mercredi 30 avril 2008

Varia

Les droits de la nature.

Ce matin, imaginez une première neige, tôt, comme en automne, inattendu. Imaginez les branches d’arbres recouvert d’un soyeux duvet blanc. Pensez aux toits de nos maisons coiffés de tuiles sombres, à l'aurore, tapissés d’un édredon tissé de jolis flocons immaculés. Concevez de mémoire ces fils urbains blanchis et alourdis lors d’une chute abondante de décembre. Tout cela ce matin, fin avril, par un printemps timide qui donne tout l’espace visuel à un hivernade éphémère. Dès sept heure trente, je circulerai sur les chemins enneigés en éclaboussant tout ce qui m'entoure. Gare à vous, passants et promeneurs matinaux, la gadoue se partage allègrement, surtout au printemps.

Adage

"Nos désirs, du plus sombres aux plus lumineux, sont la source de tout ce que l’on possède."

Aux gérants d’estrade d’ici.

J’entérine la présence de Price dans les filets ce soir.

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