samedi 30 juin 2012

Tour de France 2012 !




Ce 99ème tour de France présente 22 équipes. Le mois de juillet sera donc plein de tours de roues. Pour la majeur partie des étapes, les 198 coureurs bataillent pour le jaune et les autres maillots ; le vert, à pois et le blanc.

Ma douce moitié et moi suivons religieusement le tour. On reprend le soir ce qu'on a raté le matin. Plusieurs de mes amis et neveux épient les athlètes même jalousement.

Bon tour à tous !


PS : J'oubliais l'Euro 2012 demain : Italie surprendra avec lui



Beatles et pot-pourri !



Un brin de nostalgie par temps "pluvieuxgris". J'écoute cette histoire fameuse d'une durée X. Le génie de Georges Martin le 5ème trace le fils de l'histoire musicale pour le Cirque du Soleil et LOVE.

Le manifeste débute en 60, puis se perpétue dans le temps comme une marée parfois démesurée. Le groupe juxtapose finement les notes en révolutionnant le schéma mélodieux, acidulé et salé, via le burlesque.

Comme tout a une fin, plusieurs fans, devenus aigris par la séparation des quatre n'en sont devenus pas moins des témoins d'une époque toujours vivifiante. En écoutant l'oeuvre matricé, souvent mixé, de Georges Martin et son fils, je réalise l'impact que le tout a eu sur moi.

Écoutez et laissez-vous emporter...

vendredi 29 juin 2012

Appel-d'offres accordées ...

Surpris ? Oui, très.

Je connais Laval Ménard depuis trois décennies, Alain Deschênes, depuis 5 ans, Martin Lavoie de réputation et Pierre-Marc Bouchard, depuis 1999, comme joueur de hockey.

Je disais surpris puisque j'optais pour le groupe dont le contrat de gestion s'achève. Je l'ai écrit ici et plus récemment .

Le groupe Carbo a pris l'équipe dans la dèche et, en peu de temps, ont érigé une franchise plus qu'attrayante, enviable. Pour ceux qui en doute, souvenez-vous de leur début avec des moyennes de 800 tickets de moyenne par match. Depuis, une moyenne de plus de 3000, 6 ans de suite. Là, ils en étaient à un peu moins, mais tout près. C'est une preuve de stabilité.

Ceci dit, les recrus s'amènent avec un beau jouet, presque neuf. Sur glace, ils prennent une équipe intéressante. Dernière saison, le duo Fortier/Hubert a mené l'équipe au carré d'as. Les amateurs n'en espéraient pas tant. Alors, les deux sont sur la même longueur d'onde, gagner. Je ne me tromperais pas en vous disant que Fortier c'est un leader né. Alors, qu'on le laisse manoeuvrer. Mot d'ordre, reconduisez les deux.


Ce tableau affiche les données puisées dans le Quotidien et de mes calculs personnels. Je le place ici dans le but de comprendre le défi à lequel les élus s'attaquent. Un. Verser à la ville, une mise de 10000$ par partie, ce, sept années de suite. Deux, le budget d'un club est de un million et demi ou 45000$ par match. La ville a ajouté des charges nouvelles de 4500$. Total, 59500$ par match. Dans ces circonstances, il est impératif de conduire un groupe de jeunes hockeyeurs à la longue saison, aux séries de fin de saison.

En réussissant l'exploit, sept années en ligne, plusieurs s'en réjouiront. Les amateurs de hockey en tout premier lieu, les gestionnaires certes et les élus, dont le maire Tremblay, pour la façon de faire. Oui, Marc Denis à exprimer sa déception résumant la méthode défaillante parce que trop basé sur l'argent. Je lui dirais que le groupe Bouchard s'oblige à des résultats sinon, les déficits devront être acquittés.

Je termine ce billet en félicitant Laval, Alain, Monsieur Lavoie et Pierre-Marc Bouchard. Je ne voudrais pas laisser l'aveu du maire qui révélait que le groupe Carbo avait retourné un peu plus de 100000$ par saison à la ville comme ristourne. C'est ce qu'ils ont réalisé avec une moyenne de 3000 spectateurs. J'attends patiemment les chiffres de fin de saison du clan BMLD.


















Pierre Mailloux


Le psy a un ptit problème avec les religions au sens large du terme. Il a parlé des arabes assez directement. Ce n'est pas nouveau, pour lui les religions, c'est une tare, automatiquement. Une chose est sûre, Mailloux a un point en commun avec les musulmans, le poil. Les musulmans croyants gardent la barbe. Lisez ceci.

Vous ne serez pas étonnés d'adhérer à une telle thèse disons IN. La mode actuellement est à l'islamophobie. Le psy baptise tout autant des Saguenéens en leur affublant le qualifiant de "taré". C'est une fixation dans son cas et tout ça à cause du maire Jean Tremblay. Oui, le maire est un taré.

Nul besoin de démontrer mon désaccord. J'en suis un, selon...

Sa matière préféré, le cerveau, n'inclut pas la spiritualité guidée. Oui, les précurseurs des religions sont des êtres ordinaires dotés d'une science inexacte comme la psychiatrie d'ailleurs. À tous les jours, ma foi me guérit, m'apporte ses soins. Je prie comme un catho quoi.





lundi 25 juin 2012

Harper et la communion avec le Québec.



Si on m’invitait à expliquer la manière d’interpréter le Québec par le premier ministre canayen, ce serait simple. Plusieurs d’entre nous sauraient, comme moi, l'énoncer. En d’autres termes, mais cela reviendrait à dire qu’il est obnubilé par une vision orangiste insensible.

Bon, moi, c’est une image pas vraiment des mots. Souvenez-vous de l’évènement de l’hostie qu’il ne porte pas à sa bouche. C’est quand même incroyable, non ? Il aura beau rencontrer les Mulroney, les Charest ou qui que ce soit, ça ne changera rien, et c’est ainsi. Amen !

De plus, j’ajouterai que l’hypocrisie en politique, c’est une coutume dégueulasse. On peut bien démontrer de l'attrait pour un plat. Si on a pas faim, ben on prend pas le morceau pour le fourrer dans sa poche de veston. Mieux vaut le laisser là où il est bordel de merde…


mardi 19 juin 2012

Un pervers...



Les derniers pervers se ressemblent tant qu'à leurs réactions lorsque mis en accusation. Globalement, ces êtres plaident la non-culpabilité. En second lieu, ces individus se soumettent à un examen psychiatrique.

Le droit nécessite bien sûr que les accusés, chacun leur tour, bien sûr, soient aptes à subir leur procès. Un psychiatre interviendra pour le déterminer. Aussi, des examens psychiatriques étudieront les gestes posés par ces mêmes accusés.

Le dernier cas connu confirme la première démarche. Aujourd'hui, en plaidant non-coupable du meurtre au premier degré avec préméditation, l'accusé vedette l'officialisera. Cette décision en droit se répendra par la voix des deux procureurs de la couronne.

La responsabilité de ce dernier prend pour l'instant toute la place.

- Un, son air placide, de marbre, ne laisse pas place à interprétation.

- Deux, par surcroît, les atrocités réalisées renforcent déjà la thèse de la folie psychotique.

- Trois, toutes les actions commises sont tellement nombreuses qu'on ne peut qu'avouer notre incompréhension.

La psychiatrie reste une science inexacte bien que l'on accorde toute sa pertinence en preuve. Le proclamé inapte à subir son procès reste possible. On ne se surprendra pas qu'une opinion psychiatrique proviendra et de la partie défenderesse et de la partie accusatrice.

Je terminerai ce billet en y allant de ma thèse citoyenne. À mon avis, c'est un être pervers et condamnable. Voici, je connais un gars qui tue les chatons. Que voulez-vous, il éprouve du plaisir à les éliminer. Puis-je le réprimander directement en le condamnant de ses gestes ?

Quand la perversion, la pratique particulière, passe avant l'être sacrifié, commence la perversité.



ONU.





L'ONU agit comme protecteur planétaire de la démocratie. Je comprends bien, du moins j'essaie d'imaginer, ce rôle jamais ordinaire. Tous, nous avons bien lu les décisions prises et soumises aux 193 délégations-membres.

Hier, je lisais la déclaration de la Haute Commissaire des Droits de l'Homme concernant la loi spéciale Québécoise numéro 78. Tout le Québec constatait bien avant elle, que cette loi est contestée devant les tribunaux. C'est démocratique ça.

La Commissaire s'excite trop. L'un des pires pays... . On respire par les deux voies nasales, là, hein ! Oui, les manifs doivent se soumettre à une réglementation et le droit d'association itou. La loi réitère que les organisateurs de manifs sont toujours responsables afin de maintenir un minimum de civisme.

La planète éprouve tant de difficultés gravissimes, comment peut-on s'attarder à une loi qui n'empêche pas les manifs ?

La Commission Charbonneau "CC"




Une question comme ça qui me trotte dans la tête.

Prends-ton au sérieux les allégations faites tout au long du Rapport de l'UAC (unité anti-collusion), nommé, ironiquement parfois, le rapport Duchesneau ?

La question se pose parce que plusieurs Libéros jusqu'à maintenant y voient les élucubrations d'un seul homme, de la fabulation calomnieuse.

De un, les débuts de l'UAC démontrent à quel point le premier enquêteur rencontrerait des embûches notables. Les sommes attribuées et les installations pour la tâche étaient négligeables et inadéquates. On aurait dit que tout était orchestré pour placer les justiciers dans une fanfare cacophonique.

En second lieu, le refus du Ministre des Transports de regarder le rapport, ça en dit long concernant l'indifférence gouvernementale. Pour preuve, Duchesneau l'a remis à une journaliste et est apparu publiquement afin d'ameuter la population.

Troisièmement, la Liza des EX qui sous-entends que Duchesneau se comporte en homme jaloux parce qu'il n'a pas hérité du titre de Lafrenière à l'UPAC.

Ces jours-ci, l'équipe de la CC passe au peigne fin les allégations du rapport. On veut connaître les sources des affirmations de ce rapport. En se laissant accompagner par deux collègues de l'UAC, Duchesneau accrédite les thèses du Rapport de l'UAC.

dimanche 17 juin 2012

L'équilibre citoyen.



Nous conviendrons tous que la Belle exhibe un visage nouveau. Certains soirs démaquillée, autant qu'à d'autres, elle festoiera en rassemblement citoyen. Ajoutons tout de même pour être juste que la métropole détonne sur les autres régions. La capitale connaît aussi ces déploiements. Croiriez-vous que je les oublierais ? L'oeuvre me semble toutefois plus modeste.

Les adeptes du carré rouge initiaient la contestation. Jusqu'au 22 mars 2012, les observateurs minimisaient l'impact étudiant. Ce jour-là, ces mêmes observateurs réalisaient que la donne venait de changer ; naissait le Printemps Érable. À partir de ce moment, on sentait bien que la Belle sursautait. Depuis, peu d'essoufflement à ce mouvement affublé de tous les sarcasmes à l'autre bout du spectre.

L'état se tiendra du côté sarcastique. La gestion du conflit et les négociations envenimaient la sphère politique. Manquait plus que le cynisme réciproque, pour attiser les prises de position extrêmes ; d'un côté les anti-libéraux et de l'autre, de simple citoyen rejetant, les festivités nocturnes soient bruyantes, rebelles et désordonnés. Cependant on sent bien dans la population l'exaspération à l'égard de ce gouvernement. Impopulaire, nous savons tous qu'il sera défait. Les sondages diagnostiquent ce constat à moins, bien sûr, que la morosité ramène la sympathie à l'endroit des politiciens qui mâteront la colère automnale.

De tout cela, au même moment, où la Commission d'enquête sur l'octroi et la gestion des contrats publics dans l'industrie de la construction débute. Nous ne pouvons non plus ignorer cette étape tant souhaitée. Les citoyens espèrent beaucoup de la Commission Charbonneau. C'est que voyez-vous, la juge peut mettre à jour des procédés qui empoisonnent à la fois le monde politique corrompu et toute une économie mafieuse.

Bien au-delà, les "logues" n'éludent pas la trame de fond, encore imprécise, de tout ce foisonnement populaire. Ici, les étudiants et leurs sympathisants, là-bas, les bonnes gens dégoutés par la gaspille des gouvernants, dernièrement, le milieu artistique à la recherche d'un progressisme fondamental, les verts mécontents de l'emprise des développeurs effrénés et de ci de là, les souverainistes hargneux et empressés.

Je termine en disant qu'un René Lévesque saurait à mon avis réunifier les protagonistes. Qu'un personnage crédible saurait discourir à la nation et l'entrainer autour d'une table de sage. Prenons les hautes études en exemple car c'est de là que naît le Printemps Érable. Voulons-nous comme société déterminer la gratuité comme base de discussion ? Si tel était le cas, nous les citoyens approuvons une démarche de financement des universités. Entreprenons donc en gens civilisés un débat souhaité, autant que souhaitable ? Pourquoi pas des états généraux ?


Papa !



Tous les êtres ont un géniteur. Les humains l'appelleront Papa.

On a tous un Papa comme je le disais et le Mien, est à la veille. Je vous le dis sans amertume. Son départ viendra vite, je l'espère pour Lui. Ces derniers jours, Papa subit des accidents cérébrales et sa mémoire récente en est affectée. Hospitalisé, son état exige un suivi régulier.

Ceci dit, je vous apprends qu'on est à distance. Sa résidence est à plus de 400km et ce, depuis 1980. Alors, vous comprendrez une sorte de tiédeur émotive qui s'est installée lentement. D'ailleurs, j'ai su tôt que mon Papa était avant tout, un homme avec Son univers bien à lui. J'en faisais parti, ne craignez pas. Tous ses enfants d'ailleurs. Même ses petits enfants se reconnaissent dans son univers. Vous saurez que mon Papa est un être généreux, tout un rassembleur.

Ah oui, je me souviens !

Il y a longtemps, la première fois que je réalisai qu'il était avant tout un homme, c'est lorsque j'entendis un ado plus âgé que moi l'interpellé ;

" Eh, jambe de bois ! "

Il y a longtemps de ça, à ses trois ans, le jeune Gilbert s'est blessé au genou. Une tige installée lui fixât la jambe à tout jamais. Vous n'avez pas cru qu'elle était en bois j'espère.

Oui, c'était un homme avec un univers comme tous les êtres, ils s'épivardent et qu'on aperçoit. De un, ces êtres ont un métier. Plusieurs même. Papa possédait des collègues, des amis qui me sont complètement étrangers.

Voilà, mon Papa avait une vie sociale, que je suis bête.

Enfant, j'aimais lorsque j'étais près de lui. Il arrivait du boulot qu'aussitôt je me plaçai tout près, en humant son odeur d'alumine. Il a été analyste une trentaine d'années à l'Alcan. Au labo, les travailleurs l'aimaient bien. Tous pouvaient compter sur Lui, car c'est un Être ponctuel et appliqué.

Bon Papa, si tu lis ces lignes, ou qu'on te l'est lis plutôt, je te répète que je t'aime et d'où que tu sois, je me souviendrai toujours de ton odeur Papa.



samedi 16 juin 2012

Montréalité blanchie à la Petite Vache...



On a beau dire, tout le Kébek est à Montréal, et à l'heure de Place Émilie-Gamelin.

Je m'adresserai en tout début à mes amis d'ici. Je dis d'ici, autrefois. Sans aucun doute, ces Montréalais d'adoption renient presque leurs racines. Un exemple qui me satisfait par-dessus tout pour bien illustrer le topo :

" Au Lac, c'est dangereux, y a trop de barrages. "

ou

" Le Lac, c'est un bled perdu ! "

ou

" Ah ! pi laissez faire, vous comprenez rien ! "

Franchement, tout le Québec creux le sait ; Montréal a de nombreux problèmes pour ne pas dire tous les problèmes que la terre porte. Oui, les grandes cités souffrent d'une urbanisation accélérée. Et c'est partout, dans les grandes cités comme ça ; le bitume des rues et des boulevards se désagrège, sans compter la restauration des égouts centenaires, parmi des arrondissements entremêlés, trop nombreux, les ponts et viaducs transpercés de toute part, la crise du logement et les SDF, l'errance de toutes sortes quoi.

Par les temps qui courent, les manifs au carré et les caSSeroleS, qui aux yeux de certains restent plus que souhaitables, incontournables, s'ajoutent à ce tableau monotone. La festivité de casseroles et chaudrons ne cesseront pas.

Ce train-train sans mots canonne sans conteste contre la corruption systémique. On la sait mafieuse et étatique, de là l'enquête de la Juge Charbonneau. Les vacances des parlementaires décrétées vendredi repoussent à plus tard le traitement adressé à la crise métropolitaine.

Pourtant, vu d'ici, une menace incessante pour toute société équilibrée se dessine. Le 450 et la 514 perpétuent la donne en favorisant une réélection libérale, sinon minoritaire ; un sparadrap emmerdant et instable. On constate des mouvements imposants à tous, l'utopie du radicalisme ; la gauche devient le mirage des transformations et la droite, l'étroite, la perte d'une souveraine citoyenneté.

Ce 22 juin, la grande messe rassemblera une foule, à moins qu'il mouillasse pour décourager les plus mous. Je veux bien des grands rassemblements mais avec un contenu prometteur, une parade organisée et ordonnée respectant l'essentiel, le droit. Sinon, ce défilé accroîtra la sympathie au néo-libéralisme paresseux et intransigeant.

Bonne Saint-Jean !

Une manif avec le Sacré-Coeur...





Hier soir, je me suis rendu en compagnie de ma douce moitié, à la fête du Sacré-Coeur. En nous y rendant, le ciel bleu soutenu par la lumière du soleil éclairait notre démarche.

De plus, nous avons la chance, admettons-le, de posséder un temple qui porte ce nom ; l'église du Sacré-Coeur, l'église du vieux Bassin. Comble de satisfaction plus personnelle, c'est aussi l'église de mes ancêtres.

Je sais, je sais, c'est ringard pour une majorité, tandis que pour moi, c'est pertinent. Attention, je ne suis pas le seul à y voir de la pertinence, nous étions plus de deux cent participants. Oui ! Vous direz aussitôt, " toute des têtes blanches ". Majoritairement oui, vous avez raison. Mais avec l'âge vient l'expérience et les grands constats.

Au Québec actuellement ça va pas si bien que ça. Dans le monde aussi, en y réfléchissant bien, ce n'est pas si rose que ça. Voilà pourquoi, nous nous sommes arrêtés tous ensembles afin de prier. Prier ! C'est important pour les croyants de prier le Bon Dieu. Car nous savons que Lui peut influencer nos décideurs.

Chacun de ceux qui étaient présents cachent des souffrances physiques, morales ou accompagnent des gens qui en subissent. Voilà, nous nous sommes arrêtés tous ensembles afin de prier le bon Jésus. Après avoir tout tenté, essayé tous les remèdes et les approches. Que reste-t-il d'autres lorsque tout a été fait, qu'il n'a plus rien à faire ? Ou alors trop usé, las, la prière vient ?

Pour finir la célébration, comme dans le temps, nous avons fait une procession. Une procession ? c'est une sorte de manif, avec des prières simples, ordonnés en adoration au Sacré-Coeur de Jésus. Bien non, aucune casserole et sans force policière. J'oubliais on était légal.



Appel-d'offres des Sags ?





Bon, on se rapproche d'une conclusion.

Au départ, il est intéressant de constater qu'on ne retrouve pas de groupe à plusieurs joueurs de hockey. Cette particularité devient encore plus intéressante lorsqu'on voit qu'ailleurs dans la Q, il est rare de voir des tandems d'anciens ou de professionnels encore actifs dans les grandes ligues ou du sport organisé.

L'intérêt grandissant pour des joueurs de la Ligue Nationale de Hockey d'acquérir un club de la Q est relativement récent. On peut donc affirmer que, financièrement, ces acquisitions ne sont pas inintéressantes. En même temps, l'épiphénomène prouve hors de tout doute, que les hockeyeurs veulent être autres choses qu'un analyste ou un représentant performant. Tous les acteurs, mettons-ça dans l'équation, recherchent un peu de lustre.

Maintenant, des cinq groupes retenus pour l'ultime étape, lequel deviendra le gestionnaire ? Et tout aussi important, l'expert du hockey junior des Saguenéens, ce sera qui ? Car, ne l'oublions pas, les amateurs de hockey de "toute une région" désire un bon spectacle, une équipe compétitive et par-dessus tout gagnante. Les décideurs hockeys en place effectuent du bon boulot et promettent encore.

Des sous régionaux ? Chacun des groupes détient une ou leur entreprise propre. Toutes ces entreprises affichent un succès relatifs. Effectivement, les joueurs ne se seraient pas associés avec un gestionnaire incapable de conduire sa propre affaire. Vous savez déjà, que les équipes juniors de la Q génèrent beaucoup d'argent. À condition bien sûr de savoir piloter les différents dossiers, parfois complexe. Oui, le sport de développement exigent un savoir faire laissant peu de marge à l'erreur.

Ceci dit, pour chacun des groupes intéressés, tous les personnages locaux montrent fièrement leur attachement pour la région et une réussite commerciale. Je me souviens encore que le maire Tremblay, en allouant la franchise au groupe sortant, indiquait à toute la population avoir conclue une entente favorable pour eux ; "on leurs a fait des conditions pour qu'ils fassent de l'argent." Sera-t-on plus gourmand aujourd'hui en connaissant les succès des gestionnaires actuels ?

Peu de personne en parle, mais les élus aiment bien les retombés autour de l'équipe ; les articles dans les journaux nationaux, la télé, même pan-canadienne, l'impact des équipes visiteuses dans l'économie locale, le personnel d'évaluation des équipes de la Ligue Nationale et surtout les activités hors glace de plus grande importance, voire la séance de repêchage 2013 ou le summum, une grande finale de la Coupe Mémorial. Tout ça entrera dans l'évaluation de l'exécutif de Ville Saguenay.

dimanche 10 juin 2012

Les Sags, pas une formule Un ?




J'ai l'habitude depuis une couple d'années de commenter et d'afficher les premiers choix du repêchage de la Q. Regardez bien les chandails de ces jeunes hockeyeurs fraichement repêchés ; pas un seul des Sags.

Explication : l'organisation actuel mise sur un noyau de vétérans, disons compétitifs. En sacrifiant l'un d'eux, les décideurs auraient à mon avis mis en péril le début de la saison 2012-13. Au hockey junior, jusqu'à la pause des fêtes, quelques clubs s'installent dans une stratégie de prétendant, sinon, de bons résultats aux guichets. Et, si vous l'ignoriez, une première condition s'impose, la victoire.

Dans le fond et en y regardant de plus près, nous aurons sur la glace au départ, plusieurs atouts. Nous aurons un trio offensif de premier plan, en Sedlack, Hudon , Asselin. La deuxième vague sera aux choix ; avec un Grégoire au centre, qui n'a cessé de progresser, placez Sylvestre, Simon Tremblay et vous aurez-là, quelques choses. À l'attaque, on finit avec un joyau de 17 ans, Dauphin. On placera près de lui, un Roy et une recrue énergique. Oui, je sais, pour l'instant, on est petit en attaque.

En défense, nous avons une paire plus qu'intéressante, en O'Brien et Gagnon. Après ça ? Attendez, je cherche... Pas de vrais, à moins qu'un Cloutier s'impose. À moins de dénicher une surprise en Carl Tremblay, nous aurons une ligne défensive chancelante. En un mot, le camp d'entrainement sera plus intéressant.

Dans les buts, Desrosiers arrivera prêt, c'est obligé. Il est le maillon de la défensive. Biali non Billia arrive du AAA avec de grandes intentions. Sinon, des plus âgés comme Turcotte, Aubut, Bédard ou Chamberland hériterait du second rôle à Desrosiers.

Ce qui me fait dire que nous aurons sur la grande glace du Centre Georges Vézina une Formule Atlantique B. S'il fallait qu'un Pageau revienne, ça accorderait à l'organisation des Sags, une belle opportunité d'avenir. Je termine ce billet en restant optimiste, parce que du junior c'est du junior.

vendredi 8 juin 2012

" Fainéant " dit-il ?



Un héros du sport, que les québécois adulent, traite les manifestants de "fainéant". Jacques Villeneuve émettais ce qualificatif pour l'ensemble des contestataires du "printemps érable 2012". On dit que toute généralité est fausse, dans ce cas-ci, la vedette se trompe.

À une époque, un génie de la gauche française avait clamé, haut et fort, qu' « un anticommuniste est un chien, je ne sors pas de là, je n’en sortirai plus jamais » (JP Sartre 1952). Parlant généralisation bête et inopportune, s'en est tout autant.

Admettons tout de même que l'opulence et la cupidité existe. En imaginant une caricature, j'illustrerais ce constat par un signe du dollar que ce ne serait toujours qu'une caricature. La bêtise humaine n'est ni à gauche ni à droite, elle vient de la main qui la tient.

Ce matin, j'écoutais une créatrice Montréalaise dans cette interview. Elle répliquais à Gilbert Rozon maladroitement. L'invité de médium large vantait les manifs et rejetait totalement la société qui l'entoure, dont la Formule I.

Pol Pelletier offre des entrainements intelligentes, généreuses et pures. Elle les dessert à ces apprentis, rien de plus. Tôt ou tard, ces élèves joueront et évolueront...



mardi 5 juin 2012

Une autre métropole...



D'une cabine de pilotage défaillante, les Glorieux se réapproprient une image imposante. N'oublions pas l'aspect francophile de ce choix.

Bergevin accomplit donc sa besogne tel que promis. Oui, une recrue certes mais qui sélectionne le candidat qui se démarque des autres.

Leadership, succès et expérience décrient bien le choix Michel Therrien. Alors, il établit dès le départ une stature imposante et stricte.

Cependant, MT devra faire avec les éléments qu'il a sous la main. D'abord, son capitaine, Brian Gionta, qu'il confirme sans ambages. MT valide son premier trio, son gardien Price, le brillant Plekanec et son noyau de jeune. Alors, le nouveau coach disciplinera une fanfare qu'il saura faire parader avec cohésion, si possible, jusqu'à tard au printemps.

N'oubliez pas, cher lecteur, que Michel Therrien doit rendre le personnel du second étage du Centre Bell astucieuse et brillante.

Enfin, la Molsonisation se poursuit faisant ombrage aux tintamarres nocturnes.


Un désir inavoué...



Je fais allusion ici à l'être le plus médiatisé par les temps qui court.

Le dépeceur s'est assis dans un café internet, à Berlin, pour y être arrêté.

Pour lui, Berlin signifiait plus que Paris. Car le faubourg Berlinois, celui du Spatkauf cafe, est non loin du site d'un suicide célèbre. Effectivement, la mort de l'un des pires sadiques de la dernière grande guerre eut lieu à Neue Reichskanzlei.

Que vaut bien cette idée ?

C'est qu'un gusse comme lui s'inspirait d'oeuvres atroces et odieuses. Qui de mieux que le Führer ?


Gilbert, Gilbert ...

J'ai titré sur un ton ironique.





Franchement, Rozon s'attable comme leader des festivals pour rire et se distraire de la monotonie montréalaise porte-parole pour dénouer les la crise. Il aimerait bien que les porte-paroles étudiants s'engagent. La verte dame (Laberge) et la plus mature, Madame Desjardins, (car elles aussi, aiment rire, se distraire,) s'attablent avec lui. Elles rassureront donc mon oncle Gilbert et y vont de leurs intentions, rassurer officiellement. Mais rassurer de quoi ?

Surtout, n'attendons pas la formule numéro un, les urnes. L'auriez-vous oublié ? Lorsqu'on déteste une option par rapport à une autre, on va voter. Ici, l'oppression printanière et meurtrière, connaît pas.

Patientons. Attendons aussi les premier pas de la Commission Charbonneau. Laissons-là fouiller nos institutions démocratiques. Elles existent vous savez. J'admets qu'elles seront mises à l'épreuve devant cette fouille. Justement. Laissons-la regarder, scruter, dévisager.

Ceci dit, les nocturnes et les manifs, c'est n'importe qui. Peut-être même des festivaliers ? Allez, nommons-les ; des citoyens ordinaires et extraordinaires, comme les grandes centrales richardes, des contestataires professionnels aux plus novices, en d'autres mots, pourvu qu'ils aiment les chaudrons et détestent le gouvernement en place. Voici notre printemps érable.

Le 22 juin prochain, sauf s'il pleut, Nadeau-Dubois rassemblerait pratiquement à lui seul tout ce beau monde avec dans la bouche, n'importe quoi ; plein de carrés en effigie, assurément du rouge, du noir et du blanc. Le fleurs-de-lysée, un ti-peu du drapeau des patriotes avec, les deux étendards, un ti-carré en coin pour actualiser les incultes. Tout compte fait, une minorité d'impatients.

Voici notre printemps érable. Woooooooh !

Non, vous ne verrez ni vert, ni jaune, pas de collabos. C'est pas permis même si, de ce côté-là, ce sont parfois d'anti-libéraux. C'est sûr que ce sont presque tous des anti-Charest. Moi itou, je le suis, pi ?



Une chose demeure. Gabriel Nadeau-Dubois ne s'est pas attablé avec Rozon. Une preuve qu'il n'a pas le sens de l'humour.

samedi 2 juin 2012

Louis...



Je ne connaissais pas cette chanson jusqu'à cette aprem...

Ces temps-ci, je suis préoccupé, outre mesure peut-être, par la question étudiante d'ici. Ici, ce sont des jeunes politisés, trop peut-être, d'autres, qui s'en foutent. Seraient-ils différents, différentes de la jeunesse qui les ont précédés, ça, je ne m'en fout pas.

Mes deux fils sont très intéressés par la question du jour. Je suis à la fois fier d'eux, des deux. Ce ne sont pas des individualistes bêtes et égoïstes, non. Si j'examine attentivement leurs chemins, respectifs, ce sont des êtres aimants, chaleureux. Tout ce dont un père comme moi, chérit.  C'est, banalement, y a autre chose que l'égo.

La polarisation.

Je déteste ce mot. Il divise et enrichit un débat de nature politique bien sûr, mais plus que ça, c'est d'une grossièrement sociale. C'est que, voyez-vous, la globosphère s'adonne à tant d'irréparable que vu d'ici, c'est tellement, mais tellement civilisé qu'on dit ?

Voudrions-nous, je me répète, voudrions-nous que ce litige devienne une sorte d'arabe révolution ?

Dans le fond, je voudrais qu'on regarde l'autre comme un être immuable et impermanent.

Sassepeuxtu ?

Festival de la Casserole !

Quelques analystes sérieux interprètent les retrouvailles des après-le-soupers, d'une sorte de, de, renouveau démocratique. Même, certains les définissent comme un fondement à un néo-ritualisme. La marche symbolise même Ghandi, Luther King, e, e, mettez-en. Pour les plus jeunes, je comprends que ce sursaut de rassemblements citoyens réjouissent, enorgueillissent mêmes.



Par surcroît, en un concert presque primaire, voire primitif.

Encore hier soir, on relançait les glinglins.

Traduisons ;

Glin, glin!

Glin, glin, glin, !

Glin, glin, glin, glin !

Glin, glin ! (chaudrons en l'air)

Ou avec du contenu plus profond politiquement.

Allez tous en choeur ! "la loi spéciale, on s'en câlisse !" (bis et rebis)

On est loin, du temps des dizaines de chapelets. À chaque grains, on lançait des mots. Oui, des mots. On les a oubliés. Sauf les plus âgés, qui ne les regrettent même pas.

Même que ceux-là, l'élite intellectuelle surtout, on crié de jeter dehors toutes les croix.

"Pardonnez-le, il est par trop nostalgique ce rétrograde gusse !

Bien oui, et on se clame de Martin Luther King, Ghandi ...

Notre Radio-Canada.


La tour de La Radio-Canada, à l'instar des PQuistes, se peinture dans le coin. Ça je ne l'accepte pas.

Cette semaine, plusieurs personnages connus se sont prononcés sur la crise ou le conflit. Les décideurs de la Tour n'ont pas cru bon défendre un droit de parole qui revient à chacun. Richard Martineau et son épouse ont pris position de même que Rozon, du Festival Juste pour rire, et puis Isabelle Maréchal. Voilà, personne n'a cru bon ramener des droits pourtant glorifier par la pseudo gauche Québécoise.

Je m'arrête ici et émet un voeux ; revenons au bon sens et au dialogue.



Unau Charest ?


L'unau que voici me servira, car son faciès me semble autant placide que l'allure d'un John James Charest. Nous pourrions tous ensemble, réaliser, que la gouvernance de la Belle a été relégué. À quoi ?

Au Plan Nord ? Beaucoup et ?

Les Libéraux laissent pourrir des situations désolantes. D'abord, la légitimité morale requestionnée longuement, quasiment sans débat. Enfin une commission qui ne finit plus de commencer. Puis, le conflit étudiant qui perdure depuis 3 mois, une crise large au son de chaudrons.

Pour cette crise, le John James s'impliquera auprès des porte-paroles étudiants après 4 mois de manifs, surtout Montréalais. Le pm ne dira jamais à haute voix ; " pour moi les leaders étudiants ne sont pas légitimés démocratiquement..." mais à mon avis c'est ce qu'il pense.

Vous remarquerez que dans le cas de l'enquête sur le financement des partis, la construction, les attributions de contrats etc... John James agira après plusieurs mois.

C'est pas vite ça.

L'usure de ce gouvernement après 9 années d'exercices est patent. Ce paresseux est à la tête des libéraux depuis 1998. Il est aussi le premier ministre depuis 2003. Rare sont les partis avec autant d'ancienneté sur le trône.

Lui, l'est et grâce à qui ?

Au PQuistes ? Effectivement, tout ce temps, on aura vu, une opposition ayant à leur tête des leaders, faut-il le croire, soient impopulaires, soient malmenés ; Landry, Madame Harel en intérim, Boisclair, Duceppe ou pas Duceppe et Madame Marois.


Il est vrai qu'en politique, un jour c'est une éternité.

N.B : si on apprenait qu'elle est dans le coup pour le retrait de Duceppe, ça provoquerait une certaine indignation. Assurément la mienne.









vendredi 1 juin 2012

Une franco...



Voilà, j'étais dans mon char tout à l'heure, en attente et à l'écoute de La Radio avec Désautels. Le gars questionnait Véronique Sanson de passage dans la métropole québécoise. J'ai écouté la voix de la Dame avec émotion, un brin de nostalgie et de l'admiration.

Cette chanson remonte en 72. Je me souviens qu'à l'époque, j'entendais sa voix vibrante et son piano. Aussi, sa physionomie dominé par sa chevelure blonde et ses coups de tête. Vraiment, je me laissais emporter par elle. L'artiste avait le don de faire danser les mots francotendres sous du pop. Contrairement à plusieurs femmes, Véronique créait tout de son art, parole et musique.

À cette époque, j'accordais une importance, peut-être démesuré pour certains, à ces compléments créatifs. Encore aujourd'hui, cet aspect me semble pertinent. Tant qu'à l'utilisation de la langue française, dont elle vante la beauté, je ne peux qu'être d'accord.



AprèS leS caSSeroleS, leS SauterelleS !

Je revienS encore avec ce prolifique Parov. À mon humble aviS, l'enSemble unique.

C'eSt que ce Soir, je SuivaiS de chez-moi, un cortège revendicateur. J'entendaiS le Son deS glinS glinS glinageS répétitifS de touS âgeS métropolitainS.

EnSuite, je me SuiS placé en état de réceptivité nocturne. Remarquez le débat début Stridulant, petit concert de SauterelleS.



EnSuite, un petit mixe monocorde guitariSant, le SynthétiSeur. Le ra ra de tambour, et baSe, puiS l'envol deS Sax, de cuivre grave, nommez-leS.

Une voix féminine S'intègre formater, douce...

Bonne nuit !