lundi 7 avril 2008

Une flamme.

L’attribution à la Chine des JO 2008 par le CIO pourrait influencer la politique des dirigeants Chinois. J’espère du moins. La Chine, à ne pas en douter, représente l’état émergent par excellence. La politique intérieur subit des tumultes profonds, ce qui favorise des changements. Le Tibet suscite tellement l’attention dans le monde, que les pressions extérieures deviendront, avec les JO, un appui à des initiatives concrètes. La peine imposée à Hu Jia, provoquant l’ire de l’ensemble des ONG, interpellerait n’importe laquelle pays à la révision. Alors, bien humblement, mes espérances s’adressent à des décideurs charmés légèrement par une petite flamme, qui n’a pas terminé son parcours. Au surplus, ses déplacements sont épiés et zoomés comme nul autre sur la planète terre.

2 commentaires:

  1. Je me rappellerai toujours d'Yves P. Pelletier qui pleurait à chaudes larmes toutes les émotions de son corps en rapport au sort des pauvres Tibétains persécutés. Il en appellait au boycot de la Chine il y a deux-trois ans déjà... Je l'aimais mieux dans RBO.

    Compte tenu de la puissance chinoise, je trouve très irresponsables et naïfs les bien-pensants qui demandent à nos gouvernements de boycotter la Chine. À l'opposé, je trouve très sages et responsables les leaders occidentaux qui résistent à ces pressions et qui se montrent conciliants envers le régime de Pékin.

    Les réformes démocratiques viendront bien un jour en Chine. L'apprentissage de la démocratie s'est fait sur plusieurs générations en Occident. Laissons leur du temps.

    RépondreSupprimer
  2. J'ai trouvé cette lettre ouverte intéressante dans ma Presse ce matin :

    http://www.cyberpresse.ca/article/20080408/CPOPINIONS02/804080624/6732/CPOPINIONS

    RépondreSupprimer