mardi 22 mai 2012

Kébek aux carrés... "suite"


Hier, ou avant, j'illustrais les carrés tendances des slogans politico-sociaux. Je réalise que pour un daltonien, le ton du dialogue lui sera plus signifiant ; bien tant mieux. Pour le dessin en lien, j'avais oublié bien involontairement la carré jaune.

Je le situe pour les daltoniens, à droite, non, en plein centre idéologiquement mais à l'extrême droite du dessin.

Ceci dit, l'aspect progressif jaunissant, en fondu décroissant du haut vers le centre, symbolise que le débat devra atterrir-là. Au centre. Ajoutons à cette complexité bien terre-à-terre, que les arguments en négo doivent être bien en évidence.

Richard Martineau donc, que je ne lis pas souvent, disait dans une de ses chroniques le 1er avril dernier sa symbolique du carré jaune :

« Je suis pour une hausse, mais modérée. »

Actualisée, disons hier près de Place Gamelin, le carré jaune prend tout un sens. Les partis se durcissent, au lieu de dialoguer, afin de reposer nos forces policières métropolitaines dans un contexte social quasi chaotique.

Mr. Martineau suggère une hausse minimale. Au clair, le financement des hautes études sont financés par quatre sources ; nos impôts, 50%, le privé, 30%, les étudiants 12% et 8% d'autres sources. Le gouvernement demande ça.

À entendre les tenants du carré rouge, l'approche négo privilégiée n'est pas complexe ; l'offre = 0 $. Non, comprenez-moi bien, pas le gel des frais, la gratuité. Dans les circonstances, ce serait intéressant que le premier ministre, du haut de son trône vienne discourir à la nation. Peu de gens, à ma connaissance, sont au parfum de l'objectif rouge.

Dans l'histoire des hautes études nord-américaines parlerons-nous d'audace ou d'un manque de lucidité. Ajoutons à ces éculubrations élucubrations cette donnée.

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