vendredi 15 avril 2016

Les cinq Tremblay...

Nombreux sont les Tremblay.  Derrière chaque Saguenéen se cache un ou une Tremblay.



Ci-dessus, une photo des filles à Rose Girard et Georges Tremblay, fils de Jean-Eusèbe. Ils se sont mariés à l'église Sainte-Anne en 1869.  Revenons à cette photo ; la seule identifiée sur ce cliché est à l'extrême droite, Elmire (1870-45) mon arrière-Grand-Mère maternel.  Adèle et Jeanne serait du nombre.

Ci-dessous, une de mes photos préférées.  Là, la souriante Elmire est à gauche d'Édouard (1862-31), debout bien au centre. Je dois vous dire que ; la Elmire avait du caractère, une sorte de sauvagette selon plusieurs témoignages. Le premier témoin, mon oncle Albert Bouchard, le père d'un artiste connu, Harold Bouchard.



L'autre témoignage m'est parvenu de mon Père.  C'est que son père Alfred pensionnait chez Elmire dans les années 30.  De retour du boulot, il ne voulait pas enlever ses bottes.  Elmire lui a asséné un coup de balais.  Plusieurs diront plutôt qu'elle était en avant de son temps...



Autochtone mais Métis ?

En tant qu'autochtone, j'ai constaté la joie ressentie par les Métis du Canada.  De suite, j'imaginais le nombre de Métis à la hausse.  Oups ! Un chiffre est lancé ; 600,000 citoyens canadiens seraient dorénavant reconnus Métis.

PINTEREST source

En citant le masculin, j'inclue les mamans de facto.  Pour l'heure je serai clair ; selon mes racines ancestrales, mon ancêtre est Christine Kichira (5-05-1785) fille de François Kichera et de Marie-Rosalie Otchit-Chikoa. Le couple Kichera-Tremblay s'unissait aux Éboulements en 1805 et de leurs ébats amoureux naitront au moins 7 enfants (peut-être +).


Tout ça, selon les sites internet et documents bibliothécaires reconnus.  Cependant, le réputé généalogiste Jacques P. BEAUGRAND* émet des doutes sur tous ces documents écrits.  Il a de bonnes raisons*.  Il écrivait donc ; "que rien ne vaut l'ADN pour éprouver hors de tout doute le lignage ancestral".  Il propose donc 2 tests*.  En résumé, rendez-vous à son blog.


Ceci dit, avec ce verdict sans appel, il revient donc aux Métis et leurs représentants de se faire entendre auprès du Gouvernement de notre Fédération.  Ainsi, ils revendiqueront des droits dont bénéficient déjà les Premières Nations. Je vous apprendrai peut-être que ces communautés reçoivent plus de 8,400,000,000$ acquis selon des traités antérieurs.

Est-ce à dire que les budgets au Ministère des Affaires indiennes et du Nord* subiront une hausse appréciable ?  Écoutez, 600,000 métis s'amèneront bientôt avec des revendications légitimes suite au verdict rendu hier par la COUR SUPRÊME DU CANADA.  On aura sur la même patinoire, les Amérindiens (Indiens), les Inuits et les Métis.  Ce qui laisse le simple citoyen Canadien devant les Approches Communes négociations à venir.

De suite, il me semble évident qu'une montée de lait montréalaise (450-514) s'insurgera contre ce verdict pointant directement le Québec profond.  J'aime souligner à mes métropolitains préférés à se réconcilier avec leurs racines avant toute chose...

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*http://miroise.org/GparADN/validation-genealogique/
*https://www.aadnc-aandc.gc.ca/

dimanche 10 avril 2016

Citoyens, Citoyennes du comté !

Je le déclare ; dans mon comté, je ne me suis jamais autant impliqué.

Oui, pour la CAQ et sa candidate dans Chicoutimi, la valeureuse Hélène Girard*.

Cependant, dès le 24 mars, je me suis impliqué dans le débat des armes à feu et la loi 64.

Je vous fais une révélation ; j'ai jamais eu de fusils.  Pi ?

Bien, je rejette le registre de l'immatriculation des armes à feu (loi 64 du grippe-sou Coiteux). J'ai suivi la commission religieusement.  Pour autant de raisons qu'il y a d'armes au Québec, cette loi est indéfendable.  Pour l'instant, je cible cette partielle pour la raison suivante. 
   



Voici ; v'là 1 mois, j'avais invité un collectif* à manifester.  Guy Morin du collectif s'est amené suite à de nombreux gestes d'opposition. Plusieurs auditeurs de radio-canne l'ont remarqué lors du complot débat manigancé à tlmep.  Barrette et Tessier déguisés en petit Turcotte de service sans carte se sont illustrés en 2 de pique...

Passons.  Oui, l'actuelle manifestation, à 2 jours du vote (par grand froid accentué par des vents norois), m'a permis de rencontrer une soixantaine de résistants.  Je le dis en pleine connaissances de cause car il faut à tout prix résister à cette ligne de partie.  Cette ligne, on le sait aujourd'hui, appartient aux vieux partis.  On se doit d'y résister afin d'accorder aux députés élus actuels et futurs, son plein potentiel, sa nature locale.


La qualité des personnes présentes et engagés à notre manifestation m'a comblé. 
Maintenant, lundi, nous aurons les résultats que la population mérite.  C'est ce qu'on dit de notre démocratie, nonobstant tous les autres droits, dont le droit de parole et de manifester.

*Hélène Girard n'est pas une politicienne né.  Elle apprend sur le tas.  Écoutez, cette simple citoyenne livre un combat plus que difficile ; par ce cynisme ambiant, ce n'est pas rien.  Peu m'importe où elle terminera cette course, bravo à la citoyenne.

*collectif : TOUS CONTRE UN REGISTRE QUÉBÉCOIS DES ARMES À FEU (la 64)   

samedi 2 avril 2016

Jeune, les gens disaient...

Aujourd'hui, on l'entend moins me semble.

Je parle d'une expression, la voilà ; "lui, y a une maudite langue sale !"

Certains de ceux-là, y en avait en masse, comméraient sur le dos d'un ou d'une de leur connaissance. Perso, je sais que ça n'est pas anodin quand ça blesse, surtout quand c'est pour blesser.  C'est là que mon expression prend tout son sens.

Dans tout, les exceptions changent la donne.




J'ai placé ici-haut un personnage réputé. Jean Lapierre (JL), oui, Jean Lapierre.

JL allumait tout ceux qui l'entendaient, la UNE du matin. Écoutez, c'était un rituel d'intérêt public, un potin politique décapant et parfois le coup de poing. Devant l'animateur complice de TVA, je me remémorerai toujours le personnage narquois avec son ptit calepin.

Lors des analyses électorales, scusez-moi, JL mettait tout le monde dans sa poche de veston.  JL nommait les gens de chacun des comtés, les luttes, métal sur métal, ça promettaient.

Aussi, sur le web avec les fous rires d'Arcand du 98.5, dix, douze minutes jouissifs.  Depuis ma retraite, je m'en faisais un devoir.  D'ailleurs, quelqu'un qui s'intéresse à l'actualité politique ne pouvait manquer son propos, sinon le rattraper.

J'écoutais Denise Bombardier évoquer à radio-X, n'avoir jamais vu un tel phénomène et ce, depuis 50 ans.  J'entends tous ses confrères en témoigner, ces concurrents répéter d'une seul voix, quelle perte.

Pour ma part, j'appréciais ses analyses les lundis matins, à midi Dumont, en fin de journée à Laroque suite à un rassemblement politique, peu importe le niveau de gouvernance. JL était d'une éloquence joyeuse et d'une authenticité sans reproche.

Salut.......