jeudi 19 mai 2011

Lettre à Josée Verner.


Madame,

Vous ne me connaissez pas et pour cela, je ne vous en tiens pas rigueur. Néanmoins, j'aimerais vous dire ma façon de penser. Il est arrivé souvent, en cours de mandat comme député, de favoriser l'arrivée d'une équipe de la LNH.

Plus d'une fois, vous avez aguiché ou leurré votre clientèle. Après coup, vous deviez assumer les foudres de votre patron. Qu'il, le PM, vous soumette à une autre directive, vous deviez par loyauté, vous tenir debout.

Je vous dit tout cela en entrée. Dans vos fonctions de ministre, j'ai constaté à moult reprises vos défenses et prêter toute votre intégrité, à votre gouvernement. Il devenait évident que vous agissiez dans l'intérêt Conservatrice et moins de celle de vos commettants disons naturels.

Franchement, en traitant la culture comme vous l'avez traité, c'est du sabotage. L'industrie de la culture exige de ses responsables une interprétation correcte. Non, vous êtes tombés facilement dans la défense étroite de ce parti étroit.

Je termine ici mon billet, en sachant très bien que même sénatrice, je ne pourrai compter sur vous. Madame Verner, je ne veux pas ici discréditer tout ce que vous êtes, mais comme personne publique, vous n'apportiez et n'apporterez rien de nouveau.

Au final, suite à votre défaite bien mérité, démocratie obligée, vos petites mesquineries médiatisées prouvent encore votre manque de vision Conservatrice. J'imagine votre présence à l'ouverture du nouvel amphithéâtre.

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