dimanche 30 juin 2013

Les Glorieux en marche...




J'entends Bergevin discuter et répondre aux questions par centaine, normalement flegmatique, courtois, tout le temps.

«Bien, c'est normal, c'est un dg de la LNH qui picosse au-travers un poulailler de pondeuses» diront plusieurs.

Fier de sa combine suivante, 1/25-2/34-36-55-3/71-86, Marc réitère sa volonté d'améliorer la formation de Geoff Molson en premier lieu et celle des fans montréalaids pressés.

Ce dont j'ai la certitude, il ne cassera pas d'oeufs. Encore des images d'habitants, c'est comme ça, flegme et courtois j'vous dirais.

Je n'aimerais pas la gaspille genre Gomez etcetera. Non, je regarde le club de Chicago qui m'épate.

Avouez-le, tout le monde est épaté par ses pondeuses de pépite dorée de la mi-juin.

Pi j'me dis, patientons, on n'est pas si loin d'avoir un club qui rassemble.

Sur la trentaine de poulailler, le nôtre, le bleu-blanc-rouge, se garnit lentement mais assurément. On y élève des phoenix dorés, comme coq ça promet.

Ok, certains sont encore poussins, j'avoue. Mais remarquez leurs ergots et leurs crêtes flamboyantes, c'est inouï comme cheptel. Pour la sauvage, attendons quelle devienne padoue.

Non, comme lui, picossons !

vendredi 28 juin 2013

LE Tour ...


Comme vous, je crois moi aussi que ces hommes à vélo trichent roulent en fou. Le tour de cette année, le 100ème, ne fera pas exception. Demain, ce sera la Corse avec des sites dit-on merveilleux. Départ Porto-Vecchio, au sud et, 213 km vers le nord, arrivé à Bastia. Un prologue pour sprinter, avec en tête Cavendish aux pronostiqueurs.

Quand même, avouez tout de même que c'est passionnant ce tour ? Pour moi et les autres fans, j'ai hâte d'entendre Bertrand les analystes. Par le passé, il fallait bien que le tour me soit vulgarisé par le duo Garneau/Bertrand ; Garneau à toutes sortes de descriptions sur la géo-touristo-historico du pays de mes ancêtres, et à Louis Bertrand, Le Cyclologue par excellence.

J'admets, je n'ai jamais roulé sauf, enfant. Néanmoins, j'aime ce marathon des meilleurs du globe. Cette année, deux canadiens et un canayens. On aura droit à plus qu'un Ryder Hesjedal (32) chez Garmin. Ajoutez à votre liste, le mature Svein Tuft (36) avec Orica. Ces deux-là sont de BC. Croyez-le ou merde, on aura un made in quebec, un vrai en chair et en os, Veilleux (25) chez Europcar. J'répète, David Veilleux natif de Cap Rouge avec le dossard 58.

Ça commence demain à RDS pas Évasion.
























mardi 25 juin 2013

varia estival...

intérimite$ aigü$



Élu pour la 1ère fois en 2005, LB se présente aux élections municipales de Montréal en 2009 et est réélu avec Vision Montréal.

Durant son premier mandat, Laurent Blanchard a siégé au sein de la commission sur le développement économique du conseil d'agglomération. Il est actuellement président du comité consultatif d'urbanisme, du comité finances et ressources matérielles et du comité développement économique et habitation. Il est aussi membre du comité de toponymie, du comité olympique et du comité loisirs, environnement et développement durable. Depuis décembre 2010, il préside la commission d'examen des contrats mise sur pied pour examiner les contrats les plus complexes octroyés par la Ville et l'agglomération montréalaise. source wikipedia.

Probablement que je ne comprends rien à la politique métropolitaine. Cependant, je me pose la question suivante ; avec toutes ces jobs à l'intérieur des organismes de l'hôtel de ville, il n'a jamais entendu parler de rien de ce qui se raconte à la Commission Charbonneau ?

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Pauline la PM...

Pourquoi le Mexique ? Parce que quand la construction va, tout va !


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La Coupe des Coupes au fefans du CH...

Bravo aux Hawks pour cette victoire que j'avais prédis, comme bien d'autres d'ailleurs. Ceci dit, c'est la seconde Coupe en 3 ans. Je vous rappel que cette équipe a reconstruit patiemment. Osez espérer car Bergevin, qui arrive justement de Chicago, a la science et l'intelligence de gravir les marches de la progression, ensuite


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La Saint-Jean.

À Québec de la Belle, on a poursuivi la politique de tolérance 0 alcool sur les plaines.  Tout c'est bien passé afin de faire honneur à notre patron.  Ceux qui fête la nationale, sont de moins en moins nombreux.  Vous saviez ça hein ?


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Les Chefs

J'écoute les Chefs encore cette été mais le dimanche.  Jusqu'à présent, je m'ennuie de Julie mais donnons le temps à Élyse...


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Nelson Mandela

L'agonie de NM, c'est couvert par tous les médias.  Lorsqu'il traversera le seuil, on le saura.


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samedi 22 juin 2013

Les grèves ou lock-out...




J'ai lu attentivement l'article de Foglia «les véritables fiers-à-bras» dans ma Presse de ce samedi. Le chroniqueur m'invitent à lire l'article étoffé de Mélanie Laroche. Pour faire rapide, je place le rapport ici, en lien, et enrobée de bleu, la fin de son résumé. Pour Foglia, les grosses bouchées sont patronales à l'intérieur des conventions collectives. Ces jours-ci, le monde syndical accentue son pouvoir. Il faut bien une ligne directrice.

Nous avons toutefois observé qu’outre la question du développement des compétences de la main-d’œuvre, les ententes conventionnelles n’intègrent pas les ingrédients essentiels au maintien d’un contrat social plus coopératif entre les parties.

Si les employeurs ont réussi à intégrer davantage de flexibilité dans les conventions collectives, les travailleurs et les syndicats n’ont pas été en mesure de négocier en retour de contreparties significatives sur le plan de la sécurité des emplois ou du partage des gains de productivité.


Les compromis négociés sont alors susceptibles de fragiliser cette paix industrielle pourtant si désirée par les parties.


Je suis délégué syndical à l'atelier de mon employeur. Au passage, cette petite entreprise ¨presque familiale¨ vogue allègrement de succès en succès. Grâce à tout le monde, après une quarantaine d'années, le produit global me semble apprécié et concurrentiel. Somme toute, nos relations de travail se bonifient dû à une démarche consensuelle et décisionnelle. Du moins, c'est mon interprétation.

Cependant, depuis cinq jours, tout un secteur des activités régulières sont stoppées, touchées par l'arrêt de travail dans l'industrie de la construction. Si on a vu de l'intimidation ? Chez-nous, non. Cependant, le mot d'ordre à la grève générale est fort et lourd ; une sorte d'intégrisme acceptée des ouvriers.

Sur le fond, la volonté des travailleurs de négocier, sans tout le recul proposé par la partie patronale, est déterminante. Le mur à mur souhaité par le monde syndical accorde un pouvoir indéniable. Mais pour valser avec le patronat, il faut suivre le tempo du monde global. Du côté salariés, 3 cibles bien étayées ; mobilité, temps-double et horaire. Tout ça sera mis sur la table, décortiqué par secteur industriel. On s'entend que les partis peuvent s'entendre par des arrangements raisonnables. Ce sera vite fait je crois. Les enjeux sont capitales car la Belle est paralysée.

Parlant de belle. Je suis outré du comportement de notre PM et de la ministre du travail, qui se comportent comme des joueuses de casseroles, désinvoltes, désaccordées et égarées, sans vision de l'urgence de la situation. Là, c'est le réveil brutal, le mal est fait.. Passons !

Le bloc syndical jouit d'un pouvoir intéressant et des conditions de travail somme toute, favorables. SVP, que les agents d'affaire s'éloignent des comparaisons prolétariennes, franchement. Revenons à nos moutons. L'objectif est de conserver les acquis pertinents et d'établir des priorités secondaires, en laissant libre cours aux relations directes. Je ne crois plus à l'universalité à la fois de la mobilité, des honoraires et du gel de la cédule. Laissons donc de la place aux individus (unités) sur le terrain en réaffirmant les grandes lignes. Les travailleurs proposeraient l'amélioration des fonds de retraite, une révision de la cédule et une actualisation des cartes de compétence que l'ensemble de l'industrie y gagnerait.

Je ne peux ni ne veux passer sous l'actualité. J'illustre les à côté de la Commission Charbonneau. À tous, est-ce utile, affirmer que les travailleurs syndiqués sont absents des manoeuvres illicites et des pots-de-vin, c'est une vérité. Le monde de la corruption à grandes échelles penchent à l'évidence envers le patronat. Primo, les boss sont des collabos enjoués des puissantes organisations politiques. Secundo ; n'essayez pas de mettre la main aux fruits artificiels de la collusion, baisser vos prix.

Oups ! La preuve abondante cumulé par la Commission évoque l'omerta autour des chaussettes évasées et comblées d'oseilles...

J'achève. Au cours des années, comme le dit si bien l'Américain Warren Buffet : « Il y a une guerre des classes, où ma classe gagne de plus en plus, alors qu'elle ne le devrait pas ». Bien que plus équilibré au Canada, il ne faudrait pas fausser le balancier.

Je termine en mentionnant que les travailleurs syndiqués avaient zéro fond de grève ; incroyable non ? J'ai hâte d'entendre les leaders syndicaux de tout acabit livrer leurs témoignages devant la Commission à France et surtout, leurs états financiers, vérifiés.

Ça promet, pour l'instant, vive les vacances à France !

dimanche 16 juin 2013

Encore un ti-peu de Raabe...



Cette fois, Max chante en français ; un français fabuleux la première partie. Certains rougiraient de gêne tellement...

Cette fois-ci, avec un texte de 1934, du Parisien, Albert Willemetz. Tout ça, rythmé à la musique d'Henry Christiné, un suisse.

Alors, Albert Préjean fredonne la suite de « Dans la vie faut pas s'en faire ». L'interprétation Préjean vaccinerait n'importe qui du Crash...


En sortant du trente et quarante
Je ne possédais plus un radis
De l'héritage de ma tante
Tout autre que moi se serait dit
Je vais me faire sauter la cervelle
Me suicider d'un coup de couteau
M'empoisonner me fiche à l'eau
Enfin des morts bien naturelles
Mais voulant finir en beauté
Je me suis tué à répéter :

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Toutes ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas

La version de Palast Orchester s'arrête ici.



Je rentre à Paris mais mon notaire
M'annonce : votre père plein d'attention
Vous colle un conseil judiciaire
Et vingt-cinq louis par mois de pension
Comme je ne vois plus personne
Dont vous puissiez être héritier
Faut travailler prendre un métier
C'est le conseil que je vous donne
Uniquement vous voudriez
Que je vole le pain d'un ouvrier

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Ces petites misères
Seront passagères
Tout ça s'arrangera
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas

Dans la vie faut pas s'en faire
Moi je ne m'en fais pas
Je n'ai pas un caractère
A me faire du tracas
Croyez-moi sur terre
Faut jamais s'en faire
Moi je ne m'en fais pas.

N.B : on est bien d'accord, faut pas s'en faire. J'oubliais, sauf un négociateur de la construction ou un ouvrier, en mode négo.

Négos sous influence...




Je n'occulterai pas la Commission Charbonneau (CC) dans le cadre des négos actuelles.

- « Mais de quelle négo nous parlez-vous, Monsieur ? »

- « Celle de la construction pardi ! »

Maintenant c'est officiel. Oui, oyéoyé, on sait que la Belle paie cher pour ses chantiers. Qu'ils soient commerciales, industrielles ou résidentielles, civiles ou pas, ses chantiers coûtent entre 20% à 40% plus chers que partout au Canada.

Ça représente énormément de fric. Alors, cette masse monétaire revient à qui puisque la CC a clairement établi que le payeur de travaux se fait fourrer depuis des lunes.

Verrons-nous une baisse générale étant donné que le modèle ¨Made in Quebec¨ de la construction a gonflé ses prix ?

Au lieu de cacher les liasses de dollars dans les bas de profiteurs indus, s'ils s'engouffraient dans d'autres portefeuilles, ce ne serait pas justifié pour autant.

La tourtière de la construction pesait jusqu'à tout récemment une vingtaine de livres. On pourrais-tu la faire d'une quinzaine de livres ?

La cupidité des gens ordinaires, non merci...

samedi 15 juin 2013

1935 !

J'étais entrain d'écrire mon topo sur Grand-Mère, rendu en 34(1934), je stoppe. C'est là que j'entame une recherche sur le cordon ombilical autour d'un cou (celui d'oncle Yvon) et du coup, j'enchaine sur ce morceau mémorable.



C'est que ma mère, Marie, et mon père, Gilbert, valsaient sur ce morceau de 1935.

J'ai regardé du coup les différentes versions et ce sera celle de Ginger Rogers & d'Astaire, joue contre joue...



C'est beau de voir des gens qui s'aiment ou...

Une ligne directrice.



Une ligne directrice s'impose à tout organisme vivant. Si l'organisme n'en a pas, il a toutes les chances d'être désorienté, de s'égarer et de ne plus s'y retrouver.

«Mais où tu veux en venir ?» ; l'écho se fait entendre...

«Attendez, je vais m'expliquer»...

J'écrivais l'autre jour, je le place ici, que la tendance sociale n'est pas au mariage et ni même, aux unions stables. Ce qui créé à mon humble avis d'énormes difficultés à venir. Lisez vous verrez.

Jeter le bébé avec l'eau du bain.

Un grande proportion de notre société s'entend pour dire que le religieux s'est fait contrôlant, qu'il était temps qu'on s'en défasse. Cette position a formé un bloc malhabile car il n'a pas laissé de boussole.

Il en résulte un état de siège du laisser vivre sans axe directeur. Du religieux naquit une force tranquille sur laquelle on pouvait compter. Oui, elle n'était pas parfaite, qui l'est ?

Toutes les sociétés terrestres ont des chefs et une façon culturelle d'agir avec elle. L'arbre qui possède un tuteur se libère d'une défaillance pour ensuite croître avec droiture.

La nôtre, disons celle de la Belle ; on la nomme ¨made in quebec¨. Que ce soit en économie, par ses mesures sociales et autres perspectives, la cohésion, je la cherche. Côté leadership, on cherche à tâton sans réel ligne directrice.

Au même moment, on a créé des structures, plus souvent grandes et invasives, sans réelles visions globales. Toutes les organismes, ou presque, voguent seule sans amiral. Le politique ne s'immisce pas, sauf exiger de meilleurs dividendes et pénaliser les déficits à répétition. On veut le beurre et l'argent du beurre.

Peut-on se requestionner ?

Exemple facile ; les commissions scolaires, c'est bien beau, mais on abandonne leurs destinés à quelques individus qui siègent avec 10% ou 15% de taux de participation. De plus, les réunions de parents rassemblent une minorité d'intéressés de bonne volonté, pour former les comités de parents. Au bout du compte, une majorité des enfants sont sans mère ni père pouvant agir en éducation. Il en résulte des gros machins complexes, tous dans l'escalier de l'éducation.

Peut-on se requestionner ?

Pour certains, la Chine ne devrait pas siéger sur la même scène que les pays démocratiques. Je suis d'accord, pourtant elle atteint des sommets que tous les économistes recherchent, soit un PIB plus que positif. J'ai ma petite idée sur ces résultats. Par la rectitude et la rigueur, on conduit les états Chinois vers un PIB démesuré. Autrefois, les prélats du parti exigeaient toute une population à déplacer une montagne de sable et après, la ramener là où elle était. Le parti se prémunissait de la désinvolture et d'une perception du désordre.

Comme vous, je ne veux pas de cette axe, cette culture, ni celle suggérée par l'état américain, qui à l'autre bout d'un spectre, se comporte trop souvent en état manipulateur, culturellement voyou (Irak, Afghanistan etc...).

La ligne directrice s'imposera un jour ou l'autre. Elle n'arrivera pas par enchantement, ni par le vote uniquement, c'est certain. Cette ligne directrice se tissera par l'implication de chacun. Dans le quartier de nos cités d'abord, ensuite plus haut et plus loin, sans supprimer d'étape. La constitution canadienne ne repose-t-elle pas sur le droit et la suprématie de Dieu?

C'est un départ, vous ne croyez pas ? Oui, je sais, le Canada est une royauté, osons la républicaniser, si ça se peut.

jeudi 13 juin 2013

Un ti-peu d'iranisation...

Ce matin, ICI, pas icittt là là, mais ICI de Radio-Canada, chez Médium Large. J'ai entendu le Secret Chiefs 3. Je crois que c'est un trio qui violonise, tambourine en masse, mixer avec du techno. Ce morceau est intéressant, moderne mais en recherche de, de, de queqchoze d'hétéroclite. Je vais vous le dire, j"ai pensé au son de la sitar à Georges Harrison.

Catherine Perrin a dit,« un air d'Iran » en parlant de cette musique. Scusez, elle m'a trompé.

Le clip est là, mais ce matin, elle succédait à l'analyse de Jean-François Lépine et Charles-Philippe David. Je place le lien ICI.


mercredi 12 juin 2013

Coupe Stanley !!!

Je prédis une victoire des Blackhawks de Chicago sur les Big-Bad-Bruins de Boston.


J'explique ma position bien que les deux clubs soient sur la même marche. J'aime les Hawks, car elle a été bâti comme j'espèrerais voir Bergevin construire les Glorieux. N'oubliez pas que Bergevin a passé la période de reconstruction dans cette organisation. Ce sont de bons patineurs, excellents à un contre un + une défensive qui relance rapidement vers l'avant.

Bonne finale !


Je termine avec les Sags, mon équipe favorite, pour parler du dernier repêchage. Bon, on sera petit. Une grande patinoire (dimension olympique) oblige les décideurs hockeys de repêcher des joueurs rapides, avec du talent. On dit que ces petits, jouZent gros. Bon, pourvu que dans un de ceux-là, on découvre un Desharnais. Le jeune d'Oakville, il mesure 6 et 3, 16 ans au mois d'avril passé. Si y joue gros, c'est un boni. Non, je me fie au choix de Marc Fortier.

En admettant que ces jeunes joueurs s'entrainent fort durant l'été, l'été actuel, bien on verra de bonne chose au camp.

Bon été !






mardi 11 juin 2013

Fier même à 175 ans...



Mais Fier de quoi ?

Prenez ce fin de semaine, celui qui est passé, je me suis rendu à l'Anse, j'en ai parlé ici.

J'ai vu la route bordée de feuillus et d'ifs, des terres riches en labour, des roger-bontemps et sérieux, une rivière qui me fait chigner d'émois, bordée de feuillus et d'ifs, une église fier et une langue forte.

Fier de ça ? Pleinement !


lundi 10 juin 2013

Traitement sélectif. ts



J'ai un portrait intéressant à plusieurs facettes de ¨traitement sélectif¨ ts.

Ce matin, j'ai passé le balais électrifié sur mes tapis de Turquie (Charlebois). En même temps, je me suis bourré les oreilles d'écouteurs pour entendre, non pas Catherine Perrin, non,non, pour entendre du radio dites, poubelle. Drette-là, c'est Jacques Brassard (JB), un ti-peu à droite, qui déblatère et épluche les environnementalistes gaugauches. Grosso-modo, JB déplore, avec raison, que les réchauffistes refusent de débattre, tout en réfutant toutes les argumentations sur le sujet du réchauffement planétaire.

Un exemple dont j'ai été témoin de ce fait à mon avis, injustifié. Daniel Breton s'offre en sacrifice avec un retraité universitaire, Reynald du Berger pour débattre CO2. Monsieur Breton a failli pleurer.

Ceci dit, Mauraislive offrait donc un antenne à JB en réitérant que comme lui, DM et JC, les deux, s'offusquent des réchauffistes renfermés sur le climato.
Je pourrais donc affirmer que ce sont des théoristes du complot disons sélectifs. Écoutez, une majorité des férus s'entendent sur les bouleversements si ce n'est le monde entier, l'ONU en tête. Je pense ici à Kyoto, Copenhague. Bon, pas que je sois en désaccord sur le fond du débat mais en m'en tenant au sujet principal ts.

On m'affuble souvent d'être un fana de la théorie du complot du 11 septembre pour des raisons à mon avis tout aussi pertinentes.

Non, là, ça, ça passe pas hein !

Ensuite, j'ai eu droit à une féministe-BLOGeuse pour qui j'ai une certaine admiration, Sophie Durocher SD. Ceci dit, elle déplore le silence des féministes pures et dures lorsqu'on parle de voile islamique et d'avortement sélectif. À propos de l'avortement, elle s'insurge et s'oppose à l'interruption de grossesse des foetus filles. SD déclare que c'est un meurtre de cesser la grossesse de foetus féminins.

Ouais, une fille qui dit ça. C'est pas moi qui l'ai dit même si je l'écris ; ¨de tuer les ptites filles¨ dit-elle. Ah bon, un foetus-gars, là, c'est un objet sans valeur puisqu'en d'autres situations, non, non, c'est pas un meurtre, il est pas désiré.

Non, autant écouter une toune sur laquelle on s'entend, qu'on M.



Avis de recherche ?

Tout a commencé par une photo centenaire (1910-13) de Blanche-Alice et Juliette. Ma cousine Nathalie s'y intéressait je crois.

Non, je recommence. Hier tout endimanché, on s'est rendu au Bassin et pour la dominicale, à l'église Sacré-Coeur de mes aïeux.

Après l'Ite, missa est, direction est, on a tourné en rond, par un Chicoutimi envahi de vélos. Sachez que l'ultime destination méritait bien tous ces détours.

Avant, un arrêt chez La Normande de ¨Grande-Baie¨ comme dirait ma maman, ensuite à l'Anse-Saint-Jean, l'anse des Boudreault-Gagné.

L'Anse-Saint-Jean par ciel bas offre tant de beautés. Des femmes et des hommes accueillants ; un vigneron soignant ses arbustes de promesses, un couple de soigneurs d'épitaphes au cimetière du Chemin Nord, un fermier à la terre des Boudreau, un lent rôdeur solitaire du nom de Nazaire (Labbé-Boudreau), nonagénaire au surplus, avec qui on a jasé, capté en photo. Puis la rivière gorgée d'eau et la descente sinueuse vers le village, l'église fière, son petit pont grisvert de travers, les deux cimetières, de Saint-Thomas et Saint-Jean-Baptiste, l'anse du Saguenay avec ses battures et le large du fjord, aujourd'hui presque noire. Enviez-nous !

Tout ça, pour une montagne qui se distinguerais comme sur la photo de Blanche-Alice avec sa soeur, Juliette.


Eureka, du moins je le crois. Bon, on s'entend que la végétation modifie un massif et son contour, les maisons érigées et tout. C'est la raison du recul par rapport du chemin.

Allez, j'interprète l'image. La Blanche-Alice de la photo a environ une dizaine d'années et sa soeur, Juliette, trois de moins. Dans leurs costumes de lin amples et chauds, décoré d'un ruban zigzag blanc, fabrication Zénaide, tôt le matin, les deux fillettes sur le trottoir de bois s'expose à la rentrée de septembre.




dimanche 9 juin 2013

Deux nouveaux jeunes Bleus !



Hier, se déroulait le repêchage de la Q. Cela fait une vingtaine d'années que j'ai un abonnement avec les Sags. Mais un show comme hier, j'étais fier. L'organisation et tout le tralalalalère, bravo ! J'ai pris des photos sans trop de réussite. Je dois féliciter le photographe, parfaite l'image non ? Moi, la bougeotte. Constat ; des connaissances, voici Michel Potvin(sans parenté), Réal et un FanBleu.

Au bout du compte, la troupe Saguenéenne, avec Marc Fortier en tête, a sélectionné plus d'une dizaine de joueurs. Le tout premier, un ptit gars de Châteauguay, Jeremy Bouchard (sans accent ça passe mieux la frontière de notre sport national), ben oui, avec des racines régionales. Pour le reste, la Quotidien ont fait une bonne description que je place ici. Ah j'oubliais, Fortier a aussi repêché 2 américains.

samedi 8 juin 2013

ICI, espace musique...



Voici, après le souper, en attendant en bordure du PEB, je me suis permis ICI.

C'est que, à cette heure là, mon vieux Pico écoute avec sa Douce, ça. Il m'a donné le goût. Bon, la chanson ; si vous laissez jouer, je ne sais pas si vous reconnaissez cette musique hébraïque ¨bei mir bist du Schoen¨ ? Moi de suite.

Dernière version à laquelle je me suis presqu'abonné, celle de Waldeck. Je l'ai placé donc sur mon blog vlà une couple d'années. Je le place ici. Mais des versions il y en a une tonne. Wikipédia les donne avec ce lien.

Celle du haut, version jdirais presque philharmonique, appartient à Palast Orchester Max Raabe. Une vedette rétro ? Non, c'est un phénomène récent avec la voix d'or et le maintient, placide ? Son cd disponible depuis 2008 se nomme Heute Nacht Oder Nie.