dimanche 31 janvier 2010

Quiproquo hallucinant.

C'est inutile de mettre sur pied un fonds destiné aux insurgés qui font défection si on n'offre pas une aide similaire aux Afghans qui ne sont pas engagés actuellement dans l'insurrection.

— William Crosbie, ambassadeur canayen.

Les insurgés comme vous les nommés, n'en sont pas, ils sont chez-eux.

Que ceux qui voient et que ceux qui ont...

"C'est un vol, ce n'est pas une adoption."

Je n'en suis pas si sûr. La prétention des accusés n'est elle pas de sauver des vies humaines. Vous savez, surtout en Haïti, avec toute la corruption d'avant séisme, en ajoutant les dangers actuels, n'est-ce pas dans les faits, plutôt, un sauvetage légitime ? L'establishment en place n'a pour moi, aucune crédibilité, sinon, l'exemple du laisser aller que si ça rapporte.

J'écoutais très tôt, tam tam tribu. Mon HP de camion laissait suspendre un intervenant d'une ONG. Cette ONG verte voulait depuis l'ouragan des Gonaïves doter Haïti d'un projet de reboisement et de développement durable. Le pouvoir en place avait repoussé leur projet. Hier, une dame a tenté d'expliquer les lenteurs administratives à tout projet agricole. Elle est de l'UPA international.

samedi 30 janvier 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.

Voilà, j'ai décidé de placer ici, ma critique des politiques de la Q. En région, chacun des clubs soulèvent des passions. Les Saguenéens de Chicoutimi m'animent également comme le hockey junior en général. J'ose tout simplement la remettre en question, en commençant par le début. Ça commence ainsi...

J'ai intitulé cette chronique, "petite géopolitique de la Q". La Q étant la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.

Les 18 proprio-gestionnaires sont regroupés à l'intérieur de la Q. La LHJMQ ou la Q montre, bon an mal an, quelques 700 parties vu dans les arénas par plus de 2 millions de spectateurs, et depuis peu, sur le Web.

Plus de 500 joueurs à talent variable démontrent leurs talents autant que leurs prouesses. Vous devinerez aussi, que certaines séquences choquent et sont pour tous les intervenants, regrettables. Le degré du dégoût de ces incidents variera dépendant du côté où l'on est.

L'évènement choque, perturbe ou est banalisé.

L'amplification d'un évènement justifiera sa durée dans le temps. Plusieurs évènements, on s'en souvient, on peu fait parler. Ils n'étaient pas moins grave mais banalisé ou presque.

Se peut-il que les noms des acteurs d'un incident choquant est eu raison de sa médiatisation ?

Se peut-il, qu'un joueur de premier trio aux talents certains suscite une plus grande médiatisation qu'un gars du quatrième trio ?

page 1

Sino-américano dialogue.

Les Grands s'embrouillent et dans le dialogue, démontrent leur désaccord, même, le stoppent obliquement. Tout ce conflit parce que l'industrie étasunien vendra pour quelques milliards (6) d'armes à Taïwan. Cette collaboration vertigineuse me paraissait déjà un peu tordu, alors, pour la géopolitique intelligenztia, c'est du bonbon.

Au fait, l'industrialisation américaine opère et doit vendre de tout, même des missiles. De même, en Chine, l'industrie vend quoi à part du faux ou du refait, de vrais armes et c'est, comme qui dirait, impératif. Ça m'étonne pas et vous ? Écoutons un dialogue déjà tordu.

HAÏTI

J'ai entendu, d'une radio poubelle, un animateur vociférer contre le peuple Haïtien. Il dit en substance que ce peuple est paresseux, que depuis des décennies (30 ans), les pays développés dont nous sommes, contribuons à leur enlisement et leur stagnation. Lui, dil-il ; "j'ai des couilles et du courage pour le dire, je ne donnerai pas".

Lorsqu'il qualifie de "trou à marde", Port-au-Prince, il exprime crûment son jugement raciste et déformé. Même en se référant au pays d'avant, la manière de dire la chose, disqualifie son auteur.

Il s'en prend à travers ses tirades haineuses, aux donateurs de tous acabits ; des bénévoles de show à tout ce qui touche les contributions d'honnêtes gens. Il décrira les organismes-non-gouvernementales (ONG), tous, d'exploitant onéreux en manque d'intégrité. D'accord, pas en ces termes, mais bon.

Maintenant, que grâce à lui, tout a été consommé ou consumé, que fait-on avec les gens d'Haïti ? On les abandonne comme des rats dans leurs trous ? Je ne pense pas comme ça, désolé.

Tout reste à faire, et la manière de faire avec. Dire des âneries c'est assez faciles. Générer des lendemains prometteurs, réjouissants et constructifs, ne serait-ce que cela, nécessitent des efforts courageux.

Oui, la communauté internationale devra s'immiscer dans la gouvernance quotidienne de cet état dit démocratique. Elle devra le faire, car l'anarchie ne grandit personne. Plus que jamais, un développement durable s'imposera de lui-même, en écartant ces gens du pouvoir, qui se targuent d'une souveraineté, plus souvent passive.

adage amoureux.

Un être envahit d'amour au premier coup d'oeil, ne devrait pas le faire, car le désir en est altéré.

vendredi 29 janvier 2010

HAÏTI

En 2008, l'Haïtien Claude Prepeti avait alerté publiquement l'énergie potentiel accumulé dans la faille et le cataclysme potentiel. Dès lors, le gouvernement aurait pu mettre sur pied des cellules d'urgence.

jeudi 28 janvier 2010

Harper dehors !

Dehors Harper.

Pour la première fois depuis l’élection du gouvernement Harper, je déclare ceci :

Mr. Harper, dehors !

Ce type se fiche de nous. Il proroge, il s’entoure de secret et ne se soumet à aucune sorte de compromis. L’environnement, la guerre, la torture, les enfants soldats et tout ce qui l’irrite, Harper se terre et s’enlise dans un dictat inquiétant.

Je demande à tous ces politiciens de l’opposition de virer ce gouvernement. En poursuivant ce mandat, ceux-ci s’acoquine avec ce type qui n’a de respect pour personne.

Dehors !

mercredi 27 janvier 2010

HAÏTI

J'essaie de comprendre la méthode. J'ai lu des compte-rendus comme tout le monde. J'ai vu des images comme vous tous. Je ne saisis pas la procédure de distribution. Les sacs de riz de 100 livres, les files d'attente, les quartiers ignorés et les vitesses de la distribution.

Les organismes présentes, qu'elles soient militaires ou non, savent après expérience comment secourir. Comment expliquer que certaines zones sinistrées n'ont pas reçu d'assistance jusqu'à présent ? Les attroupements d'affamés alignés sont explosives et ce phénomène est compréhensible. Elles sont prévisibles dû à la quantité de denrées.

Entre deux distributions, les organismes ont-ils recensé les populations ? Ensuite, regrouper les gens par quartiers d'avant le séisme. Ils seraient bien que ces citoyens se retrouvent dans les nouvelles zones créées par la délocalisation. De même, inviter les gens à collaborer. Je crains fort que l'on est accepté que les plus forts est une prévalence sur les plus faibles. En agissant ainsi, l'on créé des rassemblements basés sur l'iniquité. Ces clans favorisent à plus long terme des émeutes qui génèrent les tueries.

En admettant que je me trompe, je le regrette profondément. Je ne crois pas que seul mon opinion puisse entacher les intentions réels de la communauté internationale.

C'est que voyez-vous, j'ai fait un horrible cauchemar. Le peuple Haïtien revenait, avec nos sous, ce que c'était avant le 12 janvier 2010.

dimanche 24 janvier 2010

Partisan des Bleus.

Cette prise de vue illustre bien mes préférences pour visionner une partie. Pour ceux qui s'y connaissent, zieuter bien la largeur de la surface glacée. Ce point de vue, pour mieux vous situer, est en seconde période. Pour tout vous dire, j'aime bien suivre l'attaque des Bleus, donc je me déplace.

La photo suivante, c'est mon siège de partisan entouré des quatre bonhommes. Devant, les plus âgés, à la vessie réduite. Et oui, ils se lèvent souvent. Derrière, c'est le plus critique de mes observations. Il a souvent raison. Près de moi, à ma gauche, un costaud, d'Arvida. Lui, c'est le preneur de note ou la référence.

Conférence de Montréal.

Demain lundi, le 25 janvier 2010, nous assisterons de loin à la conférence des pays impliqués dans le sauvetage et la reconstruction d'Haïti. Jusqu'à maintenant, la distribution des denrées semble éprouver certaines difficultés. À certains endroits, on note des omissions ou des interventions ciblés pour le petit écran, trop souvent.

Revenons à cette conférence où américains et français tenteront d'éclaircir un malentendu. Kouchner et Hillary seront là, mais pas Charest ou son délégué. Lawrence Cannon présidera cette rencontre au côté du Premier ministre Bellerive. On s'entend que l'Honorable ne tient pas à un dérapage comme à Copenhagen. Peut-il vraiment éviter tout ce qui se passera en coulisse, j'en doute. D'autres pays, une douzaine au total se présenteront à la table des urgences d'hier et de demain ; la reconstruction et toute la gouvernance de cet état face au chaos. Cette réunion se veut en même temps en préparation pour un plus grand rendez-vous.

La communauté internationale achemine tous les efforts conjugués. La diaspora consolide les différentes actions ne serait-ce que par leur présence. Celle d'ici, la Montréalaise Haïtienne, est la plus imposante au Canada. Pour une meilleure rencontre, on aurait dû accepter une présence régionale.

samedi 23 janvier 2010

HAÏTI

J'avoue mon admiration pour les secouristes (62 équipes) présents à Port-Au-Prince. Que ce soit, les américaines, l'Ïsraélienne, la française, la belge, la Russe ou les Latines, ces héros en sont puisqu'ils appliquent bon gré malgré, la technique ou la science de l'écoute, parfois, d'un 5ème sens.

Des Haïtiens ont inscrits sur les murs : "Nous n'avons pas besoin de l'aide de la France, seulement des USA. Nous faisons confiance aux USA". On faisait peut-être allusion à l'irritation de la délégation française face au leadership étatsuniens.

Les news d'ici ne sont pas ce qu'il y a des + distrayantes ; elles sont lus, ce sont des intégrales. Là vous verrez deux débatteurs (sisassepeu) intéressés comme jamais. Ils ne sont ni partisans ni neutres, ils sont suffisamment hors contexte pour apprécier les nuances idiotes. Du moins c'est ce que j'en saisis...

Habeas corpus.

"Appelé Habeas corpus, la possibilité de contester sa détention au civil est une des pierres angulaires du droit anglo-saxon. Les détenus de Guantanamo ont obtenu ce droit de la Cour suprême des Etats-Unis en juin 2008."

Aussi, avec la promesse de BhO, de fermer Guantanamo, ce sera une prison de l'état de l'Illinois qui sera le lieu du maintien de la suspension du droit américain. Il appartiendra aux prisonniers de prouver en droit qu'ils sont inoffensifs et qu'ils l'étaient le 11 septembre 2001.

J'avoue mon désaccord totale. Et puis merde, l'enfant-soldat, on attend quoi ? Honte au gouvernant canayen.

vendredi 22 janvier 2010

La vie continue.

Les hommes du CH auraient bien besoin d'un gain. En se rendant au New-Jersey pour se confronter à ce gardien Québécois, je devine que les glorieux n'ont qu'un avantage. Je la dis ici, plutôt la chuchote. Les Rouge à Brodeur ont un surplus de confiance et sont très relaxe.

jeudi 21 janvier 2010

HAÏTI

J'en remets sur le sujet. Pas que je me suis rendu à Port-au-Prince ou que j'ai contacté un Port-au-Prinçois ou une Port-au-Prinçoise. Non pas du tout. C'est que comme plusieurs citoyens du monde, j'ai lu les nouvelles de Port-au-Prince, deux qui ont attiré mon attention.

Tous, nous savons que la communauté international contrôle les opérations. Oui, l'ONU joue un rôle représentatif, faisant ombrage à un Préval esseulé. Je sais je sais qu'il faut un centre de commandement et soulagé que ce soit la communauté international. Ce sera la couleur que prend ce QG qui m'inquiète.

Donc, deux nouvelles qui ont attiré mon attention. L'une de Radio-Canada et l'autre de France24 portant sur l'irritation d'un QG distant, pour le moins.

Hier matin, l'hélico m'a éveillé lorsqu'elle s'est posé face au Palais national. J'avoue que je me suis dit enfin, un pas de plus vers la restauration. De suite, je réalisai que la concrétisation du pouvoir américain devenait, dans cette prise de possession symbolique, une possibilité. La puissance gouverne aussi le port et surtout l'aéroport.

Je sais comme plusieurs que l'élection Haïtienne devait se dérouler cette année. Sans en être, le gouvernement qui termine son mandat ne peut-être très représentatif vu le nombre de disparus. Serait-ce pour cela que comme un secret qu'on dévoile à voix basse, l'irritation en gagne plusieurs.

mardi 19 janvier 2010

Talibans ou Karzaï.

Un sondage au travers tout l’Afghanistan, en conflit depuis plus de 8 ans, révèle un tas d’information pertinente. Ce n’est pas moi qui le dit, mais les sondeurs. Nos politiciens d’ici riposteraient aussitôt sa publication : " nous ne commentons pas les sondages, nous sommes sur le terrain et ce que nous rencontrons bla bla bla..."

Pourtant, les résultats devraient en intéresser plus d’un. Un, le sondage est large et deux, sous les bons soins de l’ONU (onudc) ; 7600 répondants, 12 capitales afghanes et dans plus de quinze cents villages.

Alors on a interrogé les sondés touchant leurs préoccupations bien quotidiennes. Majoritairement, les gens s’inquiètent à propos des pots-de-vin. C’est que, les sommes représentent tout de même plus de 38% de leurs revenus annuels. Ça dégarnit un frigo ça.

Pour ceux qui l’ignoraient, le PIB par habitant est moins de 500$. Presque tout est monnayable, tout ? Oui, presque tous les agents gouvernementaux flirtent avec la corruption.

Nos soldats qui barbotent dans les contrés de ce pays, ne peuvent compter sur l’appui de la population. Les agents du gouvernement, probablement allié des Talibans, seront encore dans ce pays lorsque nos soldats reviendront. Qui croyez-vous sont les favoris du peuple Afghans ?

Noire Dame.

Je place cette chanson ici pour rendre hommage à la Dame Noire. C'est que, voyez-vous, celle-ci est doublement Dame, elle chante. Ce soir, j'ai aperçu une de ces Dames, étendue sur une planche de brancardiers. Sept journées de lueur, de pénombre et de ténèbre. La voici, en plein jour, meurtrie et ballottée par des sauveurs venus d'ailleurs, pour la voir.

Ne vous y trompez pas, je respecte ce peuple trompé.

Kate McGarrigle

J'aimerais ici saluer l'artiste. Pour le reste je vous laisse juger.

lundi 18 janvier 2010

Jacmel : Opération Hestia.

Petite ville d'Haïti. Détruite à plus de 60%. En panne de tout avec moins de trente milles âmes, à 30 km au sud de la capitale. En intro, l'ambassadeur du Canada à Port-au-Prince révèle en ce jour de déploiement, que l'hôpital avant le séisme, était déjà mal foutue. Un diplomate franc qui vise juste ?

Cet état nécessite à mon avis un tuteur. La communauté internationale sait qu'elle devra épurer, avant quelques Marshall que ce soient, les vieilles habitudes de même qu'une corruption institutionnalisée. Quoi de mieux, qu'en plaçant ici et là, une force persuasive à tendance humanitaire, ou vice-bersa.

J'estime que la mise étasunienne, appuyer par d'autres, n'a rien à voir avec un mécénat à l'aveugle. Depuis leurs venues, je constate que leurs méthodes de distribution, exigent une forme physique extraordinaire. J'espère que la suite ira en s'améliorant.

dimanche 17 janvier 2010

HAÏTI

John Holmes, diplomate Anglais, longue feuille de route, chapeautera dorénavant les activités onusienne à Haïti. Entre deux secousses, le monsieur devra activer les secours, qui ne semblent pas parvenir, là où ils doivent. Je vous dirai tout de suite, que les américains, en contrôlant l'aéroport puis le port, reste le poids lourd du coin. Je ne suis pas contre vous savez, mais bon.

J'attire aussi votre attention sur une réalité géographique. Dans la capitale Haïtienne, les chiffres sont éloquents, pour ne pas dire, déconcertants. La majorité des habitations de la capitale n'existent plus. S'ils défient le paysage, c'est qu'ils sont à déconstruire.

Le nombre de Port-au-Princiens et de Port-au-Princiennes illustrés sur Wiki, je n'y crois pas. La page indique presque quatre millions d'individus. En admettant que les fonctionnaires aient pu recenser adéquatement, ce que je doute fortement, partons de là.

Au passage, une partie de ce peuple est soit décédé, soit sous les décombres ou en état d'affaiblissement extrême. L'autre partie, luttent pour leurs subsistances. Rassasier deux millions et plus d'individus, ça me semble impossible. Additionnez les tôlards qui grenouillent parmi eux, que l'on estime à quatre milles, cela représente une charge à mèche courte. Veut-on éliminer les plus faibles ? De la façon dont tout se déroule, on en est à quelques pas.

Monsieur Harper, trêve repoussée, déploiera 1000 de nos soldats dans les environs. Certes, nos émissaires de Val-Cartier bénéficieront d'une nature moins rigoureuse mais combien périlleuse. Les Canadiens ne se doutent pas des dangers qu'ils encourent. Mes prières iront vers eux et les villes décimées d'Haïti.

samedi 16 janvier 2010

HAÏTI

Je n'ose y croire.

Je ne vous apprendrez rien, mais les technocrates connaissent déjà le topo. Oui, les collectes se perpétuent et c'est normal. Sur le terrain, j'écoute comme plusieurs d'ici, les news. Latendresse s'est enfuie de Washington pour s'installer à Port-au-Prince. Combien de ses collègues l'ont précédé, lui ont succédé ?

Les pros des ONG en ont vu depuis le temps. Ils savent ce qui se produira, à l'avance. Le scénario muet est le suivant ; ils vous diront qu'après 72 heures, l'impatience se montre. Puis, la psychologie humaine reprend son droit. Ensuite, la loi du plus fort reprend son trône. En quelques mots, Port-au-Prince n'est qu'un site, où les acteurs de première ligne s'immolent pour la survivance des êtres. Les mêmes rôles, le même décor chaotique et les victimes s'offrent à l'histoire de ce séisme.

Ce matin, Madame Clinton descend de l'hélico et apparaît près d'un Préval, épuisé et démoli. Tel qu'annoncé, les États-Unis d'Amérique prendront les rênes de la gouvernance Haïtienne. L'ONU déjà décimé, laisse-là une reconstruction mal entamée. Au passage, comment un état, qui vient de traverser tant de difficultés sur son territoire, peut se dispenser de machinerie capable de faire face à un glissement de terrain ? Pas de camion, pas de bulldozer ni même de tracteur pour épauler les mains nus de simples citoyens.

Par chance, la communauté internationale délivre ses secours, sa force d'ordre et sa machinerie. Cependant, elle ne s'établit pas sauf pour nettoyer. On avertit même les équipes de survit de quitter, car la sécurité s'impose. Effectivement, j'ai vu des 10 roues faire le ramassage des corps. Je discute fortement les prises d'image de TVA même si elles permettent de conclure. J'ai vu l'hélicoptère tirer par-dessus bord, des denrées que les plus fort ont tôt fait de s'accaparer, armes aux poings.

Labrèche avec Languirand...

J'écoutais ce samedi matin une émission. Autour d'une table, étaient assis les deux animateurs. J'ai découvert comme la majorité des auditeurs, que Monsieur Languirand venait d'arrêter de fumer. Tout ceci me paraissait improbable, inattendu, à mon idée ; ce vert ? Qu'elle ne fût pas ma surprise lorsque j'appris qu'il s'agissait de canabis, de chanvre ou de marijuana . Et bien, je passai par-dessus.

Je me concentrai donc sur le propos des deux énergumènes. Pour l'instant, leur dialogue n'est pas en ligne. Je le placerai ici. En gros, les deux élaboraient sur leurs réflexions tant qu'au divin, la raison de leurs existences et nos aboutissements, via la vie après la mort. Bref, si cela se peut, des propos que bien des ados tiennent les soirs de brosse ou de nuits blanches arrosées.

Sans prétention, je me suis souvenu d'un voyage. 1968, auto-stop, métropole pour canton de l'est et métropole, un p'tit voyage de 2 jours. Comme qui dirait, à l'aveugle. L'ami avec moi, un montagnais hors-réserve, aujourd'hui un capitaliste indomptable. Nous tenions ce dialogue existentialiste, ben glé.

HAÏTI

Commission des Relations de Travail du Québec.

Lundi, je plaiderai pour la cause d'une centaine de collègues regroupés dans 3 entreprises différentes. Ceux-ci sont dans le secteur du verre scellée ou de la coupe du verre. Depuis une dizaine d'année, ces travailleurs se sont associés officiellement à deux syndicats.

L'adage qui dit "diviser pour mieux régner" s'applique totalement à notre historique. C'est que depuis l'abolition (1997-2000) du Comité Paritaire du Verre Plat, ce secteur d'affaire a subit une séparation. En gros, cette scission impose et peut créer deux accréditations dans le même établissement.

Alors ça nous donne ceci ; les secteurs de la construction ou l'extérieur et celui de l'industrie, l'intérieur. Le secteur intérieur bénéficient de la sécurité d'emploi. Pour l'extérieur, non. Ce même secteur d'affaire est assujetti à une loi provinciale, celle de la CCQ. Plus nombreux sur le territoire Québécois, ces salariés ont haussés leurs revenus de beaucoup sans pour autant bénéficier d'une stabilité d'emploi. Ce phénomène se répercute dans les entreprises regroupant les 2 activités. Revenons à mon sujet principal.

Le premier syndicat est une union américaine dont nous avions un service relativement satisfaisant. Elle a même des liens étroits avec l'une des grandes centrales de chez-nous. La première convention est un contrat de 5 ans. Donc entre 2000 et 2005, la première entente négocié fût correcte, malgré la hausse des écarts monétaires entre compagnons de travail.

Lors de la période de maraudage, fin 2004, nous avons adhéré pour un syndicat du Québec. Le premier motif de ce changement était d'arrêter nos obligations financières envers l'union étrangère. Tout cela en conservant un lien avec la grande centrale Québécoise.

Deux représentants de la métropole planifieront les changements. Ils nous représentent depuis longtemps et comme nous les connaissons, nous leurs confions cette transition facilement. La nouvelle adhésion s'effectue rapidement. C'est ce que nous croyons, jusqu'à ce que la Commission des Relations de Travail annule l'accréditation de notre unité. La raison ? Parce qu'on avait omis de nous charger 2$ au moment de la signature de nos cartes d'adhésion.

Les deux autres unités régionales recevront leurs accréditations. La nôtre deviendra officielle quelques jours plus tard. Alors, nous nous retrouvons avec les mêmes représentants, et une appellation modifiée par un mot. C'est ainsi que nous entreprenons les prochaines négos en mai 2005, sans convention depuis mars. Elle sera signé en juin.

Lors des réunions syndicales, je demande une réunion générale afin d'étudier les statuts et règlements de notre syndicat mais aussi de scruter les états financiers. De promesses en promesses, le temps passent, les actions ne suivent pas les promesses.

Puis ce sera la tutelle exigée par la Régie des Rentes du Québec (RRQ). Rapidement, nos représentants créent un compte et transfert nos sommes à la satisfaction de la RRQ. Mes démarches à ce niveau auprès de 2 institutions (CRT-RRQ) restent vaines.

Nos représentants modifient leurs fonctionnements. En cours de mandat, ils nous imposent un contrat de service avec un autre syndicat, la Fraternité Indépendante des Travailleurs Industriels ou la FITI. Elle aussi liée à la grande centrale. Notre agent d'affaire d'alors, devient un de leur agent.

En 2009, la période de maraudage arrive et le magasinage aussi. Plusieurs possibilités nous sont offertes. Il ne faut pas perdre de vue les priorités de notre unité ; les avantages sociaux et le pouvoir de notre accréditation. Quatre syndicats sont sur la table. Nous arrêtons notre choix avec le syndicat étranger.

Depuis, c'est la guerre. Un conflit entre les travailleurs nouvellement accrédités selon la règle de l'art, la FITI et ses représentations, en l'absence des 2 anciens dirigeants et le flou des sommes monétaires accumulées. Mon plaidoyer sera important et surtout, il ne faudrait pas qu'il sombre dans la confusion. Ma défense repose sur mes ou nos droits au travers ce "melting pot" de délégation plus ou moins légitime. Pour leur légalité, je m'adresse à la commission.

jeudi 14 janvier 2010

HAÏTI

Dévastation, mauvais sort...

Message aux ONG. La surenchère, dans les circonstances, est bien plus grave que le séisme et ses conséquences. Je ne crois pas que l'un est meilleur que celui-ci ou celui-là, surtout les plus reconnus ou les plus riches.

Dans le passé, la Croix Rouge d'ici a détourné des sommes dues aux inondations vers d'autres causes. Je ne dis pas qu'elles étaient affectés pour une cause négligeable, mais détournés à d'autres fins que la cause initiale.

Perso, je ne sais pas encore où j'enverrai mes sous. Je verrai. C'est que je redoute énormément la quantité de demandeur. Les pays, comme le Canada, devraient se doter d'une voie unique.

Je reconnais également que seul l'ONU serait qualifié pour conjuguer les interventions en Haïti. La bonne volonté d'un Préval, en ce qui touche la gouvernance de l'État Haïtien, ne suffit plus. En ce sens, comment comprendre que ce pays stagne à ce point. Je sais qu'il n'y a plus rien. Mais bon, voilà, c'est pourquoi je favorise une gouvernance onusienne.

La désorganisation générale qui sévit dans ce pays est le principal embuche si je puis dire. En second lieu, l'espace utilisable à des fins d'hospitalisation, d'hébergement et de reconstruction. Trois, les denrées de base comme l'eau potable, sans oublier l'absence des matières premières.

Le bateau hôpital de la marine dans l'anse aidera, mais il en faudrait beaucoup plus. Les forces de l'ordre et de secours ne peuvent tout faire, les machineries lourdes doivent les appuyer dans leurs efforts. Je le répète. Je ne peux concevoir que les ONG n'ont pu, après de nombreuses interventions sur ce sol, avoir eu si peu d'influence organisationnelle.

Parenthèse : j'ai envoyé (20 heure hier soir) un message sur le blog de Patrick Lagacé. L'article du blog visé concerne un évangéliste américain. Je pense sincèrement que cette article est inconvenant. Je n'ai pas été édité jusqu'à présent.

mercredi 13 janvier 2010

Trois-Pistoles.

Hier matin, à l'aube, j'ai pris en photo l'autre côté du fleuve. Je me tenais debout, rue des Pilotes aux Escoumins, dans un froid confortable, le firmament clair et une marée montante. Appareil en main, je fixais l'objectif sur Trois-Pistoles, à 20 km de mon zoom.

La cité s'ornait d'un immense croissant tout blanc. Dessous, une lueur de jour et de rose et la vie électrifié statique. Malheureusement, je n'ai pas la preuve, car point d'épreuve. J'ai omis une touche sur le satané kodak.

Une heure plus tard, sans rapport, j'entends que deux conducteurs canayens se trouvaient en amont, à Rivière-du-Loup. Ils annonçaient chacun leur tour, un investissement important. Cocasserie du Nouvel An, les deux sont à couteaux tirés. Néanmoins, les deux investissent dans le même projet, une sorte d'usine de coogénération local.

Ok, je pars à +

HAÏTI

Un mauvais sort se perpétue comme les saisons adviennent. La diaspora de ce peuple rassemblera tout leur énergie et convoquera le monde. L'état de dévastation me semble à son paroxysme dans la capitale Port-au-Prince.

Ailleurs dans ce pays, les villes et villages sont aussi atteints. Lorsque les infos parlent de trois millions de personnes affectées par le séisme, cela représente 30% des individus. Cette portion de Caraïbes, en sous-développement continuel, devra se reconstruire malgré son niveau de pauvreté.

Le monde réagira afin de panser les blessures du séisme, un séisme aux répliques nombreuses depuis hier. Je prie Dieu afin que les décisions qui se prennent apportent à ce peuple tout le bien souhaité.

dimanche 10 janvier 2010

Le Devoir, un quotidien ?

" 100 ans c'est du contenu ça ! "

Et ben oui, je n'ai jamais lu ce quotidien, je l'avoue.

Certains, et avec raison, me diront que ça manque à ma culture. Je ne nierai pas cette opinion, c'est vrai. J'avais pourtant toutes les raisons au monde d'être un des abonnés. Ne serait-ce que pour sa réputation historique d'être LE grand défenseur de la langue.

On le dit trop intello, inaccessible. Voilà, ça me revient, c'est le facteur qui a fait que je ne m'y suis pas intéressé.

Y pas que ça, je suis un visuel. Dans mes acquis, sa lecture n'a pas été un facteur dans mon développement. Si on regarde bien les traits du visuel que je suis, la vitesse m'habite. Il existe d'autres facettes comme le dynamisme, la perfection mais bon, comme un gène, c'est inné. Alors, si le journal fait appel à une relecture, au dictionnaire et tout, c'est trop lent tout ça.

Vous me direz, " tu l'as pas lu, comment peux-... ? "

D'accord, j'ai regardé un peu comme ça, négligemment. Je l'ai pas regardé comme je regarde mon Le Quotidien d'ici. Ça vous va ?

Bien que je ne suis pas obligé de répondre à tous vos jugements, j'aurais peut-être dû, mais bon, donnez-moi en ce début d'année, le mérite, oui le mérite, d'une candide confession. En signe de bonne volonté, je place en haut, là, sur le titre de ce topo, le lien web. C'est une bonne initiative.

Bonne lecture !

samedi 9 janvier 2010

Analyse de la crise.

J'ai entendu et vu ce journaliste, Monsieur Éric Laurent. Je vous invite aussi à l'écouter, sept minutes. Ce français écrit des bouquins et sa recherche est plus qu'intéressantes. Il parle de géopolitique, d'économie et d'histoire. Hors des sentiers battus, il interroge et enquête les plus grands personnages de notre époque, Maison Blanche incluse.

Perso, j'ai toujours cru à la responsabilité des Bush en ce qui regarde les relations tordues d'abord le monde musulman. De même, je considérais aussi que Georges W. et son gouvernement envenimaient les parquets de courtage étatsuniens. Pour moi, la crise financière actuelle n'était somme toute qu'un effet bushiste.

Obama, Clinton, des démocrates en cause ? Non.

Laissons ce clin d'oeil et concentrons-nous sur le monde financier. Depuis peu, l'on surnomme ici, les criminels à cravate, tous ceux qui jouent un rôle douteux dans la sphère financière. Malheureusement, nous nous sommes aperçus que de ce côté-ci nous avions aussi nos Madoff.

Ceux qui me lisent se seront rendu compte de ma nature naïve. Loin de moi de déplaire à qui que ce soit sur cette nature, je me définirais comme un idéaliste. Alors, vous dire qu'au regard de ce document, je suis un ignorant.

Proroge

Monsieur Harper, après une visite chez Madame Yes, reporte à plus tard ce qui mérite d’être fait, à grand frais. Avant d’y aller, il a sûrement évalué avec ses conseillers les pours et les contres.

Parenthèses béates ; le parlement reste peu importe ce qu’en pense le pouvoir actuel, un lieu de débat nécessaire et l'exercice de la législature. De vouloir l’éviter ou le retarder, c’est une voie anti-démocratique. De même, de taire tous les travaux des commissions, c’est de la gaspille notoire et plus notoire, de l’anti-tout. Parenthèses closes.

Monsieur Ignatieff aura beau clamer, réclamer et se trainer sur le parvis de tous les parlements du monde, il demeure complice de cette prorogation. L’État minoritaire d’aujourd’hui pourrait être renversé.

Qu’attend-il ? Un sondage lui étant favorable ? Venant de l'ouest canayen, impossible !

Blog, bloguons, bloguez…

Depuis hier, je suis sidéré de toute l’attention que l’on porte aux blogueurs. En matinée j’ai entendu une semonce en règle de 2 journalistes. Effectivement, les bougonneuses en ont beurré épais. Ici d’abord, ensuite ce sera Chantal Hébert sur TV5 et en soirée, le dernier cas. Qui de mieux qu’un journaliste pour élaborer la nouvelle bla bla bla.

Je ne voyais pas venir la mitraille. Mais, je dirais que depuis un moment X, les pros du journalisme décriaient justement l’amas de nouvelles citoyennes, qui se croient reporters. Que dire des vrais, peut-être trop nombreux, si ce n’est qu’ils ne font que répéter avec une carte au cou.

Un grand reporter, Éric Laurent dira plutôt, que les grands médias de nos jours s’intéressent plus à communiquer les news qu’approfondir la véritable news. Pour ce qui est de mon blog. Je n’ai pas la prétention d’être un reporter. Je serais plutôt témoin d’une époque arguant une opinion, celle d’un citoyen ordinaire.

mardi 5 janvier 2010

adage de pieu.

enfin, je dormirai, puisque le point G n'est plus...

Welcome to our Worlds !

Voici le slogan du tournoi qui se déroule à Saskatoon. Invitant ?

L'aria se situe d'abord là. Et bien oui, ils ont traduit ce slogan par :

"Bienvenue à nos mondes !"

Lequel des 2 préférez-vous ? Mes fils, parallèle court, me précisent souvent que les films en version original sont bien meilleurs.

Un illustre a déjà dit que de "traduire c'est déjà mentir".

Hum !

N'empêche, les annonceurs se plaignent de nombreuses traductions ardues, omises et mal foutues. Les autorités auraient à ce qu'on dit manquées de temps. Vrai que deux ans c'est pas énorme pour un large state bilingue.

lundi 4 janvier 2010

Burj (Al Alam)!

Les Dubaiotes ont inauguré LA tour. Imaginez, non, plutôt regardez-là. L'une est inauguré et déjà l'autre pousse derrière elle. L'autre aura 1 kilomètre de hauteur comme quoi, l'orgueil d'émirat n'a de limite que le firmament. Je dis l'autre bien qu'elle soit stoppé faute de dirham...

Politique municipale

Alors, je fais mon bilan municipal. En cette année électorale de nos cités, petites et grandes, trois ont retenu mon attention. Ma ville, celle à l’autre bout de la 175 et la métropole ou ville aux milles arias sérieux.

L’officiel Chicoutimi ne se plaint presque plus. Saguenay fait son bout de chemin et grand bien leur fasse. Pour ma part, mon lit est bien douillet sur ce thème.

Jean Tremblay aura traversé avec moins de panache les défis lui étant adressés. Qu’à cela ne tienne, il a été reconduit aisément. Pour tout dire, même ses opposants votent pour lui. J’avoue cependant que le personnage m’excède un peu plus. Qui, pour finir, par son pouvoir allongé en décade, n’excèderait pas le citoyen ?

Labaume, à pied levé, étend son pouvoir. Il prône ce qu’il fait et sans procrastination je vous prie. D’un projet d’envergure à l’autre, via toutes les petites affaires de rues et ruelles, il vend aux esquimaux le frigo mais au logo qu’il veut. Ça marche non ?

Gérald Tremblay, à son grand dam, tente par toutes les tournures de faire de cette métropole, sa ville, Une. En plus, lui, ce sera tous les dessous ; rues, ruelles, compteur, viaducs et ponts.

La cité cosmopolite, la seule au Québec, vogue dans l’imbroglio. Les projets passent par toute sorte d’étapes complexes et hasardeuses : c’est parce qu’il ne sait pas vendre diront ses détracteurs. Ses adversaires cachés le poussent même vers la capitale de la Belle Province afin que le recyclage des frigos fasse son effet durable.

Bien évidemment, peu de gens, honnêtement, peu de gens n’ont envie de se retrouver sur son fil.

Une suite…

Lhasa De Sela

Perso, je l'entends pour la première fois. Honnêtement j'ignorais même son existence, jusqu'à ce que je la voie à l'écran. On est loin de star mais de richesse culturelle, étroitement liée.

dimanche 3 janvier 2010

Le tunnel du 2 janvier 2010.

Hier, en aprem on s'est plu à construire un tunnel. La photo ci-haut vous le montre. Là, l'un des constructeurs, tout en bas, dans la descente du flanc sud. Abrupte et étroite, cette accès se veut un sauve-qui-peut efficace mais à sens unique. L'agent que vous voyez au bas de ce tunnel, est peu expérimenté mais combien mince et loquace.

À cette heure-là, la structure donnait trois issues en incluant la descente sud. Vous ne pourrez pour l'instant, sécurité oblige, visualiser l'entrée ouest et nord. Notre ingénieur foreur aura mis, grâce au génie de votre humble serviteur, que quelques heures pour trouer, sectionner, décoincer et dégager les résidus congelés hors des niveaux à sécurité élevé.

Au cours de la journée, des ennemis sont venus en grand nombre. Menacé, nous n'avions d'autre choix que de capituler, non lâchement mais dans la dignité. Les images nous parviendront bientôt, et enlèveront tout doute tant qu'au repli brillant, conceptualisé d'abord et réalisé finement. Je tairai volontairement l'identité de l'intelligentzia.