mardi 31 juillet 2012

Vacances près de l'autre rivière et ...

Voici des images des deux phénomènes pour lesquelles nous nous sommes déplacés hier, parmi la canicule.


Voici des images de la rivière Aux Sables parmi canards et rayons du midi, maudite marde. Voyez les plus jeunes rameurs, au début proche, puis, très très loin de nous, les pédaleux.


Ensuite, on a invité la petite famille au Barillet sur la St-Do.


Saviez-vous que de nombreux Chicoutimiens n'y ont jamais mis les pieds...

La première photo de ma petite famille au complet.

Zut ! Un seul absent, Yannick, mon plus jeune.

Entrée scolaire ?


Les partis se livrant la lutte pour la gouvernance de la Belle, bientôt je l'espère, devront améliorer leur proposition initiale. Les trois prétendants sérieux ne suggèrent pas, à court terme du moins, la gratuité. Les PQuistes avancent le taux d'inflation, les CAQuistes, un 200$ par année, à partir de 2013, et les Libéraux, la totale.

Je conclue donc que des mouvements arborant un ptit carton rouge se masseront à l'entrée de nos collèges et de nos universités. Les casseroles, tant qu'à elles, animeront telles des fanfares, les couchers de soleil des cartiers métropolitains.

Je me souviens cependant que seule une minorité d'étudiants avait adoptés la ligne dure à l'égard des hausses. Malgré les baisses du gouvernement et les rajustements, rien ne motivait le règlement du conflit. Les quatre clans étudiants rejetaient les propositions trop loin de la gratuité souhaitée.

Pourtant, de tous les étudiants contre la hausse, seulement une minorité favorisait la grève. Perso, je mets en doute les façons de faire de la CLASSE ; du quorum en passant par la procédure de votation. Mais ça, c'est une autre question à laquelle le prochain gouvernement s'attardera inévitablement.

Plus les prétendants préciseront leurs offres sur le financement des études supérieurs, d'autant leur légitimité se concrétisera. Sur le fond, j'estime que seul des états généraux rassemblera tout le monde. Même la CLASSE ?




lundi 30 juillet 2012

Politiquement paresseux !

Je dis paresseux ce qui incluent paresseuses. Voilà, un FaceBookien si ça se dit, et qui n'est pas mon ami, écrivait ceci : "Moins de 10 % des gens lisent les plateformes électorales des partis politiques."

Lorsque l'on s'enorgueillit d'appartenir à une démocratie et qu'on pose un X sur un bulletin, sans lire quoi que ce soit de politique, c'est de la paresse. Par la suite, que ces mêmes citoyens s'enflamment de grands principes valeureux, je ne leurs pardonne pas.

Pire, lorsque l'on s'enorgueillit d'appartenir à une démocratie sans effectuer un choix aux urnes, c'est inconséquent. C'est de la paresse grave. Après qu'on viennent critiquer l'actualité politique, c'est d'un ridicule consommé.

Lorsque l'on discrédite les politiciens en général, en répétant sans cesse que ça ne vaut pas le coup, que c'est toute du pareil au même, qu'on se fout de son bulletin de vote, là je deviens stupéfait. C'est de la paresse, rien de moins...



Je veux bien qu'un citoyen qui dit travailler tous les jours, qu'il ou qu'elle répète qu'un tas de choses à faire est bien plus important, à part de s'intéresser à la démocratie, c'est de refuser à quelque part, la réalité citoyenne.

Notre implication est essentiellement un devoir et fait parti du présent. Oui, le boulot, l'épicerie, l'hypothèque, les enfants et tout, ça relève de nos responsabilités. Si une part importante de la population ne se responsabilise pas, c'est dramatique.

L'implication politique, pour un, représente un lien socialement valeureux. C'est aussi un privilège et oui, un devoir au même titre que les autres tâches quotidiennes. Sans elle, une sorte de décadence s'installe au présent.

Pourquoi on vit réellement si ce n'est pour le moment présent ?

samedi 28 juillet 2012

varia olympien...

velo

hesjedal fait bonne figure aux XXXème, à mon avis ; une 62ème en solo.

david/aussant

arrangements auxquelles ils ne nous ont pas habitués. ouverture ou paresse idéologiquement stratégique.

autodrôle

la fin des sportnographes ne me rend pas triste. je m'en réjouis. puis-je ?

twitt

réservé aux accros du web, faites court, je n'écoute pas, je texte...

piste cyclable

hier, je patinais avec mon jeune petit-fils sur celle de val-bélair. un cycliste n'a pas apprécié que je fasse un U. il m'a engueulé, après avoir freiné le bougre, en me rappelant que j'étais sur une piste. tabarnak, tasse-toi !

drapeaux

moi, à la place d'un Kim Jong-eun, j'attribuerait un octroi à l'équipe de foot féminin ; un cours en art dramatique ou comment feindre...

multiculturalisme

j'entrevois bientôt un montréal unilingue, surtout sans passé d'ici.

les régions

une dame est parachutée dans un comté purelaine et, avec un nom arabisant. je n'ai rien contre Djemila Benhabib, certes une personne de valeur, brillante et tout. faut-il le faire ? certains ont le don d'enchevêtrer ce qui est simple.

pourquoi elle

je n'affirme pas ici qu'elle ne sera pas le choix électoral. "L" luttera avec une Libérale qui avait un peu moins de milles voix en 2008. préalablement, un comté cosmétropolitain lui aurait été plus familier.



















Excès étrange de Jean Tremblay...

J'ai écouté attentivement, en réaction au graffiti sur le mur peint, la déclaration de mon Maire. Bon, loin de moi l'idée de critiquer pour critiquer. Le magistrat exagère, c'est tout.



Monsieur le Maire vise l'opposition. De plus, il la menace de toutes sortes de manière ; met la police sur les dents et imagine un mur, LE mur. On peut voir et entendre sa réaction sur le site de la ville, aussi ici.

L'urgence de revenir de vacances, subito presto me rend suspicieux.

Perso, j'aurais fait laver le mur et au retour, divulguer les résultats d'enquêtes. Nous savons tous que le Maire n'est pas un voleur, voyons donc.

Allez Monsieur, reposez-vous donc !

Deux ; les élections municipales n'ont lieu qu'en 2013. C'est pas demain ça là là !

Le tout m'amène une réflexion toute naturelle. Je scrute afin d'établir l'avantage d'une opposition, presqu'invisible au passage, au point d'écrire une telle sottise. Si le crime paye, je doute qu'il sert les opposants.

En conclusion, le graffiti amplifié n'intimide personne. La réaction par contre, elle suggère la réflexion. Une réflexion presque banale.

Vestige et autres lieux


Le seul endroit avec le nom Chicoutimi écrit sur un panneau du MTQ, je l'ai déniché. Combien de temps fera t-il ? Hum ! Grande question.

Une chose demeure, mes Bleus, mes Sags, mon équipe junior viendra toujours nous remémorer ce nom patrimonial. À moins bien sur, que les nouveaux gestionnaires des Saguenéens de Chicoutimi ne modifient la donne historique.

Imaginons : Les Sags de Saguenay ?

Certains y verraient l'insulte suprême.

Selon moi, le mot est un peu fort. Déçu oui.

Mais considérant l'âge qu'est le mien, je doute que ça puisse rendre anxieux toute une génération qui n'en a rien à faire de ce vocable. Qu'il est d'une autre époque.

Déjà ?

Le temps file tellement vite. J'ai habité Arvida. J'aurais dit Kénogami que plusieurs s'en seraient questionnés. Quand même, Arvida, c'est fiché plus que Kénogami.

En fin de compte, le dit-on toujours ?





Électorat.


Chaque comté de la Belle se retrouvera en élection, dit-on, cette semaine. Moi, oui, j'ai hâte si vous voulez savoir.

Ceci dit, les candidats qui recevront l'appui des électeurs ne sont pas tous connus. J'apprends qu'un parti fera son entrée ; Rassemblement des Carrés Rouges non scusez-le, des Cols Rouges. L'argumentaire loge sur ce site. En conclusion, après lecture, on se rend bien compte que le silence majoritaire ne couvre pas tellement large, mais bon.

Soyons précis. Ce rassemblement loge au niveau des intentions. C'est comme si, en ce moment même, j'introduirais sur le web un nouveau parti. Un site avec adresse et tout, genre blog. Après, des liens sur les réseaux sociaux, des fenêtres quoi et une vision.

Moi, ce serait, un retour au plancher des vaches. Genre, qu'est-ce que je souhaiterais améliorer en santé, en éducation, en culture, pourquoi pas en fiscalité ? De mon coin ressortirait des grandes lignes et des propositions, considérées de gauche, de centre, de droite et ou subdivisées, selon.

En priorité, rassembler l'électorat autour de cette idée représenterait le défi. Vous savez que sortir les gens du gîte individuel, de leur confort, c'est fort complexe. Notre déchéance politique, oui celle que nous subissons, nous, le bon citoyen, est là, dans le refus du dérangement. Je l'ai déjà dit : on a demandé aux autres d'organiser nos affaires, c'est ce qu'ils font, ils nous organisent.

En terminant, admettons quand même que nos structures sont bien faites. Prenez celle-ci, tout y est balisé, encadré pour que tout aille comme sur des roulettes, pourtant. Pourtant, ce sera possiblement un gouvernement minoritaire plein de compromis afin de repousser plus loin, tous les volants à pivoter, les poignées d'ouvertures et les paniers de crabes.






























mercredi 25 juillet 2012

M. Dumont commente la candidature de L. Bureau-B.

M. Dumont commente la candidature de L. Bureau-B.


J'ai saisi dans les propos de l'Ex chef de l'ADQ que "l'âge d'un candidat en politique provinciale" c'est important.  J'ai aussi compris que d'être "UN" universitaire était un incontournable.  Il n'est pas le seul à le dire.  Tous les universitaires vous le diront. 

Détenir un document avec le sceau d'une université, peu importe laquelle pour l'instant, pour ma part, n'a rien à voir avec le bon jugement et le discernement.  Oui, j'affirmerais même que le contraire se peut.  Les études supérieurs à ne pas en douter offrent aux individus le privilège d'acquérir des connaissances extra-ordinaires dans une spécialité.  Seulement cela. 

Pour le reste, je veux dire l'accomplissement d'un individu, la capacité de comprendre c'est ailleurs.

Le monde politique ne devrait pas à mon humble avis se refermer sur des critères éducatifs mais bien sur l'ensemble des connaissances de la personne.  L'expérience, le niveau de culture et l'intégrité se situerait tant qu'à moi à la première page d'un CV.  Juste après le nom.

L'éducation supérieure n'offre aucune garantie et ne devrait donc pas être un absolu.  J'entends encore des  journalistes se plaindre des retraités du sport prendre LEUR place, comme si.  Mieux, des acteurs s'insurger de voir débarquer sur scène sans formation des écoles dramatiques, des meilleurs qu'eux.

Non, je ne crois pas qu'un Léo BB menace son avenir parce qu'il se rue en politique.  J'admets que l'ex-leader joue gros.  Convenons aussi que les études supérieurs dans son cas peuvent toujours attendre et qu'il aura toujours le temps.     

mardi 24 juillet 2012

La ruée des coups de feu !

Se pourrait-il, que dans une foule, le premier qui tire soit le bon ?

Le bon tire un coup ou plusieurs ?

Une chose demeure, le choix est multiple ...


lundi 23 juillet 2012

Sécurité ?


L'attention des parents procure à l'enfant la confiance. On peut dire de base que cette phrase est sensée. Bien emmailloter le bébé, le nourrir dans un endroit convenable, tout cela, provoquera chez le nourrisson un calme rassurant.
C'est ainsi que se construit en partie la confiance.

Imaginons l'opposé ?

Un enfant laissé de côté, qui ne reçoit pas son repas, et grelotte parce que mal logé, et bien là on y arrive. Les fortes chances de le voir anxieux et colérique sont manifestes. Je constate les fragilités de l'être lorsque face à la réalité, les difficultés se multiplient.

Les deux familles précédentes n'excluent pas les tares mentales, même passagères. On doit pour notre avenir individuel s'y préparer ; bien entourer les gens. Devenir des aidants. Voilà en quelque sorte le défi de nos sociétés développées. Laissez seules, isolés, les personnes vulnérables concourent à affaiblir nos communautés.

Imaginons une cité sans filet social, sans entraide structuré. Toutes les dérives deviennent possibles. Chaque citoyen a le devoir de s'en préoccuper. On doit se soucier d'un errant comme d'un comportement qui nous semble suspicieux. Les commandes d'armes du tireur Américain en soit était un signal d'alArme.

Lorsque des observateurs avisés ciblent le second amendement de la constitution étasunienne : « Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit qu'a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé. » Ils sont sur une piste non ?

Tant qu'à la dérive en voici l'exemple parfait. Voici un citoyen du Colorado répondant à l'utilité d'avoir une arme à feu. "Si dans le cinéma quelqu'un avait eu une arme, il aurait pu se protéger ! "

C'est bizarre non ?
































Tour de France 2012 !

Pierre de La Presse, vous savez bien, le Foglia du cyclisme, et bien ce matin il écrit la-dessus. Ça m'a intéressé plus particulièrement ce matin. Déjà le titre, ça vous dit non ?

Moi, Foglia, déjà, c'est un titre. Revenons à l'article "passion" qui, selon moi, est un homonyme de l'auteur, elle précise le nom d'un col, le Mur de Péguère. J'ai de suite googlé et dénicher parmi tout, ça.

C'est un site qui retrace de A à Z les préparatifs. La page accueil mentionne la contribution des organismes régionaux. Voilà, j'en apprend des choses hein ? Et j'ai pas terminé la lecture.

Ce qui suit, sont des images de la montée dans un véhicule xyz. C'est fou les fans du velo. Fans ? Certains piègent avec des clous. Non mais, peut-on les laisser rouler.



Oui, c'est une tradition le Tour, je comprends mais protégeons les coureurs merde !

Ici, on nous offre les juniors, les futurs du Tour. On nous explique le préparatifs une couple de mois avant. Le site du 2012 est ici et on l'a baptisé la Coupe des Nations !

dimanche 22 juillet 2012

Jeux de Londres ! XXXème



Dès vendredi, les cérémonies d'ouverture démontreront à la planète entière l'art Londonien. La capitale anglaise compte un peu plus de sept millions de citoyens. La méga cité a été fondé autour de l'an 0 de notre ère.

Le site web est ici. J'attends avec impatience le début avec le foot féminin, mardi et le masculin, mercredi. Ah j'oubliais, Les Canadiennes joueront contre les Niponnes à 11 heures je crois. Les canadiens ne se sont pas qualifiés. Mercredi, je pourrai voir le Brésil et leur samba...

Pourquoi impatience, ce n'est que du foot ? J'aime le foot. Les prouesses lors d'un match sont multiples. Y a pas que les buts qui m'intéressent, y a la progression du jeu.


Bon jeux à tous !














samedi 21 juillet 2012

Mon IGA ?


Le IGA de Jonquière, celui du Marché Guy Bergeron, n'est pas mon préféré.

Non, mon IGA à moi, celui de la rue des Champs-Élysées, hache la viande, toutes les viandes d'ailleurs, comme pas un. Pour preuve, son nom ? L'Yvon Haché !



Devinette ?

Qui est ce personnage ?


Le Barillet !


Le resto régional, à mon humble avis, c'est Le Barillet. Une raison particulière ?

Plusieurs voyons !

Un, le Proprio et les Préposés aux services sont affables et rapides.

Deux ; la viande rouge est à l'honneur avec l'Angus AAA "Certified", une exclusivité.

Trois ; sa carte des vins rend hommage au cellier Vieille Garde.

Ce resto aura donc traversé les époques en conservant un statut à la fois familial et gastronomique. Le Barillet demeure une institution tout en étant une entreprise bien établie.

Allez-y, je vous le recommande.



Encore une ...


Voilà ti pas que mardi, j'ai pris possession de mon nouveau char. Encore une asiatique. Oui, une niponne, c'est ça. Dans le stationnement, ça sent le char neuf.

Cette fois, c'est la techno ou la all-dress qu'on pourrait dire. Comme l'image le montre, j'ai l'air climatisé. J'ai le régulateur de vitesse, le contrôle de stabilité, les vitres automatiques, le démarreur à distance, coussins latéraux, sièges chauffants pour les culs frettes, etc...

Imaginez-vous donc, un oiseau a chié dessus en mon absence. Mercredi ça. Ça me frustre mais bon, c'est aussi ça la vie de merde.

Le paquet que vous voyez sur la première photo à droite, celle du bas, c'est une tarte au bleuet acheté hier car je suis en vacances.

Ah ! Les photos prisent, l'ont été grâce à mon Fuji que j'ai acheté samedi passé. J'oubliais, je vous en avait parlé ici.

Alors je vous laisse, je dois lire comment le régulateur marche...

Bonne journée !

Tueurs de masse.


Arrêtons de chercher les engins explosifs lorsqu'ils ont sautés. Les médias sonnent l'alarme en tentant d'expliquer les meurtres par balles après qu'elles eurent sifflé ici ou là. Oui, les agents malins ; les jeux vidéos, les films et séries sanglantes s'affichent, se succèdent et se ressemblent. Ça on le sait tous.

Les histoires d'arme à feu se multiplient. Oui, les États-Unis démontrent hors de tout doute qu'ils sont les meneurs au palmarès des meurtres de masse. Pourtant, les autorités se refusent à une limitation des armes à feu. D'ailleurs, on prétend toujours que leurs accessibilités sécurisent le peuple américain. Ça on le sait tous.

En alléguant que ces facteurs contribuent aux actes fous, c'est d'une banalité extrême. Les multiplier ne feront qu'ajouter à la culture des impassibilités humaines. La seule question demeure ; sans l'Homme, tout ça ne se produirait pas. Les désaxés de notre planète sont nombreux, on ne les compte pas. On ne les internes presque plus. De plus, les soins qui leurs sont alloués, quand ils le sont, s'accompagnent rarement d'une présence significative.

Aussi, l'Homme ayant comme seule relation quotidienne, les guerres et duels virtuels, explique en partie une désincarnation sournoise ou stratégique. Le réel du virtuel, voilà. On ne pourra s'étonner d'une banalisation des actions contre un opposant théorique. L'acteur débranché attaquera donc en toute gratuité, l'ennemi de son objectif ultime, passer à un autre niveau. Être plus puissant.

L'une de ces présences est une grande négligée de nos jours. J'oserais dire, inconnues. La spiritualité religieuse, qui nous étaient enseignées à l'époque, agissait tel un tuteur. Je n'insinue pas que nos leçons de catéchiste nous plaçaient tous à l'abri des infamies. Bien sûr que non. Cependant, nous savions que le mal était à notre portée.

J'affirme cependant qu'une bonne part de mes concitoyens se conformaient en se comportant en personne responsable. En différenciant nettement le bien du mal. Les gens obéissaient, hypocritement souvent, néanmoins, n'est-il pas là le bon sens d'autrui ? Prenez les personnes rejetées, mises à l'écart. Elles rencontraient souvent une ressource réconfortante, compatissante. Aujourd'hui, loin de la rechercher, ils s'en distrairont plutôt. Les distractions sont tellement présentes.

Pour terminer, le conformisme demeure un havre de paix sensé. Encore l'hypocrisie ? Oui, l'Homme est ainsi, c'est dans sa nature. Regardons-nous se comporter sur nos routes, aux intersections, c'est patent. Pourtant aucun de nous n'abrogerait le code de sécurité routière. L'unanimité chez les conducteurs n'a jamais été remise en question. Ça on le sait tous...



jeudi 19 juillet 2012

Camarade




Loin de l'invasion de 1968 en Tchécoslovaquie, cette chanson de Jean Ferrat reste toujours jolie. Camarade, ce nom encore beau, que l'on ne dit presque plus, a encore un sens.

Tous les jeudi, ces camarades de travail, regardez ce qu'ils font pour moi ? Quedal. Rien du tout, ils ne bougent plus en me regardant ainsi...

Et on dit qu'ils méritent vacances et bonbons...


mardi 17 juillet 2012

Tout, ici bas

Tout ici bas a une fin. Même l'eau s'assèche.
Agissons comme tel. Pourquoi parlez de ça à matin.
C'est que voyez-vous, j'en ai conscience, ce matin.
Juste avant mon départ pour BComo.

Encore une fois, dans le cadre de mon boulot,
Je longerai le Saguenay, puis la Marguerite et LE Fleuve.
Même, je les traverserai comme la pluie se jette.
Aujourd'hui, je me comporterai en civilisé.



dimanche 15 juillet 2012

Kodak !


Voilà bien la preuve que Mihichat n'M pas ce que je viens de me procurer, un kodak.

Ce Fuji appartient désormais à mon univers de bonhomme, genre dynosaure.

À une époque, pas lointaine du tout, on achetait une caméra et pour prendre des photos, un film. C'était diversifié, un film. D'abord le noir et blanc, puis la couleur, le nombre de poses (12-24-36). Récupérer les négatifs, c'est obligé. Ce n'est pas tout comme démarchage.

Le film terminé, je veux dire, après avoir épuisé les prises du film, il fallait développer. Je me rendais chez le développeur. Une semaine plus tard les photos étaient développées. Lorsqu'on les récupérait chez le développeur, nos photos ou ce qu'il en restait, on pouvait apprécier les instants vécus.

Là, je me restreins dans la description du finish des prises ; le sujet, le cadrage, les flous, les yeux rouges, l'éclairage, les clignotements, la bougeotte etc...

Avec celui que je viens de me procurer, j'ai le réflexe de ne pas gaspiller de clichés et de ne pas prendre à volonté. Imaginez, j'ai 8 gb.


culture géo...



On dit souvent que pour créer une pagaille, minimalement, il faut être deux. Ceci constaté, après avoir entendu et écouté, j'me dis, que je suis donc content de vivre du bon côté, avec l'OTAN...

samedi 14 juillet 2012

Nabokov un suisse ?



Je mets au défi mes amis d'écouter ce chapître intellectuel humoristique. Ce n'est pas tous les jours que nous avons à une antenne kébékoise un tel phénomène fantastique.

Moi, j'oublie aisément ma soixantaine. Ce qui fait que je suis en dehors du temps, comme ceux de mon âge d'ailleurs et qui s'intéresse à autre chose que "ce soir aux amateurs de sports..."

Je me reprends. Ce chapître illustré n'est là que pour démontrer l'acuité de l'être à l'égard des cultures dominantes, mais tranquilles.

Vraiment, je vous le confie, je ne connais pas l'écrivain Vladimir Nabokov sauf ce qui précède.

Grande chaleur grand batteur !



je reviens tel un métronome
à ce batteur endiablé
associé à porcupine et
à l'english, steven wilson !

ou mixer avec percussion,
ou alors pianotage jazzé,
sans être truqué et
plein de bonnes intentions

RTA lutte avec ses petits...


Le titre caricature un lock-out qui s'achève par l'entente du retour au travail. Lentement, les travailleurs, de l'une des usines les plus performantes dans son domaine, franchiront la barrière sud à partir du 18 juillet.

J'entends plusieurs personnes, même des syndiqués, s'indigner de la perte de temps. Les piqueteurs selon eux, n'ont rien gagnés. Je leurs dirai au départ qu'une grève, par surcroît un lock-out de 6 mois, ce n'est pas payant.

Ici, aucun des détracteurs de Marc Maltais remettent en cause l'entente secrète avec Hydro-Québec en cas de lock-out. Convenez tout de même que tous les montants octroyés par les citoyens Québécois à l'entreprise est une méprise grave aux négociations.

Deuzio, les avantages acquis par les travailleurs sont importants. Plafonnez la sous-traitance à moins de 10% me semble un gain important, car c'est écrit. Les autres usines, en danger de fermeture je vous le rappelle, n'ont protégé que les emplois dit "Alcan". Voilà un gain formel.

Trois, les gars en orange ont livrés une lutte sensée et moderne. En se rendant ailleurs au Québec, et même à l'étranger, la délégation aura expliqué un comportement capitaliste malsain ; celui de l'exploitation sans contrainte.

On ne peut comme travailleurs omettre tous les combats passés ; celui-ci en fait parti. Les conventions collectives, qu'on le veuille ou non, auront assuré des avancés sociaux. J'ai encore en tête les propos d'un président de banque en réponse à leurs revenus trop important : "je ne gagne pas ce que je mérite, je gagne ce que je négocie..."

Twittes, twittons, twittez...

Quelqu'un que vous connaissez sûrement disait l'autre jour qu'il valait mieux parler que de ne rien dire. Cette phrase, je la dédie aux élites sans-le-sous. Elle vaut tout autant pour un personnage public, dont on ne parle jamais, que pour un candidat politique sans le sou.

Exemple. Prenons un chanteur pop, auteur-compositeur, que l'on entend partout. Tiens, un Vincent Vallières. S'il n'avait pas fabriqué cette chanson toute simple, sa notoriété n'en serait pas là voyons donc.



Un candidat comme François Legault n'ignore pas, qu'à chaque jour que le Créateur amène, on doit parler du chef de la CAQ. Parlez-en en bien, ou en mal, mais parlez-en ! Oui, les faiseurs d'image proposent ce type de visibilité, c'est gratuit.

J'ai encore en écho son échange de caractères d'iphone ou tablette quelconque avec la leader au carton rouge, Madame Desjardins. Normal, les mots ont été répété des milliers de fois. De plus, la télé, la radio et les journaux ont entonné comme un hymne presque mélodieux, le nom du chef de la CAQ.

Ceux qui s'opposeraient au style, comme l'échange avec Monsieur Marissal, avec raison selon moi, on une bien piètre connaissance des influences médiatiques. Ceci dit, François Legault dénichera, non sans peine, un autre style afin de rétablir les petits clichés twittés, ici et là, encore gratuite.


vendredi 13 juillet 2012

suite ...

Moi - Alors concluons ; le salaire de MF sera donc de xxxxx$ + 10%. Pour les autres avantages consentis, ils accentuent notre niveau de confiance à son égard.

Y - J'ai de nombreux employés, et je peux vous dire que ce genre de candidat ne courent pas les rues. Toi, t'en penses quoi ?

Z - Moi, et bien je suis tellement content. Pour deux ans, c'est rassurant. Les autres discussions ne se sont pas trop éternisées non plus. Bon, passons aux autres dossiers.

Moi - Un instant ! Bouch ! Oui, tout est réglé, pour deux ans...


Au bout de quelques instants :

Moi - Là, j'aimerais parler avec vous encore de la campagne des billets de saisons. On est pas forcé de prendre une décision tout de suite. J'ai reçu des avis sur le sujet et j'aimerais vous en faire part. On doit s'assurer, en fixant une tarification de ne pas nuire à la campagne.

Toute hausse, au-delà de l'inflation, contreviendra à notre victoire aux appel-d'offres. Pour cette année, on valsera avec un statu-quo. On connais une belle saison, ce qui est possible, ainsi on sera mieux placé pour justifier l'an prochain, disons un 5% de hausse ?

à suivre...


lundi 9 juillet 2012

Disons que je gère....

Disons que je gère les Sags, notre équipe de la Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec. Je ne prendrai pas de vacances pour l'instant. Je m'empresse de rencontrer en tout premier lieu mon premier spécialiste.



...un, Marc Fortier MF, une recrue comme DG. Je sais qu'il est fier, qu'il a accompli une solide besogne la dernière saison et qu'il s'entend bien avec son entourage.

Combien ça vaut ?

Moi - Une minute, Marc Fortier. Qu'est ce que tu aimerais comme entente contractuel et pour appuyer ton ou tes souhaits, ton plan pour les Bleus cette année c'est quoi ?

MF - Gagner et préciser à chacun que la fierté de porter ce Bleu-là (le geste est sans équivoque. woh ! il pointe le gilet tout Bleu sur le mûr) se mérite. Que je suis un privilégié et voilà pourquoi je vais tout donner.

Moi - C'est bien correct Marc, on va réfléchir à tout ça. Je consulte mes gens car je ne suis pas seul à décider.

Moi, je suis pour une augmentation, ce n'est plus une recrue quand même et j'aime bien son plan. 10% de plus, certaines considérations, on est tous d'accord ?

à suivre...

dimanche 8 juillet 2012

Disons que je ...

Voici le titre d'un nouveau libellé. Ceux qui me lisent régulièrement, sauront que j'analyse souvent les façons de faire. À partir de maintenant, le "Disons que je" me servira d'entrée en matière.

Bon. Disons que je gère les Saguenéens de Chicoutimi, mes Bleus, je prendrai certaines décisions. Vous comprenez ?

À bientôt !

Le pissenlit ?




Du pissenlit, j'en voyais tellement sur ma pelouse fin printemps, que je me demandais, comment m'en débarrasser ?

Voilà une façon, une famille de lièvres, de lapins.

J'y songe. S'il en mange, le lapereau, c'est que ça doit être bon. Je me souviens, papa disait avoir bu de la bière de pissenlit. Vrai aussi qu'il avait été malade. En avait-il trop bu ? c'est possible non ?

samedi 7 juillet 2012

Pierre, maudite marde...


Le ptit gars, autrefois de Jonquière, aura contribué à relancer un débat sur les préférences naturelles pour ne pas dire consanguines.

Qui dit Saguenéen, dit appel au pays...

Pierre Duchesne a déjà purgé un purgatoire. Pendant 25 ans, le citoyen aura accordé au fédéralisme, un temps incommensurable pour communier avec le Québec. On en est rendu à se laisser berner par des reconnaissances insipides et vides.

"La nation Québécoise reconnue à condition de rester à l'intérieur d'un..."

Je regrette cependant sa timidité à déclarer son empressement. Imaginez, si l'accusé s'était peinturé en fleur de lys, en brandissant sa carte de presse, tout en évoquant les inepties répétés de ses interlocuteurs rougeblancs.

Le gars a écrit la politique fin 20ème avec nul autre que Jacques Parizeau. Il attendait quoi, un autre Lévesque alors que le Lévesque, c'était peut-être lui.

Allons, cessons ces balivernes d'un autre siècle. Les lecteurs et auditeurs de l'accusé ne sont pas des débiles. Voyez-vs, leur jugement tant qu'à moi vaut bien celui des fédéralistes envieux et jaloux.

Perso, la cheffe Pquiste ne me plaît pas même à en faisant SA vedette estivale. Pour trop de raison que je tairai si vs ne les connaissez déjà. Oui, chaudrons et carrés, mais bien d'autres facteurs relatifs à sa carrière politique.

Steven Wilson !



Un auteur extra révèlant à tous son talent indéniable. Un inconnu parmi les grands musiciens de notre monde où les décibels se fréquentent du nord au sud, d'est en ouest.

L'Europe le vénère tant ses concerts se multiplient. Ici, en Amérique c'est quasi un no-name.

D'ordinaire, avec Porcupine Tree, je le préfère avec Gavin Harrison et les autres membres de son groupe. Je comparerais ce groupe, sans la présence de son batteur, avec les Beatles sans l'Un des 4.



vendredi 6 juillet 2012

Nouveau contrat social...


Les économies du monde subissent des agressions soutenues sans interventions intelligentes. Tout ce temps, les hommes politiques du monde, bien qu'ils se préoccupent des affaires quotidiennes, ne démontrent pas d'intentions cohérentes globales. Que non, les dépressions sont reléguées à une sorte de fatalité, sans autopsie réelle, en la croyant même résorbée.

Les grandes banques, les magnats de la finance et les gestionnaires de fonds-mutuels se sortent bien de ces crises dépressionnaires, de ces bulles éclatées. Souvent plus riches.

Qu'elles soient financières, immobilières, boursières, spéculatives, ces crises provoquent des effets collatéraux. L'un des puissants, Warren Buffet évoquera la gravité des effets collatéraux par la reprise des propriétés étasuniennes en 2008.

On ne parle pas ici de blocs d'actions ou même des centaines de millions qu'il perdra en un clin d'oeil. Non, il dira que lui, les millions reviendront le lendemain ou le sur-lendemain. Tandis que pour les sans-logis ce sera une toute autre affaire.

Alors, ceci dit, les crises sont nombreuses. Par les temps qui courent, l'Europe tremble de toute part, car un à un, ses états se figent par restriction et compression.

Aujourd'hui, je me suis laissé inspirer par un politicien de 1933. Pas lui directement. Non ! Par un mouvement français, Roosevelt2012. De un, Hessel, un octo que je respecte énormément est l'un des fondateurs. Aussi et nouvellement, l'ingénieur de gauche, on s'en fout, Pierre Larrouturou s'explique convenablement et précise l'urgence de réagir.
























mardi 3 juillet 2012

Alessandro Nesta


Le défenseur Italien se présente avec l'Impact Montréalais. En rejoignant son compatriote Marco Di Vaio, il ne deviendra pas plus jeune, encore moins plus agile.

Point de comparaison. Imaginons l'engagement d'un Nicklas Lidstrom chez le Canadien ; ça serait super. De l'homme, il faudrait s'attendre à l'expérience omniprésente et du hockeyeur, un peu moins de brio.

Voilà, Nesta contribuera bientôt à rehausser le niveau de jeu des arrières Montréalais. Pour les tacles en urgence, ils seront plutôt timides. Ce qui suit c'est du passé.


Appel-d'offres, revus et...


Juste ici, j'avais soumis un tableau simple dévoilant, comme une effeuilleuse saura afficher ses subtilités, des apparences.

Au fait, en y regardant de plus près, je me suis ressaisi car je trouvais l'offre du clan Bouchhhh, disons gonfler d'hélium pour vous amuser. Remarquez, je ne dirai pas que le défi pour eux sera simple. Non, je dirai qu'il est intéressant.

Laissons de côté les qualités humaines de chacun des groupes. De ce côté, tous méritaient de remporter ce duel. Non, je crois plutôt que les chiffres parlent d'eux-mêmes. Au départ, le maire a dit que le groupe Carbo aura donné à la ville, en moyenne sur les 12 saisons, 110000$ (+/-10 milles).

Mon calcul est facile. Il se base sur 100000 spectateurs. J'avais même pour le jeu, miser un montant ; 186 milles. Oui, j'aurais perdu et de loin. Quand j'ai vu les montants offerts, il devenait évident que je sous-estimais le succès comptable des gestionnaires précédents.

Revenons à mon calcul ; passé 72 milles spectateurs, 20% du billets revient à la ville. Souvenons-ns que c'était l'entente avec la ville afin de leurs assurer des surplus. Bon, environ 3$ du billet, minimum, fois vingt-huit milles, ça fait 84000$. Ajoutons les séries de cette saison, +30 milles, on totalise 90000$. Ça fera donc 174000$. J'ai mis une dizaine de plus car j'ai les concessions, la loto, la pub, c'était simple.

Fin juin, je vois dans mon journal du jour, au finish, j'étais 4. Sur Carbo, 23 milles, avec Martel, plus de 31000$ et grand étonnement, avec Bouchhhhh, le double en milles. Au surplus, la ville leurs facturera cette année 150 milles dollars de plus.

Soyons pragmatiques. 506000$ sur une saison de 34 parties, ça fait, 15 milles. Les milles premiers billets vont à la ville. Il auront plus de 3000 de moyenne cette saison ; 2000 X 14$ ça fait 28000$. Je n'ai pas calculé les concessions, la pub, la promo, la boutique, la loto et en cadeau, les séries...

Pour finir, le groupe de Ménard, Bouchard, Lavoie et Deschêsne ne relaxeront pas trop en juillet. Ils ont l'organigramme hockey du club, le bureau, la ptite Bourque, Diane, la saison promotionnelle, les Sags, le 40ème du club, le repêchage 2013 etc... Promotion Saguenay les appuiera sûrement afin de leur rendre plus facile la tâche callée appellée.

Un boson...



Boson, ça vous dit quelque chose ? Moi, j'essaie encore de comprendre la foutue formule physique, ah et pi merde, j'abandonne.

À prime abord, je me dis que c'est un cercle vicieux très humain. C'est une façon d'apporter une lueur d'éternité à notre impermanence. L'élite en physique aime contribuer à l'avancement de la science, c'est connu.

Einstein pour moi est un exemple récent de cette propension légitime, mais trop bête. Le mec a réussi une étude, qui en peu de temps, aura contribué à détruire, en un presque clin-d'oeil, tout un coin de pays, même deux.

Cette aboutissement, qui se poursuivait un peu au sud d'ici, en Illinois, osait mettre à jour un principe, la particule-dieu. On ira plutôt en Europe. Les physiciens préfèreront dire qu'une fenêtre toute nouvelle, la néo-physique devient possible.

Certains érudits émettent la création involontaire de trous noirs....

Bonne fin de journée !

Année de la coopérative.


En écoutant l'émission ici, j'ai bien compris que le Québec est unique au Canada. Oui par sa langue mais aussi de par l'économie coopératif. Je ne vous apprends rien en vous disant que j'habite une coopérative depuis bientôt 34 ans. Là où je réside, on se fixe des principes coopératifs de riches, les fonctionnaires de la SCHL diront, d'assistés sociaux.

C'est que la mensualité est très concurrentielle malgré une participation aux tâches, minimale. Voilà en gros une vision de la coopération à courte vue ou d'opportunisme. Pour résumer, on s'y installe avec un confort raisonnable à peu de frais pour financer à court terme, l'achat d'une propriété.

Le danger de la coopération réside là, dans l'opportunisme ou l'attentisme. Lorsqu'on parle coopération ici au Québec, on pense aussitôt au Mouvement Desjardins. Du mouvement de village, on peut dorénavant parler d'institution financière quasi bancaire. Oui certains diront au détriment des petits épargnants ce pourquoi le mouvement a été pensé.

En ciblant la coopération, que dire d'Hydro-Québec, une méga coopérative déguisée en société d'état. C'est une forme de coopérative puisque l'ensemble des gens du Québec en sont propriétaires. La coopération c'est ça que voulez-vs que je vs dise ; mettre en commun des avantages pour l'enrichissement de chacun. Les mines, le Plan Nord, moi, ce serait ça idéalement. Au lieu de vendre c'est la prise en main de notre bien collectif.

Ne Non ! C'est pas à gauche, c'est en plein centre.





lundi 2 juillet 2012

varia de la confédé.

harper

son affection pour la reine se matérialise encore plus lorsqu'on voit le ministère du patrimoine "patrimoine canada" distribué des photos jubilaires de la reine à la grandeur du canada.

tableau

le pm de notre grand pays s'est même déplacé au palais de buckingham pour présenter le tableau ; l'exercice aura coûté une modique somme, c'est un jubilé quand même.


RTA

entente de principe présentée par le camarade maltais aux 780 camarades dès que possible. s'il la soumet, c'est qu'elle semble intéressante. rappelons juste que la sous-traitance a une place, pas plus. le férié de la fête canayenne en bonus.

Forum franco...

qui de mieux placé pour parler de la menace qui plane sur la langue française à montréal, que le pm canayen ? posez la question c'est de glisser une réponse dans la poche (là où l'hostie perd tout son sens) de l'orateur.

saguenay

mon maire a un faible pour l'unifolié. pour élizabeth, j'en doute. cependant, il le niera pour ne pas perdre la $ympathie canayenne.

la 38

ou la mammouth, symbolise bien ce qu'est un fourre-tout. faut bien payer le jubilé diamanté.

aveu personnel

j'ai toujours été catho. Depuis que je suis tout ptit. J'ai chanté l'hymne
si souvent. qu'il y en est une autre, même jubilaire, pas capabe.




dimanche 1 juillet 2012

Euréka !!!



J'écoute depuis un certain temps "Maurais Live" le matin. Oui, la radio X avec Dominique Dominic Maurais. Voilà j'ai trouvé une image caricaturale, à peine, des deux louveteaux qui animent ce show avec Jean-Claude Ouellet qui a le don de crier le méchant. C'est de la radio poubelle, mais toute nette.

Ceci dit, j'écoute et savoure autre chose que "médium-large" avec Perrin. Ça me permet aussi d'élargir le spectre socio-politico du Québec-Métropolitain de la métropole Kébékoise. Si je justifie ma faveur c'est que je conçois que l'on puisse délester la poubelle.

Lorsque je dis "poubelle" c'est réfléchi. Prenez le filon québec-tourne-en-rond, c'est à croire que les faiblesses de la gouvernance au Québec est unique. Non, on reviendra aisément avec du "made in Quebec", sans mentionner les affres d'ailleurs. Je leur pardonne car c'est tout aussi inqualifiable.

Socio-politico mal-à-droite ; il déchante sans cesse la gaugauche en omettant volontairement le ridicule versant des Conservateurs, des banquiers ou mettez-en, des abris fiscaux pour les grands de ce monde, etc...

Un autre filon ; les deux raffoleront utiliser l'anglais "de service" intégral. Ceci n'est pas un accident de parcours, que non. C'est une option volontaire même s'ils se tirent dans le pied. Ils ne le disent pas mais pour eux le frança est pas menacé. That's a joke ! Ensuite DgéCi traduira pour faire la démonstration qu'eux parlent la langue universelle.

Des semaines de plus de 15 heures de radio, c'est quand même du boulot. Il y a d'autres filons bien sûr. C'est ce qui donne le caractère régional du show. J'en donne un aperçu ? Breton le prof-anti-syndicaleux, Brassard un Has-Been renouvelé, le colisée est où ?, le pétillant Duhaime, le vendredi c'est le Gra-mau-fun, etc...

Le clip suivant, pour continuer avec la caricature, représente à mon avis un Dom ou DGéCi dans la peau de Gratton et le grano en une sorte de Kadir du plateau. Voilà, c'est un clin d'oeil rapide sur mes matinées de radiophile.