samedi 28 février 2009

PCAA.

La santé de la Caisse de Dépôt, année après année, ne devrait pas préoccuper nos grands érudits de l’économie et de la finance. Le diagnostique actuel et les prévisions courts termes ne sont pas encourageantes. Bon. Moi, je vous dirais que la formule des cycles économico-financiers, pour le mieux, est en mutation dû aux effets d’une titrisation périlleuse parce qu’infectée. Laissons-là la savante analyse à ces spécialistes, s’il en est, pour le peu de prévoyance qu’ils aient eu dans les circonstances. Les politiciens québécois nous offrent un spectacle intéressant et affliction suprême, la déprime. Les ex itou s’accrochent, et de constats en constats, poignardent tout ce qu’il y a de tenanciers de portefeuilles, juste ceux d’ici. Un témoin s’exprimait sur les comparaisons pancanadienne qui ne tiennent pas la route ; les entrées et les sorties de la caisse de la Belle Province, unique. Passons, léger baume sur ce bilan accumulé, nos rendements encore dans le plus. Mince consolation me direz-vous, et oui, je le prends comme ça. Je me souviens tout de même d’un débat entre le parti de Pauline et le chauffeur principal, Charrest. Celui-ci souhaitant de meilleur rendement tandis que l’autre, ciblait les investissements ici, pour mieux soutenir l’économie local. Charest rétorquait ; le Monopoly avec l’argent de la caisse ne fait pas responsable. Le guide préférait la ligne facile, la voie simple et la plus droite, les bons rendements. Pour terminer ce billet, j’invite tous ces spécialistes à la modestie, autant dans l’analyse qu’aux primes aux rendements et autres gratifications.

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