samedi 5 juin 2010

Jean Tremblay (JT), un Maire d'une ville.

L'article 52 de la loi des cités et villes au Québec confirme et décrit bien le rôle d'un Maire. J'ai accepté jusqu'ici le rôle du Maire actuel avec ténacité, aux prix d'un certain ridicule.

Bien que le ridicule ne tue pas, j'ai terminé ma relative croisade et monté aux barricades. J'y suis monté pour une cause que je crois juste, prometteuse et réaliste, un centre culturelle optimal.

J'affirme que la réno de l'Auditorium Dufour du CEGEP de Chicoutimi représente l'envers tordu du Maire actuel et que pour la suite des choses, sa stature ne sera jamais plus la même. Une hégémonie qui s'épuise.

J'affirme qu'une nouvelle Salle de Spectacle entre la rue du Havre et le Boulevard Saguenay symbolise un essor nouveau en lien avec la reconnaissance de Capitale culturelle Canadienne.

Je voudrais félicité ici, Monsieur André Salesse (AS) pour son acharnement et son courage. Un, AS a marqué dès le départ ses intentions, une nouvelle Salle de Spectacle digne du milieu culturel passé, présent et futur.

Cette option lui a valu l'ironie d'un Maire en manque d'arguments. JT décréta du haut de son trône dépeint et érodé par un indigne "d'homme à la Mercedes", celui qui détenait une autre vérité.

J'aimerais aussi donner le mérite au Comité d'une Nouvelle Salle de Spectacle. Depuis la signature de la pétition, en passant par la signature aux registres municipaux, et, et surtout de leurs combats sans relâche tout en demeurant respectueux.

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