mardi 4 mars 2008

Anti quoi ?

Ce billet vise des antagonismes qui n’en sont pas toujours. En exemple ; Joseph Facal s’objecte à l’antifédéralisme outrancier, est-il devenu un traître ? Le Joseph en question explique bien entendu de long en large, jamais succinctement, ce qu’est un bon joueur, un vrai. En premier lieu, être de bonne foi. En second, respecter l’adversaire en se gardant de ses émois frivoles. Et trois, rester persévérant et déterminé sur l’objectif. Pour la suite, ne jamais avouer sa pureté intellectuelle car c’est un leurre.

En exemple ; les hégémonies ne sont jamais vainqueurs. Ce sont d’éternels conquérants, sous des prétextes fardés d’émoi. L’entêtement de ses oligarchies tend vers la pensée unique, coupable de concupiscence et de lâcheté. La confondre à tous ses sujets suppose des connivences qui jacassent à voix haute avec redondance. Ces manipulateurs, même dénoncés, perpétuent sous de fausses représentations, une domination fascisante.

Maintenant que faire devant tant de contradiction ? Rester bon joueur dans ce monde organisé en espérant que la vérité vaincra. Les disciples du truisme sont nombreux et leurs canaux de diffusion en progression. Les altermondialistes, jeunes et vieux, manifestent et provoquent dans la confusion et des tintamarres inaudibles en s’opposant à des pouvoirs insensibles. Les palestiniens de Gaza et d’ailleurs, comme le prétend Ron Paul, revendiquent à mains nus, non pas à l’étranger, mais sur leurs terres occupées par des usurpateurs bien armés.

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