samedi 1 mai 2010

Déshérence.

Le terme déshérence m'était inconnu jusqu'à ce que je m'intéresse à la question du sionisme. Imaginez qu'un individu décède ; vous aurez alors un constat de décès et des héritiers. Les héritiers reconnaîtront le décédé sinon, toute la succession patientera espérant des descendants. Elle pourra devenir orpheline, voilà un cas de déshérence.

Dans l'histoire, les premiers seigneurs de fief s'accaparaient tout ce qui n'avait pas d'héritiers. Les biens leurs étaient dévolus de droit. Aujourd'hui, l'état devient ordinairement le détenteur de tout ce qui n'est pas réclamé. En exemple, la Couronne représente le chef d'état ultime du Canada, conséquemment c'est elle qui détient les droits de déshérence, comme quoi, les ères se suivent et se ressemblent.

Je reviens à l'essentiel, soit le pouvoir du sionisme et de la déshérence. Dès la fin de la seconde guerre, les héritiers se multipliaient par millions. Normal, si l'on sait que plus de 60 millions d'être humains sont morts. Ces êtres humains possédaient des richesses de toutes sortes ; immobilières, bancaires etc...

De même, tous les pays sous occupations, en Europe surtout, devinrent l'objet d'enquête extraordinaire. Je citerai un exemple celle de la Suisse. La pression était tellement forte qu'on institua une commission, la commission Bergier. Pour ma part, il était justifié de scruter et de réclamer mais aussi de distribuer ces biens aux héritiers bien sûr, et pourquoi pas, aux survivants de la Shoah.

Là où tout cela devient révoltant, c'est qu'on se serve de la souffrance de victimes de l'Holocauste pour enrichir soit des individus ou des groupes illégitimes. De nombreux historiens évoquent ces vols appuyés par le Congrès Juif Mondial . L'un des faits confirmant cette thèse s'inscrit à l'intérieur mêmes des représentants bancaires Suisses. Ce document relate une certaine apologie

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