mardi 19 février 2008

Hippocrate.

Oublions Hippocrate, ce personnage déontologique, pour l’instant. Ces temps-ci les médias nous parlent de santé. Public, privé, ppp et je vous laisse toutes les autres possibilités dans l’ordre ou dans le désordre. En même temps, des colonnes de chiffres, avec ou sans zéros assujettis ici et là aux soins de santé, attribuées, bon an mal an, à tous ces Québécois éprouvés et meurtris par les symptômes multiples dont l’homme s’empiffre consciemment ou non. Pourrions-nous parler de coût du bureau du 10ème ou 14ème de l’édifice X à Québec ou ailleurs ? C’est vrai, combien coûte la centralisation qui planifie le tout médicale au Québec ? Une chambre vide en attente de celui ou celle qui l’habitera le moins longtemps possible, ça coûte quoi ? Un PDG, un directeur et les rénovations des immeubles ça coûte quoi ?

Je connais un professionnel de la santé qui dit que le système de santé au Québec engouffre une fortune, telle une personne qui souffre de boulimie. Il déclare à qui veut bien l’entendre, qu’il y a tant d’argent, que le système administratif le bouffe, bon an mal an. Si le cas échéant, il s’avérait que cette hypothèse soit une vérité, qu’on ne pourrait le reprocher à qui que ce soit, dit le même pro. À son avis, la tour de Babel à ce jour, serait une binnerie. Alors, en quelques mots, je vous dis que l’irresponsabilité, non excusez-moi, la non responsabilité des gestionnaires pourrait être la cause des budgets démesurés octroyés à la santé. La dernière preuve étant les directions des soins infirmiers qui en manquent de personnel, s’en remettent aux agences privés. J’oubliais, Hippocrate associé à un serment, oubliez-ça, c’est une omission passéiste.

1 commentaire:

  1. je viens de te poster un message de 5-6 paragraphes et il a disparu.

    Je lance la serviette.

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