samedi 22 mars 2008

Chibougamau.

Le temps prouve de manière flagrante l’ingratitude des décideurs étrangers. J’explique cette affirmation par le pacte intitulé, la Paix des Braves. Incidemment, en 2003, les peuples du Nord Québécois prennent désormais un sens privilégié. Les négociateurs, en s’assurant un développement hydraulique, répondaient aux autochtones sur la base de 3 demandes : ¨obtenir plus d’autonomie, avoir des territoires plus grands et sauvegarder l’identité et la culture¨. Le gouvernement Fédéral alloue aussi des principes qui sont : ¨les revendications territoriales globales et les revendications particulières¨. Je livre tous les détails de l’entente ici, incluant les annexes et les cartes entourant ce traité. Les trois nations autochtones signataires de la convention sont ; Oujé-Bougoumou, Mistissini et le regroupement CRIS, comprenant plus de 15 municipalités. La population de ces communautés totalise près de 20 milles citoyens. À la lumière de toutes ces considérations, les négociateurs de nos gouvernements déterminent deux classes de citoyens et un territoire entrecoupé favorisant l’un des deux groupes, les premières nations. Je veux bien croire à la paix, mais les braves ne sont-ils pas tous du même côté ?

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