bien que son séjour là-bas fût tout à fait juif sioniste. rien sur la "palestine aux palestiniens", non et pourquoi donc...

les profs aux carrés.

"non, moi j'enseigne pas avec le fusil sur la tempe" ! t'es pas assuré bordel de merde.

boycotte

refus de se servir, d'être servi, refus d'apprendre afin de servir et de gagner ce qu'il faut.

masqué ou pas ?

que dire des frasques de la clac ; terrorisé l'autre, son frère, son camarade autant que ses ennemis



mercredi 2 mai 2012

Molsonisation suite...

Petite définition ; molsonisation est l'action de transformer une entité existante à l'image de Geoff Molson.

Marc Bergevin (Bergee) concrétise les démarches de Geoff Molson avec son conseiller favori, le Sénateur, Serge Savard.

Le pressenti est devenu le XVIIième directeur général du canadien de Montréal.

Premièrement, Bergee, c'est un francophone. Mieux, il est francophile. Il demeurera au Québec, ce qui me semble cohérent. Là, je vais me répéter.

Comment promouvoir l'équipe montréalaise, le Canadien de Montréal, si vous ne résidez pas l'endroit ?

Deux. Bergee a une longue expérience et pas toujours glorieuse. Il a mangé du pain sec-moisi, mais il a aussi gagné la coupe. Huit équipes ; des bonnes et des médiocres. 20 ans, c'est qu'il est sûrement passionné.

Bergee, sans nul doute, reste un décideur modéré. Visionnaire, il n'entend pas abandonner la voie tracée.

Je ne veux pas tomber dans le sentimentalisme mais regardez ce qu'il révélait en interview en janvier dernier :



Maintenant, l'élu n'hésitera pas. Il choisira Casseau, car c'est lui, la cerise du gâteau, la voie de la molsonisation. C'est obligé, sinon, il a toute ma confiance. Celui qui sera nominé deviendra le Xième et ce sera une longue marche...

Ici, j'intitulais mon topo, "Bergevin le Saguenéens" au pluriel. C'est que Bergee à quelque part se sent Saguenéens, un Bleu, comme tous ces Bleus. La portion anglaise de sa parution à la télé cette aprem, Bergee parle de son développement à Chicoutimi, comme jeune adulte.

Bergevin le Saguenéens !

Une rumeur de plus en plus persistante le ramène dans la sphère montréalaise.

Ben oui, on le pressent comme DG du CH.

La Molsonisation des Glorieux se poursuit.

Marc Bergevin, le hockeyeur et le gestionnaire, possède une longue feuille de route. Les villes, nommez-les ?

Regardez ici.


Moi, je l'ai connu début 80. Il s'était offert comme volontaire pour un produit que je distribuais. Au fait, c'est son coach à l'époque chez les Saguenéens qui me l'avait proposé. L'autre volontaire, je ne me souviens pas de son nom. Voilà, j'ai rencontré un jeune homme sérieux, réceptif et bon'enfant'. Je lui ai donné certaines consignes en rapport avec le supplément alimentaire de marque "Total Image".

L'anecdote n'est pas là. Non, quelques années plus tard, il m'arrivât ceci. C'est ce qui m'a étonné du personnage. C'est qu'un soir, lors de l'une de mes rares sorties dans une discothèque chicoutimienne, un gars au large sourire me jase comme si je le connaissais depuis longtemps. Oui, Marc Bergevin, jouait à Pittsburgh à l'époque je crois, me remémorait son expérience des suppléments alimentaires.

Quel mémoire ?

mardi 1 mai 2012

Un autre départ...


Le jeune Jean-Guy Moreau est décédé au Petit Matin.

Je le connais seulement par la télé, comme présentement, avec Benezra (Musi-Max) ou cet aprem par Radio-Canada de Rimouski. J'entends encore sa fille Sophie et lui parler du livre, 50 ans, 1000 visages...

Lorsque Sylvain Lelièvre est décédé vlà 10 ans, le 30 avril 2002, j'ai su qu'on perdait un québécois joyeux tant qu'il chantait. Avec le décès de Monsieur Moreau, j'ai un souvenir joyeux, pour ses 1000 visages.