mardi 3 juillet 2007

Aveux...

Voilà, qu’en fin de semaine, je réalisais ceci ; beaucoup de mes proches parlent de ma tentative d’écrire un roman avec un léger sourire. Ma mère m’invite à changer la trame de fond en une sorte de conte anecdotique de mes maladresses passées. Un autre me demande comment je me sens en auteur, l’air mi-figue, mi-raisin. Je me demande combien de ceux-là connaissent le contenu réel de ce drame inachevé. Je me console en sachant que l’écriture se modifie à volonté, pourvu que l’on reste humble et modeste.

2 commentaires:

  1. Bonjour Toi :o)
    Pas facile de travailler sur un projet qui nous tient a coeur et dont les autres ne comprennent pas le sérieux...
    Écoute toi et va jusqu'au bout de ton idée et de tes idéaux.
    L'important c'est le résultat que l'accomplissement de se projet à a tes yeux.

    La brue, qui a bien hate de lire ce projet qui te tient tant à coeur.

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  2. Il ne faut pas t'en faire avec ça. Ne prends pas trop au sérieux les commentaires des gens. Tout le monde aime bien taquiner, moi le premier.

    Dis toi aussi que tu peux juste t'améliorer et que dans le fond, écrire est un geste bien inoffensif et libérateur que l’on fait avant tout pour soi. Je te suggère de ne pas t'offusquer si des gens ne s'intéressent pas à ce que tu écris. Le lecteur a des droits fondamentaux dont celui de lire ce qu'il veut quand il veut.

    Je comprends que tu te sentes impliqué émotivement dans ton projet de « drame inachevé » mais ne te prends pas trop au sérieux non plus. Tu n’as rien à prouver à personne.

    Dis toi aussi que s'il fallait toujours attendre d'avoir la bénédiction de tous avant d'agir, la Terre serait un endroit bien immobile.

    Bonne chance.

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