mercredi 31 décembre 2014

Bonne année à tous et toutes !


Présents sur la photo, Jos Boudreault, l'Oncle de Blanche-Alice.  Derrière, la sœur de Pierre, Germaine. Toute autour, la frâtrie des 11 Potvin et Bonenfant.  À droite, sérieuse, la Belle-Soeur de Blanche-Alice, Yvette épouse d'Adrien Gagné.  C'est en avril 1958, l'anniversaire de Grand-Père.  Pierre Bouchard fête ce jour-là, sa 57ème année. 

Actuellement, je suis avec Lyn, dans un calme quelque peu nostalgique et serein.  J'aime chacun de ces visages familiers.  Vous devinerez que plein d'autres sont absents, que j'aime tout autant.  Que ce soient les Simard, les Gagné, les Vézina, les Roy, les Bouchard, les Naud, les Bergeron, les Côté, les Hudon, les Laperrière, vous êtes tous là, défilant telle une fanfare d'images des Nouvels-Ans.  Je vous embrasse tous.

La personne à l'arrière plan sur cette photo aura été pour moi le ciment de toute une famille. Aussi, Blanche-Alice Gagné aura été la préférée de mon père.  Sa grande qualité, la chaleur humaine qui s'inspirait de sa source, Jésus le crucifié.

Bonne Année à tous !       

mardi 30 décembre 2014

Où est Ti-doigt ?

photo Jeannot Lévesque du Quotidien

Comme le jeu ''où est Charlie'', vous devez me retrouver, si bien sûr le jeu en vaut quelque chose, ou une chandelle.   Indice superflue, je suis tout Bleu et en position lecture tout près de mon voisin d'Arvida.

Ah, Ti-doigt m'a été accolé depuis mon incident chez Gaston, le 5 décembre dernier.  

Non ! Pas Gaston la Gaffe, Gaston Blanchet sur le cap Saint-François.  

Ceci dit, hier soir, mes Bleus jouaient devant une salle presqu'au bouchon.  Bon match, malgré la défaite en fusillade, à hauteur de mes attentes.

Indice.  Là où je suis assis, c'est mon abonnement saisonnier ; 1-H-1.  Ce billet, je le détiens depuis l'ère Pierre-Marc Bouchard (96) en tant que joueur de centre des Bleus.

Le Centre-Georges-Vézina au bouchon à 3500 ; laissez-moi rire.  Il fût un temps où, on était 10000 spectateurs.  Ceux qui disent que Ti-doigt divague, dixit Réjean Tremblay LE journaliste réputé.




dimanche 28 décembre 2014

La Sainte famille !

Ce dimanche, pour un catho, c'est la fête de la Sainte-Famille.  Pour ceux qui l'ignoreraient, LA je dis bien La Sainte-Famille, c'est l'illustre trio composé de Marie, Joseph et Jésus.


Ma famille, que je nommerai Vaillancourt-Potvin, ci-dessus, n'est pas sainte bien que nous formions une belle famille.  Notre famille remonte aux débuts  des années 78.  Bien, en calculant, on est rendu à 36 ans.  Ce type de famille nécessite, pour qu'elle dure, des compromis et des négos.  De plus, afin d'être bref, l'équilibre de la messe du dimanche est venu nous seconder pour que ça dure.  


Ci-haut, ma première famille, que je nommerai Bouchard-Potvin, qu'elle non plus n'est pas sainte. Malgré que nous formions une belle famille vous avez constaté qu'elle n'était pas parfaite.  Notre histoire n'est ni mieux ni pire que toutes les familles du monde sauf qu'elle aura été pour moi, la plus importante.

Et oui, elle m'a fait rire et pleurer.  J'y ai vécu des moments inoubliables.  Mes parents avaient cette qualité, de rendre les choses impérissables.  Je crois bien que tous les parents, souvent candidement, n'ont pas conscience de tout ce qu'il lèguent, moi le premier.

Ceci dit, la famille Bouchard-Potvin a survécu à la tempête dévastatrice plus d'une fois.  Imaginez, une seconde noce est venu la fortifier.  Depuis, un membre est disparu mais il est toujours impérissable pour moi.  Il a tant accompli et tant surmonté, ce ne peut être autrement qu'impérissable.     

NB : Par le temps qui file, je suis à regrouper les idées héritées.

samedi 20 décembre 2014

Remparts et Armada !



Dans l'ordre ou le désordre, ces deux noms sont associés à la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec(LHJMQ).  Les sigles un coup associé pourraient ressembler à ça.  Tout dépend de l'imagination de celui qui dessine.  Ci-dessus vous avez un grand A, aux couleurs de l'équipe de Blainville-Boisbriand, avec en dessous de la transversale, le logo classique des Remparts de Québec.  Tout autour, la couleur beige assez palote de l'uniforme de cette dernière équipe.

Voici, le nom RAMPARDA, en grosse lettre, rime avec mon sujet.  Ces jours-ci, les équipes de la Q (LHJMQ) transigent certains de leurs joueurs et ou des choix de repêchage.  Toutes les équipes transigent entre elles, sauf ces deux équipes, afin d'éviter les conflits d'intérêts et les apparences de conflits d'intérêts. 

Pour ma part, je n'apprécie pas cette association et deuzio, je crains sa gouvernance.  Voici, on peut toujours dicter une politique, comme des échanges entre ces 2 clubs apparentés, qu'il n'en reste pas moins insensé de les garder associés.

Ai-je besoin de vous dire que les autres équipes entérinent ce stratagème ?  En ne signifiant aucune opposition, ils adhèrent pleinement à ce mini-monopole.  En tant que partisan, je me sens lésé puisque mon équipe subit les aléas de cette association.  

Imaginez que je suis le dg des Saguenéens de Chicoutimi et que je veuille transiger un défenseur avec l'une de ses 2 formations ou avec tout autre équipe du circuit.  Croyez-vous vraiment à l'indépendance de ces 2 adversaires à l'égard de cette transaction ?  Ils sont capables de transformer cette possibilité à néant.

Vous pouvez appliquer cette imbroglio avec toutes sortes de politique de la Q.

J'irai plus loin, les remparts de Québec génèrent des revenus extraordinaires en comparaison des autres organisations.  Halifax aussi, je l'admets.  Justement, nous serions en droit nous les partisans de voir nos organisations envisager des options viables, comme le partage des revenus entre autres choses.  Les équipes professionnelles l'ont concrétisé, a fortiori les équipes amateurs.

Bien entendu, l'association de Québec et de Blainville-Boisbriand mérite qu'on s'y attarde. Malheureusement, cette ligue agit souvent après les faits.  Tous se souviendront des cachettes lors des séances de repêchages passées.  Pire, rappelons-nous de la course à la dernière position au classement afin de sélectionner un Crosby. 

vendredi 19 décembre 2014

Nouvelle version...



Depuis des lunes, je ne parlent plus du 11 septembre 2001.  Vous les retrouverez presque tous mes topos au Libellés conspire  (marge de droite).  Ces nombreux articles de mon cru, que j'intitulerais mes hypothèses complotistes paranoïdes.  Aujourd'hui, je viens d'en élargir le portrait global que j'avais formulé de bonne foi.

Pourtant, ce portrait déplaît à plusieurs. L'ampleur de la première hypothèse, à part l'officielle on s'entend, était gigantesque et disons plus télécommandée.  Là, le type avance son hypothèse digne des plus grands farceurs devant les caméras de ses interlocuteurs.

Alors, je vous la donne son hypothèse.  


L'image ci-haut est bien réel même si Elvis n'est plus...


Même chose ci-haut !






Si vous avez le courage ou l'audace de regarder ces 2 vidéos, vous pourrez échanger avec moi.  Sinon, ne perdez pas votre temps.





  


dimanche 14 décembre 2014

Le 1er cinéma de Papa !


En relisant les écrits de Papa, je découvre un tas d'anecdotes.  Beaucoup reconnaîtront ce bâtiment. Pour ma part, en voyant l'enseigne de barbier, qui ne cessait de tourbillonner, je me revoie encore sortir de là avec le fameux pichou (raser à 0).

Revenons à nos moutons.  En 43, il a résidé à Québec suite à une opération au genou.  Au lieu de s'en retourner à Causapscal, qui selon lui, lui offrait peu, il s'interrogeait donc sur son avenir.  L'une de ces priorités étaient de perfectionner la langue anglaise.  Cependant, son affection pour la famille était tout aussi importante.   

Voici les deux options ; Windsor ou Arvida. Il choisit donc Arvida.  Maud sa soeur y demeurait. 

Passons ! 

Il venait tout juste d'arriver de Québec en juin 43.  Le plus important pour l'heure, ce sera de souligner que c'est là que Gilbert Potvin-Potvin a vu son premier film, For me and my Gal.  

Ceux qui ont connu le couple Marie-Jacques Bouchard et Gilbert Potvin, se remémoreront sûrement leur excellente cohésion presque comme le fameux couple dans ce film.



En héritant de ses documents, ses notes surtout, on dirait qu'il me parle.  Je n'ai pas parlé beaucoup à mon Père.  Il est de la génération des mâles silencieux.  Le plus magnifique de toutes ses notes, c'est que les seuls interruptions viennent de lui.  


vendredi 12 décembre 2014

Ti-doigt !


Depuis août 1991, je me suis souvent lacéré l'épiderme vieillissante.  Ceux qui me connaissent, se diront, à la lecture de ce texte, ¨jusse ça !¨

Eh oui !

Avant de tomber dans le vif du sujet, en l'occurence ma peau, j'avoue que cette dernière coupure, j'en parlais ici, aura été la + handicapante.

C'est que les phalanges marquées de points noirs sont lacérées.  C'est ce qu'on appelle médicalement une fracture ouverte.  Donc, vous apercevez un point noir sur l'os de la main et l'autre est en-dessous, sous l'os de la main.  Cependant, l'image de la main colorée est la gauche, ben moi, c'est la droite.

ceci n'est pas une radiographie.

Ce, à la veille d'une retraite que plusieurs entrevoient à ma place.

Je reviens donc à ma peau vieillissante.  La lacération la plus gravissime, c'est le dessus de la tête. Voilà, je transporte une vitre rectangulaire (1m x 2m), et elle frappe le plafond.  Non, ce n'était pas pour contester la loi de la gravité. L'un des fragments de 5 mm a rebondi sur mon crâne sanguinolent. Heureusement, le morceau n'est pas rester là.

La seconde blessure marquante a fait rire toute ma petite famille à mon retour du Lac.  Mon nez est encore marqué.  Je dirais plutôt mon bout de nez.  Et un bout de nez, ça saigne, ça saigne, un bout de nez, ça saigne énormément.  Ah, le rire venait du fait que j'avais un gros point noir, gros comme un trente-sous, sasse-peux-tu-ça ?  En tous les cas y ont ri.  Pour ceux que ça intéresse, non je n'ai pas ramassé ce bout de nez.  Je l'ai laissé au client, niaiseux...

Les autres coupures sont presque banales mais ont laissés des traces, surtout les mains.  L'enfer...

Pour l'instant, je ne suis pas à plaindre même avec une attelle comme ici.  Bonne nuit !


lundi 8 décembre 2014

Gilbert Potvin-Potvin !

Ce dvd m'est parvenu hier grâce à Tante Monique.  

Plusieurs de ma parenté n'ont pu voir ce diaporama édité à l'occasion de son décès. Je tenais à le publier à travers ce blog convivial.
Pour ceux qui l'ignorent, je suis à écrire l'histoire des Potvin-Potvin à travers la vie de mon Père Gilbert.  J'avais tellement insisté de son vivant qu'Il écrive sa vie pas toujours simple.  Voilà, Gilbert a laissé des notes intéressantes.  J'ai hérité de tous ces documents si vous ne le saviez pas. 
Pour ma part, ces écrits contribuent à ma compréhension de certains évènements.  Pour ses proches et ils sont nombreux, peut-être, qu'eux aussi y retrouveront un apport important et qui sait, un réconfort.  
PS : pour ceux qui le désirent, j'ai, en main, plusieurs signets et pamphlets élaborés par mon Neveu François.  

dimanche 7 décembre 2014

Jour de retrouvailles !

Que dire de ce jour , si ce n'est l'essentiel, la Vie.

Tante Hélène est peut-être dcd, mais pour moi Elle Est tellement.

Son côté Gagné parmi la parenté était très manifeste.  L'intelligence et la compréhension  des choses, de la réalité. Tante Hélène possédait cette qualité innée, telle un funambule.  J'ai vu en cette personne la femme moderne.



Que dire de ce jour, si ce n'est, l'Âme.

Tante Hélène est peut-être dcd, mais pour moi Elle Est tellement.

Son côté Bouchard parmi la parenté était très manifeste.  L'intelligence des choses invisibles, de l'imaginaire, du rêve et du silence de l'Après éclairaient la place Normande.  

Tante Hélène je serai comme jamais auparavant aussi proche de Toi, de tes Rires bienfaisants, de tes Gestes significatifs et de ton Jeux joyeux.

NB : les Bouchard-Vézina sont extraordinaires car ils ont su reconnaître la Vie et l'Âme. 

samedi 6 décembre 2014

Une semaine hors de l'ordinaire...

Lundi :  chargement de la Côte-Nord.  Un de mes collègues me demande en fin de journée : ''as-tu une grosse Côte-Nord ? ''  Je réplique que non.

Mardi matin 3 heures :  j'accède à ma page facebook.  Vicky a placé l'annonce fatidique.  Que dire de ses observations qui défilent.  Toute la journée durant j'aurai eu des trésors en tête d'Elle.

Première livraison à cinq heures quarante-cinq ; mon bip-bip de recul fonctionne sans arrêt.  Merde j'vas réveillé le village.

Mardi matin 6 heures 45 : les Escoumins grelottent et mon bip-bip continuent son 911 assourdissant. Cent pieds plus loin, je débarque chez JMBR, fait un ptit besoin et rembarque.

Trente minutes passes, déjà Longuerive avec une levée de soleil radieux au 9 rue du Bord de Fleuve. Je baisse la touche des lights vers le bas, le bip-bip s'éteint.  Ah...  De ce camion tout bleu, plus rien de m'étonne.  Je débarque les verres clairs trempés, y sont maintenant givréstrempés ; -25c.

Le bip-bip s'entend quand je mets les flash, quand je freine...

Je livre Forestville avec un café de route chaud, puis Pessamite, 45 minutes plus loin, le vieux Baie-Comeau et rendu dans le secteur Marquette, il est 10 heures, le moteur s'éteint en hypocrite.  J'insiste sur le démarreur mais la machine boude un je ne sais quoi.  Remorquage puis, tel un patient hospitalisé, une attente interminable loin du mécano.  Le grand découchement s'annonce à 16 trente.

Allez o dodo dans un king tout chaud !   Ya pire, hein ma Tante.  Ses trésors m'habitent...

Mercredi,  1 heure du matin, LCN annonce ¨Le Grand-Bill s'éteint¨ mais j'ai une Lumière plus imposante...  Arrive 6 heure, jme douche puis dans le hall du Le Comte j'attends Francis pour un ptit dej.  Je retourne au Le Comte bourré de café.  Mon cel vibre et c'est Dany du CNDiesel :  ¨ton camion est prêt !¨ Tu veux dire le bazou.  Je livre mes 3 derniers clients et je remonte notre fleuve ;

¨STOP ! Vous devez arrêter ici, garez-vous là !¨  Il est 10 heure trente.

Grosse embardée entre un camion lourd et des voitures me répète le signaleur.  Trois heures passent. 

Ça passe ! Sur une route enneigée, par une visibilité douteuse, je vole.  J'arrive aux Escoumins puis à Chicout, il est 16 heures.  Allez on charge le Lac.  Mon jeudi se passe bien et ce dès 5 heure du mat.

Vendredi matin, 7 heure, j'ai une vigueur au travail, on dirait que je suis un ptit jeune.  Première livraison chez Gaston et Gisèle, 40 ans que je les connais.  Avec mon collègue Luc on débarque sa charge, un verre scellé de 55kg.  Oups !

Je tombe sur le fessier avec sur ma main le coin de la charge pointue.  J'hurle à Gaston, qui n'a qu'une main, d'enlever ce qui m'écrapoutit la main.  Il y parvient.  Je me lève debout en grimaçant, une poule pas de tête. Gaston est dans tous ses états.  J'entre chez Gisèle, m'assieds rapidement sur le fessier. Retire le gant vert presqu'intact puis, plus rien.

Ah oui, je me souviens, jme suis évanouis après que Gisèle m'est enveloppé la main d'une de ces plus belles débarbouillettes toute bleue, plus une sur le visage blafard ou livide, c'est pareil.  Je reprends mes sens au bout de ....

Je suis comme absent, j'entends Gaston expliquer au 911, on dirait un attentat.  L'ambulance apparait avec deux brancardiers, + deux de la SQ, coup donc, que de personnages pour un court métrage. J'avertis bien Gaston d'arrêter de pleurer.  Je leur dis à dimanche...

ceci n'est pas mon doigt.


C'est tu trop juste pour un ptit doigt ?

Peut-être, sauf pour une semaine endiablée d'un ptit jeune qui se croit neuf genre...




Hélène Gagné-Bouchard !

En écrivant le titre de ce témoignage, je n'ai pas voulu compliquer les choses.  Tante Hélène possédait autant des deux noms ;  Des Gagné, une détermination brillante, et des Bouchard, une bonhomie grandiose.

Tante Hélène fût pour moi plus une Grande-Soeur, bien avant une Tante.  Tôt, Tante Hélène aura su m'émerveiller par sa simplicité à rendre les choses faciles.  Je devais avoir 5 ou 6 ans, je me souviens qu'Elle nous gardait.  Certains des Bonenfant se souviendront de ce moment, pour moi mémorable.

Bon, Elle nous avait fait cuire des galettes blanches devenues des petits volcans.  Je nous voie encore devant la vitre du four.  Elle y mettait tant d'intrigue, en tous cas pour moi, on aurait dit une scène de film.  Elle attirait tellement mon attention que son visage m'illuminait.  Tous seront d'accord, Elle possédait la facilité du jeu, de la comédie.

Lorsque j'ai habité au sous-sol du foyer des Vézina, ma Tante se faisait complice de notre jeune ménage.  Elle était à la fois Maman et Belle-Mère.  Avec tact, Elle s'investissait beaucoup car Elle nous aimait.  Imaginez, ce coin de Rachel aura été témoin de la fabrication de mon fils aîné, Jean-Frédérick ; qu'on a failli perdre d'ailleurs.  Sans le dire, Elle subissait les angoisses de mon amoureuse en la réconfortant comme une infirmière diplômée.

J'arrête ici les anecdotes.  Néanmoins, je ne peux taire les grandes fêtes chez Tante Hélène et Oncle Yves.  Tous se souviendront de ses grandes impros lors des grandes retrouvailles familiales à Noël, au Jour de l'An, ainsi que des après-midi et les soirées de Ses été sur Rachel.  Merci aussi à toi mon Oncle Yves, un être que j'estime au plus haut point. 

Hélène, la Cadette de Pit et Blanche-Alice aura accomplit une oeuvre magistrale avec Oncle Yves, tout un trésor.  Ce trésor abrite des joyaux et des perles, regardez ces visages.


NB : Si vous remarquez bien, entre les deux visages splendides de Marc-André et de Donald, on aperçoit le visage souriant d'Audrey.