samedi 25 août 2012

Pinottes Arseneault / Roy ? Présent...


Le président de la FTQ à ce que je saches, porte fièrement, le carré rouge.

Arseneault, c'est qui ? Un président presque indélogeable. Autre question; il possède quoi, à part l'indifférence de ses commettants ; une tribune ?

Ceci dit, que ce revendicateur imbu d'un pouvoir par une nonchalance crasse, s'en enorgueillisse autant, c'est troublant, même attristant.

Est-ce un mafieux ? Attendons...

Monsieur Roy, de la CSN, lui, se scandalise tout autant face à l'itinéraire CAQuiste.

Ça le choque...

Roy, de la CSN, vit sur quelle planète ? En plus d'être payer (+150000$) par les cotisations des travailleurs, il se permet, par on ne sait quel formule démocratique, de soutenir le carré rouge et toutes leurs revendications.

Les travailleurs sont un peu négligent, mais pas des casseroles.

Alors, ces leaders de toute contestation se partagent un statu disproportionné. Tous les porteurs de messages, on s'en souviendra, souscrivaient largement au carré rouge, s'abstenant de toute légitimité.

Ouvertement.

Les travailleurs syndiqués de ces deux syndicats doivent admettre leurs négligences. On ne peut plus, nous, citoyens syndiqués, déléguer nos volontés à ceux qui, pour toute sortes de motifs, allouent n'importe quoi, même l'indéfendable.

Pourrions-nous vérifier chacune des unités syndicales, les appuis et les adhésions ?

Oui !

En souvenir de mon papa !



Papa ne m'a jamais chanté cette chansonnette en entier. J'entends encore Sa voix a cappella. Mon Père empruntait une voix tendre et douce, puis la chantait. Je m'endormais bien avant la blanche...

La petite poule grise
Quallait pondre dans l'église

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul noir
Quallait pondre dans l'armoire

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul blanche
Quallait pondre dans la grange

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poul rousse
Quallait pondre dans la mousse

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Létait une petite poule brune
Quallait pondre sur la lune

Pondait un petite coco
Que l'enfant mangeait tout chaud

Le syndicalisme revu et révisé...

Je suis syndiqué et délégué de mon association syndicale. J'approuve le programme de la CAQ. Contradictoire ? Voici, je ne crois pas être en contradiction, je m'explique.

Dans le cadre de l'élection 2012, le syndicalisme intransigeant occupe le programme des CAQuistes. Ne paniquez pas, je dis tout de suite, que le syndicalisme s'impose pour équilibrer le monde du travail. Je ne remets pas cela en question.

Maintenant, pour mieux illustrer ma prémisse de base, j'utiliserai une vidéo de Monsieur René Lévesque. Rendez-vous à 5 minutes 56 secondes de ce document. Il dit ceci ; " ah peut-être qu'un jour y a des gens qui diront les unions vont exagérer " et " c'est comme certains qui disent qui a trop d'éducation et qu'on trouve plus personne pour couper le gazon."



On est rendu là !

L'état doit donc rétablir des incohérences flagrantes. Prenons les régimes de retraite à prestations déterminées, qui entrainent les municipalités vers le gouffre financier. Les élus municipaux ont beau tenter négocier, rien ne fait. La valse déficitaire perdure et se perpétue.

L'état devra donc accorder plus de marge de manoeuvre aux élus et nos représentants des institutions démocratiques ou aux organismes gouvernementaux dépendants des payeurs de taxes. La CAQ irait jusqu'au lock out s'il le faut afin de rétablir l'équilibre des forces. Ou, face à ce dilemme moderne des villes, convoquer les partis et trancher en faveur de l'équilibre des forces. Aussi, l'état ne devrait pas avantager, à plus forte raison, en secret, le monde patronal.

Joueurs de hockey junior syndiqués...

J'entends deux goons anciens du junior plaider pour un syndicat de joueurs, une grande association. Ce mouvement serait pan-canayen, paraît ? En admettant que l'on veuille prioriser les trois ligues dites d'élites, on ciblera plus de quinze cent jeunes ? Je connais un peu la question, et pour preuve, il est facile d'établir les grandes lignes d'une telle association en devenir.

C'est faisable ? Constat simple ; plus de 3000 hockeyeurs des équipes juniors majeurs de la LCH n'appartiennent pas à des entreprises homogènes. Au fait, les 62 organisations bénéficient de revenus importants, pour les uns substantiels, tandis que pour d'autres, ils ne suffisent pas. On ne peut donc aborder le problème, joueur par joueur, ou encore équipe par équipe.

Donc, Canadian Hockey "LCH" et les 3 ligues deviendraient les seuls entités légitimes. Encore là, même entre ces 3 ligues (celle de l'Ouest, de l'Ontario et de celle du Québec) les disparités sont nombreuses ; en nombre de joueurs, en revenus et je le répète, à géographie variable.

Ceci dit, que recherche donc les promoteurs pour ces jeunes sportifs ?

Le salaire ? La sécurité ? La dignité ?

Ceux qui suivent les activités des trois ligues répondraient qu'aucun joueur junior aujourd'hui n'est privé de ces considérations. Les responsables de chacune des organisations s'assurent du bien être de chacun de leurs joueurs étudiants. Leurs jeunes adultes sont logés, encadrés, équipés et instruits grâce aux allocations de leurs équipes respectives.

Les dernières données confirment que chacun des joueurs nécessitent des déboursés de 30000$ annuellement. On peut admettre que par le passé les traitements accordés à chacun d'eux étaient inéquitables trop souvent. Depuis quelques années, l'institution d'élites du hockey junior, puisque c'est bien de cela qu'il s'agit, a évolué.

Autre constat. La concurrence venant d'ailleurs est féroce pour les meilleurs joueurs. Ce fait laisse aux 3 ligues canadiennes peu d'alternative. Effectivement, je dirais que depuis plus d'une décennie, les organisations s'imposent des progrès indéniables et strictes. En demeurant compétitive et déterminée, chaque équipe améliore leurs chances de recevoir chez-eux les joueurs recrutés, même les meilleurs.

L'association en devenir, dont Georges Laraque est un des promoteurs, suggère que les décideurs ne se comportent pas en bon père de famille. Qu'une future convention conviendrait mieux dans l'état actuel des faits reprochés. Alors, ce mandataire détiendrait un pouvoir de négociation. Ce n'est pas tout. Les moyens financiers de l'association proviendraient des ligues juniors pour leur bon fonctionnement.

Voilà, la proposition s'installe lentement dans l'opinion, surtout chez les parents de joueurs. Je ne serais pas étonné de leur adhésion. Pour ce qui est des propriétaires de chacune des équipes, un non catégorique. Pour eux, les changements réalisés démontrent qu'ils vont dans le bon sens. Que la gestion des organisations nécessitent déjà des prouesses mathématiques, croissantes et récurrentes.


L'agenda, tel que proposé, oblige les proprios à une réflexion sérieuse. Ils y sont déjà car un nuage opaque recouvre tout le hockey junior Canadien, d'un océan à l'autre, même au-delà. Pour ma part, je suggère une torpille soit, de faire apparaître l'idée d'un ombudsman. Un ombudsman nommé par les gouvernements possédant de la crédibilité auprès de tous les intervenants de notre sport national.









jeudi 23 août 2012

RIP en ce 23ème jours. Plus que 13 dodos...

Référendum d'Initiative Populaire "RIP" ? Bernard Drainville, dans une tourmente passée, poussait son parti vers un incontournable, le RIP. Ce RIP s'est vu ailleurs. Là !

À trop vouloir se soumettre à une volonté partielle, ambigüe et ou pluriel, cette bienveillance n'en est plus une. J'ai hâte de voir les débats sur le sujet...

Vrai, on est loin de la donne car ils ne gouvernent toujours pas. S'il n'y avait que le RIP, et bien non. Vendredi, la Dame aux gaffes déposera un cadre financier. Même qu'elle se permet de scruter le programme chiffré CAQuiste pendant que celui des PQuistes s'embrouillent.

Je vous dresse une liste : le gel des frais universitaires et des garderies, abolition de la taxe santé pour les moins de cent milles, abolition de la hausse des tarifs d'électricité. Ai-je oublié quelques choses ?

Je vais vous le dire à vous ; Madame Pauline Marois et son équipe répètent des mots vides, truffés de bonnes intentions à réaliser plus tard. Pire, ces gens-là parodie le coeur a ses raisons !



Devant elle, un Québécois nationaliste motivé par sa lutte. Un, rassemblé une certaine élite derrière une conviction profonde, relevé la nation par la droite et la gauche. Le combattant réunira autour de lui, des fédéralistes et des souverainistes, des têtes fortes et des érudits. Aussi, en leur matière, des plus forts que lui, afin d'améliorer l'important et de se surpasser.

mardi 21 août 2012

Plus que 15 jours au 21ème jours !


Ce soir, un duel entre des propositions supportées par un cadre financier et le statu quo, le laisser faire et la nonchalance du PLQ.

La fiabilité de la CAQ se concrètise. Oui, tout cela ne se fera pas sans heurts. Certains comme Charest, dans la voie d'évitement trop longtemps, devra bientôt se soumettre à un examen, celle de la population.

Monsieur Legault présentait ce soir une perspective réaliste et courageuse, devant lui, rien, sauf de la désinvolture.

Calcul médical simple...

La CAQ prédit un tas de choses. Abolitions, baisses de taxe et d'impôt, un médecin de famille (GMF) à chacun des citoyens de la Belle, pas de déficit etc...

Parenthèse : aujourd'hui, j'exécute un calcul simple. Un citoyen du Québec qui travaillerait 32 heures semaines pendant 48 semaines, est-ce proche de l'ère des loisirs ça ? Je sais je sais, on peut en faire plus. C'est un exemple bordel.

Voilà, un employé ben ben ordinaire, actuellement, il ou elle travaille 2000 heures/année. Pour ce faire, l'ouvrier ordinaire travaillerait 40 heures semaine durant 50 semaines. Généralement, le Code du Travail d'ici impose deux semaines de vacances par année.

Avec le premier exemple, le type qui travaillerait 4 journées de 8 heures la semaine, qui prendrait un mois de vacance année, disons dans le cas d'un médecin, ce serait bien comme condition. Je sais je sais, ils pourront en faire plus. C'est un exemple bordel.

Maintenant, les études révèlent que les québécois priorisent la santé. Ce même doc, à une heure par patients, ausculterait plus de 1500 patients annuellement.
La CAQ ciblent un médecin / 1000 patients. En admettant, que l'homme en blanc se limite à 1000, bien il travaillerait une vingtaine d'heures 48 semaines durant.

Mieux, au Canada, seul Terre-Neuve (226) et Nouvelle-Écosse (225) dépassent le ration par 100 milles habitants de médecins généralistes et spécialistes. En conclusion, le Québec compte 102 généralistes par 100000 têtes de pipe (+8000).

On veut aussi alléger le travail du doc en lui accordant toutes sortes de mesures. Alors, je réalise que tout ça est possible.






















lundi 20 août 2012

Débat Bruneau Un !

Les quatre étapes de TVA ont montré un homme fort, un spécialiste des relations publiques. Le gars connaît ses dossiers et jamais ou presque aura-t-il été mis en danger.

En martelant sa prétendante réelle avec les salles de cours bloquées, la tempête référendaire et surtout l'autorité vague de la rue, le PM quitte en vainqueur.


De l'autre côté de la table, la Dame de béton a tout allégué, soupçons, peine perdue. Madame Marois n'aura pas su tirer avec agilité le pigeon trop véloce pour elle.



Marikana, Afrique du Sud.


Ces jours-ci, dans le petit village de Marikana un lutte ouvrière se déroule. La partie patronale, la minière Lonmin, retire du platine de ce coin d'Afrique. Le court film suivant montre jusqu'où le conflit dégénère. Plus de 36 morts.



Le Plan Nord du Québec offre tout un territoire aux exploitations diversifiés. Qui dit exploitation, dit nécessairement exploiteurs. Seul, nos gouvernants pourront dire le nom des minières qui souhaitent extraire du minerais de ce territoire.

Les élections actuels offrent une bonne occasion d'en discuter. Tous les partis politiques devraient s'obliger à une réflexion des gisements à venir. Nous savons tous que les matières premières sont en demande, mais pour combien de temps et à quels prix ?

Le Plan Nord, tel que présenté, à entendre certain, ressemble à une ruée extraordinaire. Si telle était le cas, nous devrions, dès maintenant, suivre de près etencadrer, si ce n'est déjà fait, tout ce développement.

Déjà que les infrastructures exigées nécessitent de notre part de vastes investissements, soyons persuadés de leurs biens fondés. De plus, convenir comme société, de la manière dont les ouvriers seront traités, mérite qu'on s'y attarde. Souvenons-nous, que le PM, lors d'un congrès, suggérait aux jeunes manifestants l'exil au nord. La perception que j'en ai eu, assimilait presque le Pan Nord au goulag.

























https://www.lonmin.com/

Ne reste que 16 jours. Déjà la 20ème journée.


Françoise David, même à l'extrême gauche, a su ressortir du lot. La négligée du quatuor a sans-contredit améliorée ses chances dans Gouin. Peu l'objet d'attaques, elle aura su cibler les deux à sa gauche, si je puis dire. Advenant un échec le 4, la porte-parole remisera le ptit livre rouge au grenier.

Pour les trois autres, chacun leur tour, ils ont maintenus la cote sans perdre de points. Charest, tel une blatte sous des spots éteints, presqu'imperturbable. À mon avis, la côte sera difficile.

Pauline Marois, dame de béton, c'est légèrement effrité par sa droite. Le PQ a atteint son plein de souverainistes. En a t-elle échappé au main de QS ? Ce sera ultimement le lapin du PM qui a fragilisé la PQuiste de béton.

Legault ne devait pas paniquer. L'absence de charisme lui fait défaut, un rien pourrait lui être fatal. J'affirme ici que le chef, en remonté, a réussi à matraquer un programme mal connu.

N.B : J'ai écouté l'après débat avec Patrice Roy. J'invite Bernard Drainville à vouvoyer Patrice Roy, son ami. Un constat demeure ; la proximité entre les PQuistes et le média public canadien est incestueux. Le plus bel exemple, le quasi copinage entre Messieurs Roy et Drainville.

Je termine mon billet avec un fait. On reproche au gouvernement d'avoir déclenché des élections avant la poursuite de la Commission Charbonneau. Madame Marois se montre fautive en privant des débats, son cadre financier.



dimanche 19 août 2012

17 jours restants et 19ème journée.

Aujourd'hui, c'est le premier des débats !

Le redoutable débatteur Charest sauvera-t-il ses fesses ?

Pauline agressive ou la vivacité ?

Françoise captera-t-elle l'audience, sans Khadir ?

Legault commettra-t-il des lapsus gênants ?

Pour l'instant, admettons que Legault c'est démarqué, tellement, qu'on pourrait assister à un coup de théâtre.




TDAH ?

En regardant les causes potentielles de cette tare, je me suis dit, voilà !

Il faut que je vous dise ; à ma première sortie sur cette planète, j'avais le cordon ombilical de survie autour du cou.

Ai-je manqué d'air et combien de temps ? Que dalle !

Cependant, l'une des causes du déficit d'attention, les ratées d'oxygénation.

C'est que tous ceux qui me connaissent me trouvent intelligent sauf que de maladresses en maladresses, je les exaspère tellement !

C'est pas peu dire.

Demandez à ma conjointe Lyn ?

Questionnez mes camarades aux boulots ?

Non, faites pas ça, n'y allez pas.

Au lieu de ça, si vous m'appréciez, prenez sept minutes à écouter cette blonde...



Merci Madame Walker !

Eh bien, vous saisissez presque tout maintenant.

samedi 18 août 2012

Charte de la laïcité ?


Les PQuistes présentent les principes séparant l'Église de l'État. Je questionne dès le départ sa présentation au 15ème jour de la campagne électorale. Perso, Madame Benhabib n'aurait pas dû présenter ce projet. Je m'explique.

Certes, la dame, à ne pas en douter, est qualifiée. Là n'est pas mon souci. Le Québec, lorsque l'Islam apparaît, tombe dans une xénophobie presque maladive, c'est comme ça. Cet automatisme à l'occidental s'alimente de toutes les façons depuis plus de 10 ans. Dites Mohamed ou Benhabib ou Djemila et vous retrouverez une bonne portion de la population avec de l'urticaire. Ajoutez à ça, le rejet du crucifix, vous plongez dans l'incohérence provocante.

Imaginons un Jean-François Lisée présenter ce projet, cela aurait été plus adéquat ou moins incendiaire. Je le répète, Madame Benhabib n'a nullement besoin de se justifier, car elle a bien avant cette annonce, menée une lutte à l'intégrisme religieux extrémiste et à l'iniquité. Cependant, tout ce débat est pour l'instant inopportun et je ne crois pas qu'une charte de la laïcité, qui néglige l'histoire culturelle, patrimoniale et théologique du Québec, soit de mise.

D'ailleurs les intellectuels incroyants mènent une lutte revancharde autant qu'inutile. La tolérance devrait prévaloir et ce à plusieurs égards. Leurs multiples démarches à l'encontre des signes religieux sont tout simplement obsessif et irrespectueux. Le peuple de la Belle n'aime pas l'intolérance quand il s'agit de la foi profonde, des fêtes religieuses et de la croix.

J'admets que Montréal et toute sa ceinture sont aux prises avec une sociologie plus complexe. Les accommodements raisonnables sont réelles mais, convenons-en, amplifiées. Je serais pour une charte ouverte qui conduirait au respect à condition bien sûr de reconnaître d'abord la Chrétienté et à plus forte raison le Catholicisme. Sans cela, les chartes s'égareraient dans l'intellectualisation vide.

vendredi 17 août 2012

19 jours restants et au 17ème...

Impatiemment, j'attendais le cadre financier des promesses de la CAQ. À entendre les opposants en listes, je me questionnais sur le sérieux du programmeannoncé et approuvé . Maintenant, n'en parlons plus.

Discutons maintenant du comment.


Cure d'amaigrissement chez Hydro, commission scolaire, siège social de l'UQ, réseaux de la santé et ses filiales etc...

À la croisée des chemins, la Belle et ses citoyens se mobilisent afin de renverser la collision dû à la passivité, les luttes intestines sur la souveraineté et la surenchère de la collusion et autres cachotteries.

Pauline Marois cache son cadre financier et néglige tout l'aspect économique de ses largesses que nous paierons tous. Les culottes PQuistes sont bien taillées et repassées avec des poches décousues.

Jean Charest se traine les pieds devant tant de maux, qu'on ne peut qualifier sa totale déconfiture.




jeudi 16 août 2012

Le ton du message ?


L'ambulance PQuiste a livré Madame Benhabib à l'islamophobie et à la xéno.

Jean Tremblay tire sur la messagère, ensuite élabore un propos valable. Ce qui est dit, est dit. Pour moi, c'est malheureux de s'attaquer au messager et je m'excuserais pour revenir à l'essentiel, le message.

Les intellos antireligieux ne veulent plus voir ni même apercevoir, même l'ombrage d'une croix religieuse, je précise. Ça aussi, il faut le préciser, l'évoquer deux fois plutôt qu'une.

Pour le faire, ils accaparent les accommodements raisonnables pour en faire leurs. Mur à mur, sur le territoire de la Belle, les nouveaux stratèges d'une laïcité fermée proposent ni plus ni moins un refus et pire la reconnaissance historique tangible, soit l'importance incontournable de la foi et de ses symboles.

dimanche 12 août 2012

Plus que 24 journées au 12ème jour.

J'ai écouté cette aprem un échange gauche droite. Je met le lien ici. L'une des panéliste est, autrefois de la CSN, Claudette Charbonneau. À droite qui de mieux qu'un X, Éric Duhaime. Je vous dis ça, afin de faire un lien avec mon premier propos, un référendum.

Nous savons, depuis aujourd'hui, qu'une équipe de souverainistes, avec Madame Charbonneau, prépare le troisième, oui, vous avez bien lu, le 3ème référendum. Ce groupe a été formé l'hiver dernier. L'une des motivations est en réaction au gouvernement Conservateur de Stephen Harper principalement. Le reproche que l'on adressait à Legault, de nommer ces ministres avant leurs élections, on pourrait l'adresser aux PQuistes.


Voici. Personnellement, je ne comprends pas l'agenda du parti à Pauline. Ses intentions portent ici et là, sans trop de cohésion. La santé, avec 5 as pour exemple, c'est une erreur. Tous les jeux de cartes en contiennent 4 ; et dire que Barrette est un bluffeur selon son doc de service. De plus, dans le même point de presse, elle dit deux âneries. Elle disqualifie l'obésité et l'éducation privée. Pourtant, autour d'elle, la majorité sont bien enveloppées. C'est elle qui dit le pire. Pour le meilleur, sur plusieurs jours, introuvable.

Du côté des Libéraux, on relance le débat de la lutte à la corruption. Fini la complaisance et la désinvolture ! Ah bon ! Il était temps. Dorénavant, un individu en accusation sera de suite exclus des appels-d'offre, de même que l'ensemble de ses filiales. En regardant l'ensemble des entrepreneurs, en dénicher un, ce sera pas facile d'exécuter les travaux.

Legault ne se laisse pas déranger. Lentement, ce parti raffermit ses positions en divulguant le programme de sa campagne, en quatre points ; l'intégrité, réorganiser les services aux citoyens, l'économie de propriétaire et, pour finir, la langue et la culture.

Moi, ça me plaît !

adage électorale...

vaut mieux être obèse et brillant(e) que bachelière et gourde...

samedi 11 août 2012

25 jours à faire et 11ème promesse...

Sérieusement...

On conviendra d'une chose. En campagne, une première pour la CAQ, y aller de 3 affirmations environnementales et pires, impopulaires.

1- enterrer l'amiante
2- moratoire sur l'import de l'amiante
3- moratoire avec le gaz de chiste

On ne peut être plus vert entre les 3. La CAQ cible Kyoto et ses objectifs.


Au onzième jour, les partis mentionnent leurs préférences.

Le PLQ s'attaque aux chiffres de la CAQ. Le PM vise la dette comme la CAQ, baisse du déficit.

Pauline organise la santé comme elle veut, modestement. Sans les obèses surtout !

Lego décoiffe ces détracteurs, en accentuant de verte façon, l'environnement.

Revenir sur une décision valable ; du courage certes et de la volonté.



Comté Chicoutimi

Je m'adresse ici à mon député.

Marc-André ? Rien à voir avec toi.


Ceci dit. Stéphane finit les folies. Tu sièges depuis des lunes.

Regarde je t'ai placé un carré rouge. Tu le voies, comme il me vient en mémoire.

Tout ce temps, j'ai attendu que tu dises, à celle qui joue de la casserole comme une opportuniste, " moi, le carré rouge, ça ressemble pas à mes citoyens. "

Dors bien ...

Ce n'est pas tout !

Le maire Jean Tremblay, un bon libéral comme il dit n'accepte pas une analyse indépendante de ses supérieurs, les élus de l'Assemblée Nationales. Monsieur le maire, le mien, comme citoyen de cette ville, j'accepte qu'on révise ton boulot, parce que j'ai confiance en toi.

Guy Béart, 58, ici 59.



Cette chanson m'entraine ailleurs. En 59, on me l'a rappelé l'espace d'un sourire ou d'un temps...

vendredi 10 août 2012

10ème ou 26 jours restants.

La polarisation actuelle chez la Belle favorise fortement le changement. Cette campagne électorale, lancé par le PM, oppose la loi et l'ordre versus le carré rouge ou la rue. Non pas un débat droite gauche ou pire, fédéraliste souverainiste. Ceux-là sont éclypsés.


Cependant, l'écoeurite aigüe de l'électorat est bien réelle. La venue de Duchesneau réactualise le cynisme de la population. Le débat du carré rouge se retrouve donc au second plan. Des partis dominants, un seul est identifié au carré rouge, le PQ.

Les PQuistes mous horripilés par le printemps érables iront en bonne proportion vers la CAQ. Sûrement pas vers un gouvernement aux moeurs douteuses. Les Libéraux mous ébranlés par les moeurs de leur parti iront vers la CAQ. Ceux-ci se tiennent loin des carrés rouges et à plus forte raison, refusent le séparatisme. Au total, ça fait beaucoup de clients...

À mon humble avis, la loi UN de Legault devient le point fort jusqu'à maintenant. Une condition ? Garder l'attention de l'électorat qui a tendance à oublier les Marc Bellemare, les enquêtes de toutes sortes et bien sûr l'hésitation du gouvernement à défendre nos institutions démocratiques.

Petite histoire : en 1972, on a eu droit à la CECO. Sans avoir tué la mafia, l'enquête avait démontré qu'on pouvait l'atteindre, l'ébranler et mettre à jour des stratagèmes. Plusieurs états modernes se sont dotés d'institutions permanentes afin de lutter contre la corruption, qui se modernise. La Commission Charbonneau avec des outils modernes parviendra à une mise à jour, à condition d'éviter certains écarts.

Ceci dit, les premiers sondages consolident les perceptions médiatiques, jusqu'à présent, trônées par le CAQuisme.

Bon ! Tout est possible ; une majorité large ou étroite, des minoritaires enchevêtrés et assurément, une élection à trois. Jusqu'à présent, les gouvernements minoritaires du PLQ et du PQ hantaient la CAQ. Dorénavant, toutes les hantises sont possibles.

























jeudi 9 août 2012

Reste 27 au 9ème jour.

Aujourd'hui, tour du lac. C'est mon boulot quand même. Départ à 6 heures et de retour à 18 heures. Maintenant, la neuvième heure vient de sonner. Je ne croyais pas écrire politique aujourd'hui. Voilà, que je m'y mets.


Je viens d'entendre ces trois dames répondre aux questions de Durivage. Primo, les trois contredisent un peu Pauline qui tantaient de démontrer que les femmes manquent de grandement de confiance.
- Maltais élabore la politique PQuiste tout en évitant les cycles référendaires.
- James défend avec entêtement la position Libérale et bien sûr, rejette le reportage des journalistes de Radio-Canada.
- Anglade vise juste à chacune de ses interventions.

Je le dis ce soir. Les trois sont ministrables.

Pour finir, peu de gens s'intéressent à la politique. De tous, peu d'intérêt ou presque. Ah ! Si ! Une petite allusion au diner, Chez Marcos Pub. Mon voisin me lance un peu rieur, une promesse d'un député sortant touchant RTA ...





mercredi 8 août 2012

28 journées restantes et 8ème jour...

Le syndicat à laquelle j'appartiens au boulot, l'est, depuis 2010. Mon syndicat actuel, c'est l'Inter, local 1135. Notre unité est toute petite. L'union précédente était un syndicat affilié à la FTQ, fondé par un certain Eddy Brandone ou Edmondo Brandone. J'en ai parlé ici en 2010.

Ceci dit, la nouvelle de ce soir, sans être réchauffée, avait déjà été diffusée. Elle ressort en ce huitième jour car de nouveaux témoignages sont atterris à la radio de Radio-Canada (ENQUÊTE). Des policiers, quatre pour être précis, auraient déclarés leurs frustrations lors de cette filature. Plus tard, quatre policiers de la SQ ont, en cours de route, averti quelqu'un.


Voici, le PM de la Belle provoquait mardi le numéro 2 de la CAQ. Le PM dit lors de son point de presse, en le ridiculisant et en l'invitant à donner des noms. Aujourd'hui, un nom est tombé ; un nom en lien avec le parti de Jean Charest. De biais, ce lien ramène un évènement banal. Banal ? C'est ce que dit le PM. Qu'un type sous enquête approche sans préavis le PM, c'est assez particulier.

Le PM voulait des noms, aujourd'hui, il hérite du doute dans l'électorat. Le procureur de la Commission Charbonneau Lussier a joué un rôle dans cette divulgation. Mardi, l'avocat Lussier, en exécutant sa sortie dans les médias, pousse Duchesneau vers le mur des aveux. Je vous rappel le motif de la venue du numéro 2 de la CAQ ; le déclenchement de l'élection. Drôle tout de même, que la trêve de la Commission, se prolonge au-delà de la date du vote.

Mais je peux comprendre aussi que le mode électoral du Québec demande de l'argent. Même Marc Bellemare l'a dit lui aussi que les enveloppes brunes circulaient aisément.

On ne peut non plus exiger 100,000$ d'un ministre. Jean Charest l'a fait. Dans les faits, comme vous, je ne peux que m'insurger contre cette culture d'enveloppes brunes. Comme de ne pas me surprendre de la complaisance qu'on les politiciens face à un donateur.

Je terminerai avec un carré rouge, Pauline, calme, sereine et seule. Le Chef de la CAQ, dont on mentionne la possibilité de le voir PM de la Belle. Mais ça, on en est encore bien loin...



mardi 7 août 2012

29 jours restants et septième journée...


L'entrée de l'incorruptible Duchesneau dans Saint-Jérôme avec la CAQ, a modifié totalement la campagne. D'un tiers parti, la CAQ est devenu crédible. Depuis, presque tout porte autour du moins beau, du moins beau de la Belle.

Écoutez, depuis, l'indice corruption sursaute.

Aujourd'hui, Me Sylvain Lussier de la Commmission Charbonneau, avec l'aval de la Commission, entre en scène.

Quel mouche a piqué la Commissaire ? Le PM rétorque tous les matins, attendez, la journée de Duchesneau n'est pas terminé...

Voici Lessard ; le procureur acteur déplore dans LA Presse que, et je cite, " Mardi, dans les journaux du groupe Quebecor, le candidat de la Coalition avenir Québec soutenait qu'il était insatisfait du travail des avocats de la Commission." Fin de la citation. La suite de l'article est complète ici. Rien ne nous dit que tout est bien cité...

Duchesneau fait l'objet d'attaques de toutes les directions. Celle venant du procureur Lussier, comme le dit le chef CAQuiste, est plus vicieuse tellement, qu'il le met en garde. Il pousse même le procureur à convoquer la Commission pour lundi matin et de faire comparaître Duchesneau.

Monsieur Charest ne voyait pas venir l'Eliot Ness dans la campagne actuel. Le tapis lui glisse sous les pieds ? Prenez ce matin, le PM annonce une entente avec les profs de collèges(14). Pourtant, suite à l'approbation de reconduction des boycotts, les profs n'enseigneront pas aux étudiants désireux de recevoir leurs cours.

Croyez-vous qu'un discrédit d'un Duchesneau modifierait l'agenda actuel ? On ne doit pas non plus omettre les stratagèmes imaginés afin de le faire fléchir. Le PM dit qu'Eliot ne donne pas de nom parce qu'il n'en a pas. L'immunité n'est qu'un alibi grotesque.

La CAQ n'a t-elle pas reçu la visite d'avocats scrutateurs des livres comptables du parti, en son nom ?

Réciprocité ; lorsqu'on pose la question à Jean Charest en ce qui touche la comptabilité du Parti Libéral du Québec ;

" Monsieur Charest, sont-ils ouverts vos livres ? "

Celui-ci répond : " Nos livres sont pas mal ouverts... "

Je reproche une chose à Legault ; de laisser son candidat incorruptible parler à tout vent.

Une chose vaut ; l'attention médiatique reste du côté de la CAQ !



Le carré rouge domine même la démocratie populaire..


Qui débattrait dans un forum hostile et au surplus, d'y voter à main lever ?

Lorsqu'un porte-parole interpelle "de petit con" en assemblée, un étudiant antipathique au boycott par une minorité ?

Quand une direction d'institution scolaire s'interdit un droit discrétionnaire dans l'organisation des assemblées générales ; même de critiquer les méthodes du conseil étudiant ?

On ne se surprendra pas que les étudiants contre le boycott ne bénéficient d'aucune protection quant au droit de recevoir un cours. Même les professeurs leurs refusent un droit, celui de recevoir ce cours, pour lequel ils ont payé.

La démocratie, dont ce targue les associations, me semble bien timide, sinon absente, devant tels constats. J'ai bien hâte de voir, des partis, qui de ceux-là questionneront les quorums aux différentes assemblées de collèges et universités.


De plus :

Les chefs syndicaux doivent être rencontrés, le plus tôt sera le mieux. Écoutez, les centrales syndicales devraient eux-mêmes se soumettre à une reconnaissance de leurs membres. Avant d'appuyer de toutes les façons et d'encourager des boycotts aux noms de tous leurs commettants, les leaders syndicaux devraient préalablement leurs soumettre les tenants, les aboutissants et le fond de la démarche.


Aussi, dans le débat actuel, allez donc m'expliquer la tiédeur de nos artistes. Peut-on permettre à tous de divulguer leur sympathie sans être boycotté par le milieu ? Bourgeois, pour le nommer, l'a révélé ; "de ne pas s'affichez près de certains partis..."

Pour terminer, le Québec est à un tournant historique. Mettons donc toute notre attention à rebâtir la Belle.

lundi 6 août 2012

Bouteille et pétard vides.

Pour finir ma journée, deux faits dont j'aimerais vous parler.

Le premier vient d'une journaliste-blogueuse de La Presse. Mali Ilse Paquin montrant LE crétin des jeux de Londres. Regardez et lisez ceci.

Le second fait montre trois politiciens. Ils essaient de faire éclater un pétard. Tout les pétardiers vous le diront, ça pète pas, mouiller, un pétard.

Madame Courchêsne s'est jointe à Dussault pour mieux expliquer c'est quoi un pétard mouillé. Pauline Marois leur a sûrement demandé de sortir afin de contrer l'agenda des incorruptibles de la CAQ.


Bernard Drainville essaie n'importe quoi, je suis tellement désolé pour lui. Tant qu'à Saint-Arnaud, il se brûle souvent. En passant, Girard ne m'a jamais amusé.

Ne reste que 30 journées et au jour 6, voici...

Ne reste que 30 journées et au jour 6, voici qui m'amène à écrire si tôt sur la toile. L'impact Duchesneau représente tant d'attrait pour l'électorat de la Belle, qu'il fallait s'attendre à des frictions jalouses.

Déjà que le Ministre Gignac le baptisait d'ADM avant même son entrée officiel sur le plancher des vaches.

L'Eliot Ness de la CAQ détonne de propos aux effets instantannées, comment dire, inaccoutumés.

Je n'ai jamais approché un PM d'où que ce soit. Sauf un, mais dans une autre vie. Ceci dit, lorsqu'un PM choisit son cabinet des ministres, est-ce à dire qu'il n'y a jamais songé avant ce moment ?

Le PM, fût-il Québécois, opte pour des candidats élus de son camp ou alors, ça c'est déjà vu, choisir une personnalité non-élue, qui symbolise fortement ce pourquoi il le nomme. Encore, il s'entoure pour ce faire, de conseillers non élus souvent, pour mieux sélectionner son cabinet.

J'écoutais une animatrice connue, ce matin, Myriam Ségal. De retour à son micro, l'animatrice évoque des traditions mal définies ; celles des nominations ministérielles, des lignes de partis etc...

Ne soyons pas naifs. Je ne crois pas qu'un Jean-François Lisée soit candidat chez les PQuistes sans avoir obtenu certaines précisions, dont celui d'être à l'intérieur du cabinet. De même, je ne crois pas que Marc Bellemare soit entré en 2003 au cabinet des ministres sans en avoir reçu au préalable certaines garanties.




Bon tout le monde a réagi. Le premier à épiloguer sur le rôle des élus à la CAQ, le PM lui-même. Monsieur Charest m'a fait pouffer de rire. "Tweeter et faire des cocktails de financement" pour Legault et Duchesneau, "le boss !".

Sur la même gaffe, ce sera la phrase de Madame Marois qui entraine une réaction massive de ma part. Elle parle d'amateurisme (CAQ). Parlant d'amateurisme, visionnez ça.

dimanche 5 août 2012

31 jours restants ou 5ème jours...

Charest annonce le dégel des frais de garderies à 7$

J'initie ce propos par une petite chose qui en dit long sur la personne. Bovet de Radio-Canada rappelait que Jean Charest est toujours en retard. Les plus respectueux vous le diront, ponctualité correspond à fiabilité. Ce matin, notre PM a fait attendre parents et surtout, tout un jardin d'enfants, 15 minutes.

Mais qu'est-ce que c'est 15 minutes ? C'est un fait, c'est tout !



Un fait comme les 943 jours qu'aura attendu Sylvie Roy de la CAQ pour une commission d'enquête. 

Au passage, Madame Marois et le PQ, en s'empêchant d'être chiche à l'égard de Madame Roy de l'ADQ, peut-être le peuple du Québec aurait vu naître la Commission Charbonneau bien plus tôt.

La ponctualité, c'est aussi ça.

Tous les CAQuistes célèbrent une certaine victoire ; celui de devenir un parti pouvant rivaliser avec les deux autres. Les journalistes devront reconsidérer leur agenda de couverture médiatique.

C'est forcé, ponctualité oblige...

En terminant, la fiabilité d'un Charest n'égalera jamais celle de Curiosity...

samedi 4 août 2012

Reste 32 dodos ou jour 4 !

Que dire...

Monsieur Lisée emprunte Rosemont, legs de Louise Beaudoin, qui ne s'en peut plus. Sa famille PQuiste, c'est elle qui le dit tout haut, aura mis peu de temps à la réintégrer. Son boudage dure moins longtemps que celui de Jacques Brassard.
Admettons-le, c'est un gros morceau pour le 514 et le 45...

Un instant pour le zéro, attendons !

Jean, le PM. Si c'était une locomotive, ce serait un transcanadien ; lent, parce qu'économe. Jean aime à la fois son Canada et l'aristocratie Canayenne.

C'est un vert Ti-Jean.

Vous saurez, Monsieur Charest prône tout ce qui est durable, sauf les souvenirs, mais ça, c'est une autre question.

Monsieur Legault, mon choix, épilogue de façon un peu improvisé avec la culture. Mon accord sur la proposition du 50 millions en culture, oui. Cependant, j'ai apprécié ma rencontre automne 2011 à Arvida. Voici, ce chef s'inquiétait de la situation de la langue sur l'île Métropolitaine. J'attends...

Je vous parlais ici de la rumeur Duchesneau qui se confirme de + en + . Cette arrivée intéresse autant Estelle, l'avocate PQuiste, qu'elle terrorise les politiciens complaisant.




vendredi 3 août 2012

Le carré rouge en élection !


Imaginons de la suite dans les idées de la part de Stéphane dans Chicoutimi. Perso, je verrais le port signifiant. Qu'on le veuille ou non, ce n'est pas tout de discréditer le gouvernement et la loi. De lui désobéir et d'affranchir, même de biais, les comportements chaotiques.

Vous savez aujourd'hui, obéir aux injonctions, laisser les gens libres devant la menace directe ou indirecte, recevoir un cours pour laquelle on a payé. Ces principes sont toujours valables malgré la gouvernance boiteuse d'un gouvernement élu. Personne n'était menacé de mort à ce que je sache.

Je n'aime pas que Pauline et ses GI disciples utilisent le carré rouge à leur gré. L'implication à ce chapitre démontre, hors de tout doute raisonnable, jusqu'où cette dame ira pour gagner quelques sièges. Nous savons tous qu'il s'agit de quelques sièges.

N'oubliez pas que le carré rouge symbolise la radicalisation. Je suis un citoyen ordinaire, je le répète. Pourtant, j'ai bien compris comme beaucoup de mes concitoyens, que la CLASSE exige la gratuité scolaire et toute une panoplie de mesures anti-capitalistes et sociales inconnues.

Je rêve du jour où, les Léo BB de ce monde gèreront leurs projets totalement. Nous savons tous que le jeune prodige a été mêlé à quelque chose de plus gros que lui. Jamais j'ai entendu ce gentil jeune homme élaborer les véritables intentions du mouvement minoritaire étudiant, celui de la CLASSE. Jamais.

Les PQuistes peuvent toujours invités des stars instantanés. Cependant, le parti qui mène dans les sondages n'offre rien pouvant satisfaire ce même mouvement étudiant. Pauline et son équipe n'ont même pas songé à exercer un leadership tant qu'à la validité et la légitimité du mouvement radical étudiant.


Les deux D.


J'avance l'interrogation suivante.

Mais avant.

La CAQ attaque au jour 2 avec l'intégrité. Le chef brandit tel un shériff élu, différentes mesures afin d'assainir les us et coutumes des politiciens d'ici. Monsieur Legault présente, tout près de l'incorruptible Sylvie Côté, Maud Cohen, ex de l'Ordre des Ingénieurs.

Jour 3, les attaques CAQuistes se poursuivent, cette fois, en santé. À l'ombre de cette gigantesque offensive, Marc Deschamps, 1er D, tire sa révérence. De suite, une rumeur se propage avec force, le 2ème D ; Jacques Duchesneau concrétiserait son entrée avec la CAQ dans St-Jérôme.

Le clip qui suit explique Faubourg Contrecoeur, un projet d'où certaines allégations à l'encontre de Marc Deschamps sont menées. Ce lien ici explique le scandale.

Bien que les allégations soient évasives et que le démissionnaire se dit, innocent, pour les fins de ce topo, l'UPAC a scruté tout le dossier. Qui dit UPAC, dit, Du Du Duchesneau.




Voici l'interrogation : les deux D, c'étaient concoctés telle une mise en scène intelligente ?















3 ou 33 ?

Ceux qui me connaissent, savent mes penchants pour les chiffres. Toutes les statistiques m'intéressent. Globalement, les spécialistes des données précises vous le diront ; "on fait dire ce qu'on veut aux chiffres".

Ma façon de voir ces élections 2012 de la Belle permet ce tableau. Nous sommes au jour 3, mais il ne reste que 33 jours avant le vote. Vous me direz, pi ? Ben, rien !


Rien, mais c'est aussi par des données, disons, révélatrices, que la culture politique évolue ou régresse. Cette page modifiée illustre un phénomène récent ; le Web. Coloré ainsi, la dessin de la Belle prend une toute autre signification. C'est comme si on retrouvait une petite juridiction du Québec au temps de Duplessis.


Pour les plus jeunes, à cette époque, les villageois connaissaient pour qui le gars du rang croche votait. On est revenu là. Vous me direz, pi ? Ben. c'est pas rien ?

Vous voulez voir du concret ? Les chiffres liés à des adresses, celui de mon voisin, de ma collègue de travail ; ce site, celui d'un quotidien Québécois. Vous n'avez pas vu à la une de la Presse ?

Un autre chiffre, un gros, m'amène à ceci. Un docteur qui fait une excès de poids, c'est pas très bcbg. On s'en fout. J'avoue aimer le discours du gars, admettons-le, qui s'assume.

Maintenant, tous les jeux de mots sont permis. En voici quelques uns, juste comme ça ;

- la CAQ a fait une grosse prise.
- Barrette, joue gros !
- Monsieur Barrette, le défi est énorme...
- Si vous êtes défait, vous serez à l'aise en arrière banc...

Attendez d'entendre les subtiles grossièretés.







jeudi 2 août 2012

Jour 2, deux, two, duos, zwei, dwa...

Les Libéraux vantent leurs politiques économiques en promettant 250000 emplois durant le prochain mandat. Il n'en sort pas, l'ÉCONOMIE règlera tout les maux.


Les PQuistes suent sur l'île de Laval loin des préoccupations réels des carrés rouges. Normal, ils et elles ne portent plus l'effigie écarlate. La Cheffe, plutôt, dévoile son plan universitaire des 100 premiers jours d'un mandat PQuiste ; un grand forum scrutant et incluant tout ce qui touche la gestion des universités.

Rien sur les référendums.

La CAQ : même en ratant son punch, le chef de la CAQ livre la priorité des priorités.

On peux-tu dire ça comme ça ?

Avec Sylvie Roy à ses côtés et Maud Cohen, dont le courage ne fait aucun doute, toutes les petites méprises sont acceptables ; la répétition des mots, les interjections banales et les fautes de punch sont autorisées.

Que Sébastien Bovet veuille minimiser un projet, ça lui appartient. À RDI, ça résonne toujours mesquinerie. C'est un tendance chez-lui. Souhaite-t-il une élection à deux ? La question se pose.

Ceci dit, convenons d'entrée de jeu, que la cible est justifiée.



Ce qui précède représente une réalité de 2009.

Norm MacMillan avait, à cet égard, signifié à l'incorruptible Dame de la CAQ, en Chambre par surcoît, dit : "grosse criss !"

Madame Roy citait en Chambre ce qu'une personne bien informée, lui avait révélée. En 2012, la Commission Charbonneau révèlera d'autres faits. Donc, la CAQ promet un projet modifiant à court terme la culture politique ; la loi La loi 1, Un, One, Uno, Eins...




Le plateau, c'est tu ça ?



Moi, le régionnaux profond se demandait depuis toujours, mais c'est quoi le plateau, scusez-le, Le Plateau. Alors, il aura fallu un Marc Labrèche toujours aussi vif et ma seconde préférée, Anne Dorval.

Non, mais moi, ma préférée c'est, voyons je cherche son nom. Elle est drôle, simpe des fois, généreuse comme Dorval. Elle est toujours crédible avec ces personnages, Voilà, c'est ça, elle est juste. Elle joue juste.

Voyons merde, comme ma Mère, Marie, je cherche les noms tout le temps, comme Elle. Allez, je me réfère au net et euréka, c'est la merveilleuse, Sylvie Léonard.

Revenons à mes moutons, les Bobos. J'écoute en différé ce genre. J'ai ri dans l'autre là, celle avec Labrèche et les boules géantes. C'est pas grave, vous savez ce que je veux dire. Anne, moi, c'est la distraite en émoi, je l'aime ! Le saviez-vous qu'elle pleurait en écoutant "Echo & The Bunnymen".

Euh ! Je pense que c'est ce groupe-là. Mais bon passons.

Dans le clip propmi, on mentionne des noms de rue. Je situe géographiquement Le Plateau. Mes Parents ont demeuré sur Rachel, mais extrême est. Non pas sur LE Plateau. Mon Neveu, si, avec Sylvianne, sur Royal je crois.


Lorsque j'ai demeuré à Montréal en 68-69, je traversais cette région ce cartier. C'était pas Le Plateau à l'époque mais bon c'est une autre question.

Aujourd'hui, on dit que l'élite y demeure et plaide pour eux-mêmes trop souvent. De Québec, Le Plateau c'est le genre Les Bobos ; snobinard, de mauvaise foi et surtout, unilatéralement de gauche bourgeoise.









mercredi 1 août 2012

Élections 2012 !

Surprise, surpris ? J'en doute !


J'écoutais le PM sortant de la Belle attaquer la campagne 2012. La confiance affichée appuie véritablement le slogan retenu "Pour le Québec !" Pour lui, l'économie agit tel un pansement. Cependant, lorsque la blessure recouvre presque tout le corps, là, le blessé devient une poupée grotesque et méconnaissable.

Cette aprem, Jean Charest brossait à son avantage un bilan de 9 années. Rarement aura-t-on vu une gouverne aussi fastidieuse. Six mois en politique, c'est l'éternité... Revenons au printemps ou en politique, hier. Il a maintenu l'étau sur ses ministres, il s'est trainé les pieds pour mieux déclencher des élections à un moment inespéré, la rentrée.


Face à lui, presque tout ce temps, Madame Marois et son parti. Ce clan valse de par les sondages et la bêtise de son caucus. Pire, ils arborent fièrement le carré rouge, symbole d'une certaine violence et plus pernicieux, de la désobéissance civile. C'est ainsi que la chef couchait avec les étudiants sans restriction aucune.

Imaginons le contraire une minute. Ce comportement aurait eu pour effet, de laisser le mouvement étudiant et les leaders syndicaux, sans légitimité politique. Le slogan : À nous de choisir ! Même s'il est court, il n'en est pas moins réducteur d'une situation chaotique. Jean Charest lui demande

"Pourront-ils entrer dans les salles de cours ?"

S'ensuivit la dame bétonnée. Pas entêté, pas obstinée, non, que de la ténacité. N'oublions pas que la dame de béton a été sauvée par un délateur. Je me souviens, janvier 2012, sa popularité devenait si fragile qu'il aura fallu une jambette à Gilles Duceppe. On ne sait pas qui la lui a asséné.


La voie du changement crée du tumulte, de la grogne. Allez, dit-il : "C'est assez, Faut que ça change !" De tous, c'est le plus incisif et le plus critique car sa gouverne s'oppose à un vent de front, la culture syndicale.

Ce parti révisera tout. En priorité , la santé, l'éducation, la réingénierie en quelque sorte d'un état trop lourd. Il devra cependant élaborer une communication plus efficace. Une vulgarisation s'impose. Les forums proposés aux PQ et aux Libéraux vulgariseraient bien sa vision.

Les 35 prochains jours permettront tous les coups. Dans les 125 comtés, le DG s'assurera du processus démocratique tant de fois remis en question. Espérons que ce rendez-vous ne rendra pas plus laide la Belle que j'aime.

À l'horizon, une majorité de siège stabilisera la nation Québécoise sous la loupe de la Commission Charbonneau. Souhaitons-nous le meilleur !
























Québec Solitaire...

Perso, comme vous possiblement, je constate que le parti du duo David/Khadir se retrouve bien isolé. Les porte-paroles spontanés du printemps érable exhibent le carré rouge étudiant et, obstinément, supportent la désobéissance civile.

Amir, moins David, se compare sérieusement à un tas de personnages sur la scène d'un burlesque théâtre, sans auditoire. Le député de Mercier, en solitaire, brandit des slogans déconnectés à travers Martin Luther King, Gandhi, et, emprisonné, évoque Mandela.

Convaincu, ce député infligera à l'ex-PM Lucien Bouchard l'accusation en commission parlementaire, d'infidèle aux peuples. Il affiche itou dans son boudoir un tableau d'un goût louche illustrant une autre épopée.



L'Iranien révolutionnaire Khadir ne néglige pas cependant sa contribution à notre démocratie. L'élu de Mercier porte pour de nombreux citoyens des pétitions à l'Assemblée Nationale. Françoise, elle, clos la journée avec casserole et fanfare nocturne.

Pour finir, je ne vois pas ce parti, progressiste s'il en est, porter un grand avenir. Néanmoins, personne ne peut prédire, à part l'électorat bien sûr, un développement durable et brillant.