lundi 4 janvier 2010

Politique municipale

Alors, je fais mon bilan municipal. En cette année électorale de nos cités, petites et grandes, trois ont retenu mon attention. Ma ville, celle à l’autre bout de la 175 et la métropole ou ville aux milles arias sérieux.

L’officiel Chicoutimi ne se plaint presque plus. Saguenay fait son bout de chemin et grand bien leur fasse. Pour ma part, mon lit est bien douillet sur ce thème.

Jean Tremblay aura traversé avec moins de panache les défis lui étant adressés. Qu’à cela ne tienne, il a été reconduit aisément. Pour tout dire, même ses opposants votent pour lui. J’avoue cependant que le personnage m’excède un peu plus. Qui, pour finir, par son pouvoir allongé en décade, n’excèderait pas le citoyen ?

Labaume, à pied levé, étend son pouvoir. Il prône ce qu’il fait et sans procrastination je vous prie. D’un projet d’envergure à l’autre, via toutes les petites affaires de rues et ruelles, il vend aux esquimaux le frigo mais au logo qu’il veut. Ça marche non ?

Gérald Tremblay, à son grand dam, tente par toutes les tournures de faire de cette métropole, sa ville, Une. En plus, lui, ce sera tous les dessous ; rues, ruelles, compteur, viaducs et ponts.

La cité cosmopolite, la seule au Québec, vogue dans l’imbroglio. Les projets passent par toute sorte d’étapes complexes et hasardeuses : c’est parce qu’il ne sait pas vendre diront ses détracteurs. Ses adversaires cachés le poussent même vers la capitale de la Belle Province afin que le recyclage des frigos fasse son effet durable.

Bien évidemment, peu de gens, honnêtement, peu de gens n’ont envie de se retrouver sur son fil.

Une suite…

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