mardi 31 mars 2009

Le savoir : sauf-conduit aux pires comme aux meilleurs résultats.

Les gens croient que la science universitaire mérite un traitement de faveur. Comme quoi, il serait douteux, erroné, voire injustifié, d’accorder du crédit à une opinion de quelqu’un qui n’a ni étude universitaire, ni pré-requis scolaire valable. Ceci dit, vaux mieux savoir que pas, tant pis si c’est théorique et encore mieux, d’expérience. Ceux qui me lisent devineront aisément que mes études sont terminées depuis fort longtemps. Je leurs dirai qu’ils errent. Oui, je comprends que certains émettront des doutes tant qu’au jugement de l’auteur de ces lignes. Pour d’autres, ce seront la référence utilisée, ce qui revient au-même. Pour en terminer sur ce vaste sujet, convenons tous ensemble que les garantis d’un savoir-faire ou de la façon de faire, n’ont rien à voir avec le scolaire. J’ai mis la main sur ces formules mathématiques ; E ( At | Fs ) = As et/ou C(t) = EQ ( e-St r (s)ds .(ST-K)+| Ft). Je sais qu’elles existent et je sais leurs utilisations, approximativement j’entends. Non plus, que je ne voudrais faire de sabordage ou contrevenir sur ce que j’ai dit précédemment, bien que... Je conclurai sur ce propos par une parallèle, en me tenant le plus loin possible des formules ; Maddof aurait-il engagé un ou une responsable instruit dans ces formules financières complexes ? Si oui, à sa place, je prônerais l’innocence circonstancielle.

lundi 30 mars 2009

Une sorte d’Ano... (article au titre)

J’ai reluqué un texte pas trop long. On aborde Chomsky largement, on y parle d’une variété conspirationiste, de sionisme, etc... Le type me semble crédible en posant les bonnes questions. Il sermonne à tour de rôle ceux qui l’ont relancé. J’avais un point de vue du linguiste identifié à un anti-américanisme. Ce topo ne m’a pas convaincu d’en modifier un iota.

Les Sags à Guy Guy Guy…

Tous s’entendent autour de la table toute Bleue ; la saison 2009-10 devrait être plus prometteuse. Carbo aura le temps de s’occuper du cas Louis Leblanc, dont Martel, le DG tout Bleu, aurait acquis les droits. Ce sera pas simple, car le jeune est accepté à Harvard. Je peux bien comparer des images stylés, pour le reste, confions le tout à Guy Guy Guy...

dimanche 29 mars 2009

Dimanche.

Aujourd’hui tout endimanché, je retiendrai les alliances de Dieu et des Humanités qui errent au long des âges et en travers des avènements. Il y eut la sortie d’Égypte du peuple Hébreux. Puis, tous ces traités d’après conflits semblables à tous les autres à l’exception, des Alliances en provenance du Grand Initiateur. Ces pactes sont une invitation à se surpasser, en laissant-là toutes les doctrines dures et cruelles. Lentement, à l’instar des saisons, le printemps nous conduit directement à la Pâques et à l’ultime Alliance, le grand sauvetage par les souffrances, la mort et la résurection du Messie.

Le combat des livres.

L’émission de Christiane Charrette, Christiane Charrette, de la dernière semaine s’est intéressée comme toutes les années d’ailleurs, aux livres. Le panel de juristes choisi a défendu les livres suivants : Deux auteurs se sont présentés aux derniers jours ; Jean-François Beauchemin et Rawi Hage. Comme l’un d’eux le soulignait, JFB pour le nommer, identifiait la grande faiblesse de l’émission. Comment concilier ce combat si à tous égards, on critique le bouquin et on use de stratège ? Perso, ce qui a retenu mon attention cette semaine, ce sera toujours la passion des lecteurs à la lecture de chacun des oeuvres. Il semblait y avoir un mal entendu chez les juristes ; ce combat juge des romans ou des biographies. Pour ceux qui auraient raté ces débats, je place un lien ici.

samedi 28 mars 2009

Ici Radio-Canada !

..."au trait prolongé, il sera midi, l'heure avancé de l’est" Depuis que je sillonne routes et voies urbaines, c’est la formule radio que j’entends avec le plus de régularité. Naguère, les années 40, c’est ma Grand-Mère maternelle, Blanche-Alice, qui se laissait transporter par les voix francos. Par ailleurs, elle n’évoluait jamais loin de son labeur quotidien. Passons. Voyez-vous, ces ondes francos canadiennes ont toujours eu le don d’ébruiter à la fois, l’imaginaire et le réel actuel. Ceci, d’un océan à l’autre et même partout sur la planète, en anglais comme en français. Par les temps qui courent, le politique comptabulaire ramène à l’ordre la maison du même nom. C’est en réalité un débroussaillage dans la stature de la Maison, qu’emprunte le gouvernement Conservateur ; plus de 800 postes. J’ai des amis qui travaillent ici au Saguenay chez RadioCan ; aux infos et aux programmations locales, du journalisme à la réalisation. Cette station est fortement critiquée par les radios dites privées et pour cause. La concurrence de cette institution jure et crie à l’opulence de cette boîte vide et inintéressante. À ce point de vue, les pointages d’écoute ne justifient pas tant de fric disent les uns et les autres. Élargissons le cadre et rendons nous à la tour rue René Lévesque, tout en la scrutant. Pour ce faire, regardons une émission disons, celle de Christianne Charrette ; le double des effectifs est nécessaire à sa diffusion en comparaison au réseau privé. Ceci étant pour la radio. En télé, et bien les avis des uns et des autres sont unanimes, de trois à quatre fois plus de personnels. Perso, les coupes de personnels menacent la qualité de ce qui m’est livré à tous les jours. Le contenant, je sais pas. Pour l’instant minimalement. À la longue, le personnel s’adaptera aux circonstances nouvelles, sinon qu’en restera-t-il ? Cette institution doit revoir sa façon de faire et ceci de bas en haut. Alléger chacun des niveaux, dans la négoce civilisée serait préférable à d’autres moyens venant de la cime onéreuse. Qui dit menace dit arbitraire et dirigisme... En surplus : RadioCan créé un lot de jalousie dans le millieu. En exemple, "le club des Ex". Vous retrouvez là, 3 ou 4 acteurs du politique bénéficiant de fonds de pension du Fédé et/ou, du Provincial, qui vont chercher à toutes les semaines des cachets astronomiques. Le tour est joué en 30 minutes par jour. Personne ne refuserait cette part de marché (on en est là) facile, je dirais. La rançon de la gloire transporte ses petits bonheurs, pourquoi eux ? Ces notables sont sur la même île et le même îlot de connaissance ? Tout cela est vrai et négocié, un à un...

vendredi 27 mars 2009

Souvenir et nostalgie.

J’avais 11 ans en 1961, en pension, c’était l’automne. Il se passait chez-moi comme ce qu’il se passe chez beaucoup de pré-ado, un triste ennui. Du moins, comme ils s’en trouvent dans un monde trouble ; familles disloquées par la mort d’un des parents ou, une absence prolongée. Seul dans mon lit, le sommeil tardait à venir tellement j’étais en manque de ma famille. Couché dans un lit, le son d’un haut parleur me calmait mais s’éteignait à 9 heures. Certains soirs, j’entendis cette chanson qui me berçait jusqu’aux pleurs. Pourtant… Je me remémore cet instant sans tout comprendre les charmes mélodieux de cet air. J’imagine qu’il ne suffit qu’un peu d’introspection pour en condenser tous les émois. Ce chanteur japonais devenait le premier Asiatique listé au hit-parade. Voici son site.

dimanche 22 mars 2009

Dimanche.

Tout endimanché, sous un ciel grisonnant, contre un vent qui lève mes mèches grisonnantes, je me rends à la Cathédrale du Diocèse de Chicoutimi, pour la messe. Ce matin, c’est le Père Bélanger qui célèbre. Le Pére, comme je l’appelle, est un sage, stricte mais compréhensif. Ces homélies sont à l’ancienne, sans détour. Ce matin, l’équipe Pastorale croyait pertinent d’honorer la Croix et ce, à 3 dimanches de Pâques. Trois personnes l’ont donc transporté lentement vers l’autel à partir de l’arrière. Pendant trois minutes, nous avons dû la contempler, fond de mélodie, simplement. Suite aux lectures, l’Abbé Gaétan Thibault livre son message avec conviction. Un peu comme un promeneur, il descend d’abord de la nef, s’avance de l’assistance et s’exprime. Ce type, qui enseignait la psychologie à l’UQAC, est maintenant le Curé de la paroisse Saint-François Xavier. Son approche rationnelle ne trahit pas la science des écritures. L’Abbé Thibault a aussi célébré le service des disparus du 1er de l’an. Expliquer la mort et son sens chrétien, à la longue, c’est pas anodin.

samedi 21 mars 2009

sacrifiés pour une cause nébuleuse...

La liste n'est aps complète. Pour mieux refléter l'affreuse réalité voici ce lien qui montre tous les décès causer par une guerre qui était suposément terminé...

mercredi 18 mars 2009

Ben XVI critique le condom

En déclarant en Afrique, que l’abstinence restait le meilleur moyen de mettre fin au SIDA, Ben a allumé la torche. Cette déclaration, je la fais mienne, et mieux je m’explique. J’invite les gens à bien évaluer les mots de cette déclaration avant de sauter dans le grillage des interdits passéistes et de "hé que t’es rétrograde !" L’abstinence dans tout est le remède à bien des maux. L’humanité est aux prises avec des tares de plus en plus pernicieuses. Qu’on pense à l’obésité. Il ne suffit que de s’abstenir de mal bouffe et ainsi réduire le piège des gras. S’interdire de certaines actions n’a rien de rétrograde, je dirais plutôt que c’est formateur. Tous les spécialistes vous le diront, l’idéal remède, s’abstenir de la chose qui rend malade. Un ami me racontait l’autre jour ; "hier, j’suis allé aux danseuses. De retour à la maison, mon épouse, toujours aussi joli, terminait un boulot. Je me suis mis à la câliné et tout le tra la la et vlan, elle me repousse. Elle n’avait pas le goût!" Vous me direz que l’ami est épais. Qu’il aurait été préférable qu’il boulotte avec elle. Conclusion, c’est pas parce que tu vas aux danseuses que t’as le goût d’emmerder. Je peux concevoir que ça allume, c’est pour ça qu’il s’adonne parfois aux putes. Ok, ça déborde et je m’en rends compte. Prônez l’abstinence, c’est une balise éducatrice qui relève de l’intelligence et qui dit préservatif, dit autorisée.

Ave César !

Je regarde l’émission de César, l’homme qui parle au chien, vous connaissez ? Oublions les montages et tous les trucs, un fait demeure ; il parvient à certains résultats en éprouvant une passion pour ces créatures canines. Pour couper court, à mon topo. Son approche quasi systématique, face à ces chiens rebelles, surexcités, nerveux et féroces, un remède ; l’exercice. Et oui, il les fait courir et marché, longtemps. C’est que voyez-vous, chez le chien las, nulle tare. Tout ça et mettre en évidence, l’Homme. L’être doté d’une bonne santé et d’une énergie mal canalisé peut conduire à la désinvolture, la ruine et aux images de sabotage à la une de nos médias. Eh oui, l’Homme est une créature bête et sauvage parfois. Encore mieux, quel est le meilleur ami de l’homme ? Ne le dites pas, c’est inutile. César dira souvent aux maîtres des chiens qu’il dresse, qu’il est là souvent pour dresser d’abord les maîtres. L’inactivité de l’Homme le conduirait donc vers sa perte. Qui a dit, l’oisiveté est la mère de tous les vices. En anglais la proposition sera, les mains oisives sont l’atelier du diable, tandis qu’en allemand, ce sera, l’oisiveté est de tous les vices le début. OK, je vous laisse car il faut bien travailler…

lundi 16 mars 2009

Compte-rendu des assistances dans la Q (LHJMQ).

Intro: je suis un partisan du hockey junior et mon équipe, les Saguenéens (Bleus), représente l'une des plus vieilles équipes de ce circuit junior. Une ligue contestée depuis la venue de Patrick Roy me direz-vous, je vous l'accorde. Depuis, la critique fait évoluer les us et coutumes du circuit. Dans l'ensemble, les équipes génèrent des retombées d'au moins 40 millions de dollars par saison. Les propriétaires et gestionnaires de ces organisations ont donc tout intérêt de préserver une bonne conduite des affaires de leurs clubs respectifs. Là où le bât blesse et de là viennent les critiques les plus acerbes, ce sont les traitements et l'attention accordés aux jeunes joueurs; la violence, l'horaire via les études et les voyages longues distances. En revanche, les instructeurs du circuit Québécois ont tout avantage à faire du développement, s'ils veulent des résultats attrayants pour les partisans. Compte-rendu 2008-2009 (sans les matchs d'après saison) En premier lieu, les pourcentages d’affluence se situent autour de 68% pour l’ensemble des clubs. Ce résultat représente une hausse sur l’an passé de 3 points. Par équipe, les résultats sont impressionnants ; Montréal avec 28% étonne. Donnons crédit à l’organisation qui a su réussir un transfert longtemps attendu. Espérons qu’ils stabiliseront l’engouement recherché. Les 16 points des Cats prouvent hors de tout doute, que les partisans de la Mauricie sont assidus. Je n’omets pas non plus l’intérêt du nouvel aréna, doté de toute une équipe de patineurs cette saison. Suit avec 11%, les Voltigeurs de Drummondville. Leur premier rang apporte la réponse à leur forte croissance. Par la suite, à 8 points, vous avez 3 équipes ; Gatineau, Moncton et Québec. Je suis toujours surpris des chiffres que nous amènent année après année, l’Océanics (4), les Sags, malgré la baisse d’1 point, qui se maintiennent à plus de 80%. Victo aussi évolue avec des assistances de +80%. En chiffre absolu (2161323), la baisse est significative dû aux 18 matchs en moins (-96 milles). La ligue doit se réjouir de la moyenne des beiges, avec près de 12000 spectateurs pour un total de 398538. Au Junior Canadien, les Remparts demeurent l’organisation par excellence, tant mieux pour la Q. Je termine ce billet avec une certitude ; les divisions ne sont pas étrangères à cette année de Coupe Mémoriale, bien malgré la guigne économique. Le club qui offre le plus d’attrait dans les villes du circuit est détenu par Québec avec 80%. Viens ensuite Chicoutimi à 76%. Il faut dire que la division qui parvient aux meilleurs résultats globaux est la division Est ; tant qu’à son pouvoir d’attraction à domicile (76%) qu’à l’étranger (74%).

dimanche 15 mars 2009

Hadassah.

Jeune, ma mère ou mon père nous interpellait souvent en ces termes ; ah ! mon ptit juif toué, ou ma ptite juive… Cette tendre expression, que j’utilise parfois, se voulait un tantinet bonnenfant. Si on y regarde attentivement, elle cachait aussi la pointe d’ironie, pour définir notre comportement, sournois ou de cachoterie, non ? J’étais loin de me douter qu’un jour, un Israélite pur, fidèle au sionisme, déjouerait de façon aussi tordu, la donne fortunée de ce mouvement. Hassadah, pour en citer un, fait parti des institutions caritatives qui jouissaient des avantages accordés aux influences prolifiques de Maddof et de sa chaîne de Ponzi. On estime les pertes, mal évaluées à ce jour, à des millions de dollars. Cette association, fondée par des femmes consacrées aux sionismes, gérait deux hopitaux et continueront de le faire. Pendant ce temps, dans un autre hopitaux, celle de Gaza-Ville, un médecin raconte à travers ce topo, l’effet du tzedakah sioniste. Vous savez, l’armée du Tsahal n’aurait jamais pu s’offrir une telle ignominie n’eût été de l’appui sioniste. Ces jours-ci, les autorités américaines découvrent que des milliers de Maddof courtisent encore la population. L’europe souhaite une réglementation sévère et un resserrement de la loi encadrant les institutions financières du monde libre. J’espère qu’ils n’omettront pas les organismes qui bénéficient de dollars pour fins de guerre.

Dimanche "Exode"

Voilà, j’ai pensé à ceci. Comment il se fait que j’éprouve tant de qualité à la messe du dimanche et que je n’y faille jamais allusion dans un billet bien précis ? J’ai donc répondu à ce gentil soupçon ; un, en réalisant le billet qui s’intitulera dimanche et deuzio, mes lecteurs les retrouveront sous le libellé, dimanche et tercio, en faisant toujours allusion aux lectures.
Ce dimanche, tout endimanché, je me suis rendu à mon église pour participer à la messe et m’y engager totalement. Les mots sont ce qu’ils sont. En utilisant le terme totalement, j’entends, de mon mieux. Ce matin, j’étais en "Exode" et j’écoutais du Sinaï, la voix de mon Dieu. Il m’invitait au plus grand respect de tous ses commandements ; convoitise, meurtre, vol. Donc, d’éviter ces maladresses qui m’isolent des autres et qui contreviennent à l’ordre collectif. Mais aussi, à ne pas rejeter celui qui les commet…

samedi 14 mars 2009

Bashung Dylan…

Aujourdhui stop est décédé Alain stop à l'âge de soixante et un ans stop Né dune mère bretonne et dun père kabyle stop Il disparaît des suites dune longue maladie stop le cancer du poumon stop Il était entouré des siens stop de ceux qui laimaient stop Adieu Alain Bashung. ( ce clip qui suit remonte à quatrevingtonze )

Le coach futur speak french so so…

Coachs du Canadien de Montréal
Le poste qu’occupe l’entraineur des joueurs du Canadien de Montréal est gigantesque. Ce siège peut, soit se transformer en potence cauchemardesque ou en un trône glorieux formidable, jamais douillet. L’agora bleu, blanc et rouge, voyez-vous, représente dans la métropole, un phare d’humeur. En conséquence, vous verrez de simple mouvement d’un patineur, d’ordinaire d’une banalité extrême, devenir un plan instantané. C’est alors, que les sbires de nos médias se chargent d’élaborer allégorie, tableaux complexes pour calculs stratégiques ou simplistes, et des caricatures savantes ce, à chaque jour. Je dis souvent à la blague, "que tous les acteurs du CH doivent faire attention quand il pisse"! Depuis toujours, la tradition médiatique oblige le coach à rencontrer la presse pour informer les fans ; en français et en anglais. D’ordinaire, il le fera à chacun des entrainements, en avant-partie et après, durant une partie même. L’instructeur du club se doit, quotidiennement, d’expliquer ses décisions songées avec toutes les nuances, sauf à la saison morte. Oui, au hockey, la saison estivale, c’est la morte. Malgré cela, les lignes ouvertes estivales fournissent le moyen à tous les fans d’ici ou d’ailleurs de décortiquer toutes les actions entourant le Centre Bell. Vu l’importance du titre, le gars derrière le banc du CH est soit, un franco bilingue ou bien, un unilingue anglo en apprentissage du français. Je sais, je sais, le français c’est pas simple à apprendre car c’est une "language complexe with many particularities". Imaginez un dirigeant d’entreprise comme notre Caisse, un bas de laine dit-on.

vendredi 13 mars 2009

Michael Sabia de Yale.

Notre Caisse jette son dévolu pour sa présidence et sa direction chez Monsieur Sabia, un ancien de BCE et du CN. Pour m’aider à élaborer ce billet, j’ai zieuté un clip qui m’a donné un premier aperçu de l’élu. Aussi, des commentaires, que j’ai glané ici et là, ne lui sont pas du tout favorables. Un instant, me dis-je, on ne peut pas plaire à tout le monde. J’aurai préféré un franco, mais bon, ça n’a pas de pertinence dans le cadre d’une puissance mondiale financière Québécoise. Cet Ontarien s’exprime en français mieux que Koivu ou Kovi, des célébrités qui travaillent au Québec depuis des lustres. Néanmoins, je ne suis pas chasseur de tête. Bien que Monsieur Robert Tessier, président du CA de notre Caisse, a bien dû se référer à ces chasseurs, misons qu’il aura tous les arguments favorables. Je viens d’entendre l’ex-PM, Bernard Landry, qui me semble en état de choc, voit cette sélection d’un mauvais œil, pire, une provocation. Celui-ci s’en prend à la culture économique du gestionnaire. Monsieur Tessier, pourtant, en voyant le nom de Sabia, l’horloge de la Caisse s’est stoppé net. Nul besoin de retarder sa nomination, vite vite, c’est notre homme. Alors attendons... ...après le souper : là, je viens d'entendre les propos nuancés de Sophie Cousineau, de la Presse. Inquiète, elle s'interroge tant qu'à l'empressement de cette nomination. Pourquoi dans la foulée d'un virage à 180 degré de la ministre Forget à l'égard, un, de son témoignage à la commission parlementaire et deux, du témoignage même. Elle finira en révélant qu'un seul candidat évaluer, était pour elle une déception. A suivre... ...j'ai scruté le web et déniché ceci. Tout de même bizarre comme seul lien antérieur ; une maman, féministe ...

mardi 10 mars 2009

L’attention médiatique.

Hier, tous trépignaient d’excitation à la venue d’Henry (Rousseau). Le cours de "Perfect Storm" One-O-One fût tellement concis, qu’au point de presse, Henry achevait le boulot. Plus tard, les colonnes du temple tremblent à l’annonce du Dg des Glorieux : Bob démet Carbo de sa passion, du bleu, blanc, rouge. Imaginez que l’île surf avec tant d’attention, qu’en région, on roule tous feux éteints dans la noirceur d’une crise sans issue. Pourtant les deux news se chevauchent peu de temps, laissant la seconde démontrée encore une fois (profond respire), la suprématie de la glisse du morceau noir sur une glace bleutée entrecoupée de lignes impeccables égratignée par des dieux richissimes du stade en patins aiguisés. Au fait, il y a bien ici et là quelques news qui jettent ombrage sur l’humanité et mieux, une lueur perceptible provenant directement d’Europe. Monsieur Trichet éparpille dans l’univers de la nouvelle pour annoncer le beau temps économique dès 2010. L’info nous parvient ici durant la nuit, tôt ce matin. Cependant une nouvelle n’arrive jamais seule, puisqu’un peu avant, de ce côté-ci, une de Warren Buffet privilégie la patience et une reprise réelle dans 5 ans. Bah ! Ne vous en faites pas, il y a bien plus important, car Bob dirige le CH ce soir. Bien tant mieux pour Ano.

lundi 9 mars 2009

Notre Guy Guy Guy is out…

Je viens de tomber de ma chaise. Bob! Bob! Bob! Je ris dans ma barbe bien rasé, car tes mains liés m’amènent à considérer que ton rôle est nul, mieux, archinul. Les pseudos coachs qui l’assistaient, ne l’ont pas aidé à tenir la barque sans un centre numéro 1. Celui-ci aurait dû provenir du fruit de ton travail, toi le Dg, le choix d’un riche Américain. En créant cette vague, le Dg laissera un groupe de joueur sans un véritable leader, une chambre multi-lingue avec des cultures aussi diverses que l’ONU, quatorze joueurs qui tombent sans contrats en juillet et une épine dans le pied, Koivu. Je finirai ce billet par apporter du prestige à ce billet ; Gillet a eu la tête de Guy, personne d’autre.

Henry-Paul Rousseau (HPR).

Je voudrais féliciter HPR. Je viens d’entendre son plaidoyer. Ce manifeste, si je puis dire, me semble une défoulade du connaisseur passionné. En mettant en plein milieu, la limite (13G) atteinte des PCAA, il venait de situer le débat. J’ai retenu un élément à sa conférence de bienséance 101 ; derrière les chiffres vous avez des individus. Je signalais dans mon billet du 28 février dernier, une vertu à faire prévaloir lorsque l’on parle de finance et d’économie, la modestie. J’entends aussi le porte voix du Pq, qui aborde la question du point de vue politique, en recréant une surenchère tel un courtier tout ébouriffé sous une tempête parfaite.

Je parle car on clone…

La décision de BhO de permettre la recherche sur les cellules souches (cLs) m’agace profondément. Je ne crois pas qu’il soit décent de scruter un profil humain, même orphelin, d’un individu en devenir. Les décideurs pourront toujours prétendre qu’au lieu de les jeter, valait mieux les récupérer pour la science médicale. Tous, nous sommes pour la vertu, mais la procédure qui l’accompagne dans ce cas-ci, me semble aller directement à l’encontre des droits humains. Les cellules reproduites doivent même faire l‘objet d’une remise en question plus sérieusement. Je suis déçu de la désinvolture avec laquelle nos sociétés gèrent la question génétique comme s’il n’existait aucun imbroglio. Sachons apporter à la science certaine limite qu’elle ne doit franchir, ceci sans contrevenir aux droits humains, des uns, comme des autres.

dimanche 8 mars 2009

Un autre départ…

Un individu qui s’en va à jamais, ne laisse jamais personne indifférent. J’ai dû rencontrer dans ma vie des êtres attachants, d’autre moins, en apparence du moins. J’apprends par la bouche de mon père, celui de Louis, un ex-beau frère. Il aurait, à ce que l’on dit, terriblement souffert ses derniers moments sur terre, tant il était décharné et méconnaissable. Je ne l’ai pas revue depuis si longtemps. Le voir, c’est beaucoup dire, je dirai entrevoir. La dernière fois, il se trouvait à l’Église Notre-Dame, sur le parvis. Comme j’ai une mémoire portrait à toute épreuve, je l’ai reconnu aussitôt même après une vingtaine d’années. Je ne crois pas avoir échangé avec lui ce jour-là. J’ai maintes fois rencontré cet homme et mis à part ses victoires aux cartes ou à des jeux de société, je ne me souviens pas de lui. Il savait nous vaincre, sourire en coin et hautain, puis en remettre. Pour le reste, son union avec ma sœur n’aura pas duré, sa paternité non plus. Son estime de lui-même et je l’appris avec le temps, était plutôt basse. La timidité qui logeait en lui, était à peine perceptible. Austère et sérieux, il ne pouvait en permanence, tromper ses proches sur ses intentions réelles, fuir et se donner des airs biens. Je voudrais ici rendre hommage à mon neveu et mes nièces, qui ont su se battre à tous les jours. Vaincre nos démons chaque jour, se surpasser et transformer une lueur d’espoir, un rêve et le concrétiser, tout cela nécessite le courage de vaincre. Ils savent aussi que j’aime toujours me retrouver parmi eux. Ils font parti de ces gens, qui donnent à la vie, un sens. Ils ne sont pas tous parfaits, mais ils sont comme il se doit. J’apprécie ma petite sœur d’avoir entouré les petits de leur grand-mère et de leur grand-père. Ils auront, chacun d’eux ou ensemble, sus apporter la simplicité des choses pour que le merveilleux qui s’y cachent, les éblouissent comme un levé de soleil. Ma nièce, la deuxième, l’aura côtoyé sur son heure de départ et c’est tout en son honneur, car la mort ne rend personne indifférent. Ce billet le confirme car il vient saluer la présence sur terre de joyaux merveilleux. Tous ces instants de réjouissances et de peine, n’auront été possibles, sans la présence de cet homme, qui n’a trouvé qu’un remède, la fuite de la souffrance silencieuse.

jeudi 5 mars 2009

Gavin Harrison.

Cette homme est un virtuose de la caisse et des percussion. Son collègue l'est autant que lui et ils font parti du groupe Porcupine Tree.

FTQ...

Je viens tout juste de regarder et d’entendre l’épisode Jocelyn Dupuis, ex-président du Syndicat de la Construction affilié à la FTQ, à l’émission Enquête. Je suis outré et scandalisé de tant d’aisance et de complaisance face à ces comportements plus que douteux, pour le moins illégitime. Dans cette émission, j’ai entendu le nom de l’un des responsables de mon syndicat précédent. Un type à qui j’ai demandé des accès aux états financiers de mon syndicat et une copie de la constitution, sans avoir eu de réponses satisfaisantes. Nous, les travailleurs, ne sommes pas en mesure de toujours vérifier les comportements douteux, surtout lorsque tout se passe à Montréal, loin des régions. Là où je suis encore plus déçu, c'est lorsque je me rends chez mon député en région, et que celui-ci se porte à la défense du Syndicat de la FTQ. À suivre...

lundi 2 mars 2009

Un nouveau dream économique…

Je suis pas un de ces magnats d’Americans, avec tous ces dollars d’un dream pour bien nanti. Mais là, là là, je lève la main. Comme en classe, vous vous souvenez? J’ai une proposition messieurs les …, passons! En quelques mots, l’offre élaborée se veut productrice et innovatrice. Au lieu de tirer tout partout comme des GIs affolés, cernés, nos décideurs, aux plans gigantesques et stériles, devraient plutôt doter les pays dit sous-développés, de tout le confort moderne. Pas n’importe quoi, mais avec du style et tout; condo de première, tout meublé, des appareils ménagers tout blanc, ou des studios spacieux, à étages multiples, tout garnis. Aussi, pour ces enfants tiers-mondes, des repas tous les jours, chauds ou froids, et des breuvages tous frais et fruités, des bibliothèques pour écoliers bien vêtus, etc... Et oui, enrichir ces peuples, aux prises avec des dettes incommensurables. Pourquoi pas, les munir de tous les biens qui émergent ici et là, dans nos tours pour bureaucrates et technocrates biens pensants. Ne nous rendons pas à l’opulence cependant. Je ne peux omettre que nos états dit développés, se retrouvent avec des spécialistes de tout. Je suis prêt à les mettre dans le coup s’ils comprennent les aboutissants. Ils nous manqueraient juste la couleur des murs à faire préciser, simple non ?

Une insurrection Talibane.

VAUT MIEUX S’EN MOQUER ! Pour ceux qui l’ignorent, je suis un routier, un simple routier. Oui un ptit journalier. Mais aussi, un autodidacte de fin de semaine, sans beaucoup de prétention. Puis, je revendique un certain point de vue. Pour exemple, cette folie guerrière en Afghanistan. Dès le départ, j’accusais les bushistes d’assiéger un pays pour d’autres motifs qu’une battue axée sur Ben Laden, une chasse aux Talibans ou une Al-Qaidaicide. Ce matin, notre premier ministre Canayen dit et je cite : nous ne gagnerons jamais sur les insurgés. Après sept années de notre implication, plus d’une centaine de nos soldats tués, des centaines d’amputation, trente milliards de nos dollars et une armée, même bien rémunérée, au bord de l’épuisement, on admet la défaite ? Les Americans, en nous précédant, entreprennent Operation Enduring Freedom pour ensuite crier victoire. Nos bushistes exigeaient alors plus qu’un appui verbal, des gestes concrets qui donnent signification au Pacte de l’OTAN. Chrétien d’abord et les autres PM engageaient notre pays dans cette folie. Voilà où nous en sommes, moi avec…