mercredi 31 mars 2010

Ligue de Hockey Junior Majeur du Québec

suite…

Tout décideur, lorsqu’il pénètre dans un lieu de décisions, désire être reconnu. En admettant qu’on l’ignore, il devra au plus tôt se faire connaître et s’imposer habilement. Sans cela, les décisions de la Q ne refléteront pas ses désirs ou pire pourraient lui nuire. En tout état de cause, la sentence devra lui être la plus favorable que possible.

S’il bénéficie d’une réputation crédible ou vient d’une organisation prestigieuse, les décisions ne devraient pas trop l’affecter. Ceci est facile à comprendre. Chacune des organisations alimentent l’organisation centrale ; l’une d’elle investira 3% et l’autre 15% des budgets du QG*. Assis à la table, je ferais en sorte de subir un traitement équitable.

Une rumeur circule et je la cite en exemple. Un des officiers actuels de la Q était à l’emploi de l’une des équipes. Son ex-patron lui octroyait un salaire bien évidemment. Insatisfait de ses services, mutuellement, ils conviennent de ce transfert ; officier au bureau de la Q. Désormais, il accomplit une fonction de surveillance. L’histoire ne dit pas qui le paie, mais bon, son contrat est respecté.

Je sais c’est une rumeur, mais elle est utile. En admettant qu’elle soit fausse, dans la réalité de tous les jours, le type est à l’emploi de la Q, dans un rôle d’officier depuis qu’il a été remercié de l’organisation prestigieuse. Les dirigeants de la ligue junior du Québec ont le droit me semble d’avantager les collègues. Je m’interroge aussi, et c’est mon droit, de quel côté iront les interventions du monsieur.

En contre partie, une équipe qui bénéficie d’un avantage, d’un acquis. En exemple, une équipe bénéficie d’allocation de la ligue pour le voyagement. Elle contribue au QG autour de 3% ; à sa place je me ferais tout petit. Détrompez-vous, ils crient sur la place publique et s’objectent aux différentes ordonnances des officiers. Attendez l’ambiance en huis-clos !

En quelque sorte, tous ont des avantages et des inconvénients. Comme le dit l’adage ; vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade. Non, plutôt, vaut mieux être riche et malade que pauvre et en santé ou vaut mieux être pauvre et en santé que riche et malade, voilà, je l’ai. La suite de ce billet tiendra compte de la réalité, comme qu’on dit ; rien ne vaut le plancher des vaches.

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