dimanche 28 février 2010

Des Jeux différents totalement.

Voilà, le 17ème jour des jeux 2010, enfin.

Avant même le premier jour, ces jeux me semblait tout croche. À l'entrainement, on ne peut l'oublier, la mort prévenait les architectes de terminer la piste de glace. Au bob à 4, du jamais vu avec les capotages. Maudite folie du toujours + haut, toujours + loin. Moi, j'aime pas.

J'admets que des prouesses ont marqués ces jeux. Comment l'ignorer. Moi, je resterai toujours marqué par le niveau de jeu atteint lors du match Canada vs Russie. Ce, sans bagarre et ni geste disgracieux.

Je ne peux non plus rester indifférent pour ce qu'a vécu la patineuse Québécoise, Joannie Rochette. Un deuil à subir malgré les exigences et les degrés de difficultés après tant d'efforts de préparation. L'absence de l'être cher...

L'apogée que réussisse à atteindre les athlètes méritent plus d'attention. Les podiums affichent les meilleurs mais que dire des écarts entre le 4 et le 10ème rang. Je préfèrerais de beaucoup illustrer un tableau avec les 10 premiers et un système de pointage relatif. Ce tableau mettrait en perspective la réelle participation des états.

Les records sont faits pour être battus, dit-on. Les Canadiens viennent de vaincre des démons à cet égards. La courte piste démontre de manière éclatante l'apogée des Asiatiques. Les jeunes d'ici qui ont vaincu, méritent leurs bourses.

Le curling aura attiré comme jamais. Effectivement, les 2 équipes Canadiennes ont stimulé, par un rendement quasi sans faille, tous les férus de la précision et de la rectitude. Martin et son troisième nous auront fait oublier la pierre de la finale féminine. Elles ont tout de même l'argent, ce n'est pas rien.

J'oubliais. Avant l'ouverture des jeux de Vancouver 2010, j'écoutais un interview à Maisonneuve. Un couple expliquait que depuis Montréal, il n'avait pas manqué de jeux olympiques. L'obsession des "pins" expliquait leur motivation, en partie. L'esprit de camaraderie devait sûrement les stimuler un peu, non ?

Bon, je m'attends à rien d'autre que l'or. Vous avez tous de quoi je parle. Vous savez, un souvenir d'ambiance de la Série du Siècle en 72 refait surface.

samedi 27 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

Suite…

Jetons maintenant un regard sur la seconde division, Telus Centre. Avant, vous précisez que Telus est le diffuseur officiel de la Q. Conséquemment et depuis la saison 2006-07, tous les matchs peuvent être regardé et ou écouté sur Internet. Les premières années ont été gratuites. Depuis la saison 2009, un tarif est exigé pour le visionnement. On ne connaît pas les revenus pour la ligue, mais ces sommes s’ajoutent pour la bonne gestion des activités de celle-ci.

Depuis 1982, la ville de Drummondville héberge une équipe qui rencontrent certaines difficultés. Elle aura cependant du succès côté hockey malgré la pénurie de spectateurs. Les Volts évoluent dans un petit marché bien que la région se situe dans l’axe la plus populeuse. C’est aussi l’organisation avec le moins de salariés. Elle est aussi la seule OSBL de la Q (organisme sans but lucratif). Dans un aréna de 2800 sièges, les bénévoles de ce club font des miracles de mise en marché.

L’Équipe Américaine de la Q est Lewiston ; les Maineiacs. Le proprio Mark Just aura depuis Sherbrooke tenté avec un succès mitigé de conserver une équipe étatsunienne. En jouant au Androscoggin Bank Colisee, une amphithéâtre de 3675 sièges, l’organisation accepte d’évoluer dans un petit marché depuis 2003. C’est une ville de 60 milles âmes. La rumeur veut que le businessman Just diminue sa propriété et convienne, avec des personnalités québécoises, d’emménager au Québec. On verra.

Le centre de la Mauricie au Québec est représenté par les Cataractes de Shawinigan. Cette municipalité d’un peu plus de 50 milles âmes aura, à travers son histoire, marqué sa ligue car depuis le début de la Q, elle se présente et compétitionne. Perso, je crois qu’avec l’ajout du Centre Bionest, les Cats affichent la stabilité hockey et financière. Je ne peux affirmer pour l’instant si la franchise est un OSBL.

En 1987, Les Tigres de Victoriaville s’amène dans la Q. Une équipe de petit marché qui réussit bon gré, malgré, ses percées. Sa population d’un peu plus de 40 âmes, bien assise en région des Bois Francs, soutient timidement son équipe. Le Colisée Desjardins mériterait d’être modernisé et agrandi pour une plus grande appuie financière. Avec moins de 3000 sièges, il est compliqué de rester en santé et de rivaliser avec les autres formations. Point positif au budget, les distances à parcourir au cours d’une saison demeure la plus basse de la Q.

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Les finances Québécoises selon...

L'économiste Pierre Fortin (PF) dit se situer à droite au Québec et à gauche au Canada. Pour ma part, même en appréciant le personnage, PF demeure un peu hébété et sans mot, lorsque l'on veut identifier les erreurs qui nous ont conduit aux bourbiers actuels.

Vendredi matin, Josée Legault (JL) articulait un point assez probant. On ne fait que cibler les augmentations de taxes ou de coupures de dépenses. Les revenus du Québec souffre depuis les coupes d'impôt du gouvernement Charrest. Ajoutez le "point" de la taxe fédérale à la consommation (TPS) accordée aux provinces. Souvenons-nous que ce même gouvernement aimait mieux laisser le point dans les poches des consommateurs d'ici.

Un autre écart se perpétue et c'est l'examen des dépenses. Que faisons-nous des erreurs que l'on répète sans cesse ? Les administrateurs gèrent comme si nous avions tous les moyens. Les hopitaux, les universités et les commissions scolaires épuisent les budgets et ce sans responsabilité ni imputabilité.

J'apporte à l'attention du lecteur du déjà vu. J'étais vendeur en 80 chez Radio-Shack. Vers la fin de l'année fiscale, les ministères faisaient des achats d'appareils de toutes sortes ; scanner, CB, chargeurs etc... Je sais que ce sont des babioles mais bon, généralisons ce comportement et nous aurons une jolie somme. Le comportement n'est pas responsable à mon point de vue.

Aujourd'hui, je livre chez Hydro-Québec. On dirait qu'ils sont sur une autre planète. Tout l'ameublement et les immeubles sont hors prix et luxueux. J'y vois de l'oppulence. De même, toutes les sociétés d'état se comportent comme tel. Il existe une certaine discordance entre les négos, lors des renouvellements des conventions sont jamais très longues par rapport aux secteurs privés.

lundi 22 février 2010

HAÏTI

Peu de développement, sauf l'urgence. Pour enlever un peu de, comment dirais-je, de peine, on annonce une semaine ensoleillée, sauf demain, la pluie.

dimanche 21 février 2010

météo-média...

Celle qui partage ma vie, a sous la main, des lectures concluantes et intuitives. Rien à voir avec la techno, mais combien plus révélatrices. Je ne dis pas qu'ils faillent renier la techno, mais bien en tenir compte.

Elles datent du 21 janvier 2010 et proviennent de Pedro Regis, un prophète moderne. Pas dans le sens IN là. Permettez-moi de vous citer un paragraphe : "Chères enfants, l'île de Madère sera dévastée et les habitants de la grande ville au bord du Tage (Lisbonne) feront l'expérience d'une lourde croix".

Cependant j'ai dans mes favoris le site de météo-média. Je le sollicite régulièrement vous savez et comme vous, il me donne l'impression d'être imprécis. Je dis bien l'impression. Vous saurez que ces professionnels de la température sont doués et dotés d'une quincailleries techno avant gardiste.

Les images de ce document me remémorent celles d'ici en 1996.

Lucien Bouchard l'Ex...

Les déclarations de Monsieur Lucien Bouchard me semble inutile. Ce point de vue n'enlève en rien son droit de parole. Il s'exprime et ne laisse personne indifférent. Je déplore personnellement qu'il le fasse en ajoutant, et c'est là que je m'amuse cyniquement : " Pauline Marois s'est moqué de mon frère Gérald en le traitant d'Elvis Gratton..."

Pour sa déclaration de fond, je lui pardonne, bien qu'il est abandonné le navire en démissionnant. Depuis ce temps, il s'allie à des consensus d'insatisfait du Québec, d'une province angoissante. Les lucides, le débat sur les accommodements et sa propension à critiquer l'ensemble de l'oeuvre nous le montre sous des traits monotones et langoureux, même condescendant.

Au passage, le PQ de Pauline fesse partout comme un pêcheur cherche la fausse. Elle aura beau répondre vite, je n'aime pas qu'elle répète cette phrase : "on peu marcher et mâcher de la gomme en même temps". C'est pas fort, moi je lui suggère mieux : "on peut tenter le poisson et espérer une température plus clémente". Je suis peut être trop critique, mais me semble qu'une gomme, avec les années, devient plus que fade.

samedi 20 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

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La vocation première de cette ligue, disent les autorités, développer l’élite. Des observateurs sceptiques contrediront ce premier principe en arguant bien plus la recherche du profit. Avec raison, les actionnaires clameront que les 2 sont indissociables. Pour bien comprendre, les chiffres d’assistance, le baromètre économique, devraient influencer la performance des étoiles sur glace.

Débutons par la division Atlantique, qui proposent depuis 1994, un modèle de développement. Du coup, les décideurs de la Q s’accaparaient le talent des maritimes en exclusivité, sauf Terre-Neuve. Auparavant, les équipes juniors de l’Ontario et de l’Ouest pigeaient souvent dans ces provinces.

La saison 1994-95, marquent l’entrée des Mooseheads d’Halifax. Propriété d’un ancien joueurs de la ligue Nationale de Hockey, Bobby Smith amenaient avec son équipe un amphithéâtre imposant. Le Metro Center, avec ses 10 milles sièges, créent un impact important. On s’entend qu’Halifax avec son agglomération de près 400,000 habitants, initie bien la percée. Avec une moyenne de 200,000 partisans en moyenne par saison, que dire de plus.

La saison suivante, les Alpines de Moncton entrent dans le circuit. Au prise avec des difficultés financières, Monsieur John Irving acquière la concession. Aussitôt, elle se transforme en Wildcats de Moncton. Le Coliseum, avec plus de 6400 sièges, donne à cette concession des moyennes enviables. Plus de 160 milles par saison.

Les Prédateurs de Granby deviennent en 1997, le Sceaming Eagles du Cap Breton. Le clan Paul MacDonald transforme cette organisation et apporte à l’économie de Sydney, Nouvelle-Écosse, une carte manquante. En évoluant au Centre 200 de Sydney, l’organisation assure une hausse de 40 à 50 milles partisans annuellement de plus qu’à Granby, qui maintenait une moyenne autour de soixante milles.

En 1998, Léo-Guy Morrissette déménage sa franchise de Laval, au Québec à Bathurst en Acadie. Les années de gloire du clan LGM se poursuivront sous d’autres cieux. En évoluant au Centre régional K.C. Irving, le Titan devient vite un attrait régional. Bien que la municipalité soit petite, vite elle accueillera dans son aréna beaucoup de partisan. La fille de LGM, Annie Morrissette, en prenant la présidence du club en 2009, veut redonner un nouvel essor à l’une des plus vieilles franchises de la Q.

Charlottetown, en 2003, accueille Serge Savard Junior et sa concession, le Junior de Montréal. Il baptise l’équipe le Rocket de l’Île du Prince-Édouard. À la recherche d’un succès stable, le clan Savard investit temps et argent sans grands succès. Le scénario du Junior de Montréal semble vouloir se répéter.

2005-2006, la Q se métamorphose et du coup attribuent deux concessions. Pour la modique somme de 3 millions de dollars, les Fog Devils de Saint-John’s, Terre-Neuve, et les Sea Dogs de la famille McCain s’installent à Saint-Jean au Nouveau-Brunswick. Les Sea Dogs évoluent au Harbour Station devant des foules annuelles de plus de 130 milles. Lentement, cette organisation fait des envieux. Cette saison sera la plus glorieuse et l’affluence aux guichets sera garantie. Je parlerai ailleurs des Fog Devils.

Lors de la réunion régulière des proprios de la Q, ces organisations peuvent bénéficier d’une grande influence. De ses propriétaires, plusieurs sont membres du groupe des plus grandes entreprises canadiennes. La gouvernance subie des transformations et des pressions, on a qu’à penser aux séances de repêchage. Avec une moyenne de 800 milles spectateurs par saison, nul ne doute de leurs poids.

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vendredi 19 février 2010

Colonel Russsel Williams

Me Michael Edelson défendra le militaire. L'officier est apparu par vidéo conférence de sa prison hier. Sa comparution n'aura duré qu'une minute. La défense tendrait à démontrer lors du procès, les troubles dissociatifs de la personnalité multiple de son client ou atteint du "DSM IV".

J'avais fait allusion plus tôt, à Madoff, le fraudeur milliardaire. Celui-ci se démarquait par un caractère narcissique selon les observateurs. Un menteur doué d'un sens quasi hypnotique, ce qui lui aurait permis de persuader tant de personnalités.

Les actes morbides de RW et son grade m'amène à parier que seule, la pathologie psychiatrique pourra-t-être plaider. Le type devait potentiellement manipuler ses proches tout en dissimulant ses pratiques perverses remontant jusqu'à l'adolescence. De même, exercer une rectitude personnelle sans faille ajouter à tout l'historique militaire, qui n'est pas banal justement.

Alexandre Bilodeau

Ironie du sort ou pertinence, de voir le Canada français remis de son lustre. Un lustre absent dissimulé, sous-entendu. Que dire du personnage et de l'individu qu'est Alexandre Bilodeau, inconnu pour la plupart. En le primant ainsi sur un timbre, l'honneur revient à lui, rien et personne d'autre que lui. De plus, il place bien devant, sa famille et tout le reste.

Bravo Alexandre !

jeudi 18 février 2010

Oursons avec maman ourse.

Je désirais absolument les affichés. Vous pouvez trouver des images plus récentes à l'aide de la caméra web.

C'est d'ailleurs du cinéma IMAX de ce zoo, que la population de Saintfé a regardé la jeune de 20 ans, Marianne Saint-Gelais, gagné sa seconde place et l'argent.

mardi 16 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.

Suite…

L’évidence. Au bureau de la Q, le trésorier cumulent la quote-part des équipes. De chaque billet vendu dans une ville, la Q reçoit une portion, autour de 50 sous. La Q pourra ainsi pallier aux besoins de la gouvernance et de son essor. Pour l’année 2008-2009, les équipes totalisent 2 millions et demi de spectateurs en incluant les séries. Tout cela en 684 programmes.

Le savoir-faire des dirigeants jouent un rôle prépondérant dans les succès de la Q, mais aussi leurs notoriétés. Les personnages influents assurent une crédibilité et une fiabilité plus grande que l’humble inconnu. En exemple, les dirigeants qui ont évolués dans les ligues professionnelles amènent avec eux des contacts, une expertise et les honneurs. Donc des garantis notables sous-entendues. Plus ils ont un passé d’honneur et extraordinaire, plus les succès financiers se matérialisent.

Ainsi, lors des grandes réunions, les gestionnaires n’ont pas tous le même prestige. De même, la parole de l’un pèse plus lourd et les succès économiques décuplent cette importance. Lorsqu’il est question d’un litige, chacun prend une position qui le favorisera. Sinon, il ne voudra pas s’aliéner les plus influents près de lui. Les plus riches ou plus influents auront raison des plus pauvres ou des moins influents.

Un proprio, au tableau des 50 plus grandes entreprises canadiennes n’a pas besoin des surplus de son club. Bref, il voudra rentabiliser son acquisition mais en premier lieu, garantir un prestige à son bébé. Il n’est pas seul, ils sont au moins 5 ou 6 propriétaires à détenir un pouvoir convoité. Que font la dizaine d’autres, elles mesurent les forces, rien de plus. Elles ont un marché et des avantages localisées. À eux de bien recevoir et de bien se comporter devant l’adversaire autour de la table.

J’évoque ici des évènements jouant en faveur des plus influents. Les choix aux repêchages réservés pour certaines équipes. Les montants exigés par ces jeunes doués d’un talent exceptionnel. Les ententes exclusives avec les agents de joueurs européens. Toutes ces transactions secrètes dissimulent bien d’autres choses, réservées aux plus forts. À la prochaine page, j’apporterai des chiffres qui font la démonstration de ce stratagème, traduit en système, une politique établie.

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lundi 15 février 2010

HAÏTI

Actualités obligent, ce pays s'enlise dans un oubli pathologique. Le télévisuel ne tourne plus malgré la menace incessante et écrasante.

Je ne suis pas de ceux qui croit que ce pays est voué à un éternel avilissement. Non. Je ne dirai pas que j'en suis persuadé totalement.

Alors, pour bien faire, l'ONU devra, si ce n'est déjà fait, imposer au gouvernement de Préval, une voie.

Je verrais bien un comité Québec-France dirigé les intentions de la communauté mondiale et Haïtienne.

Je sais, nommez-moi toutes les infamies que cette opinion colporte ; suprématie, colonialiste, totalitariste, tyranie, hégémonie, etc...

Ce peuple est en voie à une hécatombe naturelle. J'ai pris la décision de ne plus envoyer de sous.

dimanche 14 février 2010

Madoff Williams ?

À mon avis, il est impossible ou illusoire même d'imaginer que la méchanceté d'un individu, est prévisible. Aujourd'hui je lisais ; "malheur à celui qui met sa confiance en un mortel", point final.

Madoff n'a pas enlevé de vie, du moins il n'en n'est point accusé. Son crime a fait bp plus de dégât, croit-on, à l'ensemble. En admettant que les crimes de Williams, ce colonel de nos armés, soient d'un pervers, c'est une certitude dans mon livre.

À mon humble avis, les deux sont d'une perversité sans noms. La différence, une lingerie fine comme le fric sans odeur.

Ouverture...

Cette nuit-là, celle de vendredi à samedi, j'écoute, en pleine nuit, la reprise de l'Ouverture des Olympiades de Vancouver. Tout cela m'apparaissait décousu et comme un mauvais rêve, à oublier. Je me disais, en fermant les yeux comme on les ferment sous une bruine froide et incessante, que ma somnolence ne comprenais rien à toutes ces images éclairés.

Légèrement assoupit, j'entrevoyais Wayne dans la boîte d'un pick-up blanc comme neige. Une torche pan-canadienne à la main, blanche comme neige, Wayne souriait affablement. Longuement, Wayne saluait feuille d'érable bien distincte en main. Je ne peux me représenter toute l'énergie verte que cela fallu, pour le garer. Je me disais, "me semble qu'il l'avait déjà allumé la flamme".

Je poursuis...

Au déjeuner, j'écoutais la critique de la célébration hivernale en vert. Toutes et tous en remettaient sur le mauvais goût généralisé. Les yeux bien ouvert, je suis dit, "bordel, j'ai pas rêvé..."

Au final, bien content que Gaétan Boucher n'est pas été l'option de la statue dans le pick-up.

samedi 13 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite…

La course folle des saisons et des séries viendront à la rescousse des organisations. Pour les uns, une manne, pour les autres, un surplus important et les mieux nantis, une breloque en or. Des moyens monétaires, il en faut considérant les besoins ; l’apport de professionnels de plus en plus spécialisés. Les équipes qui y échappent, une débâcle onéreuse.

Parallèlement, les développements technologiques apparaissent et poussent dans le jardin des incontournables. Une équipe accusée d’hésitation ou de négligence n’atteint que des résultats mitigés et espacés. La scolarité des jeunes exigent un suivi déterminant par des enseignants compétents.

Les avocats sont de plus en plus sollicités. Une organisation d’avenir devra posséder des conseillers en communication, en gestion de crises. Les jeunes d’aujourd’hui ne sont plus comme ceux d’une époque pas si lointaine. Des avis pointus apportent à une organisation ces petits détails permettant à l’athlète un développement complet.

J’ouvre une parenthèse, afin de comparer l’environnement de l’élite des jeunes de la Q à l’élite olympique. Le Canada veut remporter des médailles d’or. Ils font quoi ? Les gouvernements investissent. Pas n’importe comment. En premier lieu, pour un groupe d’entraineurs chevronnés et en second, des spécialistes touchant les différents aspects de l’individu.

Tout cela exige des engagements monétaires extraordinaires et récurrents. Nos décideurs doivent appuyer leurs souhaits par des moyens concurrentiels aux autres nations, sinon la panne sèche. Nous vérifieront les résultats bientôt. L’un des aspects que nos élus ont améliorés, les bourses attribuées selon la position aux podiums.

Je clos cette parenthèse, en indiquant que les moyens monétaires demeurent un atout de taille. Il n’est pas le seul élément, j’en conviens, pour des succès répétitifs, oui. Je termine ce billet en signalant que la façon de faire s’impose avec l’ensemble.

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vendredi 12 février 2010

Jeux de Vancouver !

Que de prestige les Jeux Olympiques !

Je veux bien, mais comment laisser trainer aux abords d'une piste, l'une des + rapides au monde, dit-on, des tubes de métal sans mur de protection ?

Je sais que ce qui suit n'a pas rapport, je suis pas débile. Mais comment faire confiance à une organisation, olympienne ou non, je m'en balance, qui ne respecte même pas les 2 langues officielles des jeux et Canadiennes.

Je vais vous dire. Cette aprem, j'entreprends mon surfing à 14 heures. Vers les 15 heure 40, je suis rendu à Lagacé. je lis et curieux je tape sur sport de la Presse. Je tombe sur une nouvelle annonçant la mort d'un Georgien, un lugiste.

De suite, je vais sur You tube et voit, sur mon 22, l'accident du gars qui file à 140 à l'heure. Il dérape et frappe de plein fouet une solive de métal. Tout autour de lui, accourt des curieux alertant de panique. C'est fini, Nodar Kumaritashvili meurt sur le coup....

mercredi 10 février 2010

Bonnaube !

mardi matin, direction nordest, tôt, trèstrès tôt.

entre Bouleau et Pelchat, j'admire l'aube de Trois-Pistoles, l'éveil.

du coup, ronronne ma radio de cela, écoutez-le, complexe et sidérant...

HAÏTI

Je ne suis pas sur le terrain. Je ne suis pas aux entrées d'urgence des hôpitaux Haïtiens. Je ne suis pas entrain de nettoyer les rues de la capitale dévastée. Je ne suis pas sous un toit privé de mur transit du froid Haïtien. Je n'ai aucune idée de l'odeur des lieux à proximité des nappes ou de draps troués montés sur des bouts de tige de métal tordues. Je ne suis pas d'une ONG. Je m'en moque.

Une chose demeure, depuis le jour un de ce séisme, il m'apparaissait évident que le logis devenait une priorité. Les ONG, la Crois-Rouge pour ne pas le nommer, clament l'urgence aujourd'hui : "vite, l'imminence de la saison des pluies..." Dès le premier jour, il fallait qu'une équipe s'y mettent, non ?

À la une d'aujourd'hui : l'OMS vend dorénavant les médicaments aux patients. Se peut-il que la nuance manque à ce titre insensé. Si tel était le cas, soit que l'on vendent les médicaments, c'est fou raide. Pense-t-on refinancer un projet gouvernemental quelconque ? D'accord, je ferme les yeux, je la ferme ma gueulle, je n'entends plus rien.

"VITE UN TUTEUR !"

lundi 8 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.

Suite…

Parallèlement, réalisons un fait. Les magistrats de ces villes voient le nom de leur ville, à tous les jours au petit écran de toutes les chaines télés. Entendent leurs noms à toutes les radios, heures après heures. Ce sont des marques de consommation et d’identité, succès ou pas, qui paraissent dans les grands quotidiens canadiens, même au-delà. Vous verrez les villes parfois associées au monde de la Ligue Nationale de Hockey.

Tout cela a un prix. C’est pourquoi les communautés accorderont alors, avantages sur avantages aux organisations juniors. En retour, ces propriétaires s’engageront auprès des élus à rester. Au final, ce phénomène n’a rien de négatif car les citoyens s’approprient leurs équipes, renforcent le sentiment d’appartenance et stimulent les ventes. Plus que jamais, nul ne peut ignorer les atouts d’une telle loyauté.

Néanmoins, la plus petite aréna a un peu moins de 3000 sièges. C’est Victoriaville. La moyenne de la ligue, 4900 sièges. D’autres sont légèrement avantagés. Deux clubs dépassent les 10 milles sièges ; Halifax, 10 milles et Québec, qui en compte plus de 15 milles. En additionnant tous les sièges, 88000 spectateurs possibles, pour chacune des parties à domicile. Sans l’appui des amateurs de hockey, cette entreprise est un échec.

Les organisations ont donc un mandat pointu ; regrouper année après année, des hockeyeurs d’impact. En manquant à cette consigne trop souvent, les amateurs s’impatientent et boudent. L’espoir, une relance. Vite, les équipes rebâtiront par le repêchage avec des jeunes espoirs développés dans les circuits inférieurs. Mieux, les proprios qui en ont les moyens se dirigeront vers les étrangers, deux si possible.

Soyons incisifs, elles n’en ont pas tous les moyens. Les meilleurs étrangers, surtout européens, exigent à eux seul, des petites fortunes. Cinq chiffres, plus souvent, six. Si l’euro progresse, c’est une cagnotte, sinon, la guigne.

Page 4.

samedi 6 février 2010

Kahnawake fulmine.

Cette réserve Indienne, par la voix de ses chefs Mohawks, voudrait expulser les blancs de leur territoire. En 1973, ils avaient réussi à le faire. Ils renouvellent les avis et on croit, que tous les blancs partiront.

Je me suis intéressé à certaines ententes en négociation. Je pense ici à "l'Approche Commune" qui concerne les territoires de quatre réserves. Ces quatre réserves sont situées le long du fleuve. Leurs revendications négociées englobent tout ce territoire, soit un cinquième du Québec.

Pour donner un exemple de ce qui frustre le citoyen québécois ordinaire est ceci. Dans le but d'accorder aux innus (humains) une autonomie financière, la politique est déjà acquise, les premières nations pourraient prélever une taxe d'exploitation sur leurs terres. Ainsi la pêche sportive, la cueillette des petits fruits, la chasse, toutes ces activités seraient ciblés

Il ne faut pas provoquer outre mesure les premières nations. À mon humble avis, nos gouvernants n'ont d'autre choix que d'abdiquer. Un abandon comme dans le cas du trafic des cigarettes me semblent suffisamment éloquent. Les traités possédés par les communautés, partout au Québec, sont solides comme le roc, sinon, nos élus auraient déjà livré bataille.

Comme vous, je suis inquiet de la colère qui gagne les populations. Les régions éloignés ont-elles été troquées. Ce que je veux dire, c'est que les réserves près de Montréal et la couronne, revendiquent aussi. Saviez-vous que les Mohawks ont des droits sur toute l'île ? Je vous l'apprend peut-être. La capitale, Québec et sa rive sud seraient la propriété Huronne-Wendat, en grande parti. Non, vous ne le saviez pas...

Géant David !

Je l'ai appelé le Géant David. Je l'ai vu à ses 17 ans et déjà, il transportait les Bleus du haut de ses 5 pieds 6. Fier soldat et combatif, je ne peux m'imaginer que le CH va l'échanger.

Country ?

Stephen Faulkner ou dans un autre monde, Cassonade ? Moi, cette chanson-là, me réconcilie avec le country.

vendredi 5 février 2010

Cryoblation quoi ?

Bien oui, vlà un ptit nouveau. Si vous cherchez un lien, oui, vous en dénicherez un assez vite. Tout de même ce terme est récent, 2009 je crois. Pour moi c'est un février 2010. Depuis le développement des nanotechnologies, tout le monde médicale s'en influence. Même le gouvernement fédéral l'encadre, par son CNRC.

Alors pour tous les autres qui sont comme moi, je vous le refile parce que je le trouve à la fois intéressant et terrifiant. Intéressant parce que tout ce qui est haute-techno-scientifique m'intéresse. Terrifiant, parce que ce document nous montre ici le joli et le beau, le BCBG quoi, et en oublie tout l'aspect morbide.

jeudi 4 février 2010

BIXI roule vers l'Australie.

Habituellement, ce genre de succès amuse les ouvriers de l'Asie, peu chers. Dans le cas de ce vélo, le Saguenay s'affiche sur toutes ses couleurs en y ajoutant un module d'alu.

Après m'être renseigner sur le BIXI, tel ne fût pas ma surprise de découvrir son montage macchiavellique. Le casse-tête, avons-nous tous identifié les boulons, pas sûr.

Attendons la suite, intéressant non ?

mercredi 3 février 2010

Le gourou de la mise en marché.

Clotaire Rapaille se veut un spécialiste, un psychiatre aussi. Pour lui,le marketing est une logique, si on veut que ça fonctionne, on découvre le code sinon, les options restent nébuleuses et fugitives . C'est ce que cette homme s'engage à réaliser avec la capitale Québécoise à la demande du Maire Labaume

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite...

La grandeur des 18 municipalités est tout autant diversifiées ; des géantes (quart à demi million), des grandes (cent milles et +), des moyennes (50 milles et +) et des petites (25 milles et +). Chacune possède ces facilités, dont un amphithéâtre afin d’accueillir les équipes hôtes et visiteuses au calendrier. J’y reviendrai.

Les équipes ont une valeur variable dû à un marché local et à leur visibilité. Le budget, même des équipes aux plus petits marchés, s’accroît de plus en plus ; 1 et demi à 2 millions de dollars. Regardons la dernière expansion onéreuse, Terre-Neuve et Saint-Jean. Chacune, aura payé 3 millions. Ces deux acheteurs ont éclairé bien des spéculateurs sur les concessions actuelles. Elles ont un prix, aux aventuriers ou aux richards de miser. Nous savons tous qui est à vendre ; en mettant le juste prix, elles le sont toutes.

Cependant, ajoutons aux prix, des conditions astreignantes. Un ; la garder là où elle est. Après, la déménager ailleurs suite à de longs pourparlers avec les élus locaux et les autres intervenants. Récemment, Terre-Neuve, qui a été vendu, a été aussitôt déménagée, en abandonnant le marché de l’Île Terre-Neuvienne, insatisfait.

Parce que, sans les amateurs, nul marché lucratif ? Impossible. Donc, la pierre angulaire pour payer le fonctionnement de leurs équipes sera les sommes accumulées aux guichets et les concessions, s’il y a foule. Les autorités de la Q ont déjà argué que des bâtisses inférieures à 3500 sièges, rendaient l’exploitation d’une équipe très hasardeuse. Ou alors des propriétaires disposés à investir pour résorber des pertes récurrentes. La percée internet s’ajoute aux actifs des propriétaires, mais attendons avant de conclure.

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mardi 2 février 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec.

suite...

Ce n’est pas une petite entreprise la Q. L’ensemble des équipes, 18 ; un chiffre d’affaire important, bien au-delà des 30 millions de dollars, et une mission qui l’est tout autant. La Q s’est dotée d’instruments avec les années puisque, comme toute organisation, son progrès est bien réel. La Q a progressé géographiquement et financièrement. La Q aura donc des séances d’information interne et de nombreuses rencontres. Présent, le Commissaire ou le directeur générale y sera toujours ; il est élu ou plutôt, reconduit depuis les 23 dernières années.

La plus prestigieuse des rencontres sera celles des proprios et du Commissaire. L’ordre du jour est dense et parfois un prélude à de grands changements. Presque tout ce qui se passe dans la Q, passe par l’assemblée des proprios, ce, tôt ou tard. En second, les rencontres des gouverneurs, une mensuelle, avec le Commissaire bien sûr. Les gouverneurs sont les représentants de chacune des équipes qui administrent les affaires de la Q et des bureaux du Commissaire. Les bureaux de la ligue ont un budget de fonctionnement de plusieurs millions de dollars. L’exécutif, il est formé de gouverneurs élus. Ils se chargent de scruter le fonctionnement des bureaux. La Q possède une trentaine de personnes.

Les proprios donnent à leur officier en chef, dit le Commissaire, un mandat. Superviser, coordonner et représenter le bureau de la Q et ses activités. Les officiers, par la voix du Commissaire en particulier, peut proposer et recommander des changements majeurs. Il peut aussi agir librement dans un cadre plus mineur après consultation de son exécutif.

La géographie de la Q, s’est étendue depuis le temps. On n’est plus dans l’axe Montréal-Québec mais bien dans tout l’est canadien et mieux encore ; Québec, Nouveau-Brunswick, Îles du Prince-Édouard, Nouvelle-Écosse et le Maine of USA. Dix-huit villes de régions diverses, relativement éloignées des unes des autres, souvent à des centaines de kilomètres. Un marché significatif qui variera autant que les cités. En alignant par le passé une équipe de Terre-Neuve, la Q possède des droits sur ce territoire, dont le bassin de joueurs.

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pouvoir d'acheter.

Je vous ai raconté notre nouvelle allégeance syndicale. Je la replace ici, juste pour vous. Le mois qui s'en vient marque une autre étape, mais toujours syndicale. Les négos. Plus souvent qu'autrement, les nôtres sont bien tranquilles ; sans heurts ni zèles.

Je voie aussi, un peu partout, surgir les méganégos ; bleus, blancs etc...

Un complice timide m'annonce les hausses des prix d'organismes publics. Toutes, nommez-les. 2, 4 et même 5% sur les biens et services publics. Avez-vous remarquez, que ces organismes ne pansent pas souvent les blessures de longs conflits.

Moi, je qualifierais ce système de collusion systémique. Oui, un système. Une collusion interne basée sur le principe de demande de hausses des tarifs. Une hausse de prix = un partage dans la boite. Oui, facile.

Encore, cette période de méganégos annonce des perdants. En serons-nous mon groupe et moi ? Stop, il n'y a pas que moi. Il y a ceux ou celles qui plieront sous le coup d'une loi spéciale, beaucoup plus nombreux ou nombreuses devrais-je dire. On verra.

SO-SO-SO-SOLIDARITÉ...

une vraie nostalgie...

une complainte d'avant hier...

jeunesse et sagesse