J'ai écouté plusieurs entrevues de Madame Bombardier touchant l'affaire DSK. Écoutez, je n'en reviens pas encore. Elle s'indigne du traitement français adressé à la supposée victime mais ne dis rien ou à peu près de la présomption d'innocence.
Denise Bombardier par franceinter
Le cirque qu'a vécu le prestigieux DSK mérite un peu plus d'attention. Que ce soit un macho, je n'en sais rien, mais de subir une telle apparence de justice, cela devrait tout autant indigner la femme en délire. Pourtant rien, nul dubitatif.
Je me souviens de l'affaire Angelil accusé de viol. Vous aussi non ? Plus tard, on a su la vérité bien qu'il avait dû, hors cour, s'entendre et étendre le fric. Madame Bombardier était où alors ? Non, vrai que les circonstances de la promo d'un livre n'y était pas.
Jocelyne Cazin avec elle, c'est comme un potage trop épicé. Lorsque, dans un délire verbal, Madame Cazin dit que "DSK s'en tire quand même facilement" avec la bénédiction de la délirante Madame Bombardier, c'est de la soupe aux fumiers, rien de plus.
Elle aura beau s'objecter et avec raison aux propos d'André Arthur, face à sa défaite électorale, je veux bien, mais de consentir au manque juridique étasunien, c'est de l'équivalence crasse.
C'est une sale bête. Elle a accusé jadis l'écrivaine Maznieff de pédophilie. C'est une jalouse et une envieuse. Elle ne supporte pas que des femmes soient jolies et puisse recevoir de l'argent pour tenir compagnie aux hommes.
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