mardi 3 juillet 2012

Année de la coopérative.


En écoutant l'émission ici, j'ai bien compris que le Québec est unique au Canada. Oui par sa langue mais aussi de par l'économie coopératif. Je ne vous apprends rien en vous disant que j'habite une coopérative depuis bientôt 34 ans. Là où je réside, on se fixe des principes coopératifs de riches, les fonctionnaires de la SCHL diront, d'assistés sociaux.

C'est que la mensualité est très concurrentielle malgré une participation aux tâches, minimale. Voilà en gros une vision de la coopération à courte vue ou d'opportunisme. Pour résumer, on s'y installe avec un confort raisonnable à peu de frais pour financer à court terme, l'achat d'une propriété.

Le danger de la coopération réside là, dans l'opportunisme ou l'attentisme. Lorsqu'on parle coopération ici au Québec, on pense aussitôt au Mouvement Desjardins. Du mouvement de village, on peut dorénavant parler d'institution financière quasi bancaire. Oui certains diront au détriment des petits épargnants ce pourquoi le mouvement a été pensé.

En ciblant la coopération, que dire d'Hydro-Québec, une méga coopérative déguisée en société d'état. C'est une forme de coopérative puisque l'ensemble des gens du Québec en sont propriétaires. La coopération c'est ça que voulez-vs que je vs dise ; mettre en commun des avantages pour l'enrichissement de chacun. Les mines, le Plan Nord, moi, ce serait ça idéalement. Au lieu de vendre c'est la prise en main de notre bien collectif.

Ne Non ! C'est pas à gauche, c'est en plein centre.





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