lundi 14 novembre 2011

La CAQ.


Bon. Le duo, ou je devrais dire, le groupe du CAQ "Coalition Avenir Québec" lance officiellement le parti.

Un, le logo ? Moi, vite vite, ça revient à la subjectivité. C'est j'aime ou pas. Moi, je le trouve bien, un peu pastel mais, on décèle le Q dans le C.

Pour les thèmes principaux, ça me convient. L'ÉduQ, les commissaires à 7% de participation, les profs aux écoles, un Doc pour tous, l'attrition à l'Hydro-Q, l'appropriation des richesses naturelles, la responsabilisation, plutôt l'appel aux gens dévoués, tout ça, c'est OK.

L'option du français à Montréal, c'est incontournable et surtout pas cliché. J'admets, c'est risqué. Alors on fera avec. Voyez-vous, c'est une question de fierté, de survie de la langue.

Cent jours pour tout ça ?

C'est mieux que Jean Charest qui aura mis trente-trois mois, deux ans et trois-quart, des commissions, des enquêtes, des Marteauxxxxxxx, un tas d'outils inadaptés, des instants d'hésitation aux volants, des enveloppes sans adresses, toutes brunes, des cartes de crédit et, on en parle jamais, des démissions en masse.

Pauline, Pauline...

Je le dis ou merde ?

Bon. Pauline lui reproche de ne pas parler des tarifs d'Hydro.

Il était une fois (2001), la dame, naguère au Finance de la Belle, désavouait son Ex-ministre (Legault) d'alors, qui voulait hausser les tarifs d'Hydro. Si vous avez bien écouté, il ne cible plus cette hausse. Ben non. Avec la CAQ, il ne dit rien sur cette hausse de tarifs. Eille Pauline, un autre s'en est chargé et a haussé les tarifs d'électricité. Voyez, ce n'est plus d'actualité, comme vous...

Tout compte fait, la CAQ atterrit à gauche, au centre, à droite, alouette, on s'en fout. Désormais, il fait parti de la chose. La chose politique assimilée à du boulevard, au burlesque, aux scandales, banalement, à rien de réjouissant.



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