samedi 15 novembre 2008

L’économie mondiale.

Je regardais la nomenclature des pays rassemblés à Washington sous l’égide du G-20. Mon premier interrogation ; le grand absent, l’ONU, pourtant soutenu à grand frais. Cette organe de démocratisation se voit encore une fois ignorée des pays dit développée et en émergence. Ceux qui suivent le rendez-vous auront aperçu aussi, le Roi Abdallah ben quelque chose, d’Arabie Saoudite. Les pays de l’Amérique du sud sont représentés par l’Argentine et le Brésil. Le continent Africain avec son milliard de population est représenté par l’Afrique du Sud. Les Américains, hôte et fauteur de troubles, reçoivent tout ce beau monde ainsi qu’une délégation des plus grands financiers. J’ajouterai au passage que tout ce beau monde, déguisé en sauveur, sont les premiers acteurs du triste bordel de la crise financière. L’héritage bushiste nous entraine dans un cataclysme sans nul pareil. Qui croyez-vous relèvera les marchés, détenteurs de l’avenir des gens riches et célèbres, ces pourfendeurs de lois et règles humanitaires ? En tout premier lieu, les citoyens ordinaires paieront la note. Tout ce beau monde, à qui nous confions nos volontés, en planifieront la suite logistique. Le seul remède et cela ne devrait surprendre personne, sera le crédit bancaire. L’institution aura été la source de nos déboires planétaires et le véhicule des solutions. En attendant, les pays sous-développés, en attentes de promesses, tomberont dans l’oubli et le désarroi répété. Ma solution à cette faillite serait la même que pour toute entreprise sans le sous pour ses créanciers ; la repentance, une autorité valable et la remise à 0, en effaçant tout simplement.

2 commentaires:

  1. Je ne peux pas m'empêcher. La crise financière est-elle réellement une résultante des années Bush ? Si oui, j'aimerais bien voir l'argumentation suivre l'attaque gratuite.

    Merci.

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  2. Les sub-primes, talon d'achille de l'économie américaine depuis 2004 ont fini par la nock-outer.
    De plus, les fronts Afghan et d'Irak ont absorbé une marge importante que les USA possédaient et ainsi entrainer depuis 2002, des déficits successifs.

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