dimanche 25 mai 2008

Je suis un Bouchard-Potvin.

Cet été nous célébrerons les retrouvailles des descendants de Blanche-Alice Gagné et Pierre Bouchard, mes grands parents. Cela exige de ma part encore plus de phrases remplies de mots qui font du sens. Je ne m’en plains guère car j’aime écrire. Les écrits iront directement sur le blog conçu spécialement pour cette fête. Le samedi soir de ce rassemblement, nous aurons droit à tout un spécial. J’ai commencé le canevas et l’élabore à l’aide de témoignage des personnages surprises. En passant, j’ai sollicité souvenir et mémoire d’un petit cousin octogénaire. Il m’a branché sur la généalogie, la géographie d’ici et une piste, je dirais déconcertante. Lorsque vous saurez de quoi il s’agit, ceux qui me sont proches, en seront déculottés. Je débuterai par ce qui m’a intéressé dès le départ. Mes aïeux. D’abord le moins compliqué, la cellule maternelle. Ma grand-mère est une fille de Ladislas Gagné et sa mère, une Boudreault ; Zénaide qu’elle s’appelait. De ce côté, j’en suis là pour l’instant. Mon grand-père, lui, c’est un Bouchard ; son père Édouard Bouchard de la lignée de Claude Bouchard dit le petit Claude : pas Claude Bouchard dit Dorval, non, le petit Claude, arrivée à Beauport en 1654. Poursuivons le hic n’est pas là. Mon grand-père Pit a une maman, une Tremblay et oui, Elmire Tremblay était son nom. Je m’approche du sujet. Mon arrière grand-mère, Elmire avait des parents, son papa Georges et sa mère une Girard, Rose. Le Georges Tremblay, qui se trouve être mon arrière, arrière grand-père, disait vous à son papa ; Jean-Eusèbe Tremblay et à sa maman, Éléonore Beauseigle, une Montagnaise. Ce qui fait de moi officiellement, un métis. Je suis abasourdi…

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