mardi 11 mai 2010

Montréal s'incline.

Les derniers désirs révélés par sondage confirme ce que tous les linguistes craignent, un déclin du français. La loi 101 naissait justement pour freiner la menace linguistique. Les études pan-canayenne démontrent aussi qu'au Canada, seul la province de Québec montre une couenne de résistance. La couenne, parce que les régions ne se conforment pas aux tendances de l'axe Montréal-Québec, ou l'affection à l'anglomanie.

La tendance politique tend, par la démonstration, à marginaliser ou ghettoiser le caractère Québécois de l'ensemble canayen. La dernière intrusion des fédéraux concerne les marchés financiers. Plus sournoisement, on impose le bilinguisme à la cour suprême canadienne par la loi C-232. Ces mesures reflètent un réflex négatif au caractère unilingue français du Québec.

Le libre choix de l'enseignement reviendrait aux utilisateurs seuls selon un sondage. La hausse de la tendance s'est accrue, elle se situe à 61 % des intentions.

plus tard en journée...

L'écho de mon entourage familiale me le confirme. Mes proches, de par leurs occupations, s'anglicisent et laissent porte ouverte à l'anglomanie, la domination.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire