lundi 30 juin 2008

Varias...

Je t’embrasse…

J’aimerais ici féliciter ma nièce qui continue sa route et sa remise debout. Elle opte entre autre pour l’écriture, afin d’évoquer le chemin parcouru. Un sentier étroit l’a vu trop d’années, piégée. Maintenant, elle adopte une approche personnelle nécessitant courage et détermination. J’ai confiance qu’elle trouve suffisamment de ressources pour la victoire vers le monde ordinaire.

Richissimes.

Un couple de l’État voisin devra purger à l’ombre des gens ordinaires une condamnation. Bien que milliardaires, ce couple infligeait à leurs employés sévices et tortures. La dame hérite du triple, soit 11ans. Le procureur clame encore que le trafic d’être humain est notoire chez les étasuniens. Vous avez toute l’histoire ici.

Les hits and run.

Je n’ai jamais tant entendu la nouvelle d’accident mortel avec fuite de chauffards. Souvent, les conducteurs couche-tard prétendront une folie passagère pour expliquer la fugue. Un autre sorte de fugue ; celle des tabasseurs nocturnes abandonnant leurs victimes ensanglantés. Les chauffeurs de taxis en savent quelque chose. Ces tabassages se produisent souvent pour un pactole ridicule.

Les nuages.

Les averses de juin dépassent toutes prévisions. Perso, je n’ai jamais vu tant de cumulus et de stratus. Qu’ils soient de cirrus ou d’altus, ils m’impressionnent tous. Avant hier, en faisant mon tour de lac, j’ai vu éclore des cirrus spissatus, vertebratus, uncinus entre deux livraisons. J’ai appris avec le temps ceci. Si vous apercevez par un beau soir d’été, malgré le firmament tout bleu, des cirrocumulus, méfiez-vous. Un conseil, ne dormez pas à la belle étoile.

3 commentaires:

  1. Une bonne en attire une moins bonne comme on dit...

    G.P. est rentré à Bordeaux hier. Trafic de stupéfiants, contraventions non payées, alouette. Je lui souhaite la meilleure des chances.

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  2. Si tel était le cas, serait-ce un tremplin ou une corde ?

    On le verra un jour.

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  3. J'ose espérer que ce ne sera pas un tremplin pour se précipiter dans le vide ni une corde pour se pendre mais bien un tremplin vers une vie meilleure ou une corde pour se sortir du trou.

    Son appétît pour l'auto-destruction me laisse songeur (comme celui de sa nièce avant ses grandes vacances). Je ne comprend pas cet entêtement pathologique et suicidaire. Disons que sa maman était passablement bouleversée hier quand elle est venue chez nous.

    Cette triste nouvelle, son anxiété et ses appréhensions négatives face aux grandes retrouvailles, l'échec de son ménage, ainsi que les séquelles de son ACV la rendent bien imprévisible. Il ne faut pas être grand devin pour voir qu'elle est tenaillée par une douleur qui la suivra jusqu'au grand repos.

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