UNESCO

L'Unesco vient d'intégrer la Palestine dans son cercle d'influence. Le 195ème membres. Je ne peux qu'applaudir l'organisme de l'avoir permis.

La Palestine, même occupée, a droit a toutes les considérations d'un état.

Ce n'est pas parce que la Palestine se retrouve en permanence en situation de survie, qu'elle ne peut revendiquer ce principe :

« […] contribuer au maintien de la paix et de la sécurité dans le monde en resserrant, par l’éducation, la science, la culture et la communication, la collaboration entre nations, afin d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’Homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, que la Charte des Nations unies reconnaît à tous les peuples. »

Ces derniers jours, les Gazaouis réagissent violemment et en paient un prix inestimable. Les Israéliens doivent faire en sorte que cela cesse, en s'opposant à leurs leaders enclins à déposséder les Palestiniens, à la colonisation même.

Le Canada a, comme l'un des fondateurs de l'Unesco, une responsabilité. Pour être plus précis, Monsieur Harper, notre premier ministre, favorisera l'état des pourparlers entre les deux peuples en se plaçant comme médiateur, non comme allié d'un envahisseur.

Le résultat du vote :

Pour : 107 (dont la France, la Russie, la Chine, le Brésil, l'Inde et l'Afrique du Sud)
Contre : 14 (dont le Canada, les USA et l'Allemagne)
Abstention : 52 (dont la Grande-Bretagne)

Oublions la médiation canayenne...

7, VII, sept, seven, septem, sieben, sep...

Aujourd'hui on répètera en écho, partout sur la boule affectée ce chiffre fabuleux. On y ajoutera à la suite, les 9 zéros avec angoisse trop souvent.

Je vous en prie, ne soyons pas défaitiste. Par dessus tout, osons proclamer la dignité et la sécurité pour tous.

Aussi, un salaire à hauteur de ces deux valeurs.

Go Charbonno Go !!!

La juge France Charbonno, l'Honorable dis-je, ferait bien de s'entourer de ces deux personnages pour son enquête publique et ou huis clos, avec, ou sans immunité.

Celui de gauche, Duchesno est connu par tous. Même en venant d'être congédié, l'ex-policier a rencontré un lot de témoins.

Celui de droite, 77 ans, Jean Cournoyer, même considéré comme un "has-been", pourrait faire la job.

Elle, la fougue, lui, la perspective et l'autre, l'historique du dedans.

Encore Parov !

J'entends le musicien autrichien nous partager ses inventions multisonores. La voix de Lilja Bloom, sans tous les sax, s'immisce en écho, à ce prodige qu'est Parov. Visitez donc son site " ici ", pour vous.

Plus groovant, rapant, ceci...




...et pourquoi pas en show avec son clan et son appppppple !

Justice de justicier ?

Pour moi, le Rapport Duchesneau et les paroles de son auteur décrivaient fidèlement " l’Affaire ". À l’horizontale, à la verticale, en diagonale ou de part en part. Tout ce que nous avons entendue est fidèle à l'actualité. Les citoyens de la Belle n’ont qu’à prendre leurs responsabilités.

Pourtant, on vient de le dégommer. Celui par qui tout est devenu un peu plus clair, ce qui en fait un bouc émissaire. Oui, on devait s’attendre à un tel développement. L’individu rejeté a tout de même renié l’Unité Permanente, son patron. Rappelez-vous simplement l’autre " Affaire ", la Bellemare. Lorsqu’on touche aux partis politiques du Québec, c’est une résultante quasi naturelle.

La Ministre Thériault, cette semaine, semble être le nouveau visage du Justicier. Je dirai qu’elle met le doigt sur une partie du problème de " l'Affaire " par la loi 33 ; les syndicats. La SQC, la CSN et la CSD appuient la 33 quasi globalement. Tandis que la FTQ et l’Inter rejettent ce projet gouvernemental surprise. Il ne faut pas omettre Diane Lemieux, de la CCQ. Tout de même, l’architecture de la 33 possède-là sa muse.

En s’attaquant à la forme et au fond du projet Lemieux-Thériault (loi 33), les deux puissances de travailleurs démolissent le projet tout en niant les raids sur tous les chantiers de la Belle. C’est là leur talon d’Achille. En se comportant ainsi, les deux organes exhibent les démesures du pouvoir ouvrier. Ce pouvoir est essentiel à l’équilibre des forces, jamais la démesure.

Pourtant les grands changements ouvriers naissent souvent d’actes répréhensibles, voire révolutionnaires. À n’en pas douter, ces organismes défendent les droits de leurs membres. Des membres trop occupés à gagner leurs croûtes que d’étudier des projets de loi inattendus. Admettons que la commission fait de l’ombre à l’enquête Charbonneau.

Je crois tout de même, qu’en ce siècle médiaS, les intervenants de la FTQ devraient s’auto-mutiler et démolir l’image 2011. Les regardés tout-puissants, on dirait un film de Coppola. Un cotisant de la grande FTQ, au dernier congrès, a brusqué la bâtisse. Espérons qu’il relancera le chantier restauration. En initiant l’évolution, pourquoi ne pas divulguer les états financiers.

L’Affaire de la Construction comprends des syndicats mais aussi des corporations patronales, professionnels et des organismes publics. Tous ces joueurs, ou presque, ont leurs élus par des cotisants majeurs et vaccinés. J’ai entendu les arguments syndicaux visant la 33. Oui à une 33 mais l’équilibre bordel de merde.

no comment ?

Ce gouvernement de "poltronage" libéral...

Je ne dirai pas que seul les libéros sont capables de défendre l'indéfendable, l'inexcusable, l'injustifiable, l'insoutenable. Cependant, en si peu de temps, tant de personnages insipides et cupides, pour moi, du jamais vu.

Écoutez, prenez le ministre des transports Moro, ouach, c'est inouï la bourde, mais ça se peut. En preuve, il a réitéré jeudi soir plusieurs choses, qui, avec du retard, est pire que la mauvaise foi, la malhonnêteté plus que compromettante.

Réécoutez les aveux de Fournier, de la Justice même, et de tous ces esclaves du conseil des ministres, que d'aveux.

Vite une loi équivalente à l'empeachment, au plus sacrant.

L'individu qui mène cette galère n'a d'autre choix que de s'excuser et de se retirer.

Santa Muerte !

J'écoutais ce matin une nouvelle intéressante. Elle attire mon attention pour mieux dresser ce constat. Beaucoup de mes contemporains n'adhèrent pas à leur longévité comme premières prémices de la vie. Non, ils affectionnent la fortune rapide. Peu importe les risques, vaut mieux gagner du fric et vite.

Au Mexique, ce constat devient pour des étudiants, la panacée. En panne d'emploi ou d'espoir, les diplômés rejoindront une sorte de culte de la mort, la Santa Muerte en effigie. C'est ainsi que la mafia s'enrichit des meilleurs candidats malgré le risque élevée de la fonction. Les adhérents menacent donc leur longévité dans cette capitale. Ils aiment mieux, pour eux et leurs proches, se garantir un confort, même relatif.

Ce qui me fait croire qu'ici aussi cela s'applique mais en d'autres circonstances. Que dire des athlètes aux prises avec des limites, s'armer d'une force musculaire accrue pour des revenus confortables voire, mirobolants ? Les derniers tests dans le monde du sport démontrent qu'un bon nombre d'athlètes sont prêts à tout ingurgiter pour du fric. Même en sachant que ce modèle en diminuait d'autant leur existence.

Dictat syndical.

Nommez-les, ils ont tous la même responsabilité, en gros ; représenter et défendre leurs membres de qui ils reçoivent des cotisations (sans nuire aux autres membres d'allégeances différentes). Pour faire une histoire courte, les syndicats en reçoivent énormément des cotisations. Plus qu'il n'en faut à mon avis, afin de respecter leurs mandats.

L'affirmation que je viens de faire vient du fait qu'ils n'ont aucune obligation de présenter des états financiers vérifiés à leurs membres. Sans les connaître, comme vous, je peux présumer que les revenus perçus suffisent amplement aux luttes "prolétariennes" actuelles. On est loin ici de Laure Gaudreault, Saguenéenne d'adoption. Si vous voulez, encore loin des Michel Chartrand des années 50, aux prises avec des grèves quasi quotidiennes.

Oui, bons nombres de travailleurs de la Belle se sont associés et ainsi, ont été accrédités. Les citoyens enclins à dénigrer mur à mur l'importance de ces associations "prolétariennes" sont dans l'erreur.

Cependant, les grandes centrales, dont la FTQ , se livrent à des combats stériles et vaseux. Je dis ça parce qu'ils n'ont pas l'assentiment de l'ensemble de leurs membres. Exemple ; l'appui aux partis politiques ne devraient pas faire parti de leurs combats. C'est pourtant une option qu'ils s'arrogent pourtant, sans bases réelles. De même, les arrêts de travail improvisés sur les chantiers, un dénie aux droits des travailleurs. Chacun d'eux a le droit de gagner sa croûte.

Bref, ce billet révèle mes inquiétudes qui se rendent bien au-delà des mots utilisés. Trop d'argent circulent entre les mains de personnes qui rappellent une autre forme de syndicat. Le calcul est simple. Juste la FTQ, 600000 cotisants à la semaine, au fil des ans, sans grèves presque, c'est questionnable.

Non ?

patente à go...

Lentement, les gouvernants de la Belle empruntent une voie ardue. En regardant bien ce clip, l'unau ne s'en fait pas trop. Presque comme eux. Vous saurez que ce clan au volant se moque bien de ses commettants.

Alors, tous en choeur, ils promulquent ; "envoye, on fait la nôtre". Nôtre pour enquête. L'accent circonflexe me fait penser à une pointe qu'on nous lance.

Depuis deux ans, faut le faire. Oui, nos démocrates agissent ainsi. Il ne peut en être autrement vous savez. Nous leurs payons des équipes conseilles apte à manipuler la masse, en masse. Ces équipes de relation, espérons-le, ne récupéreront pas tout à la faveur de la Famiglia LIBÉRALE.

Précisons pour le plaisir ; corruption, collusion, malversation, pot-de-vin, système étriquer, dépassement de coût, contribution illicite...

Violence sur glace !

J'ai écouté le débat à RDI animé par Anne-Marie Dussault. On constate que notre sport évolue lentement en ce qui touche la sécurité, que les réticences sont multiples. Il faut ce qu'il faut pour mettre fin aux nombreuses blessures subits par les joueurs. Pour la suite, les décideurs devront se responsabiliser. Il y va de la santé des hockeyeurs à court et à long terme.

Pour mon point de vue, le voici. Il remet en cause l'affirmation suivante ; "je suis prêt à tout pour la victoire" dixit Michel Bergeron. Que de fois ai-je entendu qu'un tel a été "assommé parce qu'il avait la tête basse" et ou "dorénavant il apprendra à lever la tête", Souvent j'ai écouté des partisans dire, "tue-le", "assomme-le" ou "sors-le", comme si, au finale, la partie en dépendait.

La victoire est l'objectif finale, on s'entend. Elle vaut combien lorsque l'adversaire mène largement, domine l'autre que par un ou deux joueurs étoiles de plus ?

Vaut-elle un coup bas, une collision percutante ? Sinon à quoi bon rivaliser.

Allons et recherchons un défenseur plus gros, plus fort et pourquoi pas, instaurer l'intimidation et la peur.

Pour la loi du sport, que le meilleur l'emporte...

À mois de me dénicher un pluce gros encore, un pluce fort, un meilleur...

Iran ?

Oui, j'affirme que l'Iran se comporte comme un état répréhensible. Certains pourraient évoquer le fait que je n'y suis jamais allé afin de me disqualifier, qu'ils n'auraient pas tout à fait tort. Ceci dit, croyez-vs vraiment à tout ce qu'on dit sur ce pays ?

Qu'est-ce qu'on en dit au fait ? Les médias évoquent aisément tout ça ; (dans l'ordre ou le désordre) arriéré, ancien, antique, attardé, démodé, désuet, poussiéreux, rococo, suranné et mieux, en tout rétrograde.

Un, ce pays abrite plus de 77 millions d'Iraniens sur un territoire un peu plus grand que le Québec. Ce qui en fait le 18ème états sur le globe. Cette république se fonde sur l'Islam. Dès le départ, en Amérique du nord, on ne peut que rejeter ce royaume Aryens parce que trop religieux. Ça me va, rejetons-le !

Cette semaine, nos voisins du sud auraient déjoué un complot visant un ambassadeur Saoudiens. L'autorité iranienne rétorque aussitôt que les étasuniens détournent le diagnostique générale de son économie, qualifié de catastrophe.

Écoutez. Je le répète, je ne suis jamais allé dans cette république. Cependant, j'ai saisi comme tout le monde la contestation montante des capitalismes dont celle sur les marchés boursiers de New-York. Nous assistons d'ailleurs à l'escalade de manifs anti-capitalistes. Bon, attendons la suite.

Ultimement, qu'aurait donc à gagner de ses agressions supposés, l'Iran ? Par son président d'Iran qui crie fort, son opposition, mais de là à se commettre dans des actes d'éclat, je n'y crois pas. Les discours oui, une opposition forte, oui. Grosso modo, rien de plus qu'un parallèle autoritaire à l'égal de la contestation actuel, j'adhère.

Autrichien ? Oui, Parov Stelar en est un !

Avant, Plasma. Depuis c'est Parov Stelar "PS". Son site web est ici.

Mon fils m'a fait découvrir bien des DJ's, ensuite le techno, la totale.... Que voulez-vs, j'ai la piqure. D'ailleurs si vous cliquez dans la marge de droite de ce blog, sur musique, vous écouterez comme désiré, plusieurs sélections dont Waldeck et bien d'autres.

Le clip c'est catsgroove de PS, courrez ! marchez ! allez !

Les leurres de BhO...

Les leurres de BhO, un autre commis du sionisme, ne pouvait échapper aux équations d'Helen Thomas"HT". Qui est cette HT?

En gros, la doyenne des journalistes aux USA. Elle a connu, rencontré et interrogé tous les présidents depuis JFK. D'ailleurs, HT a ouvert, durant plusieurs décennies, les points de presse de la présidence étasunienne. Dans ses questions, et à Bush et à BhO, elle aura détecté les leurres officiels. Que ce soit pour les guerres et autres bêtises humaines, HT saura cibler le pays le plus puissant du monde.

Vous savez, du moins je l'espère, qu'un opposant aux politiques étasuniennes est de facto déclaré anti-américain. Rarement aura-t-on dit d'elle, qu'elle l'était.

En même temps, ne soyons pas naïf. Le débat entourant les arabes, les musulmans et les voiles de tête auront remplacé l'ennemi d'antan aux bouquins rouges ; l'islamophobie fait vendre, toute publication et tout écrit anti-musulman fait systématiquement l'objet d'une médiatisation débordante (Médiapart). On peut d'ores et déjà expliquer la faveur populaire pour cette recette cannibale.

Qu'on le veuille ou non, les débats se perpétueront.

Face aux politiques d'immigration, les sociologues de notre temps devraient, et ce sans relâche, clamer la différence des cultures, de là les chocs. En invitant d'autres nations, ici au Québec 54 milles immigrants, les autochtones ne devraient pas s'étonner d'être dérangé. Favorisons donc une assimilation culturelle calme mais constante.

Ici, au Québec, ne tombons pas dans la facilité. Tant qu'aux dogmes médiatiques, refusons-les !

Écoutez ce bout de film et vous comprendrez l'importance de ses perceptions qui se logent en nous, inconsciemment presque, et nous écartent des vrais débats...

Coalition ?

L'alliance Legault-Sirois soumet au public une vision. Ce faisant, le duo parcourt toutes les régions de la Belle. Hier soir, j'y étais. Dans la salle Chomina, avec une centaine de citoyens, j'ai entendu les deux. Un mot flash pour bien situer cette rencontre, URGENCE !

Lorsqu'on entend les lecteurs de news d'ici, quasi tous, les ouvrent en ciblant notre gouvernement en lien avec les organisations officiels + ou - tordus et les non-offs. Voilà, le premier constat d'URGENCE relevé par les deux de la "coalition pour l'avenir du Québec". Donc premier objectif, l'enquête public élargit.

Par la suite, l'URGENCE des économies. Grosso, appliquer comme un remède prescrit aux souffrants, aux Québec tout entier, un grand remue-ménage. Le Québec possède des priorités consensuelles ; l'éducation, la santé, ses actifs made-in-quebec et sa culture francophone.

La grande réorganisation est audacieuse et proportionnelle à l'URGENCE.

Un ; révision en éducation. Si on devait dénicher un os dans tout ce bouillon c'est en éducation. L'os n'est pas tant dans la hausse accordé aux enseignants, 20% en salaire (pour redorer le blason de cette profession ), mais bien dans le consensus d'évaluation des compétences des profs. La réduction des instances scolaires en appui aux financements de cette mesure ; de 60 commissions scolaires à une trentaine.

Deux ; redonner aux hôpitaux la responsabilité de leurs développements par la décentralisation.

Trois ; réduction par attrition du nombre des effectifs d'Hydro-Québec et ailleurs dans les sociétés d'état.

Quatre ; agir en proprio. Prioritairement, le Québec encouragera les entrepreneurs d'ici et par la caisse de dépôt, intensifier ses investissements ici au Québec. Rien n'empêche l'institution, créée pour ça, de détenir des parts de sociétés exploitantes de nos richesses naturelles ajoutés aux redevances perçues.

Dans tout ça, j'accepte la majorité de ces recommandations. Cependant, je ne vois pas actuellement un leader crédible lié à un parti existant prêt à livrer toutes ces mesures. Qui créera un engouement suffisant pour les mener à bien si ce n'est Legault lui-même.

Nous sommes à minuit moins 5 du nouveau parti et qui sait, d'un éveil national, selon moi, à l'URGENCE.

Votre nom s'il vous plaît ? Alain Bouchard Potvin !

Dorénavant, je tiendrai à mentionner avec mon prénom, le nom famille de mon père certes, mais aussi celui de ma mère.

J'explique mon option.

Petit rappel. Le prénom, en gros, survient dès la naissance afin d'identifier l'individu et, de le distinguer. Ensuite, vient le nom du père. Il suit pour identifier le noyau familial de l'individu. En quelque sorte, surtout pour identifier les origines de l'individu. Le nom de la maman en ajout, un plus. Bien évidemment, tout le passé du nom maternel construit l'autre aspect des origines de l'individu.

Il me faut, pour l'heure, prioriser le nom du père ; coutumes légales obligent. Je suis un Potvin. Les Potvins ont sculpté une grande part de ma personnalité. De même, les Bouchards l'ont tout autant façonné.

Plus modestement, ces deux noms me distinguent tout de même de mes contemporains. En scrutant ce que je suis, on peut faire ressortir une part du passé des miens. Certaines caractéristiques du moins ; physique, caractérielle, l'humeur général, le facies etc...

En tapant ce nom sur Google, vous verrez que je n'ai pas tort. Inversez les noms même ...