vendredi 13 mars 2009

Michael Sabia de Yale.

Notre Caisse jette son dévolu pour sa présidence et sa direction chez Monsieur Sabia, un ancien de BCE et du CN. Pour m’aider à élaborer ce billet, j’ai zieuté un clip qui m’a donné un premier aperçu de l’élu. Aussi, des commentaires, que j’ai glané ici et là, ne lui sont pas du tout favorables. Un instant, me dis-je, on ne peut pas plaire à tout le monde. J’aurai préféré un franco, mais bon, ça n’a pas de pertinence dans le cadre d’une puissance mondiale financière Québécoise. Cet Ontarien s’exprime en français mieux que Koivu ou Kovi, des célébrités qui travaillent au Québec depuis des lustres. Néanmoins, je ne suis pas chasseur de tête. Bien que Monsieur Robert Tessier, président du CA de notre Caisse, a bien dû se référer à ces chasseurs, misons qu’il aura tous les arguments favorables. Je viens d’entendre l’ex-PM, Bernard Landry, qui me semble en état de choc, voit cette sélection d’un mauvais œil, pire, une provocation. Celui-ci s’en prend à la culture économique du gestionnaire. Monsieur Tessier, pourtant, en voyant le nom de Sabia, l’horloge de la Caisse s’est stoppé net. Nul besoin de retarder sa nomination, vite vite, c’est notre homme. Alors attendons... ...après le souper : là, je viens d'entendre les propos nuancés de Sophie Cousineau, de la Presse. Inquiète, elle s'interroge tant qu'à l'empressement de cette nomination. Pourquoi dans la foulée d'un virage à 180 degré de la ministre Forget à l'égard, un, de son témoignage à la commission parlementaire et deux, du témoignage même. Elle finira en révélant qu'un seul candidat évaluer, était pour elle une déception. A suivre... ...j'ai scruté le web et déniché ceci. Tout de même bizarre comme seul lien antérieur ; une maman, féministe ...

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