lundi 30 juin 2008

Varias...

Je t’embrasse…

J’aimerais ici féliciter ma nièce qui continue sa route et sa remise debout. Elle opte entre autre pour l’écriture, afin d’évoquer le chemin parcouru. Un sentier étroit l’a vu trop d’années, piégée. Maintenant, elle adopte une approche personnelle nécessitant courage et détermination. J’ai confiance qu’elle trouve suffisamment de ressources pour la victoire vers le monde ordinaire.

Richissimes.

Un couple de l’État voisin devra purger à l’ombre des gens ordinaires une condamnation. Bien que milliardaires, ce couple infligeait à leurs employés sévices et tortures. La dame hérite du triple, soit 11ans. Le procureur clame encore que le trafic d’être humain est notoire chez les étasuniens. Vous avez toute l’histoire ici.

Les hits and run.

Je n’ai jamais tant entendu la nouvelle d’accident mortel avec fuite de chauffards. Souvent, les conducteurs couche-tard prétendront une folie passagère pour expliquer la fugue. Un autre sorte de fugue ; celle des tabasseurs nocturnes abandonnant leurs victimes ensanglantés. Les chauffeurs de taxis en savent quelque chose. Ces tabassages se produisent souvent pour un pactole ridicule.

Les nuages.

Les averses de juin dépassent toutes prévisions. Perso, je n’ai jamais vu tant de cumulus et de stratus. Qu’ils soient de cirrus ou d’altus, ils m’impressionnent tous. Avant hier, en faisant mon tour de lac, j’ai vu éclore des cirrus spissatus, vertebratus, uncinus entre deux livraisons. J’ai appris avec le temps ceci. Si vous apercevez par un beau soir d’été, malgré le firmament tout bleu, des cirrocumulus, méfiez-vous. Un conseil, ne dormez pas à la belle étoile.

dimanche 29 juin 2008

Remstar.

Le monde médiatique télévisuel dit généraliste entreprend un nouveau périple. Le CRTC oblige les nouveaux proprios de TQS à la diffusion de nouvelles. Il me semble que le permis émis à l’époque dès la création de TQS, comportait cette obligation. Vous comprendrez que la décision récente diffère de la première ; un quota déterminera le temps de nouvelles télévisuelles. À mon avis, les deux réseaux francophones viables trichent, un, légèrement et l’autre, abusivement. TVA livre de la nouvelle style promotion et que Radio-Canada, bien qu’en ayant un modèle dit journalistique, bénéficie d’avantage budgétaire sans plafond, donc, un peu paresseuse. J’irai souvent zieuter les news en France ou dans d’autre pays francophone, ou alors, me jeter sur l’anglaise qui m’est accessible sans trop comprendre les nuances linguistiques. J’espère voir internet accroître ses possibilités déjà plus qu’intéressantes. En conclusion, les revenus en terre d’Amérique Française ne permettent pas de développement journalistique stable et véritable.

samedi 28 juin 2008

Qui dit vrai…

Dans l’affaire Bernier vs la dame aux vertus multiples, les deux ne jouent pas la même opérette. L’un chante la complainte tandis que l’autre entonne une partition baroque. Pendant ce temps, la GRC annonce connaître le dossier Couillard depuis le début et cachera un silence, à mon avis, ambiguë. Cette discrétion me ramène à une autre affaire ; la démission de Zaccardelli en lien avec le dossier Arar. Est-ce le retour de l’ascenseur ? Tant qu’aux aveux de Bernier, elles demeurent et un avenir en politique, exige un certain monologue repentant. Dans le passé, un lot d’imbroglio noircissait les pages de nos quotidiens sans nuire vraiment aux acteurs et aux personnages. Les Beaucerons ont ceci de particulier, ce sont des régionaux. J’y songe, comme chez-nous…

mardi 24 juin 2008

Les fêtes nationales.

Juillet me semble un mois affectionné par les états indépendants ou révolutionnés, si ça se dit, pour s’exalter. Quoi de mieux qu’une fête nationale en plein été pour insuffler à la population, la griserie nationale. Les états retiendront plus souvent qu’autrement la date de la déclaration d’indépendance. En voici quelques unes ; le Rwanda et Burundi le 1er , oups, j’oubliais le Canada, Algérie, Venezuela et eeeee le Cap-Vert le 5, Colombie le 20 et Comores le 6, Bahamas le 10, Belgique le 21, l’Égypte le 23, les States le 4, nos cousins le 14, l’Irak le 17, au Kiribati le 12, Malawi le 6, Libéria et les Maldives le 26, Île de Man le 5, Mongolie le 11, Palaos le 9, Pérou le 28, les Îles Salomon le 7, et au Vanuatu le 30. Bien que le Québec choisit, en 1977, le 24 juin comme fête nationale des Québécois, même si ce n’est pas encore un état indépendant, son gouvernement, bon gré, malgré, optera pour ce jour-là. Cette fête deviendra donc une double fête. Car, depuis 1834 au Canada, elle est réservé à tous les Canadiens Français du Canada, en souvenir de leur patron, Jean le Baptiste. Pour ceux qui l’ignorent, ce personnage est le précurseur du Christ. Je pourrais conclure par une sorte de prédiction bonne à loi ; si un jour le Québec devenait un état ordinaire, nous aurions droit à une déclaration officielle et à une autre fête qui devrait se situer, affection oblige, en juillet. J’ajouterai qu’étant donné que nous resterions associer à un Canada uni, j’opterai pour une déclaration au 2 juillet.

Petite histoire

Un lundi habituel oblige la majorité des gens à se rendre au boulot. Pour moi ce matin, c’est congé, pour manque de travail. Demain, mardi, fête nationale de la St-Jean, encore un congé, mais festif celui-là. Ce billet me permettra entre autre chose de vous révélez une découverte estimable bien plus que d’élaborer sur mon horaire de travail allégé.

Voilà, je devais me rendre à la banque ce matin et il était trop tôt. Je me suis donc rendu aux bureaux des Archives Nationales. J’entre dans cet univers de chercheur de souvenirs pour la première fois. Je m’inscris et essaie d’apprendre les rudiments d’un historien apprenti, micro film et tout le tralala. En moins de temps qu’il ne le faut, je tombe sur mes arrières grands-parents maternels et une certification plus qu’officielle, l’état civil du 26 septembre 1899. Je précise l’image au maximum, en fais la lecture et m’en fais une copie. Écoutez bien, je trouvais difficile de posséder les ancêtres des Bouchard uniquement. Il me fallait dénicher ceux de Blanche-Alice Boudreault Gagné et bien voilà, c’est fait. La mère, Zénaïde Boudreault et le papa, Ladislas Gagné se sont mariés à l’Anse St-Jean. Avec cet état civil, le missionnaire de l’époque écrivait les données familiales qu’il possédait avec comme preuve la signature des témoins. Zénaïde était donc la fille de Télesphore Boudreault, navigateur et d’Élyse Tremblay. Ladislas, le père de ma grand-mère, était le fils d’Onésime Gagné, cultivateur et de Sophie Guérin. Zénaïde était mineur et ne pouvait signer les registres de l’état civil. Télesphore signera donc le document pour Zénaïde. Les parents de Zénaïde se sont mariés à l’Anse le 26 septembre 1870. Les grands parents paternels de Zénaïde Gagné étaient Florent Gagné et Élisabeth Morand, qui se sont mariés à la Malbaie le 2 novembre 1847. Ce sera en 1821, que les parents de Florent, Laurent Gagné et Madeleine Boivin s’unissent, le 5 mars plus précisément. Joseph Gagné, père de Laurent, épouse Geneviève Pedneault à L’Île aux Coudres, le 9 février 1790. Le 7 janvier 1755, Jean-Baptiste Gagné s’unit à Marguerite Simard et fonde ainsi leur famille et génère Joseph. Les parents de Jean-Baptiste seront François-Xavier Gagné et M,Geneviève Fillion qui se marieront en 1721. Avant cela, Ignace Gagné (15-04-1954) et Louise Tremblay se marieront à l’Ange-Gardien, le 6 novembre 1689. Ce qui met fin à la recherche ancestrale de Blanche-Alice en ce qui touche la Nouvelle-France. Curieusement, l’épouse de Claude Bouchard dit le Petit Claude, Louise, était la sœur d’Ignace.

Il est à noter qu’Ignace est l’un des premiers cultivateurs à s’installer à Petite Rivière. Il le fera à la suite de Claude, son beau-frère, en 1677. Ignace a d’abord épousé en 1680, Barbe Dodier avec qui il aura eu 3 enfants ; Louise, Geneviève et Jacques. Un an après la naissance de Jacques, Ignace épouse Louise Tremblay. Il y passera le reste de sa vie.

dimanche 22 juin 2008

Deux élections en France ce dimanche.

Aujourd’hui a lieu un plébiscite religieux chez les musulmans et juifs de France. Le grand rabbin de France, Joseph Sitruk se représente pour un quatrième septennat vs, Gilles Bernheim, rabbin de la synagogue de la rue de la Victoire. Mohammed Moussaoui vs Fouad Alaoui, chez les musulmans, se font la lutte au second tour. Pour ceux qui comme moi l’ignoraient, 5 millions de Français appartiennent à l’Islam, tandis que plus de 500 milles Juifs se disent de fidèles pratiquants ou non. À mon avis, c’est une nouvelle intéressante, car j’ai entendu parler de Sitruck en début d’année. J’avais écouté quelques discours qu’il a fait suite à son ACV. C’est tout un personnage. Il possède un sens d’humour à toute épreuve et il est d’une sagesse certaine.

samedi 21 juin 2008

Il ya des jours comme ça…

La semaine qui se termine a été ardu pour moi. Ce matin, rien n’est tout à fait clair. À l’instar du firmament envahi par des nuées menaçantes, me voilà aux prises avec la diversité des sujets qui s’entremêlent. J’ai bien aperçu ce nouveau média que je scruterai plus tard. J’ai bien vu les Couillard, elle et lui, dans la journée d’hier. J’ai aussi reluqué le dernier sondage accordant aux rouges la faveur populaire. Puis, McBush en terre canayenne, dsl, McCain promotant l’alena tel un Régis Lévesque avec en main, un contrat pour un des Hilton.

Puis, le repêchage de la grande ligue me fait dire que la Ministre Courchêsne devrait laisser de côté la ligue junior majeur du Québec.

mercredi 18 juin 2008

Varia grave.

Crise mondiale.

J’entendais un extrait d’un rapport onusien, hier matin. Dans mon périple rentable sur la Côte longeant le fleuve, mes hp faisaient écho d’un chiffre effarant. Soixante-sept millions d’individus en exil de leurs foyers sur la terre causé par toutes sortes d’évènements. Les Act of God et les conflits armés jettent dans l’incertitude des personnes déjà meurtries, sous le choc.

Crise de confiance.

En écoutant ceci, je me dis que les hautes sphères de nos sociétés publics mériteraient plus d’audace de la part de ces commettants. Ce petit clip remonte en 2003. Les deux comparses tentent et insistent avec tant de bonne volonté qu’il, le monsieur, en est indécent. De plus, le président du machin électrique canadien mâche ces mots et enfin lâche volonté politique.

Des insurgés Afghans.

Pendant que Bush nourrit ces adieux poignants avec les grands de ce monde, la guerre se poursuit derrière son passage présidentiel. Les morts de cette gaffe monumentale se cesseront pas et parlez en aux soldats de l’ex-URSS. Pire, une étude dévoilée récemment révèle que les soldats de retour chez-eux, sont handicapés de bien des façons et ce, irréversiblement.

Plus insignifiant.

Mes bleus cafouillent à nouveau mais cette fois ce sont mes cousins ; 2 à rien. Les italiens se seront hissés à la seconde étape par une porte étroite. Pour eux, tout est possible. Merde, que je m’en balance… De ce côté-ci, mes jeunes bleus pourraient surprendre la galerie. 5 joueurs des Sags verraient leurs noms accrochés sur le tableau officiel de la LNH, samedi et la veille, pour un certain Deschamps. Pour le coach Martel, ce résultat le favoriserait grandement car il est redoutable lors des entrainements. Ce qui me rappel un adage on joue comme on pratique. Pour lui, ce principe rejaillit partout, c’est épidémique. Ce paragraphe bien qu’il soit, insignifiant au départ, me semble convenir tant qu’à sa gravité ; donner toujours le meilleur de soi.

mardi 17 juin 2008

L’affaire électrique.

En juillet, il se pourrait que l’on distingue ici et là des triangles isocèles orange filant en surmontant 4 roues. Il ne s’agit pas de placard ayant trait à une menace quelconque, non, promet la ministre Boulet. Ils identifieraient plutôt un mode de locomotion hydraulique tout récent. En juillet, il apparaîtra puisque l’urgence est fixée à 1.50$ le litre et que c’est le temps d’allumer. Il faudrait bien qu’on m’explique pourquoi pas avant, disons à 0.949$.

lundi 16 juin 2008

Sharon Stone

L’actrice aura dernièrement parlé de karma. Lors d’une entrevue, elle démontre en disant tout cela qu’elle y croit dure comme fer à la loi. Pourtant, son pays en Amérique du Nord ne cesse d’être l’objet d’intempéries dévastatrices. Katrina a bien été la plus probante, mais il y a tout le reste depuis. À quand une sortie sur le fatalisme du karma qui dévaste son pays, les Etats-Unis. Est-ce parce qu’elle ne possède pas d’ami à Guantanamo ? À chaque grand état, ses courbes scélérates.

Les manifestations sismiques ou les intempéries variables redonnent à la nature ses droits. À l’échelle des quatre saisons, qui me semblent une transition douce et lente, nous pourrions nous aussi nous soumettre à nos vulnérables états. Souvent nous agissons comme des êtres invulnérables et nous comportons comme des dominants sans cervelles.

dimanche 15 juin 2008

Père, papa, paternel, pépé, popa, grand-père…

Ce soir, mon père m’a téléphoné pour la ixième fois de sa vie. J’arrivais tout juste de Québec et devinez d’où ? Imaginez, je suis allé chez mon fils, l’aîné, Jean-Frédérick. Nous avons effectué des rénovations, des minis, modifiées en méga. Je vous avouerai d’abord une chose ; en réno, je suis nul et ce, de la tête au pied, mais bon, passons. On s’est tapé la chambre du petit James ; de la peinture et un revêtement de plancher (flottant) pour mon petit-fils, un presque parfait. Cette réno en vue de la naissance d’Emy, qui arrivera bientôt, vers la fin août. James perdra l'exclusivité pour la partagée avec sa soeurette. Mon fils a beaucoup de mérite. Un, d’avoir acheté une résidence et deux, d’investir un temps énorme pour l’améliorer, sans que je ne lui ai donné les outils de réno 101. Nous avons terminé le boulot ou presque vers les 11 heures, le jour de la fête des pères. Sans détour, je dirai que je ne mérite pas beaucoup de félicitations, car pour moi, cette fête ne m’est pas adressée intégralement. Tout cela est un autre histoire qui m’obligerait à trop de détour. Je reviens à l’appel lancé par mon père. Je l’aime vous savez. Mon père, c’est un métropolitain depuis un quart de siècle. Je vous confierai qu’il l’était déjà bien avant. J’estime qu’il a légué cet attachement pour Montréal à mon fils cadet, Yannick, qui demeure pas très loin de chez-lui. Yannick a reçu énormément de mon papa, par une sorte de ricochet, les gènes. Primo, Montréal puis le monde artistique en second lieu. Yannick l'expérimente en exécutant quelques rôles télés ; second rôle et figurant. Mon père était figurant, soit des films ou des émissions télés, comme son petit-fils. Mon père c’est aussi un gars de famille. Il organisait des fêtes merveilleuses, qui m’ont marqué. Des fêtes de Noël par dizaine, en réunissant la famille de ma mère, les Bouchard. Je terminerai ce billet comme ceci ; mon père n’est pas parfait, mais presque…

vendredi 13 juin 2008

excusez-moi...

Le PM en préconisant les excuses plutôt que la réparation, envoie un signe ponctuel aux premières nations. Il en aura fallu des années pour prononcer un repentir à l’égard de tous ces enfants. Ces communautés auront été lâchement traitées et la menace posée sur chacune d’elles, perpétuelle. Je ne sais pas si toutes les communautés amérindiennes peuvent prétendre aux mêmes constats. Moi, je vais régulièrement dans trois communautés ; Mashteuiatsh, Issipit et Betsiamits, qui me semble la plus affectée socialement. Les investissements en dollars sont manifestent en ce qui concerne l’immobilier et les infrastructures de la communauté. Certains signes ne mentent pas chez les enfants ; l’obésité et la consommation des drogues. À chaque année, les autorités se questionnent sur le taux de suicide des jeunes. Chez la population en générale, le taux d’alcoolisme m’apparaît effarant. Je ne suis pas un spécialiste de la question, mais comment peut-on investir 6 milliards de dollars de nos impôts, année après année, et pressentir aussi peu de résultat ? J’ai un client à Essipit. Je lui en ai touché mot ce mardi et il me disait ceci : "moi, un algonquin, je ne peux pas comprendre que le trafic de drogue soit toléré à ce point et ce, à partir de la réserve. Je suis un algonquin, je ne possède pas de carte autochtone, car pour moi, être innu, n’a rien à voir avec une carte".

mercredi 11 juin 2008

L’infiniment petit.

Imaginons l’infiniment petit, beaucoup plus petit que, "attention à la marche mon petit". Ou bien, "madame vous devrez cesser vos activités et rester à la maison sinon votre grossesse ne se prolongera pas". Tel est dans la vraie vie la nature première de l’être, embryonnaire et microscopique. Pourtant, le phénotype de tout spécimen foetal contient une valise pleine de renseignement signifiant. Toutes ces données révèlent un être unique, déjà au moment du stade embryonnaire. De même, l’individu naîtra et vivra ce qui sera sa vie. Une semaine, un an, 10 ou 40 ans et même centenaire, personne ne le sait et c’était bien mieux ainsi. En ces jours de savoir plein de vanité, des labos peuvent obstruer la vie, la modifier et trier, croit-on, tel un cuisinier élaborant un menu selon ses options pointues. Je suis un citoyen du Québec et du Canada. Je ne crois pas que la population est suffisamment eue d’éclairage pour appuyer la position de nos gouvernements. Je revendique donc un moratoire afin d’examiner la question, avec mes concitoyens. Je propose par la même occasion, un examen sur les manipulations embryonnaires. Promptement, car nos enfants en devenir font l’objet de modifications génétiques, abandonnés par la conscience collective.

TF1

L’indéfinissable Patrick Poivre d’Arvor, lecteur de nouvelle du 20 heures à TF1, abandonnera dès septembre son siège. La rumeur veut que ce soit une de la gente féminine qui le relèvera. Attention, la voici, se cachant derrière une 25ème place comme étant l’une des plus belles de France. Plus sérieusement, je vous le place ici, le PPDA juste en face d’un personnage plus qu’éloquent ; décembre 1980, la veille d’une option.

mardi 10 juin 2008

je veux un ptit robert !

À la radio de radio-canada, j'écoute cette émission en me rendant sur la cote-nord. Ce mois-ci, Bisson annonce un tirage et j'y ai participé en ces termes.

Salut Bisson !

Ce matin dès l’aube, je t’ai entendu et même répéter pourquoi visiter votre région ?

La mienne, le Saguenay-Lac St-Jean, partant de la rue Young c’est simple, regarde bien. Je suis bien placé pour t’en parler, j’ai deux frères, pas trop loin de chez-toi. Le cadet à Mississauga et l’ainé, Yves à Guelph. Pour cette année, je leurs ai dit de partir à bonne heure. Pourquoi ? Et bien pour dormir près de la rivière dit, la Ptite Rivière St-François à Charlevoix. Elle est pas trop loin de ma rivière, de un et deux, c’est le village de notre ancêtre, Claude Bouchard dit le Petit. Comme il a fondé ce village, il est normal qu’une plaque commémorant sa présence le rappel. Le lendemain, direction Baie Ste-Catherine et embarquer à bord du traversier pour admirer la jonction fleuve et rivière dans toute son ampleur. S’ils veulent, ils erreront dans Tadoussac rendu de l’autre côté. Si le temps est clair, démarcher pour une promenade aux baleines. Y a pas que ça, des bélugas itou. Ensuite direction Sacré-Cœur par la 172 avec une halte à l’Anse de Roche. Puis, repartir sur la route et côtoyer la rivière Ste-Marguerite. Je leurs ai dit de traverser bien avant la brunante, présence d’orignaux. Ensuite Ste-Rose du Nord (sans stopper) et puis, 25 km plus tard vu de haut, la rivière Saguenay. Plus loin Chicoutimi et bien au-delà, la mer intérieur, le Lac St-Jean. Vous venez chez-nous ? Je vous ferez une liste pour le reste, y a tant de choses à voir. Bonne route !

lundi 9 juin 2008

Parenthèse )

Je découvre tout à coup que les personnalités du jazz se métamorphosent. Certes les jazzmen revendiquent la grande part. Depuis quelques mois, j’ai entendu la pianiste Hiromi Uehara, une virtuose niponne. J’ai tout de suite assimilé son nom à prouesse, innovatrice, talent et dynamisme. Aujourd’hui, j’ai eu droit à ceci. À mon avis, c’est un signe des temps.

dimanche 8 juin 2008

Varias divers.

J’aime écrire surtout.

L’écriture est pour moi simple et complexe. C’est vrai que ça l’est. Bon, je ne suis pas un érudit mais un féru, oui. Pour ce qui est des opinions, la mienne vaut bien celle de Monsieur tout le monde. Je la défends de mon mieux et ceux qui la critiquent, je fais avec. Néanmoins, ces jets d’écriture ne m’enlèveront pas ce brin de susceptibilité innée, qui m’étreint, à l'exemple d'un papa ou d'une maman enlaçant la vie de son rejeton. Je conviens aussi qu’une vérité se cache bien au-delà des mots employés, surtout ceux que je lance ici et là. Mais le sens de ma pensée, reste dans le contenu, entre les lignes comme disait Pierre, Jean ou Jacques.

L’Euro c’est géant comme un mondial.

La sélection France pour ce périple n’a pas été simple à ce que j’ai lu. Le résultat final démontre, vu de mon siège, des Bleus brouillés. Que sont donc, ces Coupet, un gardien ? Sagnol ou Anelka ? Certains diront mesquinement, ‘des joueurs, nono’. Ils n’auront pas tout à fait tort. Je poursuis avec les illustres ; un, Ribery et deux, Henry, c’est un duo pas méchant. Derrière le confort avec Vieira et en défense, Thuram un pilier rassurant. Je me souviens vaguement d’un Makelele, Gallas et d’Abidal et peu de Malouda. Et le reste de la sélection de Domenech, l’obscurité. Je me suis mis à lire un blogueur Luis Fernandez. Son Blog est ‘l’œil de Luis’. Il m’aide à me faire moins, euh, embrouillés disons.

L’eugénisme déguisé en prime.

Les mesures entourant le contrôle des naissances et la santé du fœtus me semblent faire partie des grands laxismes modernes. L’Homme s’arroge des droits qui nous tombent dessus. Le consensus social nous arrive d’en-haut, sans consultation et sous des fondements débraillés. Ignorez-vous, que je connais des familles qui n’auraient pas eu la vie, si les préjugés d’aujourd’hui s’étaient manifestés à l’époque. Qu'à cela ne tienne, la société nous offre un éventail de monde. Elle est interpelée grâce aux membres qui la composent et ce, même dans la plus vaste imperfection ou "débilitaire". Allez, je vous raconte ; un papa venait de perdre son bébé avant que l’on trouve remède à sa survie. Cependant, la vie du bébé avait été suffisamment longue pour que l’on identifie la nature d’un gène manquant. Le papa, dans ses mots d’adieu à son fils, le remercia de sa contribution. Depuis, la communauté médicale scrute les fœtus en décelant ces anomalies géniques. C'est ainsi que l'on met fin à une vie, aussi courte soit- elle. Je le déplore grandement.

samedi 7 juin 2008

Madame Clinton se livre aux évidences.

En admettant qu’elle peut apporter à la marée Démocrate, un reflux automnale. Obama doit dénicher au clan Clinton un rôle d’importance. La bataille qui s’annonce, n’augure pas nécessairement bien pour les Démocrates. La situation économique américaine peu reluisante appel l’urgence d’agir. La guerre en Irak demeure un enjeu d’importance capitale et le retrait des forces, une promesse formelle. Fort complexe n'est-ce pas ? Pour revenir à la dame, je voie mal Obama lui livrer la vice-présidence. Je la verrais bien siéger avec Bill, telle une Condoleezza, sur le trône actuel, de Secrétaire d'État. Hilary conserve une popularité indéniable et sur le plan international, elle semble bien s’entendre avec les valeurs d’Obama.

mercredi 4 juin 2008

À la vie, une condition s’impose.

L’État moderne, ici et ailleurs, promulgue des lois favorisant les choix individuels. La vertu, rien contre, mais contre la vie, oui. Je n’aime pas que l’on me parle de droit en négligeant celui de l’autre, en y faisant abstraction de facto. A la vie, un passage nécessaire, l’existence fœtale. La science analyse quotidiennement l’espèce humaine dans l’infiniment petit et redécouvre. Puis, le temps jugera de la découverte en la transformant, toujours incomplète. À partir d’elle, l’État prononcera édit et manifeste en soumettant l’Être, même son avenir. Que sait-on réellement du fœtus et de son devenir ? Les actes entourant les avortements déterminent ce que sera la vie, belle ou mauvaise. Elle y met fin à tout jamais. Il revient plutôt à la société d’en défendre l’issue et aux Êtres de l’exiger, pour mieux donner à la vie.

Stendhal " Les grandes âmes ne sont pas soupçonnées ; elles se cachent ; ordinairement, il ne paraît qu'un peu d'originalité. Il y a de plus grandes âmes qu'on ne le croirait".

mardi 3 juin 2008

Une Coupe de Frogs…

Deux jeunes Québécois jouent à leurs façons un tour aux puissants Wings. Un jeune de LeMoyne exécute des arrêts myraculeux, en recevant 58 lancers tandis qu'un autre de Sorel, compte avec peu de temps à faire au match en annulant à trois partout. Leur équipe n’est pas morte, elle survie et s’ils n’en tiennent qu’à eux, elle l’emportera en allant jusqu’au septième et ultime match. Les gens de la Montérégie n’aiment pas perdre…

lundi 2 juin 2008

Clinton Obama.

Nom juxtaposé qui reflète, bizarrerie et incongruité, n’est-ce-pas ? Hier, avait lieu un vote copiant le Parti Démocrate dans un non État américain, Porto-Rico. Les représentants et le gouverneur de ce pays insulaire, à Washington, ne sont que des observateurs. Cependant, ils sont assujettis, les Porto-Ricains, à une administration américaine d’une manière telle, qu’ils sont sous leurs ailes protectrices. Passons cette précision et revenons à ces moutons qui se chamaillent depuis janvier dans une lutte pour le moins finale. CNN, calcul à l’appui, détermine à une trentaine de délégués manquants pour la victoire du clan Obama. Malgré cela, la madame est pas contente et compte bien se rendre à l’investiture Démocrate d’août. Certains clament la détermination féminine, pour d’autres, moi entre autre, cela relève de l’entêtement aux prix de la présidentielle à venir. Vous savez que le clan Républicain, même avec la défaveur dans les sondages au départ, marque des points suite à la chicane Démocrate.

dimanche 1 juin 2008

Femmes au foyer.

Cet aprem, j’ai écouté les femmes, juste , parler du féminisme. Plus précisément, elles s’intéressaient à la maternité et aux droits fondamentaux, ce droit étant le choix entre la maison avec les enfants ou les deux ; le boulot et la maternité. L’une d’elles s’interrogeait sur la différence parentale entre un homme et une femme, en parlant d’inéquité. L’autre s’offusquait qu’une mère au foyer réclamait une compensation monétaire venant des gouvernements. Cette dernière demande menaçant l’indépendance et les carrières acquises par les femmes. L’une d’elle reprochait à la génération X, l’ignorance des combats remportés par ses pairs ; le droit de vote, la reconnaissance de la mère en droit familial, l’équité salariale, le droit à l’avortement et tout le reste. Réalisons que ce mouvement, tel un engin forestier, aura contribué à faire tomber des inégalités, tel un bûcheron mécanique ballait les arbres d’une forêt. De ce fait, elles auront aussi entrainés nos sociétés vers d’autres inégalités sinon des exagérations regrettables. En une expression plus à propos, elles ont jeté le bébé avec l’eau du bain. Les êtres humains s’accaparent par pure stratégie et de manière injustifiée, ce qui les entoure, en laissant-là, le simple bon sens, SBS.