dimanche 16 décembre 2012

Dimanche le seize décembre...


Dimanche le seize décembre, à -16, je n'ai pu m'interdire de fixer cette image automnale. À travers cette buée froide, enveloppé comme un oignon, je peux faire face à tous les sursauts, même hivernaux.

Une des conditions pour affronter les aléas de la vie, je parle ici des plus sérieuses, moi, j'ai hérité d'une foi. Non, soyez-en persuadés, elle n'est pas indéfectible. Ce dimanche, à -16, je me rends à l'église de mes ancêtres pour mieux la révéler.

Cette invitation m'est garantie. Ce matin, j'étais heureux de Lui répondre.

Mitraillette et autres balivernes...

Ce n'est pas une baliverne que de dire qu'une mitraillette sans tireur, c'est presque sans conséquences. Cependant, diminuer les risques d'une mitraille, me semblent à la base de tout. Le propriétaire d'un tel arme doit prendre un maximum de précautions.


Ranger sous clef, l'arme et les munitions dans un endroit approprié est de mise. Dans deux lieux différents, une mise en garde à prévoir, de même que le chargeur.

Ce qui vient de se produire nous pouvons l'éviter. Un jeune homme, au surplus, avec un comportement incohérent, ne doit pas avoir accès à des armes, quelque soit l'arme.

Chacun de nous, avons une responsabilité tant qu'aux personnes avec des comportements inhabituels. Leurs proches devraient surtout les entourés afin que leurs silences ne deviennent pas une menace pour eux-mêmes et pour leurs entourages.

Le Président des États-Unis d'Amérique, et tous les décideurs des pays dit démocratiques, le Canada surtout, en interdisant la vente d'armes de combat résulteraient sans nul doute à une diminution de ces gestes irréparables et diaboliques.

Il est illusoire de croire que tout peut être évité. Mais, il me semble que déjà de les freiner, aurait comme effet de les diminuer.

samedi 15 décembre 2012

Mitraillette et autres balivernes.


Je serai bref.

Qu'attendent les autorités pour légiférer ne serait-ce qu'un tout petit peu pour ne pas gêner les puristes du 4ème amendements, afin de diminuer les risques démentiels à répétition ?

Ceux qui croient le contraire, armez-vous encore plus !



jeudi 13 décembre 2012

La ligue junior de l'Est alliée du Canada !


J'écris ce billet même avec une candidature officieuse. Jamais auparavant, du moins à mes souvenirs déçus, la ligue junior de l'Est n'aura été représentée par 6 jeunes de la Q au sein de l'Équipe junior Canadienne.

Nous avons là, 6 hockeyeurs. De haut en bas ;
Phillip Danault de Victoriaville, Xavier Ouellet de Terrebonne, Jonathan Huberdeau de Saint-Jérôme, Charles Hudon d'Alma, Nathan MacKinnon de Cole Arbour, Jonathan Drouin d'Huberdeau. Tous du Québec sauf le jeune de Nouvelle-Écosse, MacKinnon.

Je peux de suite vous dire que nous assisterons à un tournoi relevé et plus que jamais, épié par les amateurs de hockeys du Québec sinon des provinces de l'Est.

Des 6, Hudon est celui, qui de par sa présence, prouvera à tous que les joueurs au petit gabarit, ont leur place chez les grands de notre sport national. Je le voie évolué souvent, il est brillant et possède une vision de jeu extraordinaire. Il appartient au Canadien de Montréal.

Danault est celui que je connais le moins. Il sera employé sur un trio d'énergie. Il appartient aux Black-Hawks de Chicago.

Xavier Ouellet ressemble à Letang. Il est calme, rapide, comme quart arrière, redoutable. Il appartient au Red-Wings de Détroit.

Huberdeau, que dire si ce n'est que le défi pour lui est énorme. Son talent est sans équivoque, remarquable. Il fait tout bien. Il appartient au Panthers de la Floride.

Nathan MacKinnon est fort, physiquement et mentalement. Il est explosif et travail avec acharnement. Sera repêché en 2013.

Jonathan Drouin démontre la meilleur progression cette année. Dans la Q certes mais rendu à ce stade, il épate tout les analystes. Il pourrait devancer son coéquipier MacKinnon au repêchage universel.

Alors je vous convie tous à suivre ce championnat qui aura lieu à Ufa, en Russie dès le 26 décembre 2012.





mardi 11 décembre 2012

Israël



Voilà le Tsahal !

Un homme à vélo, un opposant désarmé et vlan.

Je sais qu'une majorité d'Israélien n'approuve pas ce geste. Mais, à partir de rapport d'Amnistie Internationale (AI), j'ai constaté que cela est régulier en zone occupée. Le voisinage des autochtones de Palestine ne cesse leurs harcèlements, sous la protection des policiers. Les rapports le prouvent et même les enquêteurs d'AI subissent l'odieux et le lynchage.

Je vous rappellerai ici qu'il n'est pas question d'une option du moins pire. Des amis me mettent en garde de favoriser l'Islam. Je leur dit et dirai que je favorise le peuple abandonné, les gens opprimés. Sur cette terre, il n'y en a qu'un, ne vous y trompez pas.

Pauline Marois

Notre première Première Ministre(pPM), comme elle l’a déjà dit ; “ j’ai mis 35 ans pour me préparer “.


Ceci dit, je serai direct et sans détour.

Lors de son discours au soir de la victoire mitigée, j’ai de suite été dépité tant qu’aux excès trop coutumier de la Dame. Au lieu de se fier au policier, non elle revient sur scène comme si rien ne s’était passé. Pourtant, Elle ne pouvait être assuré de la bonne suite de l’évènement.

Le 18 septembre, Madame Marois annonce son Conseil des Ministres. Elle nomme Monsieur Breton à l’environnement même en connaissant le passé désinvolte de sa recrue. N'avait-elle pas dit zéro concession tant qu'à l'éthique ? Avant que cela n’explose, Elle sait que son ministre est allé sermonner les employés du BAPE.

C'est quoi là ? Il aura eu le temps de limoger Pierre Renaud.

Les nominations étriquées de Nicolas Girard et d’André Boisclair réitèrent encore une fois le jugement trop simpliste de la pPM. Réalisons tout de même les coûts que cela entrainent. On vient de nommer un conseiller spécial au PDG d’AMT. Constatons, Elle coiffe et décoiffe comme en salle d’essayage du costumier d’un autre parti.

Le budget de son ministre, un pro forma qui ne passerait pas à la petite Caisse d’un village mal avisé. Il n’était pas écrit, qu’il révélait toutes les faiblesses d’un gouvernement sans calculette. Les observateurs, j'ignore encore pourquoi, n’ont pas encore raturé les incongruités prévisionnels des revenus. Au surplus, Elle négligera toutes les promesses de ce pourquoi Elle et ses acolytes ont été élus.

Les mauvaises décisions sont si nombreuses qu’on ne peut toutes les énumérer, quand même. La langue, Gentilly2, la Région de Trois-Rivières coiffée, puis décoiffée, etc…
Je suis franchement étonné par la complaisance de la Radio-Canada, d'une complaisance vicieuse.

Vite 2013, qu’on refasse nos devoirs de citoyens…

lundi 10 décembre 2012

Jean Tremblay




Ce maire de Saguenay ne laisse personne indifférent. Ses propos deviennent des slogans pour ses adversaires, la risée même. Pour ses amis, il en a assurément, rare viendront-ils à sa défense. C’est comme ça. Avouons, quand même, que les sujets qu’il aborde sont aujourd’hui tabous.

Pour ma part, plusieurs de ses positions politiques m’ont dérangés. Je l’ai dit, écrit en proposant d’autres alternatives. J’en ai conclue qu’elles étaient peu attrayantes, voilà. Constatez, ses opposants proposent très peu de choses intéressants une majorité de citoyens.

Sa domination au Conseil de Ville n’est pas nécessairement malsaine.
Ceux que ça choque devraient plutôt souligner son leadership. Vous savez, pour administrer une cité moderne, il en faut. Je perçois dans ce portrait, toute la responsabilité qu’incombe aux maires de nos villes au Québec.

Espérez un putsch !

Ses opposants ont, jusqu’à présent, démontré comment conduire un train de citoyens, presque déserté. Échaffauder toute une organisation, politiquement crédible, ce n’est pas une partie de plaisir. Une des premières règles, savoir rassembler.

S’il agit de manière personnel, Jean Tremblay, de son personage, je le critiquerai tout autant. Son dernier micro ne m’offusque pas. Il continue sa croisade s’en se cacher, au contraire, il claironne à même le train déserté, celui de ses réels opposants.

Pour conclure, les Lavals de ce petit monde peuvent bien critiquer. De leurs propres chefs, ils affichent bien haut leurs oppositions. C’est courageux, pi ? Pour ceux qui blâment sempiternellement, je leurs suggérerais autres choses ; agissez bordel de merde.

Intéressez-nous à votre train !

dimanche 9 décembre 2012

Me revoilà !


Me revoilà …

La dernière fois, ça remonte, attendez que je me souvienne ; à ma conversion, voilà. Comme on dit, une conversion impose une manière de faire. Un nouveau rituel se met bien en place. Bof ! Le plus important pour moi, ce n’est pas tant le Macmininisme que de me remettre à écrire.

Ceci dit, hier soir, nous étions à une fête. Non, moi et mon épouse, pas le Macmini. C’est que, avec deux autres collègues de mon employeur, on a organisé la soirée de notre Club Social. Je vous donne une idée ?

L’accueil à 17 heure. Le rallye de Denis à 17 heure 30. Le repas, 19 heure. Pendant le dégustaillage, le DJ exécute un petit jeu tout simple, grâce à François qui a récolté de tous les employés une chanson de leurs choix. Alors, on a tenté d’identifier l’employé qui a choisi la toune qui joue.

Vers 21 heure, tous, on a joué au Tricheur. Trop long, mais bon, la possibilité d’en jouer en groupe de cinq, c’est concrétisée. À 22 heure 30, la danse avec le DJ.

Je reviens au Tricheur car c’était ma responsabilité. Ce n’est pas simple au départ. Rassembler autour de 6 tables, dans un espace bordélique une trentaine de personnes par groupe de 5, ça c’est réalisé rapidement, dans les circonstances. Réunir lequel allait avec laquelle, tous les joueurs, le plus simple.

Le second hic, expliquer le jeu. J’aimerais préciser qu’un animateur n’aime pas perdre son auditoire. Allez, j’avoue ce matin mon niveau de stress, au plafond. Mais aussitôt dans la mêlée, tout a disparu. J’ai su, je crois, expliquer la mécanique du jeu sans perdre l’intérêt d’une majorité respectueuse et somme toute intéressée.

Une heure trente plus tard, c’est fini, ouf !

Imaginez que l’équipe qui héritait des réponses, du mandat de tricher, c’est involontairement sabordé. Le porte-parole n’a pas décelé la copie officielle du tricheur à travers les feuilles réponses. Tous les autres porte-paroles ont retrouvé une copie similaire, sans les réponses bien sûr, mais pas LE tricheur.

La question qui tue !

J’ai animé une parti du jeu des Tricheurs ou merde ? Difficile à dire. En parti oui. Les meilleurs aux points après les 20 réponses ont été l’équipe de Bianca, Suzanne, Diane et Pierre et ce, sans tricheurs. Au finish, une majorité de l’audience s’est amusée malgré les longueurs.

Je termine ce long billet en indiquant à tous que le propriétaire de Vitrerie Commerciale célèbre la 30ème année de son entreprise. Chapeau Boss !








mardi 13 novembre 2012

Je me suis converti !

J'ai hésité longuement.

J'ai songé, réfléchi et évalué toutes les conséquences de ce virage.

J'en ai parlé avec plusieurs dont la compagne de ma vie.

Pour terminer, genre, ce coming-out, sans vouloir inquiéter mon plus vieux, encore moins mon cadet Montréalais, c'est irrévocable.

Vrai, que j'ai subi l'influence d'un collègue. C'est le dernier venu pourtant. Il a tellement mis d'énergie au changement que je vous adresse aujourd'hui, c'est ainsi !

Cependant, je sais fort bien que j'en soulagerai plusieurs et non les moindres.

Au fait, ma conversion, la voici ___

À quand l'MTQ ?


Reconnaissez-vous ce coin du parc ? Moi, je l'ai toujours apprécié. Ce site enchanteur se situe au km 107. Vous me direz, pourquoi le 107 ? Je vous dirais que juste après, on a le km 108, conséquent non ?

Voilà, c'est que ce matin on annonce une autre chute de roches. Ça s'est produit à minuit ce matin. En regardant la photo du bas, on voit bien le mur. Tout en haut de ce mur, le deux voies direction sud passe là.

Question. Peut-on assurer les voyageurs que l'ensemble des travaux effectués sur la 175, dont les effets collatéraux du dynamitage, ont été étudiés ?


Au fait, le tour des équipes d'ingénieurs de l'MTQ comparaitront bientôt devant la Commission Charbonneau. Sans viser les contrats touchant la 175, le tapis rouge du Saguenay, les travaux de ce ministère sont-ils toujours sécurisés et épiés ?

lundi 12 novembre 2012

TLMEP

L'un des rendez-vous des citoyens de la Belle a fait la démonstration du meilleur et du pire. On ne peut s'empêcher d'estimer à sa juste valeur l'une des artistes reconnus partout sur notre planète en Céline Dion. 1 à 0 pour TLMEP

Ce rendez-vous permettait aussi, à un prétendant potentiel à la mairie de Montréal de faire joujou. Les gens du plateau ont lancé pour de bon DC. 1 à 1.

Ensuite, PH, l'homme orchestre qui ne laisse personne indifférent. 2 à 1 pour TLMEP

Qui de mieux qu'un couple américain de service pour, on jase là, raconter l'exceptionnalisme Américain, ici ou mieux ici, à travers l'élection récente. 2 à 2.

Par ce dimanche automnal, comment cultiver tout le plateau, sans interpeller l'interculturalisme même, Gérard Bouchard. Oui, en peu de mots, si ça se peut, l'hystorien-sociologue saura élaborer. On ne saurait lui reprocher de défendre sa thèse, à la condition d'omettre une part essentiel de notre histoire, la foi. 2 à 3.

Le groupe uniforme applaudira aisément l'analyse succincte de Monsieur Bouchard tant qu'à sa vision du maire de Saguenay et la Charte de la laïcité.



Là, j'adresse un reproche aux athées qui réfutent l'utilité de la prière lors d'une assemblée, après en avoir décider la façon, la gang décide d'en adresser une avec tout le décorum. Comme l'utilité d'un crucifix et d'un symbole religieux dans nos cités et villes. Le patrimoine c'est quoi, de la merde rien ? Pi les drapeaux, c'est quoi sinon la patrie.

Imaginons, qu'en début d'émission de TLMEP, Guy-A attribut une minute de silence en mémoire d'untel. On pourrait aussi imaginer la lecture d'un poème ou et pourquoi pas, d'une invitation. Pourquoi pas une invitation à la prière et tout le décorum respectant l'untel ?














samedi 10 novembre 2012

HACKONS LA CORRUPTION !

De véritables citoyens, tenez-vous bien, prennent nos affaires en main. Tous des hackers, ce groupe scrute les affaires de nos décideurs. Hackons la corruption est leur devise. Oui, on peut faire confiance aux élus, à la seule et unique condition, d'en savoir plus. Beaucoup plus. Dans le passé, nous les citoyens avons légués certaines de nos préoccupations. Depuis un temps indéfini, on nous organise tout, presque tout.




Un pouvoir urbain ou...

Avec tous ces démissionnaires, que doit-on conclure de la gouvernance de nos cités et villes ?

Oui, l'un des rois municipaux s'éclipsent, celui de Laval. J'entends encore les Lavalois vantés sa gouvernance. En plus de 20 ans, il a dû accomplir plusieurs améliorations sinon que penser de sa faveur populaire.

Pour Montréal, le maire Tremblay n'a jamais fait l'unanimité. Convenons cependant que la métropole Québécoise exige une refonte quasi intégrale. Tant de décideurs en un si petit territoire, me semble déraisonnable. Au surplus, additionnez les histoires de corruptions, ça soulève un manque flagrant d'organisation primaire.

La CAQ suggère une tutelle ensuite un observateur, rien n'apparait comme une solution viable pour le ministre Gaudreault. On laisse donc les décideurs municipaux élus faire la transition. Pourtant, et oui, pourtant nous avons là des conseillers incapables en plus de dix ans de discerner le vrai du faux. J'ai bien peur qu'on enlise toute une part du Québec dans un piétinement.

Aujourd'hui, depuis des lunes je dirais, on perçoit en Denis Coderre une force d'attraction. L'image, son passé politique, l'omni-présence sur les réseaux sociaux, son influence médiatique, tout ça intéresse l'électorat.

Moi pas vraiment. Je veux dire que je ne suis pas très Coderre. Ma première raison, sa présence aux Communes. Je lance une question ; le citoyen Coderre a été présent lors du scandale des commandites. Tout ce temps, ben oui je sais qu'il n'était pas le seul, mais tout ce temps (1996 à 2002) le député n'a rien vu, rien entendu, rien dit, sauf à la Commission Gomery bien sûr.




Avouez que c'est quand même quelque chose, que le gars, jusqu'à Gomery, fût presque omni-absent, sur tout. Frula aussi, Dion et combien d'autres ? Seulement eux, n'affichent pas une gourmandise ponctuelle à des soupers spaghettis. À l'ère des corruptions, comment ignorer l'évidence des complaisances.

Pour tout vous dire, je ne suis pas Montréalais et aurai donc un rôle plus qu'effacé aux élections de la mairie Montréalaise. Si j'avais un véto, je chercherais un autre prétendant. Tiens Rozon, pourquoi pas ? Non, mon maire à moi est Chicoutimien. Oups ! un Saguenéen. Bien que ce maire Tremblay vise une quasi royauté, cherchez un postulant s'avère une perte de temps, pour l'instant.

Alors, Montréalaise et Montréalais, gardez l'oeil ouvert...

lundi 29 octobre 2012

Sandy

À cause de Sandy, le Saguenay accueille un navire.


Les cinq milles passagers appréciaient la virée dans le fjord.

J'ai pris bp de clichés, dès son arrivée. Certaines vont être corbeillées dès leurs apparitions. J'en ai pris de presque partout. J'ai clipé l'accostage. Ça a donné trois petits courts mouvements. Un jour je prendrai des leçons mais voici ce diapo.

Pour le retour, j'ai emprunté le vieux chemin Saint-Martin. L'éclairage affichait tout, sous un jour nouveau. Les monts couleur automne au loin. J'ai aussi pris en image des chevaux.

J'ai regardé l'autre intrus, de plus de milles kilomètres. La côte est américaine n'aura jamais vu d'aussi grosse. Pour l'occasion, l'adoption de Frankhestorm est on ne peut plus clair.

Soyez prudents au sud. Plus au nord, pas avant mardi et la queue, mercredi.

samedi 27 octobre 2012

Planter.

Planter

Un jour se lèvera sur trois branches de lilas
Qu’un enfant regardera comme un livre d’images
Le monde autour de lui sera vide, et c’est ainsi
Qu’il inventera la vie à sa première page.

Planter,

C’est prendre dans sa main
Une toute petite graine…presque rien…
La regarder attentivement, l’aimer …
Et croire qu’elle contient, tout caché, un arbre magnifique …

Planter un arbre
C’est tenir dans sa main
Une frêle petite plante, une jeune pousse très fragile.,
S’en séparer …
Et la laisser puiser elle-même sur la terre,
Le soleil et l’air, ses énergies de croissance …

Planter,

C’est se révéler patient, doux,
Promoteur de vie, de beauté, de fraîcheur …

Planter,

C’est répéter ce que bien d’autres ont fait,
Mais poser un geste que personne ne fait.
Parce que je le fais …

Planter,

C’est cesser de dire, il ne pousse rien de bon par ici!

Planter,
C’est piocher la terre,
C’est être disponible,

Planter,

C’est recommencer sans cesse …
Si tu plantes un arbre,
Tu acceptes d’en être responsable,
Tu lui fais confiance …
" Tu es responsable pour toujours de ce que tu apprivoises … "
Tu fais confiance aussi aux hommes,
Au temps qui le mûrit lentement,
Sans brûler les étapes …
" C’est le temps que tu perds pour ta rose
Qui fait ta rose si importante "

Quand tu plantes,
Tu sais bien que cela ne t’appartiendra jamais à toi seul …
Ce qui compte d’abord …
C’est de permettre à l’autre de s’épanouir dans la joie
Et dans le goût de vivre …

C’est vrai que tu plantes si tu essaies d’éduquer …
Incalculable est le nombre de petites choses que tu plantes
Dans le jardin qu’est l’enfant …

Tu plantes chaque fois que tu fais un geste pour aider le jeune

À devenir travailleur...
À respecter les autres …
À aider un compagnon …
À mieux vivre en groupe …
À savoir sourire …
À s’accepter soi-même …

Chaque fois que tu fais un geste,
Que tu dis une parole dans cette ligne
Chaque fois tu plantes ….

L’enfant est un jardin …
Il est déjà un arbuste en croissance …
Ses racines s’étendent au foyer, à l’école et dans ses environnements
Il a besoin de soleil … de fraicheur … de protection …

Comme l’arbre
Il ne peut croître que d’une façon invisible …
Il faut beaucoup de patience …
Il a besoin qu’on croie en sa capacité de créer …

Bien plus que l’arbre ou la fleur,
Le jeune a besoin de chaleur, de support, de confiance,
D’affection, d’espoir, de foi dans sa croissance invisible …

Ce qui reste difficile, ce n’est pas de planter,
C’est de croire aux graines,
C’est d’y voir un germe,
C’est d’espérer une grande chose …
Ce qui est difficile,
C’est d’avoir foi en l’environnement pour la croissance …

Planter.

C’est aimer assez pour accepter que les fruits tardent,
C’est parfois reconnaïtre un autre moissonneur,
C’est ëtre certain qu’un fruit viendra
Peut-être pas celui qu’on veut

Mais celui que le Père veut, quand il le veut …

Ce qui demeure un peu plus dur
C’est de ne pas se reposer tout de suite
A l’ombre de l’arbre que l’on vient de planter

C’est de se rappeler que les planteurs ne sont pas tous heureux
Mais que les heureux sont toujours des planteurs …
" Comme un soleil, comme une éclaircie,
Comme une feuille que l’on cueille entre les orties,
Il doit venir comme vient le beau temps,
Il doit venir comme vient le printemps … "


mercredi 24 octobre 2012

Au cimetière le bleublanc !

Voilà, c'est fait, après douze ans de loyaux services.

Ce matin, le mastodonte aura fait avec moi son ultime roulade, épuisé d'un demi million de km et érodé par le temps.

Quand même, petit pincement de coeur de le voir ainsi, dénudé de sa voile bleue.

Maintenant, place à celui qui devient mon partenaire de route, sapé d'une voile bleublanc, aluminium, donc plus léger, fier d'allure et récent.







NB : lors de la prise de possession, mon jeune nouveau a éprouvé son premier relâchement. (à suivre)

samedi 20 octobre 2012

Commission Charbonneau et ces stars...


En peu de temps, la Belle exhibe ses détours secrets par la Commission Charbonneau. Par des sentiers lucratifs connus dans le giron du 514 et le 450, depuis longtemps à part de ça, tous devaient les fréquenter avec une complaisance certaine.

Prenez TPS. La coutume voulait qu'à chacune des réponses gonflées à ses appels d'offres, on lui accordait un montant liquide. Ce pactole complétait la boucle de la corruption. À quatre-vingt-dix reprises, le fonctionnaire de la métropole se soumettait à l'exercice sale.

Lorsqu'on a exhibé le sac zippé plein de fric à la Commission, ça m'a gêné.

Voulait-on minimiser par cette mise en scène le corruptible ?

Voilà, qui de nous n'a pas de relation qui touche du comptant sous la table ?

"Avec facture ou pas ?"

Lors d'un souper bénéfice du Parti Libéral, Jean Charest n'aurait-il pas dit à son Ministre de la Justice de ne pas porter attention aux enveloppes brunes ?

À mon avis, nous sommes tous complices de cette corruption. Même qu'on s'y complait. On l'accepte pour ne pas se montrer trop vertueux ou pour ne pas avoir d'histoire. Pourtant, lorsqu'elle devient grosse et puissante, elle est inacceptable.

Peu importe ce billet, la Commission suivra son cours détruisant un système.

Ensuite, attendrons-nous aveuglément l'autre système qui fera son apparition grâce à ces mafiosos ? Ces malfrats qui ne souhaitent qu'une chose ; la puissance ou le pouvoir.

mardi 16 octobre 2012

Automnale


St germain Sure thing par tictacworld

Avec le départ du soldat, j'éprouve un sentiment mitigé, ambigu. J'estime son envol comme celui d'un volontaire accompli.

Pour plusieurs de mes concitoyens, c'est son job.

C'est bien vrai.

Alors mon introspection se poursuit, c'est comme ça. Ça toujours été.

Le soldat a toujours été généreux. Que voulez-vous, il est gentil et compréhensif. Même que le cadet a de ses élans d'altruisme. Pas parce que ce sont mes gars, ils sont comme ça.

Ah oui, l'automne ?

Je dis souvent que les gênes n'oublient pas. Dans ce cas-ci, il n'est pas question de me comparer aux gars que j'aime. Bien sûr que non.

Non, mais à l'atelier, je suis délégué syndicale. Mon jeune frère aussi l'est, en Ontario. Notre grand-papa, "Pit" a été l'un des secrétaires du syndicat d'Alcan vers la fin des années 40. Malgré la maladie, il aura par la suite besoin de pousser plus loin. Son action socio-politique se confirmera en proposant des grands changements qualifiés d'utopiques. Sa fille, ma mère a cette sorte d'entêtement d'idéos.

Si je remonte au souvenir de ceux qui ont connu "Pit" réellement, il ne vivait pas que pour lui. Pas par grandeur d'âme seulement. Besoin d'être admirer par ses actions ? Possible. D'être conséquent suite à ses longues réflexions ? Aussi, j'imagine.

Certains affirment ou m'ont affirmé par le passé, que j'étais un pelleteux de nuage. Parfois, je le crois aussi. Vous savez, personne ne veux du job à l'atelier. Mon frèrot dit souvent ; "je démissionne et ils reviennent me chercher comme interlocuteur."




lundi 15 octobre 2012

Mes fils s'envolent à tour de rôle.


Au passage, mes deux gars voyagent bien plus que moi. D'ailleurs, mes rejetons reflètent concrètement une tendance forte moderne, l'avion. Au plus loin, je me serai rendu, dans une autre vie, à Sept-Îles. Leur mère se sera, tant qu'à elle, déplacé avec ses amies vers le sud ; Acapulco, Miami, etc...

Le plus jeune des deux se promène outre-mer et en Amérique.

À son tour, l'un des miens s'est envolé loin des siens, hier. Mission oblige. Ce départ est le premier d'une suite afin de compléter le remplacement de ceux qui sont déjà dans l'état d'Asie centrale.

Alors, c'est comme ça. J'admets que c'est avec beaucoup de tristesse que je le vois s'expatrier. Je lui disais à l'oreille " il n'y a pas si longtemps, je te dictais l'endroit où aller, et tu acquiesçais ".

Les lecteurs de ce blog savent bien mon opinion touchant les guerres étasuniennes. Écoutez, je ne me souviens pas de guerres qu'ils aient terminés en solo. Que le Canada soit impliqué dans cet état m'horripile, mais bon, c'est ainsi.

Je félicite son courage et sa détermination. Elles sont sans faille. Je ne saurais oublier le courage de sa conjointe et elle a toute mon admiration.

Pour terminer, j'entrevois le portrait au jour le jour...


samedi 13 octobre 2012

Matricule 728 et autres insanités ?


Ici, je ne défends pas la constable Trudeau. Son métier mérite toute notre attention. Voici pourquoi ce matin, j'ai cru bon vous en parler.

Le rejet catégorique de tous, en passant par les médias, est catégorique. On se comprend bien. Qu'un policier ou une policière soit accepté comme tel, aussi longtemps, malgré les gestes trop souvent disproportionnés, soit toléré par ses pairs, c'est inconcevable.

Ceci dit, imaginons à l'opposé. J'entends souvent les gens parler de la police avec des termes inacceptables. Écoutez, on a tous entendu le terme "chien".
Les citoyens ne devraient pas non plus tolérer ce langage ordurier.

Un policier intervient, après que des gestes répréhensibles, qu'il est qualifié "d'estie de chien" et d'autres expressions inqualifiables. Personne ne rétorquera, ou rarement, en plaidant que l'agent avait raison de se manifester.

Lors du printemps érable, j'en ai vu des vertes et des pas murs. Du côté des manifestants, croyez-vous qu'on a pas eu d'exagération ? Alors, je nous invite à rejeter les gestes commis, d'où qu'ils viennent.

samedi 6 octobre 2012

Stéphane de la rive sud...


Cette nuit, vers 3 heures quarante-cinq, j'entends de ma radio une voix presque familière. Cette voix d'un Stéphane de la rive sud est interrompue par l'animatrice de nuit à Cogeco, Isabelle Ménard.

L'homme a une voix presqu'éteinte, écrasant l'oreiller de sa lourde tête. Stéphane, abattu, relate une émission récente d'Isabelle Ménard. Bien que la femme de nuit situait ce moment direct radio, les mots décrivant sa situation manquait de précision selon Stéphane. Cette instant live d'Isabelle évoquait un désarroi total et sans espoir.

Stéphane de la rive-sud, déjà somnolant, réussit à dire dans une courte phrase que lui aussi en était là. Qu'il ne voyait pas de lendemain. Malgré tout, Isabelle l'encourageait. Tout en l'abordant avec précaution, elle dit qu'elle n'avait aucune formation pour l'aider. Elle déniche un numéro, le 514-723-4000.

"As-tu un crayon Stéphane ?

"Peux-tu écrire ça ?"

Hésitation...

"Ah ok"

"Écris et téléphones dès que tu auras raccroché."

"Heee, ouais..."

"Stéphane, tu peux pas te tromper, tu n'a plus rien à perdre..."

Puis plus rien. A-t-il composé le numéro qu'Isabelle lui a tendu. L'histoire ne le dit pas.





mardi 2 octobre 2012

Maire au Québec...


Le pouvoir sur une ville relève en tout premier lieu de la démocratie. Prenez Gérald Tremblay ; c'est un maire élu. Avec les élections clé en main, tout se peut. Si on a suivi le témoin de la Charbonneau, c'est une probabilité forte pour l'élection 2009 de la métropole Québécoise.

Ce témoin allègue des systèmes avec la permission des membres de la Commission. Les procureurs présents ne conduisent pas l'interrogatoire sans une preuve béton. Je ne sais pas ce qu'on a promis à Zambito, pour qu'il explique tout ça. C'est ce qui me suggérerait, à la gouverne de la cité dont le témoin parle, de démissionner.

Dans l'état actuel des allégations, nous ne sommes plus en démocratie. Le maire élu de l'île métropolitaine, en plaidant la patience, protège un système verreux. Sur l'île, tous reconnaissent la complicité d'officiers de la ville. Abdullah, Surprenant "tps" et Leclerc aromatisent l'os du monstre allégué. Ça commence à faire une sorte de bon gigot.

Moi, à la place de l'élu, je ne jouerais plus le chef-cuisinier d'un grand resto reniflant l'odeur d'un gigot juteux, qui nie ne pas voir le gigot. Non, j'irais plutôt invoqué que mes feux de poêle sont éteints, le temps de prendre le morceau dégoulinant dans la gueule.

L'avortement ou l' IVG.

Je suis un homme. Je vous choquerai peut-être d'en parler. Je reviendrai à cette hors-d'ordre plus loin. Pour l'heure, je me permets d'en parler, c'est mon droit fondamental.

Récemment, la Chambre des Communes a soulevé le statut du foetus. "Et oui, encore un homme qui soulève la question". Affirmer ça, c'est d'omettre volontairement que plusieurs femmes soulèvent aussi le sujet. Mais, de toute manière, ce n'est pas permis diront certains, de soulever la question. Non, on préfère la complaisance d'un droit qui ne saurait subir la moindre contrainte, voire l'obscurantisme ?

À un autre moment, on s'est insurgé qu'on élimine les foetus féminins. Pour les gars c'est moins grave ? Pourquoi donc ? C'est de toute manière, une partie négligeable de l'enfantement, une péripétie sans reconnaissance légale.




Il n'est pas question ici d'accuser qui que ce soit. L'avortement est un droit, comme celui de se défendre pour son intégrité, de travailler afin de subvenir à ses besoins ou de respirer dans un lieu clos sans menacer sa santé. Voilà, c'est un droit, convenons-en.

Pourtant, si un jour on devait se rendre compte qu'un droit contrevient à un ou d'autres, on pourrait en discuter. À la lumière, s'il le faut, l'encadrer, le baliser. Mais, de ce sujet, non. Aurions-nous l'audace de plaider l'ignorance volontaire ? Certainement pas.

Ce serait un erreur d'avaliser un agissement des années 60. Voici, la science exacte nous impose de bons comportements. Pour exemple, on ne peut conduire un véhicule en état d'ébriété comme à une certaine époque. On a donc fixé un barème, une mesure. L'interdiction variera selon. Récemment, on l'a étendue aux prises de drogues, même à la fatigue. Tout ça dans le but ultime de protéger l'intégrité des usagers mais aussi de la personne aux facultés réduites.

Oui, il s'en trouvera encore pour prétendre que deux ou trois consommations ne conduisent pas à la démesure. Tant pis pour eux. On a appris, science aidant, que ce n'est pas tant la quantité ingurgitée que la conjugaison de plusieurs facteurs réducteurs de nos facultés. L'intolérance à l'égard des récidivistes est compréhensible.

Comment saurait-on ignorer l'acide désoxyribonucléique (ADN) sur une scène de crime ? C'est impensable et ce serait de la négligence. On ne doit pas se priver de ses avancés scientifiques. De même, les outils modernes aidant aux différentes enquêtes pouvant conduire à l'illustration d'une preuve. L'exactitude de ces procédés scientifiques ne font aucun doute.

Récemment, la science avance que lors d'une grossesse, les cellules d'ADN des mères et celles de leur foetus passent d'un corps à l'autre par le placenta. Ce processus, appelé le microchimérisme, demeure en l'un et l'autre et ce, parfois la vie durant. Le foetus n'est pas uniquement un récepteur mais un émetteur de renseignement. Nous devrions donc considérer cette aspect dans l'analyse de la procréation.

D'autres études ne font pas l'affaire des fanas pro-choix. Il semble que le foetus subit des douleurs. Non, cette avancée culpabilisante n'a pas de valeur et même le futur scientifique ne saurait altérer un droit exclusif. On peux dire ça comme ça.

Plus simplement, l'historique de la ressemblance entre le foetus et ses géniteurs doit être pris en compte. Dès le départ, la ressemblance est un fait et ne fera par la suite, que s'achever. Cela me semble objectif et conséquent pour la suite des choses. On conviendra que ce n'est pas une cellule en croissance définitive, car l'un et l'autre pourraient cesser d'évoluer.

Ici, au Canada, la cessation de grossesse se résume à peu de chose. Les fanatiques Pro-vie aimeraient bien en débattre. Mais d'autres fanas ne le souhaitent pas.

Ceci dit, ailleurs dans le monde, un cadre valide le droit à l'avortement suite à un minimum de débat. Pourtant, ailleurs, en France, en Allemagne, en Norvège etc... le chiffre 12 semaines ressort comme étant une limite acceptable. L'extension d'un droit à l'avortement passé ce chiffre passe par l'examen d'un tiers. C'est ce qu'on appelle un cadre restrictif à un droit. Ici, au Québec pour le nommer, aucune règle.

Les organismes comme la Fédération des femmes du Québec blâme la Ministre
Madame Ambrose de s'être prononcé sur le statut foetal. Que veut dire ce tollé de protestation tant qu'à sa prise de position ? Sommes-nous dans un pays totalitaire ?








Investissement apprécié.


De tout ce territoire, certains endroits sont investis de part en part par des travaux. Celui, celle, ceux et celles qui ingénient, qui dessinent, qui planifient, qui évaluent, qui creusent, qui remplacent, qui enterrent, qui terminent, qui acceptent au final, sont responsables de chacune des étapes. Tous détiennent un titre de pros ou de journaliers.

À entendre le témoin actuel de la Charbonneau, tous, à leurs niveaux, sont corruptibles. Un petit pourcentage et hop-là !

Dire qu'on fait, à coup de milliards de nos dollars, des pieds et des mains ailleurs dans le monde contre la corruption. Là où on se permet de qualifier de fantoche leurs gouvernants.

Pour terminer, la Commission Charbonneau ne se comporte pas comme une entreprise désireuse d'en finir avec...

De l'espace pour les pubs ou merde ?

P-S : au Canada, y en a pour plus 200 milliards.

samedi 29 septembre 2012

varia début automnal ...

Khadr

le rapatrier ? il était temps, selon moi.

les plus riches

la rétroactivité promulguée pour pallier à l'abolition de la taxe santé ne fait pas la job. l'enveloppe souhaitée d'un milliard, même garnie par les mieux nantis, risque fort de décevoir à la réception.

décision

en politique, décider pour le citoyen va de soi. ce, en autant qu'on respecte le portrait démocratique. un comportement contraire usurpe le citoyen. je verrais bien la formation d'un gouvernement d'élus consentants. un cabinet ministériel formé par une coalition large, proportionnel.

ligne de parti.

avant le parti, les citoyens.

israël ou l'iran ?

mon gouvernement propose d'entrer en conflit avec l'iran. l'état iranien de 77 millions d'habitants gère sa souveraineté. on peut ne pas être d'accord avec les dirigeants, même proposer autres choses. Pi ? il ne faudrait pas croire que l'état israélien est sans faille itou.

la corruption

la commission charbonneau devient lentement un document d'introspection. qui peut dire au québec : " je suis vierge ! " totalement viargette ! (comme disait oncle jocelyn.) voilà, je dis qu'il existe dans les faits, une corruption pour puissants et une autre pour les petites gens.

discrétion primaire

la juge charbonneau demande au média de la discrétion à l'égard des témoins. comme éviter l'annonce à venir d'un témoin. radio-canada est passé maître à ce chapitre. tva aussi. un peu d'intelligence journalistique quand même.




NB : ce montage photo à partir d'Anse de Roche ce mardi.

dimanche 23 septembre 2012

L'entrée en scène du trésorier Chicoutimien.



Les PQuistes minoritaires gouvernent la Belle avec une certaine arrogance. Je dis ça simplement et avec une grogne citoyenne. Pour preuve de l'arrogance ; la lancée de décisions et de prises de positions insensées. Remarquez, qu'elle n'est pas meilleure en casserole.

Prenez l'abolition de la hausse des droits de scolarité, avant même le forum. On aurait pu promulguer une suspension des frais, même pas. De plus, la bonification des prêts et bourses, accordée par le gouvernement Charest pendant le conflit est reconduit par les PQuistes.

Le moratoire intégral sur les gaz de schistes et ce pendant l'évaluation du Comité environnementale stratégique sur le gaz de schiste. Elle pourrait attendre la fin de l'évaluation. Plus, les Verts au gouvernement ? On peux-tu se garder une tite gêne ? Breton et Ouellet tirent partout, même sur Gentilly 2.

L'improvisation de ce gouvernement confirme son incompétence en matière d'économie. En écoutant le ministre du Conseil du Trésor, on le réalise vraiment. Il ne connaît pas les chiffres des annonces PQuistes et c'est aussi là, l'arrogance.

Je veux bien me situer centre-gauche. D'ailleurs on s'entend pour dire que le verdict du 4 septembre situe la gouvernance bien plus au centre, même centre-droite. Certains observateurs dont Coiteux avisent notre gouvernement actuel d'examiner le portrait global avant de préconiser une course à gauche démesurée.

NB : la marche du 22 septembre des carrés rouges fixe l'agenda de Pierre Duchêsne, notre jeune retraité.





jeudi 20 septembre 2012

Mauvais goût, méchancetés et provocations.


Comme les provocations ignobles visant Mahomet, les élucubrations à CJAD d'un " Richard Bain" sont de mauvais goût et alimentent la haine et les intolérances.

C'est alors, qu'on voudra s'approprier tous les droits et toutes les libertés. Peut-on permettre, légitimement, à un Bain, même par ricochet, de faire la loi et par lui, d'étendre les aversions politiques, la menace et l'intimidation ?

Pourquoi, en revenant aux religieux, légitimer la moquerie du religieux et ainsi, provoquer la haine entre croyants et incroyants ?

Dites-moi. Au nom de quoi, de qui, pourrions-nous avaliser ces actions, somme toute, aussi inutiles que grossières ?

mercredi 19 septembre 2012

Génial ce vieux Dylan !



Bob Dylan aura eu toutes les musiques dans le sang.

Tempest affiche la grandeur du personnage.

mardi 18 septembre 2012

Disons que je suis un fan du ...

J'aime le hockey.

Un fan du Canadien ?

Non ! Je n'en suis pas un. Du hockey junior oui, mais des pros, non. Je m'explique.

J'ai assisté à deux matchs des Glorieux ; un, à l'ancien Forum (1971) et un autre, au Bell (2010). Éblouis encore, je me souviens du premier. Un don de Gaston (Pepsi). C'était contre les Hawks avec Bobby Hull. Score final, 1 à 1.

L'autre, un show hors glace contre Toronto, perdu 5 à 2. Cadeau du Fond de Solidarité de la FTQ. Mon fils Yannick m'accompagnait.

Alors, disons que j'en suis un, je veux dire, un fan, un vrai. Je me serais démené plus que ça. Oui, je les regarde à la TV, mais bien moins depuis l'ère Gainey (2003). Regardez, je ne m'affiche pas au gilet Habs "bleublancrouge". Un vrai fan a une équipe, ses couleurs, une tuque, un pyjama genre.

Mais, disons que j'en suis un. Je suis en colère de voir des rivaux avec la même couleur de gilet, se confronter. J'imagine un éleveur bouder ses vaches. Ça ni queue ni tête hein ? Molson contre Cole, ou Price, c'est louche non ?

Moi, je veux voir les gars de mon équipe à leur place. Bergevin et Therrien qui mènent, et les autres, tel un bataillon au fond, tous pour les Glorieux. C'est là ma déception. Là j'observe tous les déserteurs de la cause "HOCKEY" faire mer et monde pour porter des patins pour du fric. Des mercenaires ? Oui !



Moi, le fan, je le suis inconditionnellement ou presque. Je les défends contre vents et marées. Eux, ils me disent : " Heille bonhomme, tu fais quoi là, le clown ! On est pas le Père Noël ! Nous c'est le fric ! Après, même pas toi."

Parenthèse : l'arrivée de Bergevin, un ancien Sags, a rehaussé mon intérêt. Malheureusement pour lui ou pour moi, l'arrêt des activités m'impose un regard critique. Je n'aime pas qu'on utilise des termes impropres à la situation. Un lock-out ? Allons, c'est un bris de contrat entre des pigistes et des producteurs de show. Vouloir assimiler les activités sportives professionnelles à ceux du travail ordinaire, c'est pas correct. Je les referme.

L'éleveur de mon équipe, c'est Molson. Son cheptel ? C'est l'organisation à fric que j'observe aux guichets ; la bière à fric, les toustous déguisés, la revue, la malbouffe avec ketchupmoutarde, la pub blingbling, ses droits de télé, etc... Son troupeau, j'en suis comme tous les fans du "bleublancrouge".

Les joueurs ? Des pis de vaches ! De vaches trop grasses pour donner du lait 2%.

lundi 17 septembre 2012

Le sionisme à l'avant-scène.

Le sionisme possède toutes les ressources pour tourner ce type de navet provocateur ; "L'innocence des musulmans". De plus, quoi de mieux que "You Tube" comme grand écran ? Une centaine d'émeutiers suffit à déclencher les hostilités meurtrières.

Admettons-le et posons la question ? À qui paie le crime ? Aux Mulsulmans ?

Produire un film, dont les acteurs nient toute responsabilité, à ce point provocateur, ne vise qu'une chose, l'embrasement quasi anarchique des états islamiques.

Oui, cette production antireligieuse ne vise qu'une chose ; attiser la colère des Islamistes. La première réaction arrive de Libye, à l'ambassade Américaine de Benghazi.

L'ambassadeur Christopher Stevens et trois autres Américains ont perdu la vie le 11 septembre dernier. La grogne Américaine n'a pas tardé. Le contraire aurait été étonnant pendant la présidentielle étasunienne 2012.

Presque seul, Benoit XVI interpelle la voie de la sagesse. Il invite les différents courants religieux à se distancier du fondamentalisme religieux afin de calmer le jeu. Madame Clinton faisait le même appel précédemment.

Tous les observateurs politiques vous le diront ; Israël se sent isolée à la table de l'ONU lorsque la question Iranienne est soulevée. L'arme nucléaire Iranien menace la sécurité du territoire Israëlien.


Qu'aurait à gagner une attaque Iranienne contre les Israéliens ? Ce serait, à mon avis, suicidaire. Israël possèderait l'arme maudit et explicitement, recevrait l'accord de ses alliés. Deux poids, deux mesures favorisant à mettre l'huile sur le feu.

Pour finir et drôle de parallèle ; le Canada, en procédant dès la semaine dernière à la fermeture d'ambassades, apporterait-il un avant-goût machiavélique à notre monde ? Oui, après l'Iran, notre ministre ferme temporairement les ambassades du Canada en Libye, en Égypte et au Soudan. Le Canal de Suez a toujours été stratégique...




dimanche 16 septembre 2012

Fin de semaine de hockey !


Alors, la Douce et moi, on s'est payé un périple familial hockey. Remarquez que le seul Bleu sur les glaces, le 4. Premier coups de patins de James, hier à Val-Bélair et ce matin, à la base de Val-Cartier.

Maman et Papa épiait le jeune, en réchauffant la petite.

Mémé et Pépé savourait ce bon moment.

vendredi 14 septembre 2012

Les antis ...


Josh Freed appartient à la communauté anglo Montréalaise. La dernière campagne, selon lui, n'a pas plu à sa gang. La crainte de voir les PQuistes trônés avec une majorité, l'horripilait. En scrutant quelques circonscriptions, on comprend vite qu'ils n'étaient pas les seuls antisouverainistes.

Un, le taux au finish, place l'option de la Souveraineté, là où elle est réellement ; autour de 35%.

Alors, avant d'ostraciser les anglos, soyons bons joueurs. On ne peut tout de même pas concocter un pays franchement provincial sans l'adhésion de ceux qu'on ignorerait par entêtement.


Maintenant, regardons ensemble la prestation de Lucien Bouchard aux Francs-Tireurs, que je qualifierai de remise à niveau. J'ai beaucoup aimé son avis en ce qui concerne la rue, la générosité de la gauche et les richesses naturelles...






Des'ree ?



À tous les amoureux de cette planète en effervescence.

mardi 11 septembre 2012

Exigez une commission sur les évènements ? Bof !


Ce matin, je me suis dit, en longeant le fleuve sur la 138 ;

« tiens ! j'vas écouter Médium Large. »

Préavis : Je n'écoute plus cette émission. Depuis son arrivée avec Madame, Catherine Perrin j'veux dire, je suis pas capabe. Aucun débat, non, le consensus des biens pensants.

Une preuve ?

La dame débute un segment d'émission en nous faisant entendre un extrait de Marion Cotillard(MC). Autour du divan à psy, trois complices, du même côté du divan, qui traitent des complotparanos. Aucune allusion à ce que dit le clip d'MC. Bien non.

Non. Sauf de l'intellectualisation d'intellos.


NB / au cas où le monde libre l'ignorait, je leur rappellerai qu'un autre prisonnier de Guantanamo est décédé. Le 9ème. Lui aussi, sans procès et détenu depuis plus de 10 ans.

dimanche 9 septembre 2012

Dérive armée... /2

Clef en main ?

Les vieux partis, onze millions, plus les médias en renfort. Fait remarquable ; avez-vous vu beaucoup de vedettes aux côtés du clan Legault ?

Je sais, je sais, normal, d'éprouver de l'amitié pour des amis, un voisin, un collègue...

Quand même, 73 députés ou 58% des électeurs ont appuyé les partis d'opposition.

Que Bovet, qu'un Roy en éprouve pour Drainville, à plus forte raison, pour Pierre Duchêsne, je comprends...

Les résultats revus et corrigés démontrent hors de tout doute que le troisième parti, la CAQ, finit second dans la majorité des comtés. Les analystes émettent des opinions diverses en préconisant la proportionnelle. Moi, je me calmerais le pompon sur la formule de notre système. Je le répète, la commission Charbonneau pourrait conduire à un autre constat. Le spectre du cynisme a sûrement contribué au succès de la CAQ.

La perspective d'une désaffection radicale Libérale demeure, patientons. On a qu'à regarder le déclin des Libéraux fédéraux pour mieux comprendre à la fois la trêve de la juge Charbonneau et le déclenchement du processus électoral de 2012. À cette égard, les PQuistes et la première ministre de la Belle ne sont certes pas à l'abri de turbulences, droite gauche, gauche droite.


L'abolition de la hausse des frais, fallait s'y attendre rapidement. Le forum sur les études supérieurs viendra lui aussi, rapidement. Je le souhaitais mais la réalité financière risque de nous rattraper. Ajoutez le gel des frais de garde, les futurs négos avec les employés de l'état, les hausses d'Hydro reportées, le ralentissement de l'économie, les déficits, la dette, alouette !

Le dépôt du budget en mars, si le gouvernement minoritaire se rend-là, déterminera la survie de ce gouvernement. En fin de compte, on est tous pour la vertu, bien qu'un moment donné il faut bien retomber sur le plancher des vaches.
La classe moyenne prouve par ses multiples contributions sa volonté d'assister le régime. Dans le déséquilibre fiscal, je ne suis pas sûr de son alliance.

Pauline Marois transgresse déjà quelques balises d'une saine gouvernance. Osera-t-elle franchir d'autres barrières qui repousseraient encore plus loin le redressement de la Belle. Verrons-nous se creuser l'écart avec nos voisins ou bien, l'axe d'un changement obligé ? La lutte à l'inégalité provoquer par les grandes centrales syndicales entêtées, isolés de leurs bases ouvrières ?

La question nationale, quoi qu'en pense les Lisée, Drainville et autres irréalistes, déjà trop nombreux, doit être remise à plus tard. L'ère de ces tumultes, même consolant, bousculerait inutilement la stabilité sociale et un gouvernement accommodant.

2/


samedi 8 septembre 2012

La CLASSÉ ?

Le conflit étudiant est terminé, selon la FEUQ et la FECQ.

En sommes-ns à la gratuité ?

Merde, Pauline. On a eu 58,27% pour une hausse.

Je sais, ton carré...



La dérive armée et autres constats. 1/

Le portrait historique de la Belle, à plusieurs points de vue, se présente tel qu'il est, ardu. Aujourd'hui, me revoici devant ma société, une société démocratiquement divisée, entre des priorités partisanes et autres considérations structurelles et pécuniaires.


Tous, tard mardi, on aura hérité de la mort d'un technicien. Un autre technicien, qu'on a tendance à oublier, a été atteint grièvement. Si Blanchette et Courage ne s'étaient interposés, nul ne sait l'étendue de cette dérive armée. Ce Richard Henry Bain, que l'on dit sympa, s'est livré à l'irréparable par l'arrière du Métropolis.

Les médicaments prescrits à l'homme armé, lui auront tout de même permis de garder en sa possession tout un arsenal. Le gars possède une vingtaine d'armes, tous enregistrées, sauf une. J'y vois là un laxisme évident.

«Au même titre qu'un permis de conduire, si tu n'es plus apte à conduire ton auto, ton médecin peut te le faire enlever, si le médecin dit que tu n'es plus apte à avoir des armes à feu...» Tiré du témoignage d'un psy.

Ceci dit, j'écoutais Louis Lemieux, à RDI, cuisiner un responsable de la SQ. Je n'ai rien contre LL de radio-canada, mais on est ailleurs. On se retrouve tout à coup près de l'autre, Le Négociateur. Franchement, les stratèges de la SQ a à répondre de la tragédie de ce mardi au Métropolis.


L'une des dérives commence par le choix de la date des élections. Écoutez, la Commission Charbonneau recommence le 17 septembre, à un mois de son premier anniversaire. Cette commission aura assisté à un stratagème qu'elle doit scruter "les élections clefs en main". On peut aussi s'interroger sur la trêve de 88 jours (illustrer ci-haut).

Clef en main : le travail au noir n'est pas autorisé, on sait ça. Mais quand même, croyez-vous vraiment que tous les militants et partisans soient des bénévoles et les salariés, tous rémunérés selon la loi des normes du travail ? Avec une bonne organisation de campagne, les partis peuvent mettre sur pied des stratagèmes et entre autre, faire sortir le vote. Elle peut même faire voter des morts...

/1


mardi 4 septembre 2012

Une voie ferroviaire...

Autrefois, les élections se limitaient à la bipartite, telle une voie ferrée. Les tempêtes électorales survenaient des bleus, soient des rouges. C'était ainsi dans les cités et villages d'antan. De plus, les médias intimidaient peu et les paparazzis alors, ailleurs. Chacun possédait son analyse politique, ses analystes de service. Même les politiciens assimilaient relativement bien les aléas électoraux.



Tout ça, rien à voir avec 2012. Aujourd'hui ? Une période électorale provinciale, c'est un grand boulevard à 6 voies, aux grandes heures de pointe bouchonnées, sous des intempéries incessantes et la hâte ponctuelle. Certains roulent bien, à tour de rôle, des ratés.

Ce dernier 35 jours ne me fait pas mentir, on en conviendra. Tous les candidats, les chefs spécialement, méritent notre respect. Tous possèdent une bonne santé et un courage indéniable ; sans cela, terminé.

Lorsque les bus aux couleurs des partis prennent la route, c'est au quart de tour. Néanmoins, le trajet planifié comporte des surprises ; bosses, trous, virages et au terminus, des microphones indiscrets si ce n'est des silences évocateurs.

Là, les derniers milles. Le sprint des organisations sérieuses, faire sortir le vote, maintenant. N'oublions pas les pointages de tout un chacun. Tous le disent que ce sera serré et ce, dans plusieurs comtés ; une quarantaine...

Allez voter merde !




lundi 3 septembre 2012

- 24 heures !


Enfin, demain soir, à cette heure, j'espère un résultat majoritaire. À mon humble avis, cette élection marquera l'histoire.

Tout ça me rappelle l'enjeu électoral de 1976. L'élection du Parti Québécois, sous René Lévesque, avait provoqué un remue-ménage extraordinaire. Dès les lendemain de ce choix, des bureaux chefs ont fait leurs valises et laissés derrière eux, un peuple français en devenir, plus fier que la veille, déterminé et courageux.

Demain, je verrais bien le parti de la coalition prendre les commandes. Comme en 1976. Les motifs ne manquent pas.

Un ; la corruption et la désinvolture ont atteint des niveaux révoltants. Les nombreuses contestations improvisées le démontrent.

Deux ; les constats récurrents en santé et en éducation révèlent une telle bureaucratie, que seul un virage radical conduira à des résultats. Après l'avoir fabriqué, les technocrates, bien rémunérés d'ailleurs, obstruent toutes améliorations potentielles.

Trois ; l'économie chancelante nous réserve des surprises désagréables. On ne doit pas toujours reportés les coûts de nos progrès sociaux vers l'avant. Sans changement véritable, l'appauvrissement de la classe moyenne risque fort de bousculer certaines de nos structures, je le répète, trop gourmande.

Quatre ; on peut, dans ces circonstances fragiles, porter toutes nos énergies vers la gouvernance. Ensuite, privilégié un statu quo d'une province canadienne menacée de l'intérieur.

J'ai hâte de me rendre aux urnes. De ce fait, j'accomplirai l'un des gestes les plus signifiants de notre démocratie.

Que la démocratie l'emporte...

Disons que je suis...



Disons que je suis Marc Fortier. Je transigerais au plus offrant Gibson à la condition de ne pas le retrouver dans notre division. Je n'ai pas d'alternative intéressante concernant notre gardien.

J'échangerai donc l'un de mes défenseurs. Soit O'Brien ou alors Mathieu Gagnon d'ici peu. J'aime bien le plus gros des deux. Il donne du caractère à notre équipe. Oui, le plus petit se qualifierait partout dans la ligue.

Voilà, j'échangerai donc Mathieu Gagnon...

Les centrales syndicales.

J'invite tous les citoyens à prendre connaissance du document en trois épisodes, intitulé Le "Vrai syndicalisme". Les trois totalisent moins d'une demi-heure.





Les trois montrent René Lévesque en 1965 alors ministre des richesses naturelles. L'orateur Libéral explique ici l'incontournable avenue du syndicalisme et des grandes centrales.

Ceci dit, les grandes centrales sont devenues, quarante années plus tard, des organismes puissants. Pour exemple ; la centrale FTQ regroupe 600000 travailleurs, la CSN, 300000 et la CSQ, 193000, pour ne mentionner que celles-là. Toutes doivent se soumettre aux Code du travail Québécois.

Ces regroupements voient à la défense des travailleurs grâce à leurs permanences. Devenues riches, ces acteurs importants captent l'attention et dictent leurs façons de voir par leurs présidents. Ce sont des acteurs politiques directes. Maintenant, un scrutateur indépendant pourrait avoir le droit d'étudier chacun des organismes syndicaux, même les états financiers.

Pour leur objectivité, les discours de chacun doivent être analysés à la pièce. Sans consultation de leurs bases, trop souvent, les centrales imposeront leurs voix en leurs noms. Les revendications sociales, les appuis directes et leurs positions sur l'échiquier politique méritent qu'on s'y attarde.

Cependant, il reviendra aux élus, le gouvernement proprement dit, à départager les problématiques en les balisant. Lui seule détient les rennes du pouvoir. Comme Lévesque le dit, l'exagération doit être balisé. Dans sa gouverne, les élus protègent à la fois la société et les organisations ouvrières.

Démocratie directe et autres considérations.



Ce document permet de faire l'évaluation du conflit étudiant 2012. On évoquera ici abondamment le vocable "démocratie". Aussi, les intervenants nuanceront même ce système politique avec le terme "directe". Voilà, grosso-modo, ce conflit est devenu un conflit dit de démocratie directe. Initialement, les étudiants ont arboré un carré rouge comme symbole de leur lutte.

Avant de poursuivre, nous devons prendre en compte la gestion actuelle par le gouvernement Libérale en place. Ce constat s'impose puisque le "printemps-érable" expose toute une population à ce conflit. On aura constaté que les 22 (22 mai) de chaque mois, un mouvement plus large amplifie la contestation étudiante.

Je ne m'empêcherai pas ici de préciser un excès de langage. Un, les étudiants contestataires ne sont pas des salariés. La clientèle estudiantine est plutôt, de façon contractuel, bénéficiaire d'une entente ; elle paye individuellement une somme X pour recevoir un enseignement.

Les bénéficiaires désireux de mettre un terme à l'entente convenu, peuvent le faire. Cependant, ils devront se soumettre aux conséquences de leur décision. L'autre contractuel principal assigne des lieux, des matières et des rôles. Ce n'est pas une administration démocratique.

Ce boycott, qui n'a rien d'une grève, ne pourrait nuire aux services éducatifs des autres étudiants. Ce boycott ne devrait donc pas s'étendre à l'ensemble, à moins que chacun et chacune s'en abstiennent. Les autres étudiants désireux de poursuivre leur enseignement n'ont rien à voir dans le boycott de leurs confrères.

Malgré le fait que chaque étudiants s'affilient à une association, celle-ci ne saurait se substituer à l'entente contractuelle entre l'institution et l'étudiant. Cette association peut toujours prendre position, revendiquer certaines droits sans plus. Je maintiens, elle ne peut remettre en question l'institution qui respecte l'intégrale de l'entente. Elle pourra toujours suggérer auprès des autorités une opinion, là est sa limite.

La judiciarisation de ce conflit impose un dictat, car l'association outrepasse sa juridiction. De fait, en s'appropriant l'institution, elle usurpe en droit et
se disqualifie d'elle-même. Les autres acteurs, en encourageant l'imbroglio, ne font qu'ajouter à la complexité du droit, pourtant simple, l'enseignement.

Il est sain qu'un groupe d'étudiants manifestent sa vision de l'enseignement. Cependant, cette interpellation politique ne doit pas se faire sur le dos des étudiants. Le politique offre un cadre de discussion. Aux étudiants de se faire entendre de toutes les façons sans interdire la vocation des institutions.

Je termine ce billet en rappelant aux lecteurs que les nouveaux élus auront à rétablir la situation. L'objectif premier devra être de rencontrer les étudiants afin de préciser l'impropriété des termes. Et au plutôt sera le mieux. Tant qu'aux concerts de casseroles, laissons au gouvernement élu le temps d'établir la gouverne et à toutes les institutions d'agir.


samedi 1 septembre 2012

Mesquin, le PQuiste Lisée....


Lisée s'invite à une noce et s'habille plus riche que le marié.

Oui, son ticket prouve une préméditation malencontreuse. En se mesurant avec l'orateur invité Legault, sur sa scène, Lisée érige une mesquinerie.

Chez-lui, on dit que c'est une coutume. Anecdotiquement, Lisée s'est livré au même manque de générosité avec G-H Germain.

Lisée peut bien dans ses rêves idéaliser son existence parlementaire, qu'il se fasse élire au PQ ou ailleurs, ensuite on verra.

À part la gueule et le verbe que devient-il ?

Anticipation ou précipitation ?


Un million de citoyens ( 16% )de la Belle se sont déjà commis.

Combien d'entre eux, se sont-ils commis trop vite ?

Lorsque la participation totale s'élève à environ six millions, ce vote par anticipation est précipité...

Au départ, la recherche d'une plus grande souplesse accordait un privilège aux citoyens accaparés ; l'anticipation. On ne parle plus d'une dizaine de milliers, de quelques milliers...

Gentilly II


Du nucléaire, j'en sais peu de chose.

Un physicien dit un jour ; " le nucléaire, c'est pour les anges..."

À moins que nos décideurs en sachent plus sur ces déchets permanents, je ne vois pas l'utilité de poursuivre cette production, somme toute négative ici, chez la Belle.

Je dis ça des autres Belles ; le Japon dans sa course à la productivité a élevé tant de centrale nucléaire menaçant toute l'humanité, pourrions-nous s'en offusquer ?


Regardez l'Europe, effarant non ?



La vie à deux, two, dos, du, 2, II......


La vie à deux, c'est une sorte de marathon, genre 42,195m. Un marathon exigeant, éprouvant et euphorique par ses émerveillements.

On peut l'arrêter à tout moment, ou, le rompre.

Lorsqu'on le court, deux sur la ligne de départ, l'effervescence et l'intensité fustigent n'importe quoi ; nulle embûche. Nous l'apprenons tous.

Que de biens procurent cet état !

Perso, j'ai longtemps recherché cette sollicitude quasi universelle. Cette sécurité émotive habitant les êtres ordinaires.

Pourtant, le danger qui dépasse tout dans un marathon, la lassitude et la routine. Porter attention à l'autre marathonien c'est une similitude marathonienne. J'essaie encore de l'intégrer dans mes intentions premières, en me levant dès le matin.

Je termine ici ce dilemme...

samedi 25 août 2012

Pinottes Arseneault / Roy ? Présent...


Le président de la FTQ à ce que je saches, porte fièrement, le carré rouge.

Arseneault, c'est qui ? Un président presque indélogeable. Autre question; il possède quoi, à part l'indifférence de ses commettants ; une tribune ?

Ceci dit, que ce revendicateur imbu d'un pouvoir par une nonchalance crasse, s'en enorgueillisse autant, c'est troublant, même attristant.

Est-ce un mafieux ? Attendons...

Monsieur Roy, de la CSN, lui, se scandalise tout autant face à l'itinéraire CAQuiste.

Ça le choque...

Roy, de la CSN, vit sur quelle planète ? En plus d'être payer (+150000$) par les cotisations des travailleurs, il se permet, par on ne sait quel formule démocratique, de soutenir le carré rouge et toutes leurs revendications.

Les travailleurs sont un peu négligent, mais pas des casseroles.

Alors, ces leaders de toute contestation se partagent un statu disproportionné. Tous les porteurs de messages, on s'en souviendra, souscrivaient largement au carré rouge, s'abstenant de toute légitimité.

Ouvertement.

Les travailleurs syndiqués de ces deux syndicats doivent admettre leurs négligences. On ne peut plus, nous, citoyens syndiqués, déléguer nos volontés à ceux qui, pour toute sortes de motifs, allouent n'importe quoi, même l'indéfendable.

Pourrions-nous vérifier chacune des unités syndicales, les appuis et les adhésions ?

Oui !

En souvenir de mon papa !



Papa ne m'a jamais chanté cette chansonnette en entier. J'entends encore Sa voix a cappella. Mon Père empruntait une voix tendre et douce, puis la chantait. Je m'endormais bien avant la blanche...

La petite poule grise
Quallait pondre dans l'église

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul noir
Quallait pondre dans l'armoire

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul blanche
Quallait pondre dans la grange

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul rousse
Quallait pondre dans la mousse

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poule brune
Quallait pondre sur la lune

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Le syndicalisme revu et révisé...

Je suis syndiqué et délégué de mon association syndicale. J'approuve le programme de la CAQ. Contradictoire ? Voici, je ne crois pas être en contradiction, je m'explique.

Dans le cadre de l'élection 2012, le syndicalisme intransigeant occupe le programme des CAQuistes. Ne paniquez pas, je dis tout de suite, que le syndicalisme s'impose pour équilibrer le monde du travail. Je ne remets pas cela en question.

Maintenant, pour mieux illustrer ma prémisse de base, j'utiliserai une vidéo de Monsieur René Lévesque. Rendez-vous à 5 minutes 56 secondes de ce document. Il dit ceci ; " ah peut-être qu'un jour y a des gens qui diront les unions vont exagérer " et " c'est comme certains qui disent qui a trop d'éducation et qu'on trouve plus personne pour couper le gazon."



On est rendu là !

L'état doit donc rétablir des incohérences flagrantes. Prenons les régimes de retraite à prestations déterminées, qui entrainent les municipalités vers le gouffre financier. Les élus municipaux ont beau tenter négocier, rien ne fait. La valse déficitaire perdure et se perpétue.

L'état devra donc accorder plus de marge de manoeuvre aux élus et nos représentants des institutions démocratiques ou aux organismes gouvernementaux dépendants des payeurs de taxes. La CAQ irait jusqu'au lock out s'il le faut afin de rétablir l'équilibre des forces. Ou, face à ce dilemme moderne des villes, convoquer les partis et trancher en faveur de l'équilibre des forces. Aussi, l'état ne devrait pas avantager, à plus forte raison, en secret, le monde patronal.

Joueurs de hockey junior syndiqués...

J'entends deux goons anciens du junior plaider pour un syndicat de joueurs, une grande association. Ce mouvement serait pan-canayen, paraît ? En admettant que l'on veuille prioriser les trois ligues dites d'élites, on ciblera plus de quinze cent jeunes ? Je connais un peu la question, et pour preuve, il est facile d'établir les grandes lignes d'une telle association en devenir.

C'est faisable ? Constat simple ; plus de 3000 hockeyeurs des équipes juniors majeurs de la LCH n'appartiennent pas à des entreprises homogènes. Au fait, les 62 organisations bénéficient de revenus importants, pour les uns substantiels, tandis que pour d'autres, ils ne suffisent pas. On ne peut donc aborder le problème, joueur par joueur, ou encore équipe par équipe.

Donc, Canadian Hockey "LCH" et les 3 ligues deviendraient les seuls entités légitimes. Encore là, même entre ces 3 ligues (celle de l'Ouest, de l'Ontario et de celle du Québec) les disparités sont nombreuses ; en nombre de joueurs, en revenus et je le répète, à géographie variable.

Ceci dit, que recherche donc les promoteurs pour ces jeunes sportifs ?

Le salaire ? La sécurité ? La dignité ?

Ceux qui suivent les activités des trois ligues répondraient qu'aucun joueur junior aujourd'hui n'est privé de ces considérations. Les responsables de chacune des organisations s'assurent du bien être de chacun de leurs joueurs étudiants. Leurs jeunes adultes sont logés, encadrés, équipés et instruits grâce aux allocations de leurs équipes respectives.

Les dernières données confirment que chacun des joueurs nécessitent des déboursés de 30000$ annuellement. On peut admettre que par le passé les traitements accordés à chacun d'eux étaient inéquitables trop souvent. Depuis quelques années, l'institution d'élites du hockey junior, puisque c'est bien de cela qu'il s'agit, a évolué.

Autre constat. La concurrence venant d'ailleurs est féroce pour les meilleurs joueurs. Ce fait laisse aux 3 ligues canadiennes peu d'alternative. Effectivement, je dirais que depuis plus d'une décennie, les organisations s'imposent des progrès indéniables et strictes. En demeurant compétitive et déterminée, chaque équipe améliore leurs chances de recevoir chez-eux les joueurs recrutés, même les meilleurs.

L'association en devenir, dont Georges Laraque est un des promoteurs, suggère que les décideurs ne se comportent pas en bon père de famille. Qu'une future convention conviendrait mieux dans l'état actuel des faits reprochés. Alors, ce mandataire détiendrait un pouvoir de négociation. Ce n'est pas tout. Les moyens financiers de l'association proviendraient des ligues juniors pour leur bon fonctionnement.

Voilà, la proposition s'installe lentement dans l'opinion, surtout chez les parents de joueurs. Je ne serais pas étonné de leur adhésion. Pour ce qui est des propriétaires de chacune des équipes, un non catégorique. Pour eux, les changements réalisés démontrent qu'ils vont dans le bon sens. Que la gestion des organisations nécessitent déjà des prouesses mathématiques, croissantes et récurrentes.


L'agenda, tel que proposé, oblige les proprios à une réflexion sérieuse. Ils y sont déjà car un nuage opaque recouvre tout le hockey junior Canadien, d'un océan à l'autre, même au-delà. Pour ma part, je suggère une torpille soit, de faire apparaître l'idée d'un ombudsman. Un ombudsman nommé par les gouvernements possédant de la crédibilité auprès de tous les intervenants de notre sport national.









jeudi 23 août 2012

RIP en ce 23ème jours. Plus que 13 dodos...

Référendum d'Initiative Populaire "RIP" ? Bernard Drainville, dans une tourmente passée, poussait son parti vers un incontournable, le RIP. Ce RIP s'est vu ailleurs. Là !

À trop vouloir se soumettre à une volonté partielle, ambigüe et ou pluriel, cette bienveillance n'en est plus une. J'ai hâte de voir les débats sur le sujet...

Vrai, on est loin de la donne car ils ne gouvernent toujours pas. S'il n'y avait que le RIP, et bien non. Vendredi, la Dame aux gaffes déposera un cadre financier. Même qu'elle se permet de scruter le programme chiffré CAQuiste pendant que celui des PQuistes s'embrouillent.

Je vous dresse une liste : le gel des frais universitaires et des garderies, abolition de la taxe santé pour les moins de cent milles, abolition de la hausse des tarifs d'électricité. Ai-je oublié quelques choses ?

Je vais vous le dire à vous ; Madame Pauline Marois et son équipe répètent des mots vides, truffés de bonnes intentions à réaliser plus tard. Pire, ces gens-là parodie le coeur a ses raisons !



Devant elle, un Québécois nationaliste motivé par sa lutte. Un, rassemblé une certaine élite derrière une conviction profonde, relevé la nation par la droite et la gauche. Le combattant réunira autour de lui, des fédéralistes et des souverainistes, des têtes fortes et des érudits. Aussi, en leur matière, des plus forts que lui, afin d'améliorer l'important et de se surpasser.