samedi 21 novembre 2009

Le volant a deux mains.

Jean, tel que souhaité, a les deux mains sur le volant. Telle que la démocratie le confirmait par ses voix, les Libéraux provinciaux héritent d'un mandat bitumé à l'extrême. Tout compte fait, le pilote ne réussit pas un tour sans perte de contrôle, par trop de vague.

Un : la crise s'est amené et les déficits avec. Elle, Madame Forget, elle disait être suffisamment en moyen. Lui, le trésorier, regarde les revenus dans la sacoche, et trouve que dal.

Deux : la collusion bouleverse les relations dans le monde de la con, e, du marché noir et vive la galère. Vite, on sort le marteau même si le clou n'y est pas.

Trois : les chantiers d'asfaltage et de cimenterie s'organise en monopole, mais bon à eux de voir.

quatre : les files d'attentes en famille, et bien pourquoi pas, l'enjeu en vaut la chandelle.

cinq : les ppp fonctionne comme un boiteux qui erre dans les rues. Ça se comprend, ils sont en crise et cassé.

six : la forêt, c'est beau hein...

Alors à votre tour, je me souviens pas de tout !

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