samedi 19 novembre 2011

PLANORD ?



Les richesses de la Belle intéressent tous les dépendants de matières premières. Tous les pays émergent en raffolent.

Nous ne sommes pas les seules à détenir un potentiel à tous ces gloutons outre frontière. D'autres états ressources servent déjà aux exploitations étrangères. Vous y verrez des entreprises multinationales avec leurs propres mineurs, souvent à rabais.

D'autres étrangères s'y retrouvent, pour creuser, arracher tout au fond, 12 heures par jour et 7 jours sur 7, des cailloux payants. Puis, la manne métallique s'entasse dans des cargos pour l'étranger. À leur tour, ces roches fonderont pour devenir des matériaux d'usinage, ailleurs.

Hier encore, la Belle s'abandonnait aux bûcherons et aux scieurs de toutes ces forêts. Tout l'industrialisation des villages et des régions reposaient la-dessus. Jointe au monde agricole, le levier économique régionale se résumait à ça.

En parallèle, ce sera l'exploitant qui se sera enrichi en léguant des bâtisses vieillottes aux différentes communautés. Inactive au prix d'une transition industrielle, elles croupissent en patrimoine, sans journaliers, inertes.

L'ensemble des travailleurs de la forêt auront, eux aussi, vécu de cette richesse. Un manque de vision associé à un développement, quasi usurier, provoque dans toutes les cités dépendante du bois et de ses dérivés, la crise.

L'empreinte écologique de l'économie forestière pourraient inspirer nos façons de faire. Le PLANORD est si vaste et si riche, profitons-en. Selon ce qui nous est révélé, c'est que le nord de la Belle recèle un Klondike. Alors exploitons, mieux, maximisons, creusons et transformons ce PLANORD en plate-forme durable.

Oui, à l'exemple des barrages électrique. Élaborons intelligemment et ensemble l'enrichissement des collectivités.

à suivre...

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