samedi 5 avril 2008

Al Gore.

Ce vendredi, à la Place des Arts, l’ex-vice-président sous le président Clinton prononçait un discours sur les changements climatiques. À ce qu’on dit, les constats apocalyptiques sont patents et dans un futur proche. Je n’ai pu y assister contrairement aux trois milles personnes présentes. M. Gore, en ce premier fin de semaine d’avril, formera 200 conférenciers. Ceux-ci s’engagent à donner des conférences sur la lutte aux changements climatiques, seulement au Canada. En faisant ma recherche sur Gore, j’ai mis les yeux sur une interview accordé par le secrétaire-général de l’OCDE, le mexicain richissime, Angel Gurria. Vous y retrouverez des sondages forts intéressant et des préoccupations économiques étonnantes. Pour ma part, il est impératif de mettre sur pied des mesures strictes. Le conseil des nations, par l’ONU ou autrement, devrait exiger de tous les pays, en émergences ou non, des restrictions strictes car il en va de la survie de l’humanité. Parallèlement, les états comme le Canada, devraient dès maintenant, activer la recherche sur l’étalement urbain. L’immigration rapide et massive est à prévoir, alors établissons la manière et tout le reste. En contre partie, si les profits et les surplus préoccupent les décideurs, passons outre, solidarité oblige. En quelques mots, entre voisin, quoi de mieux ?

1 commentaire:

  1. Toute la question des changements climatiques est un autre gros dossier extrêmement complexe. Toute la mécanique du climat, l'influence du Soleil, des océans, des courants marins, des masses d'air plus ou moins humides, etc. est encore largement inconnue. Le climat a changé depuis la nuit des temps. Nous avons vécu des successions de périodes glaciaires, réchauffements, etc. sans que l'homme n'y soit pour rien.

    Quand je regarde tout ce dossier, je ne sais pas trop que penser car j'ai pas mal plus d'interrogations que de certitudes. Une de ces certitudes est que le nouveau grand gourou de l'environnement, Al Gore, s'en met plein les poches à 250 000$ par conférence. C'est quand même ironique car cet homme, dont la maison est un château, consomme à lui seul plus d'électricité que vingt familles américaines.

    Quand je regarde l'autre nouvelle grande vedette (locale), Jean Lemire, je ne suis guère plus rassuré.

    Je suis toujours excessivement méfiant quand les gens ont des opinions bien tranchées et qu'ils sont fermement convaincus qu'ils détiennent la vérité, qu'ils ont été illuminés.

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