jeudi 22 mai 2008

Pierre Falardeau le fou.

Ceci dit avec un brin de sarcasme. J’admet il est impulsif et mal engueulé, pi y sacre comme un diable dans l’eau bénite. Bon, ceci dit, c’est un Québécois, point final. Dsl, c’est aussi tout le reste puisqu’il est cinéaste. Il a tourné ceci et tout les Elvis Gratton. Avant Johannson, tôt le matin (4:30), j’ai écouté Proulx (en reprise), interviewant ce fou. " Ah oui, j’étais sur la 172 direction fleuve, poursuivant tour à tour, l’aube rosebleue et un orignal paniqué droit devant. Fermons la parenthèse. Alors PF avouait sans ambages que pour la définition d’un québécois, ce n’était pas complexe. Un québécois, ça parle français comme un russe parle le russe ou un chinois le mandarin. Peu importe la couleur du bonhomme, mais il doit parler français, sinon qu’y mange d’la marde. En ce jour de divulgation nationale, verrons-nous autant de clarté intellectuelle ?

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