lundi 17 mai 2010

Monseigneur Ouellet.

J'initie ce billet par la réalité suivante ; les enfants désirés et souhaités ne posent pas de problèmes, sauf lors de complication de grossesse et d'accouchement. Les décideurs feront tout pour sauver l'enfant. Ce qui provoque l'Église et les adeptes pro-vies, et moi perso, visent les enfants dont ont interrompt la vie sans demander leur avis.

Monseigneur Ouellet et de même ceux qui sont conscients de ce qui précède ne peuvent pas entériner l'avortement. Les observateurs, contre la position du Cardinal, auront beau discourir à peu près sur tout, sauf de l'enfant à naître, n'ont d'autres discours que le discrédit du prélat.

Au passage, que dit le dignitaire ; de placer tout en haut de l'échelle, la vie humaine, de l'individu, même à naître et le situer bien au-delà de toute créature et des principes aléatoires du temps. Nous ne pouvons plus, pourrait-il déclarer, abandonner l'Être Humain devant les économies variables et les sous-entendus politiques. J'espère voir les gouvernants mettre tout en oeuvre pour aider et assister les femmes et les couples dès la conception de l'enfant.

Je termine avec la certitude de ne pas condamner qui que ce soit, mais d'amener un éclairage sur la vie qui adviendra.

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