samedi 26 avril 2008

Fermeture d’entreprises et l’inflation.

Nos sociétés urbaines organisent la gouvernance avec les conseils d’une armada spécialisée. Les ingénieurs, les économistes et que sais-je encore, semblent incapable de solution. Les prévisions négatives se multiplient sans que l’imagination et la créativité relève ce péril à venir. Nos gouvernements poursuivent leurs envols dépensiers sans innovation réelle. À petite échelle, vous retrouverez des jeunes qui créent leur propre emploi et développent un futur encourageant. Un ex-DG du monde agricole, Jacques Proulx, révélait un bon matin ; « aux prix que l’on paient les économistes et ils sont incapables de voir venir l’irrémédiable ( valeur du $ )».

Toutes nos infrastructures, même les plus modernes, travaillent en vase clos, incapables de vision d’ensemble. Le meilleur exemple étant les grandes centralisations soumises aux conglomérats abstraits et distants, loin des préoccupations régionales. La recherche du profit ne peut plus être la raison d’être du développement économique ; le seul véritable moteur étant l’humanité.

Cette semaine, une petite entreprise presque centenaire, de chez-nous, ferment ses portes. La petite boulangerie avoue son incapacité à produire et distribuer leurs denrées face aux différentes hausses ; farine, pétrole etc… Tout à côté, à la Baie, l’usine MDF s’enfuit sournoisement avec la matière première, le bran de scie, vers des régions plus proche des grands centres. Plus loin, l’Usine AGC cesse ces activités en mettant à pied ses 250 travailleurs. Le capitalisme sauvage ne représente au fait, que peu de promesses, excluant des hausses de prix et un plus grand appauvrissement.

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